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Le journal d'une salope II – Chapitre 1

Le journal d'une salope II - Chapitre 1



Il doit être environ 11h alors que je me réveille de cette bonne nuit de sommeil. Tout le monde est parti, je suis seule à l’appartement et je ne sais vraiment pas quoi faire. Il doit s’être écoulé environ une semaine depuis que mon ami a rempli ma bouche de sperme, sans même le savoir… C’est étrange de vivre avec un tel secret! Néanmoins, la vie "normale" doit reprendre son cours… D’humeur légèrement maussade, je suis allée à la salle de bain et je me suis regardée dans le miroir, ce qui est toujours ma première réaction en entrant dans cette pièce. En voyant mon visage fatigué, mes cheveux mêlés par ma nuit de sommeil et mes yeux semblant exténués, cela m’a fait penser que ça fait très longtemps que je ne me suis pas mise belle. En fait, c’est comme si j’avais besoin d’un prétexte, comme une soirée au bar, quelque chose comme ça! Voilà le genre de chose qui narrive plus depuis que je suis avec mon petit ami. Mais au bout du compte, pourquoi un prétexte serait absolument nécessaire? J’ai envie de me maquiller aujourd’hui et de me préparer pour être la plus belle possible, pourquoi devrais-je men passer? J’ai alors mis de la musique pour me motiver! Ensuite, j’ai commencé par me raser partout en dansant au rythme de la musique : les jambes, les aisselles et la chatte sans oublier mon petit trou dans les fesses.

Très satisfaite du travail que je venais d’accomplir, je me regardais mes jambes, puis mes fesses dans le miroir en me retournant, voyant qu’il ne restait pas la trace d’aucun poil. Mon cul… pourquoi est-ce que je n’ai jamais osé l’explorer? Est-ce un tabou qui m’a été imposé par la famille? En regardant mon trou du cul, je me dis à moi-même que ça doit pourtant être super de se faire enculer. Jadorerais voir ce petit trou se faire défoncer par une grosse queue comme celle qui ma nourrie la semaine dernière. J’aurais bien envie de m’y aventurer, mais c’est comme si quelque chose m’en empêchait. Il ny a pas si longtemps, j’étais certaine quil fallait être une conne pour se faire éjaculer dans la bouche et avaler… pourtant, au final, je dois avouer que c’était vraiment excitant… Je dois même avouer que tout le sexe que j’ai eu auparavant dans ma vie me semble tellement monotone en comparaison! Juste une petite promesse à moi-même : "Un jour, un mec va m’enculer en profondeur, et je n’en ai rien à faire de ce que les autres pourront bien en penser! » Bon! Je vais continuer à me préparer ; presquune demie heure s’est écoulée durant laquelle je m’amusais plutôt que de m’emmerder seule à la maison, c’est bien non? Maintenant que je suis douce à la grandeur du corps, c’est le temps de prendre une bonne douche rapide! Une fois dans la douche, en sentant la chaleur du jet d’eau sur ma figure, je me sentais comme une salope, sans trop savoir pourquoi. Je me suis surprise à ouvrir la bouche et sortir ma langue pour recevoir de l’eau dans ma bouche, que j’ai avalée sauvagement, en serrant très fort la pomme de douche.

Qu’est-ce qui m’arrive? J’ai l’impression que mes hormones doivent agir à leur maximum! Pourtant, je n’éprouvais pas autant le besoin de me sentir salope avant d’avaler du sperme… Quoiqu’il en soit, je suis sortie de la douche et j’ai séché mes cheveux, que j’ai ensuite attaché en queue de cheval. C’est maintenant le temps du maquillage! Je ne me suis pas maquillée depuis au moins 1 an, mais lorsque je le faisais, j’y mettais environ 10 ou 15 minutes au maximum. Cette fois-ci, j’y mettrai au moins 45 minutes! Je veux être parfaite! Je veux me voir à mon maximum! Je me suis maquillée d’un noir à oeil qui faisait extrêmement bien ressortir le blanc de mes yeux. Maintenant, c’était le temps de mettre du maquillage ; j’ai choisi un fond de teint qui ne changerait pas trop la couleur de ma peau, celui qui serait subtil, et je le ferais tellement bien que personne ne pourrait penser au fait que je me sois maquillée! Au bout d’une quarantaine de minutes additionnelles, j’y suis arrivée, en prenant soin de dégrader le maquillage dans le cou pour qu’on ne puisse voir aucune démarcation. C’était juste parfait! Je suis presque parfaite!

Il me reste plus qu’à colorer légèrement mes cils, ce qui ne m’a pas pris plus de 2 minutes, et puis à me mettre du « gloss » sur les lèvres, qui n’est ni trop collant ni trop apparent, juste bien pour faire ressortir mes lèvres pour qu’elles aient l’air d’être faites pour traire des glands! Comment en suis-je venue à vivre pour le sexe de la sorte? Ah oui, je me souviens Satané sperme! Le pire, c’est que j’adore ça! Oh, je suis parfaite, ça y est! Ah non! Il me reste à me faire les cheveux… J’ai alors commencé à me raidir les cheveux très lentement pour qu’ils soient parfaits eux aussi. Après 30 minutes, j’ai presque fini, il ne me reste plus que quelques mèches. Tout d’un coup, alors que je me croyais seule, j’ai aperçu mon ami de la semaine dernière se pointer près de la porte de la salle de bain, sans T-shirt. N’est-ce pas un peu stéréotypé de retomber assez rapidement sur le mec dont vous avez avalé la semence? Qu’est-ce qu’il peut bien avoir en tête? Comment dois-je le regarder? Pourquoi il est là?

Quoiqu’il en soit, mon coeur a serré l’espace d’une seconde, mais je me suis dis à moi-même que je ne fais présentement rien qu’il ne faudrait pas qu’il sache. Finalement, il voulait parler à mon colocataire, avec qui il travaille sur un projet scolaire. Je lui ai alors expliqué qu’il n’était pas là. Il y avait vraisemblablement un malaise par rapport à ce qui s’était passé la semaine dernière, et je ne me pardonnerais jamais de ne pas tout faire pour que notre amitié perdure! Voyant que la discussion était peu animée et qu’elle s’approchait de sa fin, je lui ai proposé de rester un peu! Je l’ai fait pour sauver notre amitié, mais un peu aussi en écoutant ma salope intérieure… Et bien quoi, il fallait bien que quelqu’un puisse admirer comment j’étais belle présentement, en petits leggings, qui laissent presque voir mes fesses, autant d’au dessus que d’en dessous (si vous voyez ce que je veux dire), et en camisole blanche décolletée qui remonte un peu en haut du nombril! Normalement, je ne mhabillerais jamais comme ça devant un mec, mais mon petit ami nest pas là, personne dautre nest là et jéprouve le besoin incontrôlable de mexhiber le plus possible à mon ami. Jaurais aimé quil arrive un peu avant alors que je me rasais entre le trou du cul à quatre pattes dans la salle de bain. Jaurais alors fait semblant de ne pas savoir quil était là, et jaurais espérer de tout mon cur quil me regarde en espérant ne pas se faire prendre. Je lui aurais montré mon désir dêtre enculée, il en aurait pour toujours été tourmenté!

Je suis ramené à la réalité alors quil accepte ma proposition de rester un peu! Je ny pensais même plus! Mais je suis très contente! Il doit me trouver vraiment belle présentement, et en le regardant, je trouve qu’il est exceptionnellement beau aujourd’hui lui aussi! Il m’a alors demandé pourquoi ma voiture n’était pas là. Je lui ai expliqué que c’était parce que la voiture de mon petit ami n’avait pas démarré ce matin et qu’il en avait absolument besoin, alors je lui ai prêté la mienne. Tout ça prouve donc qu’il n’était pas venu pour me voir directement… le hasard s’acharne-t-il sur moi pour me tenter au maximum? Dites-moi comment il serait possible de ne pas penser que pas plus tard que la semaine dernière, il s’est masturbé devant moi et qu’il a giclé tout ce qu’il avait dans les couilles directement dans ma bouche et sur le visage sans même le savoir? Il m’a alors demandé ce que j’allais faire de bon cet après-midi. Je lui ai dis, me remémorant secrètement son éjaculation : "Je ne sais pas trop… probablement me faire bronzer derrière l’appartement… je me suis trop faite griller chez les parents de mon petit ami, et j’ai des démarcations étant donné que je ne pouvais pas trop me… mettre à l’aise! Si tu ne fais rien de spécial, voudrais-tu te faire bronzer avec moi?"

