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LE PAPILLON – Chapitre 2

LE PAPILLON - Chapitre 2



Chap 2

J’ouvre les yeux. Je suis toujours allongé sur le sol froid et dur de la cuisine.

Il fait toujours jour à l’extérieur mais aucun bruit ne vient parasiter le mouvement régulier des vagues.

Mon dos me fait souffrir, mais je me sens reposé. J’ai probablement dû m’écrouler un bonne ½ heure.

J’ai du mal à retrouver mes repères dans cette pièce qui m’était étrangère il y a à peine deux jours.

Mes yeux parcourent la pièce à la recherche d’indices. Visiblement je suis seul.

A côté de ma tête reposent mon short et mon t-shirt. La bouteille de bière est toujours à moitié pleine sur le rebord de l’ilot central. Je me remémore des passages de notre baise express, . et soudain me revient en mémoire tous ce qui a précédé ce moment. Je les revois parler sur la plage, flirter gentiment.

Je me souviens aussi de son visage exprimant le désir, de ma femme me suppliant de la baiser, implorant ma queue pour satisfaire sa possible envie d’adultère.

« Baise moi s’il te plait, fais-le maintenant, j’ai trop envie de ta queue au fond de moimaintenant s’il te plait » me revient en mémoire.

Je doute néanmoins de mon délire. Une femme ne pourrait-elle pas désirer son mari de la sorte ? Ne pourrait-elle pas, comme un homme, avoir envie d’une queue au fond de son trou. D’une furieuse envie de base animale, juste pour assouvir un désir soudain.

J’en viens à me dire que tout est dans ma tête et que la décompression due aux vacances est la première responsable de notre excitation mutuelle.

Je décide de me relever. J’ai la bouche pâteuse et l’envie de me désaltérer. J’ouvre la bouteille d’eau qui repose prêt du frigo. J’en dévisse le bouchon La première gorgée me fait un bien fou et je la prolonge pour vider la moitié de la bouteille au fond de mon gosier.

Il me semble qu’un bruit vient parasiter ma réflexion. Un bruit lointain.

Mes oreilles se tendent, je suis à l’affut.

Je relève la bouteille une seconde fois, approche le goulot de mes lèvres et laisse l’eau fraiche me glisser entre les lèvres.

C’est alors que je les entends.

Des gémissements mêlés au glouglou que fait le liquide au fond de ma gorge, ils sont faibles mais bien là.

Je repose la bouteille en silence et sort de la cuisine à pas de loups.

Les sons ne viennent pas du salon, celui-ci semble vide.

Je le parcours rapidement du coin de l’il car c’est vers la chambre que je me dirige instinctivement.

A l’extérieur le soleil fait une bosse sur l’horizon, la mer s’apprête à engloutir cette boule de feu gigantesque nous plongeants dans une semi obscurité croissante

Les gémissements se font plus audibles, des gémissements de femme.. de ma femme. Une coulée d’acide glisse au fond de mon ventre. Elle s’écoule telle un torrent au fond de mes entrailles et se dirige lentement vers le bas de mes couilles. Un sentiment de peur me tort les boyaux et me pince les testicules

Je me dirige vers la source sonore, sur la pointe des pieds. Les gémissements se transforment en mots, en phrase dont je ne capte que quelques bribes.

« Plus. fond. Va y.. tellement grosse.. moiiiiiiiii »

Je continue de me rapprocher vers ce qui semble être un de mes pires fantasmes. Je crois que ma femme se fait baiser par un autre que moi. Je crois que ça y est, je crois délirer.

Des gouttes de sueurs perlent sur mon front. J’en sens une s’échapper pour glisser le long de mon visage, semblable a une pioche creusant un sillon sur ma peau. Je me rapproche de l’entrée de notre chambre, pose ma main sur le contour de la porte et m’y appui. Je pose mes mains sur mes cuisses en penchant mon buste en avant. Je sens que je vais gerber.

