Histoires de sexe lesbien Histoires gays

Le roman de maya – Chapitre 4

Le roman de maya - Chapitre 4



La soirée se continua avec un petit repas arrosé de quelques boissons diverses. Michèle expliquait que sa vie quotidienne au travail était quelquefois assez surprenante compte tenu de la situation du patron du service. Lépouse de celui-ci était surveillante dans ce service et elle montrait un goût certain pour les amours saphiques. Elle avait dailleurs fait quelques avances à Michèle qui sétait retrouvée un jour, avec deux autres cadres du service dans une pièce au sous sol plus ou moins aménagée avec un lit où les 3 femmes se retrouvaient pour des parties lesbiennes se limitant à des caresses et des jeux de langues un peu appuyés. Ca manquait de débordements et de volonté daller vers de vraies partouzes. Michèle avait de temps en temps de jeunes stagiaires secrétaires dont certaines étaient particulièrement attirantes. Elle parlât dailleurs dune Léa, âgée de 18ans qui lui avait paru assez délurée. Elle shabillait de façon très suggestive et compte tenu de son corps plutôt bien sculpté (une superbe poitrine de 85D très ferme et des hanches superbes avec un fessier quasi parfait). Cette jeune stagiaire était en fin de stage et Michèle avait eu quelques confidences de sa part comme quoi elle sennuyait un peu car son copain était plutôt très classique, branché échecs et bridge. Nous avons convenu quil fallait que Michèle serve de rabatteuse pour que nous linitiions à des choses plus hard. Nous étions plus ou moins habillés autour de la table et les mains se baladaient sous les vêtements de celle ou de celui qui était à portée de main ; tout cela nous échauffait.

Je dis à mes compagnes : « chéries je crois que ma vessie a besoin dune vidange, est ce quune douche vous intéresse ». Maya répondit mutine : « tu as envie de nous arroser mon salaud », elles se dirigèrent vers la salle de bain et sinstallèrent dans la grande baignoire qui occupait tout un coin de la pièce. Je mis un pied sur le bord, lautre restant en dehors. Maya et Michèle se caressaient la fente mutuellement et criaient toutes les deux : « alors ça vient ta pisse chaude, on se refroidit, allez arrose nous ». Un joli jet de liquide jaune doré bien chaud sorti de ma bite et les inonda. Je tenais mon sexe dans la main et je lui imprimais un mouvement de balayage qui permettait de répartir la pisse sur les deux corps marrêtant de temps à autre sur leur fente ou leur bouton clitoridien ou sur les seins et aussi vers leur bouche ouverte qui essayait davaler des lampées de pisse chaude. Quand jeus fini, Maya se précipita sur ma bite pour avaler les dernières gouttes et me sucer goulument pendant que Michèle me caressait la raie puis menfonça lindex dans le cul ; ce qui eut pour effet de me faire bander encore plus fort. Je jubilais de cette double caresse et mes doigts partirent à la recherche des tétons de Michèle que je triturais pour les faire durcir. Je vis alors Michèle enfoncer dabord un, puis deux, puis trois doigts de son autre main dans la chatte de Maya qui était semi accroupie sur ce gode de chair. Maya jutait de la chatte et Michèle put ainsi continuer sa manuvre en introduisant un quatrième doigt tout en faisant des mouvements de torsion et daller et venues dans une chatte qui débordait de cyprine. Finalement, elle sembla retirer ses doigts, mais elle les plia sur le pouce lui aussi plié sur la paume pour faire un poing luisant des sécrétions de Maya, quelle enfonça doucement mais fermement dans sa chatte. Quand tout le poing eut disparu dans la chatte, elle marqua un temps darrêt, Maya aspirait sur mon gland en poussant des mugissements la bouche pleine de ma bite. Michèle après cette courte pause fit aller et venir son poing de plus en plus vite dans la chatte, Maya avait remplacé sa bouche par sa main pour pouvoir crier son plaisir : « Oh oui ma salope continue, fait moi exploser. » Michèle rapprocha sa bouche de lentrejambe de Maya, ce qui me donna plus de facilités pour lui malaxait les seins, et lui tirait les tétons. Je vis à un moment les jambes de Maya commencer à tressaillir ; Michèle sortit son poing de la chatte et Maya se mis à pousser un cri énorme tout en éjaculant de sa chatte un liquide un peu huileux et très odorant qui inonda le visage de Michèle. Je me penchais pour lécher ces longues trainées sur le visage de Michèle. Maya repris ma bite dans sa bouche juste au moment où jéjaculais. Je ne pus mempêcher de dire ensuite : « Les filles vous êtes les plus belles salopes excitantes que je connaisse. ».Elles se regardèrent avec un sourire malicieux.

Après ces nouveaux orgasmes, nous nous séparèrent et je rentrais chez moi ainsi que Michèle. Jembrassais les deux femmes en précisant à Maya que demain soir nous devions être sur le parking du bois vers 18h et ensuite que nous avions notre rendez vous chez les voisins. Michèle nous dit : « vous me raconterez et je comptes sur vous pour leur proposer une soirée avec moi. ».

Le lendemain, alors que jétais au travail dans le service, je profitais de devoir déposer un dossier au secrétariat pour passer saluer Michèle. Elle avait retrouvé son look très strict de secrétaire médicale et me salua de façon très professionnelle : « bonjour docteur, cest très gentil dapporter ce dossier de sortant ». Un discret sourire de connivence accompagnait cette phrase. Elle se tourna, vers un coin du bureau que je navais pas vu et dit « Léa, veux-tu archiver ce dossier ». Je me tournais vers la fameuse stagiaire dont Michèle nous avait parlé ; je découvris une superbe créature visiblement à la fois excitée par mon arrivée et très réservée dans son attitude. Elle avait une superbe poitrine et son cul quelle balançait à ravir quand elle se leva pour emporter le dossier, était à se damner. Quand elle eut quitté le bureau, Michèle me fit un coup dil : « alors grand pervers, elle texcite !! ».

Je répondis par un sourire à cette phrase prononcée à voix basse, puis je retournais à mes occupations. Ma bite sétait affolée dans mon slip et jessayais de cacher sous ma blouse la bosse qui déformait mon pantalon. Je commençais à imaginer une soirée avec Maya et Michèle où Léa serait notre jeune salope à pervertir.

Je décidais de terminer plus tôt, pour retrouver Maya chez elle, afin daller à notre rendez-vous. Quand je suis arrivé chez Maya, japerçus Diane qui rentrait et me fis un signe de la main et me lança « A tout à lheure », elle avait une démarche, très suggestive qui ma tout de suite fait bander. Je sonnais chez Maya, qui mouvrit la porte quasiment à poil. Elle navait que des bas résille et un porte jarretelle noire. Je rentrais et lembrassais immédiatement dans la bouche nos deux langues se lovant lune contre lautre dans un bruit de succion très érotique. Je lui caressais la chatte et mon index sintroduisit dans la fente et pénétra son vagin qui était chaud et gluant. « Tu devais te branler avant mon arrivée, chérie » je retirais mon doigt pour le porter à ma bouche afin damener nos deux langues à le lécher et simprégner de cette odeur de chatte qui, chez Maya, avait des notes exotiques et salées en même temps. Elle me regarda dans les yeux avec un sourire associé à une expression de grand sérieux et me dit en me caressant à lendroit où ma braguette me serrait « Jai limpression que as croisé une salope qui ta fait bander ». « Tu ne peux pas mieux dire, jai vu Diane en arrivant qui ma rappelé notre rendez vous »

« Nous navons pas de temps à perdre ». « Veux-tu un grand thé Robert avant notre ballade vers le bois, moi jen prends deux grands bols » Me demanda Maya avec un grand sourire coquin. Jacquiesçais et je lui dis : « Ce serait sympa que tu ne mettes pas de culotte chérie ».

« Cest prévu grand pervers ».

Elle enfila un teeshirt très moulant avec un joli col en V qui dévoilait sa poitrine et faisait ressortir les mamelons dressés sous le tissu et elle mis une jupe très courte en stretch qui lui arrivait au niveau des jarretelles de ses bas. Avec ses escarpins à haut talon et son maquillage très contrasté, Maya avait un look de pute. Cela mexcitait follement.

Quand nous arrivons à lendroit du rendez vous (une aire de stationnement non goudronnée empiétant sur la forêt au bord de la route avec deux tables de pique nique en bois plus loin à lintérieur des bois). Il y avait déjà une voiture (le même modèle et la même couleur que celle sur laquelle nous avions laissé notre petit mot). Nous nous tenions par la main et notre excitation était palpable, au point que nous nosions parler comme par peur de faire fuir un animal sauvage magnifique que nous savions très proche.

Nous aperçûmes un couple assis à une des tables de pique nique. Elle était assise sur la table, un pieds sur le banc et lautre sur la table le genou plié et les jambes écartées devant le visage dun homme qui était de dos par rapport à nous. Au fur et à mesure que nous approchions, nous pouvions clairement distinguer quelle ne portait pas de culotte et que son sexe était magnifiquement rasé. Lhomme embrassait lintérieur des cuisses de sa compagne. Je lâchais la main de Maya et la mis sur le bord de sa jupe que je remontais progressivement laissant apparaitre les fesses et la chatte de Maya. La femme eut un grand sourire. Nous lentendîmes dire à son compagnon, « ils arrivent chéri ».

A 3 ou 4 mètres deux, je leur dis « Bonsoir ». Ils répondirent : « Bonsoir » « Cest vous que nous attendions ? » « Cest bien possible, si vous avez trouvé un message sur le pare brise de votre voiture avant-hier ». « Je me présente, Robert, mon amie Maya ».

Lui me répondit en me tendant la main : « Gérard et ma compagne Alexandra ». « Nous avons été très excité par proposition de rencontre Alexandra et moi, car ce nest pas très courant les amateurs de jeux uro et scato ; vous pratiquez depuis longtemps » « En fait nous sommes ensemble depuis peu et nous avons découvert le plaisir que nous procure les jeux avec la pisse, mais nous navons pas encore essayé les jeux scato. » Pendant que nous échangions, Alexandra se caressait et Gérard commencer à défaire les boutons de son pantalon et à descendre sa braguette. Alexandra prit la parole, « nous pratiquons depuis 3 ans et nous avons fait quelques rencontres sympathiques avec dautres couples qui partagent les mêmes fantasmes ; si vous avez envie de participer à des rencontres très branchées uro et scato, ce serait avec plaisir que nous pourrions vous inviter. » Maya se tortillait un peu et nous dit « Vous parlez, mais moi jai très envie de pisser, le thé que jai pris avant de venir fait son effet ».Gérard lui dit « Super tu vas nous pisser dessus » et il retira son teeshirt et son pantalon ; Alexandra descendit de la table et enleva son haut et sa jupe ; ses seins ballotaient un peu, mais leurs tétons étaient saillants et bien dessinés. Je dis à Maya : « monte sur la table, enlève ta jupe », puis je me mis à poil pour recevoir la pisse de Maya, Alexandra était à mes côtés ainsi que Gérard. Alexandra sétait emparée des deux bites qui étaient à sa portée et elle les branlait tranquillement gueulant à Maya : « Envoie nous ton champagne, aller pisse ». Maya avait légèrement plié les genoux en écartant les cuisses et elle écartait légèrement les lèvres de sa fente pour découvrir au-dessus de lentrée du vagin le méat doù la pisse commençait à sortir. Elle avait tellement envie de pisser que ce fût un vrai déferlement en un jet dru bouillonnant quelle dirigeait de droite à gauche pour nous arroser copieusement. Alexandra était toute excitée, Gérard avançait la bouche pour ne pas en manquer une goutte. Quand Maya eut fini, Alexandra lui nettoya avec méticulosité la chatte avec sa langue. Je montais sur la table pour vider ma vessie sur nos nouveaux amis et Maya tendit la bouche pour grappiller quelques lampées.

Nous décidâmes de nous revoir et nous avons échangé nos coordonnées pour reprendre contact. Après avoir repris nos vêtements et nous être habillés à la hâte nous sommes revenus chez Maya pour prendre une douche et nous préparer pour le rendez vous chez Roger et Diane.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire