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Le mâle dominant se tape toute sa famille – Chapitre 4

Le mâle dominant se tape toute sa famille - Chapitre 4



— Arrrggghhh… Aaaahhh… Ooouuuiii ! Je la sens bien là, oui !!!

Je ronronne comme une chatte, suffoquant de bonheur et je sens la pression monter en moi, je me raidis et râle sous ses assauts et hurle ma jouissance quand je sens mes muscles se contracter autour de sa bite et que je me vide comme une fontaine.

— Oui oui oooouuuuiiii ! Aaaaaahhhh ! Surtout ne t’arrête pas ! Continue de me baiser ! Je me viiiiide ! Saleté de frangin, ta sur jouit sur ta grosse bite ! Ohhh… Je suis si sensible que je ne peux plus supporter ton pieu !

Suite :

Je décharge très intensément. Sous l’effet du déluge de mouille, j’écarte les cuisses et il en profite pour insinuer un doigt dans ma fente sur toute la longueur avec sensualité, il est très agile et très subtil, presque furtif, et explore de mon clitoris qui me fait mal tant il est gonflé jusqu’au trou de mon anus, puis il redescend par la fente de nouveau, périnée… Trou de salope… Périnée… Vulve…

Sa peau ruisselle de sueur et sa queue luit de ma mouille.

Mais il m’abandonne pour aller tremper son flotteur dans un autre trou.

Claude fait maintenant aller et venir son bassin entre les cuisses rembourrées de maman, enfonçant profondément et sans coup férir son gros bélier au fin fond de la chatte maternelle. Un claquement se produit à chaque fois qu’il frappe la fissure de son cul à chaque poussée de son bas-ventre.

Elle est vite emportée dans le tourbillon des sens, elle ne s’appartient déjà plus, sa peau frémit, ses muscles se crispent.

Elle a les yeux fermés et la bouche ouverte et papa en profite pour lui présenter sa verge tout en filmant en gros plan, maman ne s’en offusque pas, loin de là, elle ouvre les yeux et a la vision du sexe bandé à quelques centimètres de son visage. Elle en frissonne davantage et accepte l’offrande.

Sans retirer le pénis de papa de sa bouche, elle s’abandonne sans aucune gêne, comme en symbiose avec les deux amours de sa vie.

Ses muscles autour de la bite se contractent violemment et un afflux abondant de cyprine bouillonnant noie la poutre au gland hyper sensible de son fils quand papa se vide dans la bouche si accueillante. Elle emprisonne les fesses de papa comme une bouée salvatrice lorsque éclate dans son vagin la violence de l’orgasme.

Elle s’agrippe à lui pour qu’il déverse dans sa bouche jusqu’à la dernière goutte de son jus brûlant. Il se cabre et envoie la semence épaisse au fond de son gosier.

Fier de lui, mon frère continue à lui labourer les entrailles avec son pic de granit avant de changer à nouveau d’idée. Il nous prend par les cheveux et sans aucune considération pour nous, se sert de nos bouches à tour de rôle de trous à bite. Mais comme nous nous rebellons, il me force à me coucher sur le dos au travers du lit et recommence à me piner.

Maman voit là une façon s’assouvir le feu qui brûle en elle et emprisonne ma tête entre ses cuisses pour que je m’occupe de sa chatte.

Quel tableau ! Je fais le trait d’union entre le sexe de mon frère et celui de ma mère !

L’énorme membre glisse comme dans du beurre dans ma grotte pendant que je goûte au jus d’amour de maman, sa chatte trempée n’a qu’une envie, se faire lécher. Mon frère se penche vers maman et introduit sa langue dans la bouche aux lèvres charnues, échangeant leur salive. Pendant que ma langue goûte la chatte maternelle, je déguste langoureusement la belle queue dans mon vagin. Quelle sensation de faire jouir ma mère tout en faisant l’amour avec mon frère.

Des images se bousculent dans ma tête, associées à la sublime sensation des caresses que nous nous échangeons. Je me sens défaillir, j’ai la fente en feu, et ça y est, je décharge à nouveau, les jambes croisées sur les reins de Claude, sans rien retenir et sans réserve, consciente du trio que nous formons.

Il change de position et présente son rostre devant mon petit cul bien en l’air pour me ramoner l’anus. D’une seule poussée il me déflore l’anneau fripé puis rentre et sort presque entièrement son défonce-cul à chaque fois. La sensation de la sodomie me fait hurler de douleur, j’ai l’impression d’être déchirée par sa batte de baseball. Puis assez rapidement, la douleur s’estompe devant l’immense plaisir qui m’envahit.

Maman en profite pour se coucher sur moi pour me rendre la pareille, chaque bouche féminine s’occupe d’une chatte pendant que Claude continue à me ramoner l’arrière-train.

— Vas-y, jouis, jouis ma fille ! M’encourage maman.

Je suis incapable d’en encaisser plus et l’abreuve de ma cyprine. Elle m’accompagne presque aussitôt en se déversant elle aussi dans ma bouche.

Ce n’est pas tous les jours que vous vous faites ramoner votre petit derrière par la poutre de votre frère tout en suçant la chatte de votre mère et en se faisant dévorer la foufoune en retour par elle, et tout ça filmé par votre paternel, la bite à l’air !!!

Claude est épuisé mais sa queue est toujours aussi raide. Il s’écroule sur le lit et nous nous relayons, lune faisant du rodéo sur l’axe vertical au centre de son corps pendant que l’autre se fait dévorer le clito sur sa bouche.

Il sent doucement monter la pression, des frissons remontent le long de son dos, il essaie de repousser la montée du plaisir sans y parvenir vraiment.

— Aaaah ! Aaaaah espèces de garces ! Arrive-t-il a baragouiné entre les cuisses de maman, je vais jouiiiiiir…, aaaaaaaaah !

Il repousse mon sexe qui reste béant de son manche gonflé. Les trois premiers jets de sperme sont si puissants qu’ils inondent le buste de maman toujours à califourchon sur sa tête. Mais mon frère éjacule encore et encore, accompagnant chaque giclée de « Aaaah ! »

Les jets de semence suivante, épaisse et grumeleuse, forment des taches et des traînées sur son propre corps. Son orgasme se prolonge encore quelques secondes bien que plus rien ne sorte de sa verge.

De tous les mâles que je connais, aucun ne décharge autant et avec autant de force que mon frère. Il a encore expulsé une dose de sperme inimaginable et pourtant c’est la troisième fois de la soirée, putain de salaud ! Des grumeaux de jute s’étalent sur sa peau. Les jets qui se sont écrasés sur maman dégoulinent le long de sa poitrine pour former un petit ru qui serpente entre ses seins.

J’adore lécher les filles et je m’en donne à cur joie pour récupérer sur maman la divine liqueur, elle n’est pas en reste et s’occupe ensuite en bonne mère de nettoyer consciencieusement son fils de ses débordements spermatiques.

Mon frère est complètement Out. Maman n’est pas beaucoup plus en forme et je dois dire que moi non plus, elle s’exclame soudain :

— Bordel de merde, tu es un cas mon fils ! Sans vouloir te rabaisser, Thomas, je n’ai jamais connu un tel « Mâle ». Je vois bien que tu as compris que Claude n’est pas de toi mais je te remercie de ne pas me le reprocher. Tu nous montreras le film. Je n’en reviens pas de cette soirée mais j’espère qu’il y en aura beaucoup d’autres !

Nous nous regardons et éclatons de rire. Quelle famille………………………………….

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