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Le monstre, ma mere et moi – Chapitre 2

Le monstre, ma mere et moi - Chapitre 2



La surprise me coupa le souffle. Ma mère se tient debout, devant moi, sous un aspect foudroyant , moi qui suis habitué à toujours la voir drapée de la tête aux pieds par des habits traditionnels et usés. Mais le spectacle qui soffre à mes yeux maintenant me laisse sans voix. Ma mère porte une robe de nuit satin longue, de couleur grise et peu transparente. Mais les rayures en relief qui se dessinent au niveau de son bas-ventre trahissent le String noir quelle porte avec. Sa poitrine, bien mise en évidence par une partie de son soutien-gorge noir qui dépasse par le haut sa robe, est à moitié cachée par ses longs cheveux ondulants. Son visage, terne et fané tel que je lai connu, me parait maintenant illuminé et radieux. Ses lèvres légèrement rouges, ajoutées à son sourire, donne létrange et terrible impression quon est devant une adolescente vivant ses premiers émois. Mais en fait, je suis devant une femme mure et terriblement attirante qui est ma mère. Il faut dire que je nai jamais vu maman autrement quune mère affectueuse et tendre. Mais cette scène, ajoutée à leffet de lalcool, provoque en moi un véritable séisme. Totalement ébranlé et désorienté, un profond et intense désir prohibé et refoulé se réveille en moi telle une tempête qui se déchaine sans préavis. Une immense charge électrique secoua mon âme. Gonflé et écrasé sous mon jean, mon sexe me fait mal. Je nose pas me lever pour ne pas trahir mon excitation.

-« Bonsoir toi ! Comment tu as passé ta journée ? » me demande-t-elle après avoir pris place sur le divan en face de moi. La gorge sèche et la voix tremblante, je bégaie quelques mots comme « ça va, cest bien » Et je me tais. Après un moment de silence pesant, maman me demande si je veux manger quelque chose. Sans en avoir vraiment envie, je réponds par oui, histoire de rester seul quelques moments pour remettre un peu dordre dans mon esprit. Elle se précipite à la cuisine et revient quelques instants après avec un plateau quelle dépose sur la table. En en se penchant vers moi, mes yeux tombent nez à nez avec ses seins dune blancheur inouïe et bien roulés dans son soutien-gorge. Je deviens fou. Je ne sais quoi dire ou quoi faire. Mon cur tremble à faire éclater ma cage thoracique. Restée debout, les mains sur les hanches, ma mère fait un demi-tour autour delle et me demande :

-Comment tu me trouves ?

-Superbe maman, superbe !

-Alors mets un peu de musique, je te trouve crispé !

-Quel genre de musique tu veux maman ?

-Celle qui permet à maman de danser à lorientale !

-« Mais où a-t-elle appris tout cela ? me dis-je.

