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Le harem – Chapitre 1

Le harem - Chapitre 1



LE CAUCHEMAR DE JULIETTE

Un brusque mouvement de houle réveilla brutalement Juliette, la ramenant à son cauchemar éveillé. D’après ses estimations, après trois semaines passées pratiquement sans bouger dans cette cage de trois mètres sur trois, ils ne devraient plus être trop loin de leur destination finale. Pour la enième fois, elle inspecta la cage dans laquelle elles étaient vingt à s’entasser depuis le départ d’un certain port de France, peut-être Le Havre … La cage était accrochée au plafond, à 1m50 du sol ; l’exiguïté forçait Juliette à s’acoller à sa voisine immédiate. Elles ne sortaient pratiquement jamais sauf deux fois par jour les unes après les autres pour rapidement se restaurer à la porte de la cale. Tout leur univers se résumait depuis trois semaines à cette cale sombre qu’un fin rayon de lumière passant à travers l’unique hublot n’arrivait pas à éclairer. Le plus horrible, c’était que de ce fait, elles faisaient leurs besoins sur place presque sans bouger. C’était un miracle qu’a ucune d’elles ne soit tombée malade.

N’ayant rien d’autre à faire, Juliette se remémora sa vie d’avant cet enlèvement qui la conduisit ici : elle avait toujours été brillantissime aussi bien au cours de ses études que dans sa vie professionnelle. Elle se souvint qu’à 15 ans, elle avait eu son bac avec la mention ’excellence’. Ensuite, elle avait eu son diplôme d’ingénieur en étant major de sa promotion malgré les épreuves qui s’étaient abattues sur elle : hostilité de ses camarades de promo (généralement des garçons et tous plus âgés qu’elle), son état de grossesse avancée. Malgré tout cela, à 20 ans après avoir accouché de son fils, elle s’attaqua au marché du travail : elle intégra une petite société de vente de matériel pour la recherche médicale. Elle acquit alors une promotion fulgurante et, à 23 ans à peine, elle devint directeur du département recherche et développement et virtuel numéro deux de la société. Elle s’attira la haine de ses subordonnés (surtout les plus anciens) qui l’accusaient d’avoir co uché pour monter en grade. C’était un peu vrai sans totalement l’être … C’était sous son impulsion que la société put entrer en bourse et concurrencer les poids lourds du marché : sur les deux premières années où elle n’était qu’ingénieur d’affaires, elle dépassa à chaque fois ses objectifs de 400 %, elle décrocha plusieurs marchés jusqu’alors promis aux multinationales. C’est dire si elle a mérité sa promotion. Mais il est vrai que ça n’a pas été sans être devenue la maîtresse attitrée du PDG …

Un nouveau violent tangage secoua Juliette projettant sa généreuse poitrine sur le visage de sa voisine. Celle-ci ne se réveillait même plus lorsqu’elle tétait malgré elle les seins de Juliette … La pièce entière puait la crasse, la sueur, les excréments mais Juliette avait appris à s’habituer de l’odeur. Leurs vêtements (ceux qu’elles portaient lorsqu’elles avaient été enlevées) s’était usés et déchirés en plusieurs endroits au fil des semaines. Le tee-shirt de Juliette n’avait pas fait exception à la règle : ainsi fagotée, on voyait ses seins par les déchirures. Juliette s’était débarassée de sa culotte que ses règles de la semaine dernière avait maculée et incrustée dans sa fente intime afin d’éviter l’infection. Elle avait simplement remis son short à même la peau lorsque l’écoulement s’était apaisé au bout de quatre jours. Son soutien-gorge avait également suivi le même chemin. Les mêmes mots revenaient perpétuellement lorsqu’elle tentait d’analyser sa situation : ’ esclavagisme’, ’traite des blanches’. Elle se dit que ce n’était pas possible, que Stéphane allait réagir, alerter les autorités. Elle était si loin de la vérité …