Je me prépare au choc, à l’impact. Les bruits de gémissements ont fait place à un claquement sec et régulier, le claquement de deux corps qui s’emboitent. Je ferme les yeux et imagine la scène pour m’y préparer. Elle est surement nue et en dessous. Il

(surement cet enfoiré de bellâtre)

est au-dessus les bras tendu, contractant ses triceps, tel un marteau piqueur, le dos ruisselant de sueur, ses cheveux mi long lui tombant devant les yeux. Sa bite entre et sort de la chatte ou du cul de ma femme, déclenchant en elle un plaisir intense, telle une vague allant et venant sur un corps exposé au soleil.

Je regarde derrière moi. Il me suffirait de faire demi-tour pour m’en aller. SI je ne le vois pas peut être cela n’arrivera pas, je pourrais encore le nier. Il n’y a qu’un pas entre moi et mon cocufiage.

Mais je suis là, j’entends son plaisir, j’entends son adultère évident. Je l’entends qui prend son pied comme elle ne le prend que rarement. J’entends les mouvements de son amant et la puissance de ses coups de reins. Je sens la moiteur de la chambre et l’écho de leur copulation.

Je me décide à franchir le pas de la porte. Un couloir interminable me dirige vers la chambre qui est la nôtre pour laisser place à notre lit conjugal. Elle fait ça dans notre pieu la salope. Le bruit devient assourdissant, elle ne se retient même plus et lui n’y va pas de main morte. Il la bourre fort et dur et elle exprime son plaisir à chaque coup de rein. Les claquements ont fait place à un cognement mêlé d’humidité, son humidité à elle, elle mouille comme une fontaine, sa chatte n’est plus qu’un lac de désir pour sa queue.

Ce couloir est sans fin, chaque pas me rapprochant de mon pire fantasme, j’ai l’intime conviction qu’à l’issue de mon trajet plus rien ne sera comme avant. Je me sens comme un prisonnier dans le couloir de la mort en marche vers sa propre pendaison.

Le martellement puissant m’oblige presque à me couvrir les oreilles de mes mains. Enfin plus que quelques pas sur la gauche et j’en aurais la certitude, je saurais que je suis un cocu, que ma femme baise d’autres bites que la mienne.

« Baise moi » résonne encore et encore dans la chambre. Sa voix n’est que désir, les mots s’étirent en longueur dans une supplication silencieuse

« Plus fort, plus vite, encoreeeeeeee »

Je m’adosse à l’angle du couloir, plus qu’un pas et j’y serais. La sensation est ignoble, mon estomac n’est plus qu’acide, je le sens remuer, il me remonte dans la gorge je suis à deux doigts de vomir.

..CLACCLAC.CLAC.CLAC

les bruits s’accélèrent. Elle semble prendre un pied d’enfer.

Je prends mon courage à deux mains et fait volteface.

Le lit est collé au mur du fond. Au-dessus, une fenêtre gigantesque laisse filtrer les derniers rayons du soleil. Je suis ébloui et mon regard ne peut fixer la scène. Le flot de sons et de lumières est insoutenable, je mets ma main en visière devant mes yeux puis je les vois.

Ils sont dans le mauvais sens du lit, lui est exactement comme je l’avais imaginé, en équilibre sur ses avants bras la prenant par-dessus.

Il est trempé de sueurs, la sueur de l’homme en plein effort physique.

Son corps est musclé, chaque mouvement contracte une zone de son anatomie.

Elle a pris son visage dans ses mains et ils s’embrassent fougueusement. J’aperçois leurs langues qui s’enroulent et qui se tordent dans un mélange de salive et de sueur. Elle a les jambes écartées sur son bassin, et il la pilonne encore et encore.

Son cul semble taillé dans le roc, rond, bombé, et imberbe. J’en vois le haut à chaque fois qu’il se retire. Ses fesses se contractent puis se relâchent au gré des mouvement.

Sa bite est belle, elle est luisante, lubrifiée et puissante. Elle prend possession de ma femme avec tellement d’autorité que je m’en trouve subjugué. Ils se regardent dans le fond des yeux avec l’intensité d’un couple d’amant. Elle a la bouche ouverte et il laisse glisser un filet de salive au fond de sa gorge. Ma bite est un roc, elle se tend droite et fière. Je suis un taureau prêt à bondir. Mais je ne bouge pas d’un pouce, ils ne semblent pas me voir.

« Continue, plus fort, je vais venir » elle lui dit.

Ses mouvements deviennent des coups de poignard sur son bas ventre. Il entre et ressort, entre et ressort. Il colle ses lèvres aux siennes. Elle feule . gémit comme jamais elle n’a gémit. Je suis pétrifié par l’horreur et excité par la scène. Je suis face à un train à pleine vitesse et me voilà incapable de faire le moindre mouvement.

Un gémissement soudain se fait entendre, annonciateur du plaisir et la voilà qui pousse quelques cris continus extrêmes puissants.

« oui. OUI. OUIIIII. OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII »

Il donne tous ce qu’il a. Elle jouit. Putain elle jouit avec un autre que moi. Mon pire fantasme est devant mes yeux, j’ai du mal à réaliser l’horreur de ce que je vois. Je ne suis plus que frustration, ma bite me fait mal.

Je baisse les yeux sur mon sexe qui est sorti de mon pantalon.

(je ne me souviens même pas l’avoir fait).

.il est écarlate, rouge de désir et il palpite comme prêt à exploser.

Je suis pétrifié par cette vision. Ce que je ressens est indescriptible. Un mélange puissant de douceur et d’amertume, une combinaison de plaisir et de douleur, telle une furieuse envie de jouir après plusieurs heures d’érection.

J’ai devant moi, l’amour de ma vie, la femme de mes enfants qui se donne corps et âmes à un autre homme. Mon univers s’écroule soudain alors que je prends conscience de la scène qui se déroule sous mes yeux. Ma petite femme, notre vie en apparence parfaite, notre si belle maison, tout s’effondre.

Elle reste un être de chairs et de sangs et n’a pas su résister à l’appel d’une queue, d’une belle queue, d’une queue qui la possède, qui la perfore, qui racle ses parois à la recherche de chaque centimètre de nerfs qui composent sa petite fente. Cette colonne de muscle gonflée par la vision de cette infidèle qui visite son sexe de haut en bas, qui repousse l’étroitesse de sa chatte pour se frayer un chemin au fond de son sexe humide.

Son orgasme dure un long moment puis le temps se fige, il s’étire à l’infini. Je vois les coups de boutoir au ralenti. J’aperçois la bite de son amant presque ressortir intégralement. Le gland est circoncis, il est gonflé à l’extrême, la queue belle et gonflée, de belles veines s’étirent sur toute sa longueur. Elle a la tête rejetée en arrière pendante hors du lit. Mais elle ne me voit pas.

Ses seins ballottent à chaque coup de pine. J’aperçois que le salaud ne tenait en équilibre que sur un bras, sa main gauche lui pinçant le téton.

Les yeux sont clos, probablement perdus dans une autre galaxie, celle du plaisir, celle du désir charnel où se mélangent fantasmes et réalités.

Le soleil m’aveugle soudain. J’aperçois un mouvement. Il bascule dans le bon sens du lit et se met sur le dos. Sa bite fait un angle droit tendue vers le ciel comme une lance se dressant fièrement. Rien ne semble pouvoir la faire fléchir, on y sent la puissance et la détermination. Je vois mon épouse se relever en chancelant et se positionner sur ses genoux. J’ai son magnifique trou du cul dans mon champs de vision. Il est humide lui aussi, brun et plissé. Dans un mouvement décidé elle se saisit de cette magnifique queue. C’est maintenant au tour de l’homme d’avoir le crane qui pend en dehors du lit.

Son visage est caché et il m’est encore inconnu. Je l’imagine beau comme un dieu, le visage rejeté en arrière, les yeux fermés en attente de la bouche humide de ma belle. La main gauche de ma femme entoure sa bite tandis que sa main droite vient se placer sous ses couilles.

Elle laisse un crachat s’écraser sur son poing fermé et vient poser sa bouche sur le haut de son gland. Du bout des lèvres elle étale grossièrement la bave sur la surface du gland. Elle entrouvre légèrement sa bouche et engloutit d’une poussée le gland violacé.

Ses lèvres épousent à la perfection le contour du gland laissant une marque blanche sur la peau de la tige. Sa main, lubrifiée, vient accompagner son mouvement. Son nez se colle sur sa toison pubienne, elle a tout avalé. L’homme libère une de ses mains et la pose sur le haut de son crane saisissant une touffe de cheveux noir.

L’autre main malaxe les couilles pleines de désir et de sperme chaud prêt à partir comme les balles d’un fusil. Le rythme se fait rapide. Ma femme le suce, elle le pompe, elle l’aspire. L’homme grogne à présent, un grognement animal, profond, guttural. Il est la bête qui baise ma chère et tendre.

Sa main coulisse de plus en plus vite sur la colonne de chaire, sa bouche reste en contact permanent. Elle imprime un rythme rapide en une torsion du poignet dont elle a le secret. Sa langue parcourt la tige de haut en bas et se dirige vers les couilles.

Elle en gobe une pendant que sa main s’active toujours sur le pieu. Ses cheveux lui collent au visage, l’odeur dans la chambre est suffocante. L’odeur du sexe, un mélange de salive, de mouille et d’hormones rend l’atmosphère irrespirable.

La queue se dresse sur le front de ma femme étouffée par les boules qu’elle lèche. Elle les bouffe comme une affamé dans le bruit de succion le plus obscène jamais entendu. Je vois sa langue polir ses couilles lisses puis en gober une, puis l’autre tout en s’activant sur son pieu qu’elle ne cesse d’astiquer.

Je n’ai toujours pas bougé. J’ai envie de fracasser le visage de l’homme avec mes poings mais je reste immobile. Une statue de sel, une statue de cocu infidèle incapable de garder ce qui est à lui.

La respiration de mon ennemi s’accélère, je reconnais ce son entre 1000. Je l’ai entendu maintes et maintes fois moi-même. Le son du plaisir qui approche à grand pas, tel un torrent déchainé que rien ne peut stopper.

« Je viensretire toi » lui dit il

Sa main s’active dans un dernier sprint, à un rythme effréné.

Elle laisse ses couilles pour s’activer sur son dard. Sa bouche se resserre, ses joues se creusent, elle emprisonne la bite comme la lionne sur sa proie.

Sa mâchoire s’enfonce et se retire. Sa main s’active en simultané, le gars tient bon mais pour combien de temps encore. Elle se retire et laisse un long filet de bave relier sa bouche et la queue de l’homme.

« Vas-y mon amour » lui répond-elle.

Elle ouvre sa bouche au-dessus du dard, la mâchoire écartée au maximum et en un soulagement il se libère. Les muscles de son ventre se contractent en un soubresaut violent.

La puissance de l’éjaculation est manifeste. On entendrait presque le bruit de la munition qui est éjectée de l’arme.

Rien ne part mollement, le fluide s’envole rapidement et sans hésitation.

Le jet s’écrase au fond de la gorge de ma bien aimée. Le flot de sperme est tel qu’il en coule en dehors de la bouche. 4.5.6 coups viennent repeindre l’intérieur de la cavité buccale de la chienne qui le pompe.

Elle déglutit pour en avaler le plus possible, laissant filer quelque trace en dehors de sa magnifique bouche. Sa langue passe sur ses lèvres en une mimique de salope lubrique comme dans un porno.

L’homme ne bouge plus. Son plaisir est audible.

Ma femme ramène sa main droite au niveau de sa chatte en un mouvement rapide mais franc.

Elle se caresse frénétiquement, sa main astiquant encore et toujours le pieu de ce bellâtre.

De derrière son cul ferme et rebondit, tremble. Sa main imprime un mouvement circulaire autours de son clitoris que je devine gonflé. De mon point de vue je vois le haut de ses doigts appuyer sur la zone avec détermination. Sur ses cuisses, une zone mouillée témoigne de son excitation, elles sont luisantes de mouille ou de transpiration. Sa main accélère alors qu’elle continue de pomper et de branler son amant. Le bruit de cette pine entrant et sortant de sa bouche ne fait qu’accentuer son état second. Elle n’est plus très loin, je le sens.

Ma bite palpite au rythme de mon cur qui bat. Tous deux semblent vouloir jaillir de leurs places respectives.

Je l’entends gémir dans un son étouffé par ce pieu qui l’étrangle.

Elle jouit une seconde fois

Un long cri de plaisir explose dans notre suite nuptiale.

L’homme tient ses deux mains au-dessus de sa tête, s’enfonçant au plus profond de sa gorge.

L’orgasme est intense, presque douloureux.

C’en est trop pour moi, ma bite se contracte et éjecte un long filet de jouissance sans même que j’ai à la toucher. Le jet s’écrase à deux mètres de moi. Un second jet voile ma vision, j’ai des étoiles plein les yeux.

Mes jambes flageolent, et ne me supportent presque plus.

Ma queue éjecte une quantité de sperme impressionnante. Je rejette la tête en arrière la bouche tordue de douleur un gémissement s’échappant de mes lèvres.

Ils crient en simultané. Ils sont synchronisés sur leurs jouissances. L’homme retire ses mains de la tête de ma dulciné, il laisse ses bras glisser alors que ses mains caressent en descendant les joues de la pompeuse.

Je baisse mon visage, haletant, essoufflé par l’effort, le cur battant la chamade.

Je l’ai vu, je ne peux qu’admettre ma défaite. Je les ai surpris en plein acte.

La douleur m’envahit, le plaisir laisse place à l’angoisse et à un sentiment de soumission. Je n’ai rien fait et j’ai aimé ça, en témoignent les flaques de sperme devant moi.

Je relève mon visage en direction du lit et me prépare à la confrontation.

Le bellâtre relève également son visage me permettant de le voir pour la toute première fois. De voir ce visage qui hantera mes jours et mes nuits pour le restant de ma vie.

Un seul rayon de soleil filtre directement dans mon champ de visions et vient m’éblouir.

Je plisse les yeux pour apercevoir ses traits.

Ce sont les miens.

Un sourire carnassier lui/me barre le visageune goutte de sueur glisse le long de ses/mes tempes, sa/ma queue toujours dans la main de ma/sa femme.

Mes yeux s’écarquillent alors que je cherche à comprendre. Ma respiration se fait encore plus courte, mon cur redémarre et tambourine dans ma poitrine. Je tente de reculer encore plus mais le mur me fait barrage. Je pousse de plus en plus fort alors que le mur se ramollit. Il devient sable mouvant, me happant, m’enlisant en lui. Mes bras sont collés à la masse visqueuse, m’emprisonnant. Chaque mouvement accentue ma prise, je suis fait comme un rat.

Mon/son visage m’observe toujours alors que je crie en me débattant.

Un ricanement se fait entendre, le bellâtre/Je rie à plein poumon.

Le mur me colle, m’aspire, ma tête s’enfonce.

Ma/sa femme, elle aussi, accompagne le bellâtre dans un rire démoniaque. Seul mon visage dépasse à présent du mur. Le son diminue alors que mes oreilles sont aspirées, je n’entends plus leur rire. Je vois leurs visages qui se moque de moi. qui rient de leur tour. Ils s’esclaffent alors que je coule, que je me noie. Les sables mouvants happent mon visage dans un dernier rayon de lumière.

J’ouvre les yeux et me relève en sursaut. Mon cur bat à 100 à l’heure et mon torse est trempé de sueur. Je suis assis sur le sol froid et dur de la cuisine, ma bite droite et dressée, une marre de sperme étalé sur mon ventre et sur une partie de mes jambes.

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