Histoires de sexe français Histoires de sexe voisins Histoires érotiques

Le partage de Nath et Bruno – Chapitre 12

Le partage de Nath et Bruno - Chapitre 12



Bruno venait de quitter la table et tous se regardaient.

Oups, ça passe vraiment pas bien, je crois dit Nathalie à sa belle-mère en se précipitant derrière son mari.

Je t’accompagne, proposa Josiane

Surtout pas ! J’y vais seule ! Répondit sa belle-fille sèchement avant de disparaître.

Oh mon dieu, soupira Josiane, comment a-t-il su ? Qu’est-ce qu’on va faire, Arnaud ? Désolé, Luc de vous faire participer à ce déballage… Je… Oh mon dieu ! Quel désastre !

¬ J’vois que Lionel ou Laura pour avoir pu lui dire, fit remarquer Arnaud visiblement accablé.

Non, je peux répondre en partie à cette question, leur dit Luc calmement en se resservant un verre de vin. C’est Nathalie qui lui a dit, mais pas complètement et c’est à cause d’une gaffe de Lionel hier soir.

Comment ça une gaffe de Lionel ? Demanda Josiane

Dans le feu de l’action, tout heureux du plaisir qu’on prenait tous ensemble, Lionel a simplement invité Bruno et Nathalie à son réveillon du nouvel an. Laura essayait de lui faire des signes pour dire non, mais il a mis du temps à réagir et Bruno avait déjà accepté. Ensuite, Lionel s’est plus ou moins emmêlé les pinceaux pour essayer de dire que non en fait, mais sans pouvoir convaincre votre fils et c’est Nathalie qui a demandé à Laura de lui dire ce qu’il se passait vraiment. Laura a hésité un moment, comme j’étais à côté, elle m’a demandé d’aller voir ailleurs. Puis, elle a parlé à l’oreille de Nathalie qui m’a parue assez choquée de ce qu’elle entendait à en juger par la tête qu’elle faisait, et comme Bruno reparlait, ce matin, de passer en after à la soirée de Lionel, Nathalie a cru bon, devant son insistance de lui révéler que vous y seriez ainsi que sa sur. Le reste, j’imagine que c’est un travail de réflexion personnel qui l’a amené à déduire quelles relations vous pouviez entretenir avec votre fille et son compagnon.

Mon dieu ! Seulement à partir de ça, il a déduit que… réalisa Josiane

Ah ! autre chose, sachez que je n’ai pas pour habitude de me mêler des affaires qui ne me concernent pas, que je n’en parlerai pas et que je ne vous jugerai pas…

Merci, lui dit Arnaud, c’est gentil

La porte du sous-sol s’ouvrit mais c’était Laura qui rentrait accompagnée de Jérôme et Mathieu.

On arrive en plein drame apparemment, dit la belle blonde en embrassant tout le monde sur la bouche.

C’est affreux… lui répondit Josiane, Lionel est avec eux ?

Oui, on l’a laissé en bas avec Nath et Bruno. Il a l’air vraiment très mal… Je… j’vous demande pardon, c’est de ma faute, j’aurais pas dû le dire à Nathalie, c’est…

On sait, Luc vient de nous expliquer et Nathalie n’a rien dit d’autre apparemment que nous étions également invités chez vous avec Steph et Ruddy. Le reste, il l’a déduit tout seul.

C’est vrai, Luc ?

Comme elle te le dit, on était encore au lit tous les trois quand ça s’est passé, je te jure qu’elle a rien dit d’autre.

En plus, je me rends compte que c’est peut-être moi qui lui a mis la puce à l’oreille finalement. Dit soudain Josiane.

Comment ça ? Demanda Arnaud à sa femme

J’avais pas encore dit à Bruno que Steph et Ruddy venaient et en plus je lui ai dit qu’ils viendraient s’installer là avec nous… ce qui est illogique puisque plus rien ne nous retient dans cette maison et que la nôtre sera quasiment vide. Tu dois nous trouver bien moches, Jérôme, mon petit, je suis vraiment désolée du spectacle qu’on vous offre.

Moches ? C’est pas le mot, répondit le jeune homme, je suis simplement sur le cul. J’ai habité chez vous pendant deux ans, vous êtes une seconde famille pour moi et Stéphanie c’est comme ma petite sur, alors j’ai du mal à imaginer et là j’ai vraiment mal pour Bruno. C’est tout.

On peut vous expliquer, commença Arnaud

Non merci, répondit le blondinet, gardez vos explications pour Bruno quand il sera en mesure de les entendre

Le petit Bruno attend ses parents au sous-sol, dit Lionel, en arrivant finalement. Et prenez votre temps surtout.