-Cest au bain maure quon apprend tout cela, me dit-elle comme si elle a lu ma question dans létonnement qui se dessine sur mon visage. Je lance alors un cd et reprends ma place. Quand elle commence sa démonstration, je reste éberlué face à la finesse et à la souplesse de ses mouvements qui prennent de plus en plus un caractère purement érotique. Elle se saisit dun foulard, lenroule autour delle en guise de ceinture mais au niveau de ses fesses et le glisse un petit peu en bas de telle sorte que son cul se trouve bien mis en relief. Je fais succéder les verres de vin lun après lautre, brandissant de temps en temps mes bras en lair comme signe de satisfaction et de complicité. Et plus je fais ce geste, plus maman sexcite davantage et multiplie les mouvement de son corps jusquà lextrême limite. Elle tend les bras et me fait signe de la main pour la rejoindre sur la piste. Jécrase ma cigarette et aussitôt je me trouve à ses côtés entrain de limiter maladroitement. Elle me prend les mains, les pose sur ses hanches et met les siennes sur mes épaules. Je ne fais que suivre ses mouvement. Je décide alors de prendre linitiative. Je lui prends la main que je lève haut, je la pousse un peu et je la fais pivoter autour delle-même. Brusquement, elle sarrête de pivoter et se positionne devant moi, en me tournant le dos. Je la saisis des deux par le ventre et je la retiens. Pendant quelle continue sa danse elle se frotte le derrière contre ma bite gonflée. Elle pose ses deux mains sur les miennes qui glissent maintenant en direction de son bas-ventre. Plus japproche, plus elle mécrase la main sous la sienne. Quand jatteins son sexe, elle enlève sa main et saisit mon cou en moffrant le sien. Tout en caressant son sexe gonflé, je passe mes lèvres sur son cou. De ma main restée libre je lui tiens le visage que jessaie de rapprocher de ma bouche. Elle se retourne et se met maintenant en face de moi, collé lun contre lautre. Je bande, je bande à méclater la bite. Sans que nous nous en rendions compte, la musique s’est arrêtée et on n’entend plus maintenant que notre respiration et des gémissements sourds à peine étouffés. Ma bite est sur le point d’exploser. Ma bite, auquel ma mère se frotte maintenant sans retenue, réclame impétueusement ce vagin interdit qui gonfle. Je prends maman par les épaules, je la pousse légèrement et délicatement en face de moi et mes mains sur ces fesses, j’entame un mouvement vers sa bouche. Mais elle se redresse soudain, change de mine et de ton, me prend les mains et murmure la tête basse : " non ! on arrête là, sinon …. "

— "Sinon quoi maman ? Moi je ne veux que ton bonheur. D’ailleurs je sais que le salaud de mon père t’a délaissée seule dans ton lit il y a longtemps pour se consacrer à son fric et à ses putains ! "

— "Je sais tout cela mon chéri. Mais toi, tu es ivre maintenant, tu ne sais pas ce que tu fais et l’alcool te permet d’aller de l’avant ! Moi, ça c’est complétement nouveau pour moi !"

— "Alors bois avec moi, dis-je à ma mère, en plaisantant juste pour détendre l’ambiance. Elle me coupe alors le souffle en donnant suite sérieuse à ma plaisanterie :

-"On dit qu’il a un gout amer c’est vrai ?"

Cette question me fait vibrer de tout mon être. "Elle veut essayer, elle veut boire, elle veut aller plus loin", me dis-je en jetant un coup dil à ma deuxième bouteille presque vide.

-"Ce qu’il te faut, c’est du whisky, dis-je, poussant plus loin la provocation, Tu peux le mélanger pour le rendre doux."

-"Tu veux me souler petit pervers "

-"Mais non maman, je veux juste que tu te sentes à l’aise c’est tout !"

La pendule du salon sonne quatre heures du matin. L’air pensif, et peut-être même harcelé par le remords, elle me lance :

-"Oublie tout ça Hamza, on a mal agi. Bonne nuit". Puis, elle séclipse rapidement, me laissant ahuri et torturé par désir et un besoin irrésistibles et inassouvis. Je verse le dernier verre, j’allume une cigarette et commence à réfléchir sur les événements de cette soirée que je n’aurais même pas vécu dans mes fantasmes les plus insolites. Pourtant, ce qui vient de se passer est pure réalité. Au fond, je néprouvais absolument aucun remords. Pour moi, c’est l’occasion de me venger du tyran et de donner un peu de plaisir et de bonheur à maman qui manque de tout dans cette maison. Maintenant, je suis obsédé par ce corps et cette âme assoiffés de sexe et d’affection. Maintenant, rien ne peut marrêter : maman a fait le premier pas, c’est à moi d’accomplir la suite. Et pendant que j’erre dans mes pensées, lidée d’aller la rejoindre dans sa chambre hante mon esprit et mon sexe.

Jécrase alors ma cigarette dans le cendrier plein de mégots et je me dirige vers sa chambre tout tremblant, tout excité.

Devant sa porte, je retiens ma respiration.

-"Maman ! maman !". Pas de réponse. J’entreprends donc d’ouvrir la porte. Verrouillé de lintérieur.

-"Maman ouvre je t’en prie, j’ai envie de te parler."

-"Non Hamza, pas maintenant, demain. Bonne nuit mon petit !"

-"Bonne nuit maman »

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