Elle avait rencontré Stéphane à une soirée étudiante. Elle avait immédiatement flashé sur son physique d’athlète grec. Ils avaient couché ensemble le premier soir et, au cours de cette nuit, il lui avait fait la totale : il la pénétra ou la sodomisa quatre fois dans la nuit, lui provoquant autant d’orgasme. C’était la première fois que Juliette s’était lâchée autant dans les bras d’un homme : au petit matin, elle avait des courbatures partout ; elle était vidée de sa substance, titubant, mal au bassin mais comblée ! Au niveau de leurs caractères, ça n’allait pas du tout : Juliette et Stéphane n’avaient pratiquement rien en commun en dehors du lit. Lui était artiste-peintre, éternel étudiant, elle, future ingénieur. Lui parlait famille, enfants, maison à la campagne, elle carrière, travail à Paris ou New-York et ne supportait pas les enfants. Lui était romantique, elle pragmatique, ne supportant pas de perdre son temps. Il n’y avait qu’au lit qu’ils se retrouvaient et là, c haque séance se transformait en véritable exercice physique dont Juliette sortait à chaque fois épuisée. Mais ça ne suffisait pas alors ils rompirent au bout de quelques semaines … Quelques jours après, Juliette s’aperçut qu’elle était enceinte ! A 19 ans, sans ressources, elle demanda l’aide de ses parents pour se faire avorter mais ceux-ci refusèrent en catho butés qu’ils étaient. Déséspérée, Juliette recontacta Stéphane qu’elle venait juste de larguer mais celui-ci s’avéra évidemment incapable de l’aider. Elle fut obligée de garder l’enfant. Juliette et Stéphane se remirent ensemble et se marièrent, mais Juliette savait que ce mariage était plombé d’avance. Elle ne l’avait accepté que pour donner un père à son bébé et pour contenter ses parents qui la harcelaient. Une fois arrivée sur le secteur professionnel, elle multiplia les aventures extra-conjugales et ne se cacha même pas de Stéphane, éternel amoureux transi. Celui-ci de part son métier d’artiste plus souvent fai t de vaches maigres n’était d’aucun apport financier dans leur ménage. C’était Juliette qui entretenait toute la famille avec son salaire confortable et l’héritage que ses parents lui avaient légué après leur mort dans un accident de voiture. Ca donnait évidemment un rapport de force en faveur de Juliette que Stéphane avait de plus en plus de mal à supporter. C’est pour cela qu’elle osait s’afficher avec ses amants devant Stéphane … De part ses horaires déments et ses escapades, Juliette ne pouvait pas s’occuper de leur fils convenablement. C’était Stéphane l’homme de ménage, l’homme au foyer ou bien encore, le père qui élevait leur enfant.

Une très violente dispute éclata entre eux la veille de l’enlèvement de Juliette : lorsqu’elle l’embrassa furtivement le soir en revenant du travail, Stéphane sentit un goût de sperme dans la bouche de Juliette. En effet, une demi-heure plus tôt, Juliette avait laissé Rolland, son PDG, son amant ’officiel’, se déverser dans sa bouche après une longue partie de jambes en l’air. Celui-ci l’avait longuement sodomisée à même le bureau, relevant juste la jupe courte de son tailleur, arrachant sa petite culotte en dentelle blanche qu’il lui mit dans la bouche. Rolland admirait cette pouliche lâchant des râles et des supplications au fur et à mesure que son plaisir montait. Il se sentait le maître du monde debout ainsi, derrière cette jeunette de 23 ans couchée sur la table recevant son petit trou toute l’expérience de ce vieil homme de 65 ans. A chaque poussée, Rolland écartelait un peu plus Juliette, prenant plaisir à mater cette jeune business-woman aux dents longues, cette re quin en affaires. Le râle de Juliette se transforma bientôt feulement, puis en gémissement, preuve de l’arrivée de son orgasme : celui-ci fut violent et très long. Toujours fiché en elle, Rolland admirait les fesses de Juliette secouées par les mouvements saccadés et incontrôlés de ses muscles vaginaux. Pendant ce temps, Juliette mordait de toutes ses forces sa petite culotte enfoncée dans la bouche, humidifiée par le mélange salive + mouille, durant l’apothéose. Une fois son orgasme achevé, Juliette s’arracha à l’étreinte de son amant, recracha la culotte qui n’était plus que bouillie informe, s’accroupit et le prit dans sa bouche pour l’amener à son tour au septième ciel. Rolland, grâce aux talents d’expert de Juliette dans la fellation, ne tarda pas à sentir sa sève monter du fin fond de ses testicules. Ses mains frippées et décharnées se crispèrent sur la nuque de la jeune femme, s’accrochèrent à ses longs cheveux blonds bouclés, plaqua son visage contre le pubis tandis que son pénis usé déversait par saccades son sperme, inondant la gorge et le palais de Juliette. Les soupçons sur ce qui venait de se passer mirent Stéphane hors de lui : il l’insultait et était même à deux doigts de la frapper. Mais Juliette ne se laissa pas faire comme d’habitude : elle commença à évoquer la perspective du divorce.

Le lendemain, Juliette sortit comme d’habitude pour faire son jogging matinal, abhorant une tenue de sport légère : tee-shirt, short et baskets, dessous en coton pour faciliter le support de la transpiration. Et c’est là que son cauchemar débuta … Une Mercedes noire s’arrêta plus loin et un homme d’environ deux mètres, le visage cagoulé en sortit lorsque Juliette arriva à sa hauteur. Il la saisit par la taille et la balança dans le coffre ouvert de sa voiture qu’il referma aussitôt. Il sembla n’avoir eu aucune difficulté pour le faire : ses 2m et 110 kgs battaient largement le 1m65 et 57 kgs de Juliette. Celle-ci eut beau hurler, le capitonnage du coffre étouffait ses cris. Puis la voiture démarra et roula pendant des heures jusqu’au Havre. Ce que Juliette ne savait pas, c’était que cet enlèvement avait été monté par Stéphane, lui-même. Il avait trouvé là le moyen de se débarasser de sa femme qui n’avait de cesse de l’humilier, de jouer ensuite l’innocent (les témoins de l’enlèvement faisaient foi), d’éviter le divorce, de récupérer la fortune de Juliette, la garde de leur enfant et de se faire en plus un peu d’argent sur cette vente à un trafiquant russe en rade au Havre. Il y a juste que leur dispute de la veille avait accéléré les choses …

La porte de la cale s’ouvrit brutalement et la lumière qui passait éblouit Juliette, la ramenant brusquement à la réalité. L’un des marins qui entra dans la cale ouvrit la porte de la cage et leur ordonna, dans un mauvais anglais, de monter sur le pont. Là, Juliette s’aperçut que le bateau était ancré en pleine mer, le ciel était bleu et la température devait osciller aux alentour de 30?C, ce qui lui fit penserqu’on ne devait pas être très loin des côtes même si on n’apercevait rien à l’horizon. Le capitaine (celui qui avait acheté Juliette à Stéphane, mais elle ne le savait pas !) s’adressa aux prisonnières en leur disant qu’elles allaient pouvoir faire leur toilette. Un marin dirigea sur elles un puissant jet d’eau et elles, trop heureuses de se laver, se débarassèrent de leurs oripeaux, se nettoyèrent minutieusement toutes nues sous l’oeil goguenard des marins spectateurs lubriques. Ensuite, le capitaine leur indiqua une table posé sur le pont sur lequel étaient entrepo sés rasoirs, peignes et autres produits de maquillage. Dans un élan surréaliste que seul le desarroi pouvait avoir provoqué, Juliette se précipita dessus en même temps que ses co-détenues comme si seul mettre en valeur sa féminité était le seul repère auquel elle pouvait se réferer. Elle se dit intérieurement de ne pas obéir tel un mouton qu’on mène à l’abatoir mais redevenir belle (ou plutôt mettre en valeur sa beauté) était peut-être la seule arme dont elle disposait dans ce milieu hostile. Elle fit la queue comme les autres pour disposer du matériel : lorsqu’arriva son tour, Juliette commença par se raser les aisselles, un peu le maillot, puis se coiffa longuement les cheveux pour accentuer leur bouclage naturel. A l’issue, elle se farda les yeux de noir, mit un rouge à lèvres léger, se tailla les ongles laissés à l’abandon depuis trois semaines puis les vernit soigneusement de rouge. Elle retrouva un peu les réflexes d’avant. On lui remit enfin en guise d’habillement un pagne qu’elle utilisa juste pour cacher sa nudité en entourant son buste et ses hanches. Lorsque toutes les filles furent prêtes, on leur dit de retourner dans leur geôle. Là aussi, le ménage avait été sommairement fait. Quelqu’un avait passé le jet d’eau sur la cage et le plancher de la cale, les débarrassant des détritus et autres excréments qui les tapissaient.

La nuit venue, elles furent toutes débarquées dans un port privé. Juliette évalua l’endroit comme étant soit à la corne de l’Afrique, soit sur les rives de la péninsule arabique : le climat ainsi que les dunes de sable se profilant à l’horizon laissait présager la présence proche du désert. Elles furent enchaînées ensemble à une barre de fer transverse soutenue par deux piquets métaliques de 2m de hauteur. Elles passèrent ainsi le reste de la nuit debout s’appuyant les unes aux autres, les bras levés, enchainées par les poignets, les pieds touchant à peine le sol. au petit matin, Juliette était engourdie par des crampes de toutes sortes. Son pagne, mal attaché était tombé par terre, laissant sa nudité superbe aux regards du capitaine et des quelques employés du port privé au regard gourmand. Mais ils se tinrent coi, ce qui laissait supposer que Juliette et ses co-détenues étaient promises à quelqu’un d’autre.

Une limousine blanche apparut soudain du détour d’une dune de sable et s’arrêta à quelques mètres de l’endroit où elles étaient accrochées. Deux hommes en sortirent habillés avec des djellaba et des keffiehs (costume courant dans les Emirats arabes du Golfe persique) ce qui donnait une indication supplémentaire sur la localisation géographique du port où on les avait débarquées. Le premier homme petit grassouillet discuta un temps avec le capitaine russe (en anglais), et ce qu’entendit Juliette la glaça autant que la résigna car elle l’avait deviné depuis plus ou moins longtemps : ils étaient tout simplement en train de marchander l’achat d’une des jeunes filles accrochées et exposées comme à un étal de boucher. Juliette, la super business-woman indépendante en tout point de vue et super-efficace dans sa vie, n’avait plus son mot à dire et faisait l’objet d’une vente en bonne et due forme, comme un vulgaire morceau de viande. Au bout d’une demi-heure, le capitaine russe eu t un geste large envers Juliette et ses co-détenues en disant à son client : ’OK, choose one of them’ …

Le deuxième homme de la limousine qui se trouvait être un grand noir de plus de 1m90 s’approcha alors d’elles. Se faisant, il s’enduisait l’une de ses mains d’une sorte d’onguent. Il commença par inspecter une par une les filles, s’attardant longuement sur Juliette : de sa main restée propre, il inspecta au toucher ses dents, soupesa ses seins. Elle se débatit autant qu’elle put se révoltant contre ce traitement inhumain mais sa position restreignait de beaucoup sa marge de mouvement. Une fois cette inspection sommaire de toutes les filles terminée, le grand noir revint au niveau de Juliette et fermement, il écarta d’une main les jambes de celle-ci. De l’autre, celle enduite d’onguent, il commença à masser la chair intime de Juliette, élargissant à chaque passage sa fente jusqu’à ce que son ouverture puisse laisser passer ses doigts à l’intérieur de sa chatte. Juliette tentait de se défendre avec des ruades mais ses crampes la tétanisaient et la confinèrent à un immobilism e quasi total … Elle se résigna à subir cette exploration méthodique de son vagin. Il y farfouilla longuement sans dire un mot … Tout à coup, Juliette sentit une sorte de décharge dans son bas-ventre : ce salaud venait de trouver son fameux point G. L’imperceptible tressaillement de Juliette fut détecté par son bourreau qui se mit aussitôt à insister son massage sur la zone réactive, profitant par la même occasion pour élargir davantage la fente intime de la jeune femme. Ce manège péniblement répétitif commença à faire de l’effet sur Juliette : elle sentit son plaisir monter petit à petit. Sa fente commença à dégouliner du lubrifiant prélude au plaisir qu’elle essayait déséspérément de refouler. Son bourreau n’attendait qu’une chose, et Juliette n’était pas disposée à lui donner satisfaction car ce serait l’aveu de sa faiblesse (une de plus) et elle avait horreur de cela, ayant toujours eu l’habitude de tout contrôler dans sa vie. Elle simula un orgasme par un cri rauque pour tenter de se débarasser de la main qui la contrôlait par le vagin, mais son bourreau imperturbable poursuivait sa tâche. Soudain, l’orgasme, le vrai, la faucha, la fit se tendre comme une corde à guitare, les seins hérissés, la tête rejetée en arrière, la bouche ouverte comme pour rechercher de l’air qui venait à lui manquer. En même temps, de la cyprine s’échappa abondamment de son sexe, ses muscles vaginaux se crispèrent autour des doigts du grand noir, comme s’ils ne voulaient plus que ceux-ci s’échappent. Une houle saccadée secoua l’utérus de Juliette tandis qu’un râle de plaisir, un vrai cette fois-ci s’échappa de ses lèvres durant plusieurs minutes. Son bourreau interrompit enfin son supplice, s’essuya les mains laissant Juliette reprendre son souffle tout en sanglotant. Le grand noir repartit rejoindre son comparse et lui glissa quelques mots à l’oreille. L’Arabe grassouillet conclut enfin la transaction avec le capitaine russe en montrant du menton Juliette qui restait la tête baissée, humiliée : ’OK, on prend la vraie blonde’

(à suivre)

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