Comment il va ? Demanda Josiane

Tu verras toi-même, répondit leur ami

Josiane et Arnaud prirent donc le chemin du garage, laissant leurs invités un peu déconfits dans le salon.

Bon mais vous allez pas faire cette tête, les gars, dit Luc, d’abord c’est pas nos oignons et ensuite, ça va sans doute s’arranger. Si je savais où son les verres et que j’étais un intime des lieux, je vous dirais bien de boire un coup, si ça fait pas de bien, ça peut pas faire de mal.

T’as raison, garçon, dit Lionel, je m’en charge, je suis presque comme chez moi ici.

Et dis-moi Luc, tu peux m’expliquer ce que vous foutez en collant tous les trois, c’est pas franchement une tenue pour aller chez des gens, vous avez même pas de slip en dessous ! Demanda Mathieu à son copain

On est venu en hors piste jusqu’ici et comme nos combinaisons étaient pleines de neige et trempées, Josiane nous a demandé de les enlever, c’est tout.

T’as fait du hors-piste ?! S’exclama Mathieu incrédule.

Pour venir jusque-là, c’est de la balade, dit Lionel en rapportant des verres et une bouteille. En plus le passage dans les bois est très beau.

De la balade, pas vraiment, le reprit Laura, il y a le pâturage à descendre quand même ! T’en avais déjà fait ?

Non, c’était la première fois, répondit Luc assez fier.

C’est vrai que je n’pensais plus à cette dernière descente, il est gonflé quand même le petit, haha ! Ça demande quand même un certain niveau. Bravo !

Franchement vous me sidérez ! Dit Jérôme soudainement. Vous êtes là, tranquille à siroter votre pinard, alors que Bruno est en bas avec ses parents et Nath à démêler un truc assez grave… Je…

Calme toi, Jérôme, il n’y a rien de grave, ils sont simplement en train de s’expliquer entre eux et je suis sûr qu’on va les voir remonter bientôt réconciliés.

J’en suis certaine, dit Nathalie qui venait de remonter, et je veux bien un verre aussi. Finalement, c’est un peu bête comme histoire et le fait que ce soit très récent à fait passer la pilule. Il ne leur en veut pas finalement et ils viendront au chalet dès dimanche avec Stéphanie et Ruddy.

Et là, ils parlent encore ? Demanda Jérôme.

Non, ils sont en train de se faire un câlin, mais il te propose de descendre les rejoindre, ils disent qu’il te doivent des explications et des excuses, ne les fait pas attendre…

Jérôme descendit aussitôt, il se demandait ce qu’ils allaient bien pouvoir leur dire. Bruno et ses parents étaient serrés les uns contre les autres et le regardaient s’approcher. Puis Arnaud et Josiane s’excusèrent pour avoir imposé à tous et surtout à Bruno et lui cette situation. Bruno lui demanda d’écouter ses parents et ces derniers racontèrent une nouvelle fois comment ils en étaient arrivés à pratiquer l’échangisme avec leur fille et son compagnon. Ils expliquèrent qu’ils s’étaient rendus dans une soirée de mardi gras d’un grand club libertin près d’Annecy. C’était le dernier endroit où il pensait croiser leur fille étudiante à Grenoble. Tout le monde était masqué et Josiane avait eu la côte auprès d’un jeune afro-antillais avec qui elle avait abondamment niqué. Stéphanie avait eu des rapports avec plusieurs hommes auxquels s’était joint son père qui ne l’avait pas reconnue. C’est elle qui eut un doute et pour en avoir le cur net, alla le retrouver pour refaire l’amour avec lui dans une alcôve. Ils étaient masqués tous les deux, et seules leurs voix pouvaient les trahir. Ce qui arriva assez vite. Trop avancés dans leur plaisir, ils n’ont pas interrompu leur acte, ont retirés leurs masques et ont jouis ensemble. Ils ont eu une première discussion à deux avant de partir à la recherche de Josiane qu’ils ont trouvée en pleine action avec Ruddy. Josiane et Arnaud avaient entendu parler de lui mais ne le connaissaient pas encore, Stéphanie avait prévu de le leur présenter, mais la situation accéléra les choses. Ils firent donc connaissance de leur gendre dans ce contexte un peu particulier. Pendant près d’un mois, ils ont largement reparlé de ce qui s’était passé et Arnaud et sa fille étaient vraiment désemparés. Tout se passait par téléphone et leur fille ne revenait plus les voir. Ils se sont retrouvés pour un long week-end de mise au point, ont décortiqué la situation et cela aboutit finalement à reproduire sciemment ce qu’ils avaient fait plus ou moins accidentellement une première fois. Ils étaient conscients de l’immoralité de la situation, mais aucun ne se sentait la capacité ou l’envie d’y mettre un terme. Bruno avoua qu’il était content de savoir la vérité et qu’il ne les jugeaient pas, même s’il savait que ça allait lui faire bizarre la première fois où il en serait témoin. Jérôme reconnu que c’était vraiment pas naturel, mais que lui non plus ne se sentait pas le droit de les juger.