Il a répondu positivement à cette question après une brève hésitation. Mais qu’est-ce que je venais de dire? Je viens de l’inviter à se faire bronzer avec moi en lui disant implicitement que je voulais me débarrasser de mes démarcations… Je n’avais donc pas trop le choix de me faire bronzer sans mes vêtements, sans quoi ça n’aurait aucun sens. Mais en même temps, je ne PEUX PAS me faire bronzer sans mes vêtements… pourquoi j’ai dit ça? Qu’est-ce qui m’arrive?!? Pourquoi je suis salope même malgré moi? Bon, je note, règle numéro 1 : ne pas parler à un mec en vous imaginant en train d’avaler son sperme! Sans même le vouloir, c’est la salope en moi qui a parlé, qui se fait de plus en plus présente dailleurs! Quoiqu’il en soit, maintenant que c’est fait, je n’y peux plus rien, il ne reste plus qu’à espérer que ça lui sorte de l’esprit… je lui ai dit : "Ok! Attend un petit peu que je termine avec mes cheveux tant qu’à les avoir commencés, et je suis toute à toi!" Je regarde subtilement dans le miroir en me faisant belle (avec une très bonne raison maintenant) et je le vois me regarder de la tête aux pieds, il a vraiment l’air de me trouver belle! C’est comme s’il essayait de ne pas regarder, mais que c’est plus fort que lui! Oui! Loin de moi le désir de vouloir le faire bander mais… quoique pas si loin que ça, ce désir finalement… Mais qu’est-ce que je dis là! Continue tes cheveux, arrête de le regarder et arrête d’y penser, et pense encore moins à sa queue en érection! Mon Dieu, cest dautant plus difficile que son regard est arrêté sur mes fesses, quil semble trouver très agréables à mater Petit pervers!

Alors que jarrive finalement à me concentrer sur mes cheveux, il me demande si je peux le laisser aller aux toilettes parce qu’il a vraiment envie de pisser. Un petit sourire espiègle se dresse sur mes lèvres et je lui dis : "Est-ce que ça te dérangerait beaucoup si je continuais avec mes cheveux pendant que tu éjacu… Euh! Pendant que tu évacue? À moins que tu sois gêné?" Que je peux être bête! Je narrête pas dy penser! Il m’a répondu que c’était correct en riant un peu, et je savais qu’il répondrait ça ; je savais que si je lui demandais si ça le gênait, qu’il ne pourrait pas me dire que c’était le cas, à cause de son orgueil! Je continue alors avec mes cheveux, mais cette fois, c’est moi qui le regarde sans être capable de m’en empêcher ; je ne le vois que de dos, mais j’aime bien le regarder dans un moment aussi intime, en l’imaginant défaire son pantalon et sortir son pénis prêt à jaillir! Je ne suis quand même quand même qu’à 2 mètres de distance de lui! J’attends impatiemment le moment où je l’entendrai pisser dans la toilette, en espérant que son pénis jaillisse avec force… je sens mon coeur débattre, je suis excitée?!? C’est à n’y rien comprendre, il n’y a pourtant rien d’excitant, non?

Je ne peux penser qu’à sa queue bandée, que je ne peux m’empêcher d’imaginer près de mon visage! Qu’est-ce qui m’arrive? J’ai des réminiscences de ma douche et du jet d’eau chaude que je prenais dans la bouche pour avaler, mais c’est le pénis de mon ami qui est là dans mon esprit et non la pomme de douche si vous voyez ce que je veux dire… ça me donne des frissons d’excitation incroyables! J’en ai totalement oublié mes cheveux. Le bruit qu’il ferait en pissant se laisse désirer, ça ne vient pas et ça doit faire 30 secondes que j’attends! J’en meure d’impatience! Je me retourne vers lui et je lui dis, impatiente, en le regardant de la tête aux pieds : "Tu ne voulais pas pisser?" Il me répond : "Et bien… c’est un petit peu gênant quand même…" Alors je le gêne… Le fait de l’avoir gêné m’excite, je sens mon coeur s’emballer et des petits tremblements m’envahir tout le corps! Dans l’émotion, j’échappe mon élastique à cheveux au sol en disant : "C’est gênant?", pour ensuite le ramasser, sans même plier les genoux, pour que mes fesses ressortent le plus possible. Je sentais mes leggings me rentrer dans la craque de fesses si fort… j’ose à peine imaginer ce que je viens de lui laisser voir! Tu aimes regarder mes fesses? Alors sers-toi et regarde les, sale pervers! Essayant de contenir mon excitation, sans même replacer mes leggings, comme si je n’avais même pas conscience qu’ils sont dans mes fesses, j’ai dis, les mains tremblantes : "Qu’est-ce qui est gênant là-dedans?" Il me répond aussitôt, en bégayant quelque peu en regardant mon cul : "Ce… ce qui est gênant… c’est que j’ai baissé mes pantalons et que j’ai sorti ma queue pour pisser quand tu es vraiment près de moi, et qu’au moment même où je te parle, j’ai encore la queue dans les mains à essayer de pisser en te regardant, et ça je trouve ça quand même assez gênant, qu’est-ce tu en penses?"

Totalement excitée de lentendre devenir cru dans son langage avec la queue dans les mains en me regardant pendant que je fais ma salope en lui faisant voir Dieu sait combien mes fesses, je réponds après un certain délai : "Hahaha! Oui tu as certainement raison, mais c’est quand même assez drôle comme situation, il faut que tu l’admettes!" Il avoue que c’est drôle, mais se plaint du fait qu’il ne peut pas pisser en ma présence et qu’il en a vraiment beaucoup envie. Je me retourne vers lui en m’accotant les fesses sur le comptoir de la salle de bain et je lui dis, en le regardant avec un sourire : "Pourtant, je ne suis pas si près…" Il me dit : "Et bien tu ne peux pas être vraiment plus près!" Je le regarde alors dans les yeux en ouvrant la bouche, et je m’avance vers lui et vers la toilette, d’un pas lent mais assuré, en continuant à le regarder droit dans les yeux pour me délecter de sa réaction. Je vois qu’il se retourne un peu pour cacher son pénis, le regard paniqué, tout gêné sans savoir comment réagir, ce que je trouve encore plus excitant.

Je suis en extase juste en sachant que son pénis est sorti de ses pantalons tout près de moi, et que je continue toujours de m’approcher! Je le contourne pour me retrouver près d’un petit miroir, juste à côté de lui, mais un peu derrière quand même, question que je ne puisse pas voir sa queue, mais vous comprendrez que cétait très limite, évidemment… Il me demande, un peu anxieux : "Qu’est-ce que tu fais?" Je lui réponds, en me mettant un peu de gloss, que j’avais besoin du miroir pour ça. Voyant qu’il se prépare à remonter ses pantalons, je lui dis, en touchant doucement son bras avec ma main, sans même me retourner : "Si tu essaies de remonter ça, je regarde! Compris?" Sur ces mots, mon gloss est tombé par terre et je jure que je n’y suis pour rien cette fois! Il a roulé derrière la toilette. Tout d’abord, je me suis dis que c’était sans importance, puis… une idée me vient à l’esprit : celle d’aller le ramasser à quatre pattes devant mon ami, qui a les pantalons baissés! Je touche doucement son avant-bras gauche, qui semble servir à tenir sa queue, en disant : "Si tu veux cacher ton pénis, ce serait le temps… mais pas avec tes pantalons, ce serait de la triche!" Aussitôt, je tire subtilement sur mes leggings pour qu’ils entrent encore un peu plus dans mes fesses et je me mets à genoux, puis à quatre pattes au sol, et je rampe vers mon gloss. Je ne vois pas mon ami ; je ne peux que l’imaginer, derrière moi, son pénis à la main, à regarder mes fesses pendant que je tente maladroitement d’attraper mon gloss en me penchant au sol, en relevant mon petit cul, disons-le, de salope!

Est-ce qu’il me regarde? Je n’en ai pas la moindre idée, mais probablement que oui! Est-ce qu’il me désire, je ne le sais pas non plus, mais j’espère bien que si! Est-ce qu’il est sur le point d’avoir une érection? C’est ce que je meurs d’envie de savoir! Je me retourne dans sa direction sans le regarder, en gardant les yeux au sol, toujours à quatre pattes, et je me mets à genoux en m’aidant du bol de toilette en m’appuyant dessus avec mes deux mains, puis je soulève la tête, innocente comme tout, comme si je n’avais aucune idée que mon ami serait là, juste devant moi! J’ouvre grand la bouche, un peu souriante, jouant la fille inexpérimentée qui n’en revient pas de ce qu’elle voit. En fait, c’est presque le cas! Je n’en reviens pas d’être dans une telle situation présentement avec un ami, avec qui je serais supposée de fraterniser plutôt que de fantasmer… Quoiqu’il en soit, mes yeux maquillés à la perfection n’ont pas pu s’empêcher de regarder son corps magnifique, de son ventre musclé à la taille, de la taille à la main, qui cachait malheureusement son pénis, et de sa main à ses couilles qui… quoi? Il a oublié de cacher une partie de ses couilles!

Je ne peux absolument pas m’empêcher de les fixer bêtement, il n’y a aucun poil dessus, je n’ai jamais vu ça, elles sont littéralement parfaites, ont l’air douces et fermes! Je ne peux faire autre chose que de sourire, la bouche grande ouverte de façon naturelle, à voir ses couilles si près de moi, à environ 30 centimètres de mon visage, et surtout de ma bouche… Sa queue est faite pour produire du sperme, et jaimerais tant être faite pour lavaler! Il se met alors à me parler, comme pour me distraire, en tentant de cacher ses couilles avec sa main : "Avoue donc que tu aimes ça de me voir perdre tous mes moyens!" Il a compris qu’il a fait une erreur monumentale… Je lui réponds instantanément et franchement : "Tu as parfaitement raison! Mais c’est inutile de me cacher tes couilles, je les regarde depuis tout à l’heure de toute façon…" Je vois mon ami être totalement stupéfait, ce qui provoque une sorte de spasme dans son corps, comme s’il avait fait un saut, ce qui fait bouger son bras et sortir quelque chose de derrière, qu’il tente de rattraper à toute vitesse sans succès. QUOI?!?

Sa verge totalement bandée m’arrive à quelques centimètres de la bouche. Un million de pensées sexuelles me traversent alors l’esprit pendant que mon coeur se débat comme un déchaîné dans ma poitrine! Mes yeux sont grands ouverts, tout comme ma bouche, lorsque j’aspire une gigantesque bouffée d’air qui laisse sortir un "OOONNNNHHH!!!" venteux et estomaqué de ma bouche. Je n’en reviens tout simplement pas! Je sens la chaleur de son gland émaner sur mon visage! Je regarde mon ami, puis sa queue, puis mon ami, puis sa queue, sans bouger mon visage de tout près de son pénis, ce qui me semble impossible, comme si sa bite était aimantée! Il approche alors son bras pour rattraper sa queue, et aussitôt que je le vois venir, j’empoigne son pénis avec ma main droite près de son gland et je lui donne une baffe sur la main avec ma main gauche! Je lui ai dis en riant : "Si tu penses t’en tirer ainsi! Voire si je vais te laisser me cacher ça!" Je tiens fermement sa grosse queue dans ma main ; je ne peux pas m’empêcher de faire un petit mouvement de va et vient de quelques millimètres, juste assez pour qu’il croit que c’est dans sa tête!

C’est d’autant plus excitant que j’ai un petit ami et qu’il a une petite amie et que je joue présentement avec les limites, bien que je les aie déjà dépassées. Je me plais à croire que je n’ai toujours pas trompé mon petit ami, car en fait, je n’ai fait qu’avaler son sperme sans toucher à son pénis la semaine dernière…Disons donc que cétait une petite collation qui sort de lordinaire! Et maintenant, j’ai la main fermée sur sa queue et le mouvement de va-et-vient pourrait être perçu comme étant involontaire ; on pourrait supposer que tout ce que je veux, c’est de tenir cette queue loin de mon visage en la serrant dans ma main… Quoiqu’il en soit, j’ai une envie incontrôlable de montrer à mon ami à quel point je peux être une cochonne, car il ne sait pas du tout à quel point je peux lêtre présentement! Je ne le savais même pas moi-même! Je ne peux pas m’empêcher de lui dire : "Tu as vraiment un pénis énorme! Et tu es vraiment, mais vraiment dur! Est-ce que c’est moi qui t’as fait bander comme ça?" Je poursuis sans le laisser répondre, en le regardant dans les yeux sans lever la tête : "Es-tu sûr que ce n’est pas une envie d’éjaculer que tu avais et non une envie de pisser…?" Il me répond en riant, semblant tout aussi dépourvu que moi : "Et bien j’ai encore vraiment envie de pisser, c’est juste que tu as fini par me donner beaucoup d’idées!" Ça veut directement dire que je le fais bander, et ça m’excite au plus haut point, surtout parce que c’est lui, mon ami depuis toujours, bandé tout près de ma bouche, qui est prête pour sa queue et de ma langue, qui rêve de son sperme!

Je l’ai alors longuement fixé dans les yeux, en me rapprochant légèrement de son pénis, comme pour l’exciter encore plus, et mes lèvres lubrifiées effleurent malencontreusement le gland reluisant de son pénis que je dévore du regard. Je lentends soupirer comme si je venais de lui enlever tous les maux de la Terre, et je me retiens de toutes mes forces de sucer sa grosse queue dun seul coup! Je lui dis alors, un peu hors de moi : "Est-ce qu’il y a beaucoup de sperme là-dedans?" Il me répond aussitôt : "Quoi? Euh… oui, en fait, la dernière fois, c’était… la semaine dernière…" Un frisson me parcoure le corps alors que je comprends qu’une semaine d’abstinence pourrait m’exploser dans la bouche si je le voulais bien… et je le veux atrocement… Totalement excitée, je lui dis : "Tu n’auras pas besoin de la toilette…" Il me répond sans attendre : "Quoi? Qu’est-ce que tu veux dire?" Je lui réponds, en lui attrapant doucement son sac à couilles avec ma main gauche : "C’est parce que ce nest pas de la pisse qui sortira de là… Même si jaimerais bien te servir de toilette" Je n’en revenais pas d’avoir dis ça! Je venais de lui laisser penser que jaimerais bien quil me pisse dans la bouche! Cette putain de salope à lintérieur de moi devra se calmer avant que je me retrouve dans une situation où je serai obligée davaler de la pisse!

J’avais même du mal à comprendre ce qui m’arrivait… N’y a-t-il pas des limites à être cochonne? J’ai bien du mal à ne pas les franchir, apparemment… ce qui m’excite par-dessus tout, c’est que présentement il se dise que je suis prête à avaler tout ce qui pourrait jaillir de sa queue! Il doit me voir comme une sacrée salope, et jadore ça! Il me dit alors : "De toute façon, je ne pourrais jamais pisser avec une érection pareille!" Je lui réponds instantanément : "Et si je te suce?" Et sans le laisser rajouter quoi que ce soit, je rajoute : "Et si tu jouis dans ma bouche et que j’avale tout comme une salope? Tu veux un coup de main?" Il me répond en tremblant légèrement, l’air fébrile, sa queue semblant encore plus grosse : "Je Je " Sans plus attendre, je me mets à branler sa queue dure comme de la pierre en me servant de son prépuce, ce qui me donne une vue superbe sur son gland énorme qui se cache puis se décalotte doucement… Il râle aussitôt : « Ah Salope ». Aussitôt, je pose férocement mes lèvres sur son gland, que je me mets à sucer, à téter, en continuant de le branler. Je suce son gland si fort que quand la peau de son prépuce entre et sort de ma bouche pendant que je le branle, ça laisse échapper un vacarme de bruits de succion! Ça mexcite énormément, alors que je suce sa queue de tous mes sens! Je goute sa queue alors quelle verse une goutte de sperme sur ma langue de salope! Je regarde sa queue en la suçant, ce qui mexcite encore plus, parce que je la vois pénétrer dans ma bouche à toute vitesse, et je vois ses couilles si fermes bouger au rythme de cette pipe que je noublierai jamais! Je mentends sucer très fort alors que des bruits de succion me rendent de plus en plus sauvages, pendant que je sens sa queue senfoncer dans ma bouche jusquà lentrée de ma gorge sans que je ne puisse mempêcher daspirer pour avoir le jus de ce gland dans la bouche! Pour finir, je sens lodeur de sa peau, grillée au soleil, alors que japproche ma tête de son corps à chaque coup de tête que je donne

Je pompe une queue bien pleine et ça m’excite terriblement! En fait, jamais dans ma vie je n’ai été aussi excitée… je n’ai qu’un seul but : faire atteindre l’orgasme à mon ami pour qu’il éjacule tout son sperme dans ma bouche! Ce serait la deuxième fois, mais de son point de vue, ce serait la première puisqu’il ne sait pas que j’ai avalé tout son sperme la semaine dernière! Je veux qu’il sache que je suis capable de mempiffrer de tout ce qu’il me donne, d’avaler tout ce qui gicle de son pénis! Rien qu’en y pensant, j’augmente la cadence et l’intensité, ainsi que la force de succion et la vitesse de la branlette que je lui fais, en me mettant même à me plaindre de plaisir involontairement. Un seul objectif habite mon esprit : tout avaler! Je sors sa queue de ma bouche et je branle mon ami intensément, le temps de lui dire : "Je veux tout avaler! Viens dans ma bouche, je ne suis plus capable d’attendre, et j’espère que ça va goûter fort! Je veux avaler du sperme… Je veux avaler TON sperme!" Aussitôt, je gobe à nouveau son gland avec mes lèvres pendant que mon ami râle de bonheur.

Je sens alors son gland pénétrer légèrement ma gorge alors quil fait des mouvements de bassin dans ma bouche! Je sens alors sa queue devenir encore plus dure! Plus dure que plus dure que la pierre, c’est … dure comme la queue de mon copain qui s’apprête à balancer tout son sperme? Je l’espère de toute ma bouche! Il me crie soudainement : "Aaaahhh!!! Tu suces vraiment trop bien, tu vas tellement me faire jouir dans ta bouche si tu n’arrête pas, je ne me suis pas branlé de la semaine! AAAHH!!!! Ça va sortir!!" Je continue encore plus ardemment à le sucer en prenant bien soin de ne pas le sucer trop profondément! Je veux sentir chaque jet qui sort de son gland m’éclabousser sur la langue et dans ma bouche! J’agrippe alors fermement ses couilles, que je sens aussitôt se contracter alors que mon ami hurle qu’il balance tout! Une grande frousse me parcourt l’esprit alors que la peur d’être dégoûtée à nouveau s’empare de moi…

Quoiqu’il en soit, les lèvres bien refermées autour du gland que je suce très fort, je reçois sans plus attendre la première giclée de sperme, accompagnée en bonus d’un hurlement de mon ami! Il m’a littéralement recouvert tout l’intérieur de la bouche en éclaboussant sur mon palais. C’est comme une explosion de crème salée qui virevolte dans ma bouche au rythme de cette pipe, que je ne peux plus arrêter désormais! Je suis hors de moi, je veux qu’il ait la jouissance de sa vie, et ce sera alors la jouissance de la mienne! La deuxième giclée frappe presqu’aussitôt après et avec autant de force, encore une fois sur le palais, alors que jai son gland bien en bouche! Je me lamente de plaisir, presque pas dégoûtée tellement je jouis avec lui à chaque "splash!" et que chaque jet goûte si fort et si bizarre… D’une certaine façon, j’ai l’impression que c’est encore plus excitant parce que ça goûte mauvais! J’ADORE que ça goûte mauvais! Je sens alors un troisième trait de sperme me remplir encore un peu plus la bouche, mais une partie jaillit dans ma gorge en frappant ma glotte, ce qui me donne une envie de vomir presqu’aussi grande que mon envie d’avaler… Voulant absolument avaler tout son sperme, je lutte contre ce spasme en me préparant à tout avaler frénétiquement, et sa 4e giclée de sperme explose directement dans ma gorge de petite salope prête à tout pour avaler! Mon ami crie sans se retenir : « Ah! AHH! Mais tes vraiment une PUTE! »

OUI JE SUIS TA PUTE SALE CON!!! VIENS DANS MA BOUCHE DE SALOPE QUE JAVALE TOUT CE QUE TAS!! Cest ce que je lui aurais dis si javais pu parler, si je nétais pas en train de me faire gicler dans la gorge! Une incroyable envie de vomir survient par contre, qui se concrétise par un mouvement de ma tête vers en avant et une nausée indescriptible dont mon heureux ami n’est heureusement pas témoin, puisque j’avale aussitôt après, avec toute ma volonté, tout le sperme balancé dans ma bouche par cette saloperie de grosse queue que j’aime tant et que je déteste à la fois, pendant que la 5e giclée frappe sur une gorge fermée, trop occupée à avaler cette avalanche de sperme, ce qui fait que le jet éclabousse à nouveau dans ma bouche, mais surtout sur ma langue. La 6e giclée est plus petite, mais toute aussi goûteuse… elle atterrit directement sur ma langue. Je branle toujours vigoureusement mon cher salopard dami pendant qu’il fini de se vider dans ma bouche. La 7e propulsion de sperme est toute petite, toute chaude sur ma langue d’avaleuse. J’adore pouvoir dire que je suis enfin une avaleuse de sperme, une vraie cochonne, une véritable salope et que je ne suis plus la seule à le savoir! Savourant l’arrivée de la 8e portion de cette superbe éjaculation, je tète alors doucement son gland pour l’aider à terminer son orgasme, tout en le branlant lentement en laissant son gland décalotté dans ma bouche. Ses couilles sont vidées, serrées entre mes doigts dont les ongles doivent presque lui faire mal tellement je les ai serrées pendant qu’il se vidait dans ma gorge…

C’est étrange comment ça peut me rendre à la fois agressive et excitée, hors de contrôle quoi! Mon copain me regarde d’un air désemparé, comme si sa meilleure amie venait tout juste de le sucer en le branlant jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche tout son sperme résultant d’une semaine d’abstinence! Et qu’en plus cette petite salope était en fait une avaleuse de sperme! Qu’est-ce que j’adore ça! Je sors alors sa bite de ma bouche, encore pleine de sperme, et je lui dis avec difficulté : "Mmm…. ch’aurais aimé cha que tu te chois retenu de te banler pengant des mois!"

Je baisse alors les yeux vers sa queue… je caresse doucement ses couilles avec le bout de mes doigts, et je murmure à son pénis, en le caressant des lèvres entre mes mots : "En as-tu encore? …. parce que j’en veux encore… s’il te plaît…" Sur ces mots, j’avale tout et je sors ma langue pour montrer que j’en veux encore. Le sperme descend dans ma gorge, je ne laisse voir aucun dégoût, qui de toute façon est ridicule comparativement à mon excitation, et je supplie sa bite en la frappant sur ma langue fermement, avant de dire : "s’il te plaît…." Je sens alors un peu de sperme se vider sur ma langue… Quoi?!? Est-ce que sa queue serait pleine de sperme sur la longueur? Il la prend aussitôt dans sa main, l’air d’être hors de lui, et presse dessus comme lorsqu’on vide un tube de dentifrice. J’ai très envie de goûter à nouveau le jus de son pénis et de l’avaler sans broncher! La langue sortie, le regard rivé sur son gland, je n’ai pas eu à attendre très longtemps avant de voir de la semence sortir du bout de sa grosse queue… je vois et je sens des gouttes de sperme atterrir sur mes lèvres, mes joues et mon menton! Finalement, il propulse la coulisse de sperme salé qui pend au bout de son gland sur ma langue avec un mouvement vif ; il me tape aussitôt fermement le visage avec sa queue gluante de sperme, directement sur mes joues et sur mes lèvres! Ça fait un bruit pour le moins… juteux! Je ressens plein de sentiments contradictoires ; j’ai l’impression d’être totalement salope, mais aussi de n’être qu’un objet sexuel… et bien que ça me dérange… ça m’excite énormément!

J’attrape férocement sa queue et j’aspire tout ce qui se trouve dessus sans dire un seul mot. Je me sens plus salope que jamais! Il a osé venir sur mon visage! Non! Pas venir sur mon visage, mais encore pire, il a juste vidé son sperme sur moi, en allant même jusqu’à me couvrir de sperme en me tapant la bite au visage! J’en veux plus!!! Je crache sauvagement tout le sperme sur sa grosse queue toujours bandée, en le regardant directement au visage d’un regard qui n’a pas l’air du tout de plaisanter. J’étends le sperme sur le bout de sa queue avec ma main, avant d’empoigner très fermement son pénis pour me frapper au visage avec, les yeux fermés, totalement passionnée! Je sens des éclaboussures de sperme me jaillir un peu partout au visage à chaque fois que son pénis me frappe les joues, les lèvres et un peu partout sur le visage. Il en grogne d’extase, et m’attrape par les cheveux derrière la tête et me tire vers sa grosse queue juteuse, sur laquelle je n’hésite pas une seconde à me blottir! C’est bien plus que du sexe! C’est indescriptible, j’ai l’impression d’Être! Je lui cris : « Je suis ta pute! Étends-moi ton sperme partout! » Il donne alors des coups de bassin et me baise littéralement le visage, quil tient très fort contre sa queue! Après environ 15 secondes de frottage intense et lubrifié entre mon visage et sa bite pleine de sperme, il me relâche les cheveux.

Je suce doucement sa queue en aspirant tout le sperme et je le regarde directement dans les yeux sans lever ma tête, toute près de sa bite, et j’avale sans difficulté pour lui demander : "Ça texcite que je sois ta pute, pas vrai? » Je sens alors sa queue se contracter très fort, je rajoute aussitôt, en regardant sa bite pis ensuite ses yeux, le sourire aux lèvres : "Je vais prendre ça pour un oui … quest-ce que tu veux que je te fasse?" Il semble alors ne pas trop savoir quoi répondre. En commençant à le branler, je lui dis : "Aimerais-tu ça enculer ton amie de toujours?" Après quelques secondes de silence total, j’ajoute : "Aimerais-tu ça m’enculer?"

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