Merci, mes enfants, dit Josiane en les serrant dans ses bras, si… si vous avez n’importe quelle question, posez-la, je ne veux rien vous cacher.

Je… vous échangez de partenaires à chaque fois que vous vous retrouvez ? Demanda Jérôme

Pas de manière permanente et je n’ai jamais passée une nuit complète avec Ruddy, on échange juste le temps d’un rapport ou deux et après je retrouve mon chéri, dit Josiane en se serrant contre Arnaud.

Et… c’est idiot comme question, mais vous avez des rapports uniquement hétérosexuels ? Demanda Bruno en rougissant

Hum…, Fit Josiane, pour l’instant oui, c’est un cap qu’on n’a pas franchi avec Stéphanie, enfin pas ensemble je veux dire car on a l’une comme l’autre des rapports avec Laura, mais pas ensemble non et je peux rien assurer, compte tenu de la situation, mais je ne crois pas qu’on en aura un jour… non.

Et moi je n’ai pas non plus de rapport sexuel avec Ruddy, si tu veux savoir, dit Arnaud. Je crois que, lui comme moi, on préfère enculer que l’être… mais on a déjà eu des rapports homosexuels avec des partenaires passifs, c’est fréquent dans nos soirées avec Lionel.

C’est pas comme toi, dit Jérôme en attrapant Bruno par l’épaule, t’as toujours préféré la prendre que la mettre.

Oui c’est vrai, j’adore ça, et j’aurai du mal le cacher vu qu’à par papa, tous les hommes présents dans cette maison ont déjà pu apprécier mon goût pour la bite…

À commencer par Jérôme, tu te rappelles, Chérie, du barouf qu’ils faisaient le soir ces deux lascars quand ils étaient au lycée.

M’en parles pas !

On avait que le son, mais ça t’excitait comme un cochon, renchérit Josiane en posant la main sur la cuisse de son mari.

Parce que vous nous entendiez ?! Dirent Jérôme et Bruno d’une seule voix.

C’était difficile de faire autrement, dit Josiane, et on avait aucun mal a savoir qui faisait quoi, mon lapin, rajouta-t-elle en embrassant son fils sur la joue.

Vous avez jamais rien dit, aucune allusion, reprit Jérôme, ça ne vous choquait pas ?

Pourquoi ? On aurait dû ? C’était votre vie, on avait pas le droit de juger et puis vous ne faisiez ça finalement qu’à la maison ou chez Lionel . D’une certaine manière, vous étiez assez discrets.

Parce que vous saviez pour Parrain ? Demanda Bruno effaré.

Oui, il a eu l’honnêteté de nous le dire un jour, au bout de deux ans, et je dois t’avouer que ça c’est pas très bien passé entre nous à ce moment parce qu’on trouvait que c’était plutôt malsain. Surtout qu’on était responsable de Jérôme ! mais bon, vous faisiez déjà vos valises pour la prépa et il nous a juré qu’il ne vous avait jamais rien fait.

Non, c’est vrai, ajouta Jérôme, il nous regardait et se masturbait, c’est tout.

Oh, mes deux garcons, si vous saviez comme je suis heureuse de vous voir côte à côte et avec nous, ça faisait si longtemps. Merci, merci mes trésors.

Ils s’enlacèrent tendrement tous les quatre avant de remonter en essuyant des larmes d’émotion et en se serrant fort les uns les autres. À l’étage supérieur, leur retours fut acclamé et Nathalie vint rejoindre le quatuor pour les enlacer et embrasser son mari.

Tu as vraiment une femme merveilleuse, dit Arnaud à son fils, intelligente et si belle… si j’osais…

Si vous osiez quoi ? Demanda Nathalie à son beau-père, auriez vous quelque chose à me demander ?

Je ne sais pas si c’est le moment, avoua-t-il un peu gêné.

C’est toujours le moment de dire honnêtement ce que l’on pense ou que l’on ressent, on vient d’en avoir la preuve, papa, fit remarquer Bruno.

Alors Nathalie, est-ce-que je peux vous embrasser ?

Mmm, attendez que je réfléchisse… je crois que vous pouvez uniquement si Josiane est d’accord bien entendu.

Vous avez ma bénédiction, dit Josiane à sa belle-fille, mais moi j’ai faim et surtout soif alors je vais prendre un peu de dessert avec ceux qui veulent.

On ne vous à pas vraiment attendu, ma douce, lui dit Lionel, mais on vous en a laissé.

Vous avez bien fait, tu permets que je m’asseye à côté de toi, mon gros loup ?

Mais, tu sais bien que c’est toujours un plaisir, Josy, répondit le quinquagénaire joyeux

Bruno regardait son père embrasser sa femme, leurs bouches était soudées et les mains d’Arnaud se baladaient sans gêne sur le fessier de Nathalie. L’une d’entre elle était même passée à l’intérieur du collant.

J’ai l’impression que ça te fait bander de voir Nath avec ton père, Dit Luc à Bruno en lenlaçant par derrière

Et toi, c’est quoi qui te fait bander ? Demanda Bruno en passant une main sur la protubérance du collant de son amant.

Ton cul, ton joli petit cul gainé dans ce collant, il m’excite.

Å table, Josiane et Lionel avait dépassé le stade des politesses et la belle femme de cinquante ans masturbait son ami en regardant son mari caresser sa belle-fille et son fils enlacé avec un colosse surmembré. En bout de table, à côté d’elle, Jérôme et Mathieu lutinaient Laura en alternance. Elle avait perdu pull et soutien gorge, et se faisait sucer les tétons par ses deux soupirants. Arnaud avait également retiré le pull et le t-shirt de sa belle-fille pour découvrir sa belle poitrine libre. Il en appréciait d’une main la forme généreuse et la sensibilité de ses pointes roses. Son autre main était partie à la découverte tactile du pubis imberbe de la jolie rouquine. Nathalie n’était, bien sûr, pas inactive et elle défaisait la ceinture du pantalon de son beau-père. Bruno était complètement nu et sa mère admira son corps athlétique. Il lui rappelait celui d’Arnaud au même âge, même leur sexes longs et fins se ressemblaient un peu. Lionel avait retiré ses vêtements et elle en faisait autant. Laura avait quitté la table pour s’installer dans le canapé, de l’autre côté de la pièce. Luc s’était déshabillé lui-même et Bruno accroupi lui faisait une fellation. Sa mère n’en crut pas ses yeux quand elle vit l’énorme sexe tendu de Luc disparaître entièrement.

Comment peut-il faire un truc pareil ? S’étonna Josiane en désignant son fils à Lionel. C’est dingue.

Oui, il est tout bonnement incroyable, c’est comme pour le ski, il a peur de rien, répondit le parrain émerveillé.

Je trouve que ça fait un peu porno, dit Josiane en l’enfourchant.

Qu’est-ce-qui fait porno ? Ma femme prise en double vaginale sur le canapé, ton mari qui vient de mettre sa belle-fille en levrette, ton fils qui suce son Apollon ou toi qui est en train de t’empaler ton gros cul sur mon dard ?

Mmmm, t’as raison, c’est la maison des cochons, ooooooh… tu sais que j’l’aime vraiment ta grosse bite quand elle est bien plantée dans mon p’tit trou. Mmm oui, j’m’en lasserai jamais je crois…

Moi non plus je m’lasserai jamais de ton cul, ça fait trente-cinq ans que je le ramone et il est toujours aussi accueillant. J’suis sûr que Bruno tient ça de toi…

Aaah, tu crois ? C’est possible… d’ailleurs, j’ai l’impression qu’ils vont faire comme nous, ces deux mignons. Aaah Mais y va le prendre comme ça ? Sans préparation ?

Pourquoi ? Tu t’étais préparée pétasse avant de t’empaler le fion sur ma bite ?

Non, mais j’ai l’habitude, j’en ai quand même pris des grosses. Oooh !

T’as vu ? Il est rentré tout seul, comme papa dans maman si on peut dire. Ton fils, j’l’ai vu à l’uvre hier, il prend du lourd… mmm, une vraie putain

Y avait qui d’autre ? Oooh, dis moi parce que en très gros, j’vois que Luc. Ooooh ! C’est bon salaud, ton doigt dans ma chatte.

Y avait un gode-ceinture et un plug anal… et pas du petit calibre, je te garanti ; elles lui ont défoncé le cul l’une après l’autre, t’aurais dû voir ça une vraie bite de cheval ! Et le plug… je suis sûr que ma grosse paluche de paysan pourrait lui rentrer dans l’fion jusquau coude.

Aaaaah ! T’as vu comme y s’fait ramoner ? Défonce-moi l’cul pareil au lieu d’causer.

Faut que j’me lève alors, parce qu’assis, c’est un peu difficile.

Ils se levèrent, Lionel lui plaqua la poitrine sur la table et réinvestit son cul. Il bourrait Josiane comme elle lui avait demandé en essayant de caler son rythme sur celui de Luc. Les deux garçons faisaient face au couple formé par Nathalie et son beau-père et ils prenaient visiblement beaucoup de plaisir à se regarder. Au fond de lui, Arnaud aurait voulu être à la place de Luc. C’était impensable évidemment et il se demandait s’il n’était pas en train de devenir fou, mais la réflexion de son fils dans le garage précisant qu’il était le seul à ne pas avoir visité son cul lui donnait l’impression d’un désir partagé. Nathalie, quant à elle, éprouvait de plus en plus de plaisir à baiser devant son mari et à le voir se faire enculer. C’était vraiment quelque chose qu’elle ne pouvait pas s’expliquer. De baiser avec son beau-père lui paraissait être le comble de l’adultère, de lhumiliation pour son petit pédé de mari. Cette impression et le ramonage en règle de sa chatte ne tardèrent pas à lui provoquer un premier orgasme bruyant. Arnaud se sentit assez fier d’entendre sa belle-fille crier son plaisir et accéléra encore son rythme. Il ne tiendrait plus très longtemps. Dans le canapé du salon, Laura, qui venait de se faire remplir copieusement la chatte et le fion par Mathieu et Jérôme, regardait avec ses deux amants les trois couple encore en course

Moi je dis, dans l’ordre Arnaud, Luc et Lionel, fit Jérôme pour rigoler.

Arnaud est plus endurant qu’il en à l’air, dit Laura, moi je pari Luc, Arnaud, Lionel

Ben moi je dis que Luc va partir en dernier, lui aussi est endurant. Fit Mathieu

Oui mais ton tiercé, c’est quoi ? Demanda la jeune femme, Arnaud, Lionel, Luc ou Lionel, Arnaud, Luc ?

Parce qu’il faut donner un tiercé, alors je dis Arnaud, Lionel et Luc, dans l’ordre et sans photo. Qu’est ce qu’on gagne ?

Je sais pas dis Laura, on a qu’à dire la gâterie de son choix par les deux perdants, ça vous va ?

La jouissance d’Arnaud dans le ventre de sa belle-fille, rendit fou de joie Mathieu et Jérôme qui s’étaient bien évidemment pris au jeu du pari. Lionel s’était appliqué à suivre le rythme de Luc, mais il n’en avait pas l’endurance, et les orgasmes bruyants et répétés de Nathalie avaient eu raison de sa résistance. Il se cabra et dans un râle sauvage envoya sa purée dans le cul de Josiane. Mathieu était en liesse et dansait une sorte d’imitation de flamenco sous les regards hilares de Jérôme et Laura, bons perdants. C’est à ce moment que Luc et Bruno s’effondrèrent l’un sur l’autre en s’embrassant, transportés par le plaisir qu’ils s’étaient procuré, déclenchant les applaudissements du trio infernal.

Qu’est-ce que vous avez à rigoler comme ça ? Demanda Nathalie qui se relevait

Ouh ! J’ai gagné ! Cria Mathieu, haha ! On a parier sur l’ordre de jouissance dArnaud, Lionel et Luc et c’est moi qui ait gagné, haha !

Ben ça le met en forme, constata Josiane en se décollant de la table. Ça fait plaisir. Eh, mais y fais quoi mon fils ? T’as raison Lionel, il doit vraiment tenir de moi pour quelque chose, ajouta-t-elle en regardant Bruno nettoyer la bite de Luc.

Arnaud, dit Nathalie à son beau-père, j’ai beaucoup aimé votre façon de m’embrasser, vous pouvez recommencer quand vous voulez.

Ce sera toujours avec plaisir, lui dit Arnaud en lui donnant un baisé plus chaste.

Le reste de l’après-midi se déroula tranquillement. Jérôme et Mathieu repartirent avec Laura et Lionel en promettant à Bruno et Nathalie qu’ils rentreraient au chalet le lendemain pour leur dernière nuit montagnarde et pour aider au ménage. Laura se rappela qu’elle aussi devait participer mais évita d’évoquer ça devant Arnaud et Josiane. Les parents de Bruno avaient insisté pour que leur fils, sa compagne et leur amant restent à dîner, ce que les trois jeunes gens avaient accepté.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire