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Le secret de Charlotte – Chapitre 4

Le secret de Charlotte - Chapitre 4



Chapitre 4 : Aveux publics

 

   Cela fait plus de six mois maintenant que je sors avec Charlotte, une collègue de cours de l’université sur qui j’ai flashé au premier regard. Enfin "sortir" est un grand mot : c’est mon sac à foutre, mon esclave sexuel, et je suis son maitre. Non, je ne suis pas un salaud. Cette fille a un grain : dès qu’il s’agit de sexe, elle se transforme en véritable pute. C’est elle qui veut être soumise et malmenée. Elle vit avec moi, et il ne se passe pas un jour sans que je me vide les couilles en elle.

  C’est son truc, se faire user. Je ne pensais pas que je serais capable de participer à un truc pareil, mais j’avoue que c’est bon de vivre une telle relation décomplexée. Dès que j’ai envie, je n’ai pas à me prendre la tête à la chauffer, à lui demander si elle a envie, ou d’autres conneries du même genre. C’est "Chérie, penche-toi sur la table", je baisse mon froc, la fourre, et tire mon coup. Elle gueule, mais elle gueule de plaisir.

  Elle est trop belle, elle me fait trop envie. C’est une petite brune mince aux cheveux long. Elle n’a quasi pas de seins, et elle a la peau sur les os, mais je la trouve trop bandante comme ça. Il n’y a pas besoin d’avoir une grosse paire de nibards pour être attiré par une fille.

   Malgré notre petit jeu de soumise et de dominant, elle est bien plus qu’un trou à bite pour moi. Je l’aime, je suis amoureux. Je me tâche de le lui montrer chaque jour à ma manière ; à notre manière. Les gens nous trouveraient tordus s’ils nous voyaient au quotidien, mais on s’en fou, on c’est heureux comme ça

  À vrai dire, "les gens" ne sont pas au courant de notre relation. Nous ne l’avons dit à personne, pas même à nos amis les plus proches. Aux yeux de notre entourage, nous ne sommes que deux amis qui s’entendent bien. Ça m’amuse ce petit jeu. Tout le monde sait que je suis amoureux d’elle depuis le premier jour, alors quand des rumeurs ont circulé qu’elle avait un nouveau copain, mes potes ont eu de la pitié pour moi. Faudra bien que je leur relève la vérité à un moment où à un autre, mais en attendant, je profite. Personne ne sait qui est son mystérieux amoureux. Tout ce qu’ils savent, c’est qu’on la voit se balader parfois au campus avec du sperme coulant le long des cuisses. Rien que ça, ça a choqué tout le monde. Charlotte est une fille d’apparence si sage. Je me demande ce qu’ils diraient s’ils réalisaient qu’en général, ce n’est pas sa chatte mais son cul qui déborde.

  Parfois, nous organisons des petites soirées entre potes. Quand ça arrive, nous allons toujours chez Mike. La plupart d’entre nous vivant dans nos petits studios merdiques, c’est le seul à avoir un appartement assez grand pour nous accueillir tous. Nous n’y faisons rien d’extraordinaire : on boit de la bière, on discute de tout et de rien, on joue à des jeux vidéo ou on regarde la télé. En clair, on a trop la flemme de sortir.

   Je suis confortablement installé dans un des fauteuils du salon. Les filles rigolent en jouant à la console. Martin, un autre ami, vient me voir en me parlant à voix basse pour me charrier une nouvelle fois au sujet de Charlotte. Je dois avouer que ça commence à me saouler. Maintenant, c’est plusieurs fois par jour que je me prends des remarques du genre : "Hey, ça ne te fait pas trop chier de savoir qu’elle a un nouveau copain ?" "Hey, tu as une idée de qui c’est ?" Quelques minutes plus tard, c’est Mike qui vient enfoncer le clou en me lâchant carrément : « Ça ne te rend pas dingue qu’elle se fasse baiser sur le campus et de savoir qu’elle est pleine de sperme d’un autre quand elle s’assied à côté de toi ?" Bon, cette fois, j’en ai marre. La mascarade a assez duré. Il est temps de tout avouer :

Non, cela ne me rend pas dingue. Parce que son mec secret, c’est moi.

Haha, t’aimerais bien, hein ? me taquine Mike.

  Je crois qu’il n’a pas compris que j’étais sérieux :

Non, je ne déconne pas. Charlotte et moi, on est ensemble. On l’a dit à personne parce que cela nous faisait marrer, c’est tout.

Arrête de délirer. Allez, soit pas deg. Tu auras peut-être ton tour un jour.

  Il commence à m’énerver là :  

Mais si je te jure ! Putain, c’est si dur à concevoir ? En plus, elle a un grain. Elle fait tout ce que je lui dis comme une pute servile. Une vrai tarée je te dis !

Dans tes rêves, ouais.

Putain, mais tu m’écoutes quand je te parle ?

Bah si vous êtes vraiment ensemble, prouve-le. Ce n’est pas super compliqué.   

  Il me met au défi ? Ok, il va voir. Il l’aura voulu :

Charlotte ? Viens ici, lui fais-je d’un ton autoritaire.

   Je ne sais pas ce que je fais, c’est un pari. On serait entre nous, je sais qu’elle m’obéirait sur le champ, mais là, en public, je ne suis pas sûr de sa réaction. Elle pourrait très bien me laisser en plan, je passerais pour un con. Heureusement, j’ai de la chance : elle abandonne tout de suite sa manette pour venir près de moi.

Qu’est ce qu’il y a ? me demande-t-elle.

Mike ne croit pas que nous sommes ensemble et que tu es ma petite pute obéissante. Montre-lui. Suce-moi.

  Mike n’en croit pas ses oreilles. Ça se comprend, en général, je ne suis pas du genre à parler mal ou à me comporter en connard. Je suis fou de faire ça. Charlotte pourrait m’en vouloir à mort de l’avoir traitée comme une salope devant tout le monde. Sachant à quel point elle tient à son secret, cela pourrait même être une cause de rupture. J’ai le cur qui bat la chamade. Je réalise que je viens de faire une connerie. Je suis vraiment aller trop loin cette fois. Je m’attends à ce qu’elle m’envoie chier, quand une chose incroyable se produit : elle s’agenouille et défait mon pantalon. Mike me regarde avec des yeux équarris quand elle en sort mon sexe et me branle pour me rendre dur.

C’est bien, brave petite.

  Elle me prend en bouche alors que je suis encore à peine à demi mou. Je soupire de plaisir en mettant ma main sur sa tête pour la forcer à continuer, non pas qu’elle ait besoin de ce genre d’encouragement.

Alors, tu me crois, maintenant ? fais-je à Mike.

   Il ne répond pas. Il est tellement stupéfait par ce qui arrive.

L’imbécile ne me croyait pas que je lui ai dis que tu étais ma pute, fais-je à Charlotte en la regardant dans les yeux. Dis-le-lui. Dis-lui que tu es ma pute.

Je suis sa pute, obéit-elle docilement en sortant une seconde mon sexe de sa bouche avant de reprendre.

Dis-lui que tu es ma chose.

Je suis sa chose. Son sac à foutre, il peut me baiser quand il veut.

Et moi ? Qui suis-je ? Dis-lui qui je suis pour toi.

Mon maitre.

  Là, tu vois, Mike ?

  Il ne dit toujours rien. Il doit être en état de choc. Moi, je profite un max de la situation. Charlotte va-et-vient le long ma bite maintenant bien raide tout en me léchant le bout du gland. Les autres commencent à se rendre compte de ce qui se passe et se sont arrêtés de faire ce qu’ils faisaient. Certains ont même entendu notre conversation. Ils sont stupéfaits. Ils n’arrivent pas à croire cette scène surréaliste : Charlotte est là, à genoux devant moi, en train de me tailler une pipe devant tout le monde. Je dois dire que ça m’excite à mort.

  Même si on s’est bien amusé à garder notre relation secrète, j’ai au fond toujours eu envie de crier mon amour sur tous les toits. Maintenant que tous les yeux sont rivés sur nous, c’est le moment de faire une déclaration officielle :

Vous vouliez savoir qui était l’amant de Charlotte ? crie-je bien fort. Bah voilà, vous savez maintenant : c’est moi. C’est moi qui la baise sur le campus entre les cours. Je l’aime, je suis amoureux, c’est ma petite salope à moi. Et putain ce qu’elle est chaude !

   À l’exposer ainsi, je craignais une opposition virulente de sa part, mais au lieu de cela, elle continue de me pomper avec dévotion. Elle est plongée entièrement dans son rôle. Parmi notre le public, certains sont scandalisés, d’autres s’échangent des réactions à voix basses, mais personne ne s’enfuit en hurlant ni nous cherche à nous empêcher de faire ce que nous faisons. Puisque c’est ainsi, je compte bien leur offrir du spectacle. J’espère qu’ils sont excités par ce qu’ils voient et qu’ils nous jalousent.

Chérie, tu portes ton jouet ? fais-je à Charlotte.

  Elle acquiesce à travers ma bite.

Montre-le à nos amis.

  Sans s’arrêter de me sucer, elle relève sa jupe pour montrer à tout le monde que non seulement qu’elle ne porte pas de culotte, mais qu’elle a en plus un plug fiché au fond du cul. Les réactions ne font pas attendre. Ça chuchote où ça s’horrifie. Je remarque quelques garçons se passer discrètement la main sur la verge. Ils doivent avoir envie de se branler. Maria, une de nos amies, fait de même en se serrant l’entrejambe. Cela me fait plaisir qu’elle assume plus que Corine, sa meilleure amie qui nous regarde d’un regard écuré, mais qui pourtant est toujours bel et bien là.

  Je me redresse un instant pour passer un doigt vite fait sur la fente de ma chienne. Comme je m’y attendais, elle coule. Les mecs doivent se régaler du spectacle. Je me cale dans mon divan pour mieux profiter de ma pipe. Je ferme les yeux en la forçant à me faire quelques gorges-profondes. Je suis bien, à l’aise, sans aucun complexe ni honte.

Hmm, Charlotte. Suce-moi bien, ma petite salope. Tu m’excites.

  Elle s’applique la bougre ! Ses bruits de succion me rendent fou. Elle a une manière de me lécher et de me prendre entre ses lèvres qui trahit combien elle aime ça. Elle prend soin de ma bite comme si c’était un objet de vénération. Un être à part entière qu’elle veut câliner et chouchouter pour la remercier du bien qu’elle lui fait, et qu’il va encore lui faire. Elle n’est pas mon esclave, elle est esclave de ma queue. C’est elle son véritable maitre pour qui elle se soumet. Ça pourrait presque me rendre jaloux.

Vous pouvez vous branler si vous en avez envie, vous savez, fais-je à notre audience toujours planté là. Ce n’est pas moi qui vous jugerais. Moi en tout cas, je ne vais pas me gêner pour baiser ma femme. Tu entends ça, salope ? Tu n’y échapperas pas, tu sais. Je vais te baiser. Je vais te baiser devant tout le monde. Et quand j’en aurais terminé, tout le monde saura que tu es une pute qui gueule quand elle jouit.

   Il faut croire que mes mots lui font de l’effet, car elle se passe une main sur la chatte pour se caresser.

  Ça y est, Mike a commencé à se masturber. Maria se retient toujours. Elle doit mouiller comme une folle, je le sens. D’autres suivent peu après. Il faut dire que Charlotte me fait une fellation digne des plus chaudes actrices de film de cul. C’est tellement bon que je n’en peux plus de rester passif, il faut que je la prenne !

Hmm, tu suces bien, ma salope. Tu mérites une récompense. Viens, relève-toi.

  Après l’avoir déshabillée, je l’emmène vers la table et la force à se pencher, les seins et le torse pressés.

Je vais te défoncer le cul, sale chienne, dis-je en enlevant le plug. Je vais leur montrer comment on baise une petite pute comme toi.

 Elle ne dit rien, elle m’attend. Je lui donne une fessée, puis j’enfonce mon gros chibre d’un trait tout au fond de son anus. Elle hurle à ma première pénétration. Je me mets à l’enculer férocement sans attendre. Elle m’a vraiment trop chauffé. Je ne fais preuve d’aucune douceur, elle n’en veut pas de toute manière. Je la saute en mettant mes mains sur ses hanches. Putain, elle a vraiment la peau sur les os. J’ai presque peur de la briser.

Putain, Charlotte ! commente un de nos amis qui n’en revient pas.

Je l’imaginais pas aimer l’anal, balance un autre tout aussi étonné.

C’est une pute qui aime se faire prendre par tous les trous, fais-je en la fessant à nouveau. Hein salope ? Dis-le-leur ! Dis-leur combien tu aimes ça !

J’aime ça !

Plus fort ! Ils n’ont rien entendu.

J’aime ça ! crie-t-elle.

Tu aimes quoi ?!

Être une pute qui se fait prendre par tous les trous !

Tu aimes ma bite ?!

Oui !

Alors dis-le leur !

J’aime sa bite ! Elle me fait jouir ! Aaaaaaaah !

  Ça y est, elle a déjà son premier orgasme. Je crois que les autres vont également découvrir ce soir combien c’est une machine à jouir. Malgré la situation, elle est à fond dedans. Elle est l’autre Charlotte, la fille qui a un grain, celle qui ne cesse de crier son plaisir.

  Nos potes ont pris leurs aises, ils se masturbent maintenant sans gêne. Martin et Maria sont assis sur le sofa en train de nous regarder. Cette dernière a finalement craqué elle-aussi et se caresse allégrement la chatte. Il faut croire que ça l’excite de voir son amie se faire défoncer le cul

Vous êtes tous des malades, bordel, déclare soudain Corine. J’en ai marre, je me barre.  

 Elle ramasse ses affaires puis se casse en claquant la porte. C’est une faux-cul, une coincée. Ça en crevait les yeux que le spectacle l’excitait. Elle n’assume pas, c’est tout. Quelle pauvre conne. Je suis sûr qu’une fois chez elle, la première chose qu’elle va faire, c’est se branler. Le plus drôle, c’est que son mec est resté pour se palucher avec les autres. Ça sent la belle scène de ménage en perspective.

  Un autre de nos amis la suit presque tout de suite après, lui-aussi trop gêné. Ah bah tant mieux, qu’est-ce qu’on s’en fout ? Moi je m’éclate à limer le fion ma trainée.

  Mike n’en peut plus. Il vient vers nous en s’astiquant à fond et présente son sexe à Charlotte à l’autre exterminé de la petite table.

Putain, je n’en peux plus. Suce-moi, salope !

Hey ? Tu joues à quoi là ?! fais-je choqué.

Bah quoi ? C’est une pute, tu l’as dit. Il n’y a pas de raison de pas en profiter.

Bah voyons. Quand je t’ai dit que j’avais le béguin pour elle, tu n’as pas arrêté de me charrier en disant qu’elle moche, maigre, et sans poitrine ; et maintenant, tu voudrais de te la taper ? Dégage, mec !

Allez, soit sympa, merde. Je retire ce que j’ai dis, elle est trop bonne. Pitié, laisse-la au moins me sucer !

Tu n’as pas compris ou quoi ?! Oui, c’est une pute. Mais c’est MA pute ! Je ne la partage avec personne ! Alors retourne t’assoir avec les autres et apprécie le show.

  Dépité, il finit par m’écouter. Je ne suis pas fâché, au contraire. Ça m’excite de savoir que d’autres voudraient être à ma place, qu’ils se branlent en s’imaginant pouvoir la baiser. Oui, elle est belle, elle est bandante, elle est chaude, et surtout, elle est à moi, RIEN qu’à moi ! Je la tire par les cheveux et lui mets des fessées. Je lui ramone l’anus avec ma grosse queue pour en faire un cratère. Dieu que c’est bon ! Ce qui est vraiment incroyable chez elle, c’est que plus je l’encule, plus elle mouille. C’est comme si sa chatte pleurait de bonheur, ou suppliait que quelqu’un d’autre vienne la prendre.

Aaaah ! Encore ! Encore ! gueule-t-elle.

Ooh, ça oui, je vais t’en donner encore. Je vais te montrer combien tu me rends dingue ! Je t’aime ! Il n’y a que toi qui me fais envie. J’ai envie de te baiser encore et encore jusqu’à la fin de mes jours !

Ouiii, maitre. Je serais votre sac à foutre dévoué !

   Je crois que personne ne s’imaginait Charlotte appeler un jour quelqu’un "maitre", ou demander d’être un "sac à foutre". Cela doit être une sacrée révélation pour eux. Elle semble enfin pleinement assumer ce qu’elle est, ce qu’elle aime. Elle s’en fout tant qu’elle prend son pied. Elle n’arrête pas de gueuler. Son mascara a coulé, c’est devenue une vraie loque.

  Je la fais se redresser et la tourne vers notre public. Je lui prends une jambe, puis l’autre, pour la porter tandis qu’elle passe un bras autour de mon cou pour se soutenir. Elle est maintenant suspendue dans les airs face à tout le monde, son cul empalé sur ma bite. Je la fais monter et descendre pour la pourfendre de tout mon long.  

Alors, les mecs, elle n’est pas belle ma Charlotte ? Regardez-moi ça. Ça ne vous fait pas bander de voir son petit cul se faire défoncer et sa chatte dégouliner ?

  En guise d’acquiescement, mes potes se masturbent encore plus fort.

Alors ma chérie, tu aimes ce que je te fais ?

Oui, j’adore !

Dis à nos amis combien tu aimes ça.

J’adore qu’Alex me défonce le cuuuuuuuuuuuul. Il me fait jouiiiiiiiiiiiir ! C’est mon maaaaaaaaaaaitre. Je veux être sa puuuuuuuuuuuuuute.

Tu ne voudrais pas qu’un de nos amis vienne te remplir la chatte ?

Nooooooooon. Je m’en fouuus. C’est toi que je veuuuuuuuuux. La bite de mon maiiiiiiiiiiiitre.

Désolé les mecs. La dame a parlé.

  Je lui donne des coups de bassins en même temps que je la fais coulisser sur ma verge. Maria se doigte comme une folle. Ça m’excite de penser qu’elle voudrait être à la place de Charlotte et que je l’encule comme ça. Elle est moins coincée qu’elle n’en a l’air. Ce qui m’excite encore plus, c’est de me dire qu’à partir d’aujourd’hui, à chaque fois que mes potes croiseront Charlotte, ils se rappelleront de cette soirée et auront envie de la baiser. Sauf que c’est moi son mec, ils ne pourront jamais la toucher. Au mieux, ils pourront se branler en pensant à elle.

  Je ne sais pas combien de fois elle a déjà joui, c’est difficile de juger quand elle beugle comme ça. Une chose dont je suis sûr, c’est qu’elle a un super orgasme quand soudain elle envoie un énorme jet de mouille en plein sur nos amis.

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! crie-t-elle.

  Putain on dirait qu’elle leur pisse dessus. Une vraie femme fontaine, je ne l’avais jamais vue faire ça avant.

Putain ! se plaint un nos potes éclaboussés.

Charlotte ! n’en croit pas un autre.

Encore ! Encore ! en redemande-t-elle.

  Cette fille n’en a jamais assez…

Je vous l’avais dit qu’elle avait un grain. Vous avez déjà vu une fille jouir par le cul comme ça ? Putain les mecs, vous n’imaginez pas combien il est bon en plus ! Je pourrais me passer de sa chatte et lui limer le fion toute sa vie !

  Elle a l’air si petite dans mes bras musclés, si fragile. Elle est mon jouet. J’abuse de son orifice pour me faire du bien comme si c’était une poupée gonflable. Elle me rend tellement animal. J’ai besoin de lui remplir son petit trou. À la voir prendre son pied comme ça alors que suis en train de lui violer l’anus, je l’aime encore plus fort. Je peux lui faire tout ce que je veux, elle aimera toujours ça. Je veux que les autres le sachent, qu’ils en soient jaloux car ils ne connaitront jamais ça. Quand ils resteront célibataires, ou seront avec leurs copines coincées du cul, moi, j’abuserais de ma Charlotte pour me vider les couilles où et quand je veux.

  Du moins je l’espère. Je l’humilie devant tout le monde. Quelle sera sa réaction lorsque nous rentrerons chez nous ? Je ne fais pas ça pour la dégrader, je le fais pour qu’on sache à quel point elle est fantastique et qu’elle est à moi. Deux de mes potes ont sorti leur téléphone pour prendre des photos et filmer la scène. Même Maria finit par sortir le sien.

C’est ça, filmer tous, les mecs. Vous m’enverrez une copie, on la regardera tous les deux. Hein ma salope ?

  Elle ne répond pas, elle se remet toujours de son dernier orgasme.

  Ce n’est pas que je me lasse, mais mes forces commencent à m’abandonner à la porter ainsi. Je la repose par terre, prend une manette de la console, et utilise le fils pour lui lier les mains derrière le dos. Je la mets à genoux pour lui baiser la bouche un moment. Sa gorge chaude est vraiment délicieuse. Elle est mon esclave. Elle ouvre grand pour essayer de m’avaler tout entier.

  Je m’installe dans un siège, et lui demande :

Tu veux encore ma bite ?

Oh oui ! Oh oui !

Alors grimpe-moi dessus et viens la chercher.   

  Elle se remet debout tant bien que mal et me monte dessus sur le fauteuil. Elle remue du bassin pour essayer de s’empaler sur ma verge dressée, mais elle a quelques difficultés.

Allez, aide-moi ! Putain, je la veux !

Désolé, mais si tu la veux, il faut que tu te l’enfonces toute seule comme une grande.

Allez ! Allez ! geint-elle tandis qu’elle n’y arrive toujours pas.

  Elle pousse un long soupir de soulagement lorsqu’elle se pénètre enfin la chatte avec mon gros bout. Elle me rebondit dessus avec la force du désespoir. Ce que c’est beau de la voir dans un tel état malgré qu’elle ait déjà joui plusieurs fois.

  Je ne l’aide pas. Je lui caresse tendrement les jambes tandis qu’elle fait du va-et-vient en pleurant de joie. Les mains toujours liées dans le dos, elle essaie de se tenir droit pour ne pas tomber sur moi.

C’est ça ma chérie, montre à tout le monde combien tu aimes ma bite.

Oh oui, je l’aime ! Je l’aime ! Il me la faut absolument au fond de mon vagin.

  Je lui donne une fessée pour l’encourager. Ses yeux sont à demi-clos à force d’être perdue dans son plaisir. Elle a besoin de me sentir en elle, de se faire du bien. Ça la rend encore plus belle et désirable.

  Elle est à bout de force. Elle s’écroule sur moi, mais continue à remuer les hanches tant elle me veut. C’est une véritable chienne en chaleur en manque de queues.

Putain, les mecs, matez-moi ça, commente Mike. Les rues seraient pavées de bites qu’elle marcherait sur le cul.

Aaah ! Mais c’est tellement bon ! se justifie-t-elle. Vous ne pouvez pas compreeeeeendre !

Moi, je te comprends, Charlotte, la soutient Maria.

  Elle s’est carrément enfoncée des doigts dans le cul maintenant. La pauvre, elle doit tellement avoir envie d’une bonne bite. Ce n’est pourtant pas ça qui manque. Ça doit la rendre folle de voir toutes ces verges tendues qui se branlent tout autour d’elle. Elle doit mourir d’envie qu’on vienne lui en fourrer une dans le vagin, mais elle est trop coincée pour oser demander. Les mecs ne sont pas mieux lotis. Ils doivent avoir une furieuse envie de baiser, mais il n’y en a pas un qui remarque qu’elle est bonne à prendre. N’importe qui pourrait lui enfoncer sa queue qu’elle ne dirait pas non, mais personne n’essaie de tenter sa chance. J’ai presque pitié d’eux. Si j’étais à leur place, ça ferait longtemps que je l’aurais fourrée la petite Maria. Je le ferais bien rien que pour l’aider, si je n’étais pas si excité par Charlotte. Il n’y a pas à dire, maintenant que je l’ai goutée, je m’en fou des autres filles. Je ne peux néanmoins pas la laisser comme ça :

Bordel, les mecs, vous êtes trop con ou quoi ? Vous êtes là à vous branler comme des idiots, vous ne voyez pas que Maria a besoin qu’on s’occupe d’elle un peu ?

C’est vrai Maria ? demande Martin.

Je… oui, rougit-elle.

Mike, tu voulais te faire sucer tout à l’heure, non ? lui fais-je.

Je… Maria, tu voudrais bien ?

Oui, répète-t-elle à nouveau.

  Ça y est, ils commencent enfin à se lâcher un peu. Maria est flattée de recevoir soudain l’attention de trois mâles en rut. Mike lui présente son dard qu’elle avale tout de suite tandis que Yves joue avec ses seins. Yves, le copain de Corine… Il n’a aucune gêne de la tromper avec nous ! De toute façon, ce n’est pas moi qui irait cafter. Elle n’a que ce qu’elle mérite, elle n’avait qu’à pas se casser en reniant ses pulsions.

  Martin saute du divan et la tire un peu vers lui pour avoir accès à sa chatte. Il la pénètre d’un trait et commence à la bourrer.

Maria ! s’exclame Charlotte qui n’arrive pas à croire ce qui se passe.

  Ce sont des animaux. Nous sommes tous des animaux. Nous avons besoin de baiser et de jouir.

Retourne-moi ! Je veux voir, je veux la voir, insiste Charlotte.

Tu veux voir ta copine se faire sauter par trois mecs ?

Ouiiiiii.

Tu es sûr que tu le mérites ?

Ouiiii ! J’ai été saaaage. S’il te plaaaaaait !

Bon, d’accord.

  Je la retourne pour qu’elle me chevauche de dos. Je la tiens par les hanches et lui donne des coups tandis qu’elle continue de s’empaler sur moi. Ensemble, nous regardons Maria se fait prendre. C’est une chienne en chaleur. Elle a besoin de se faire fourrer, peu importe à qui appartient la queue. Mon Dieu, qu’avons-nous fait ? Nous avons transformé nos potes en bêtes sauvages.

  Martin se retire et laisse sa place à Yves. Il la prenne chacun à leur tour. Quand l’un s’amuse dans sa chatte, elle suce les deux autres. Ils ne lui font pas l’amour. Ils ne l’aiment pas. Ils ne cherchent pas à lui faire du bien, juste à décharger leur sperme, et cela lui convient très bien.

  Maria, déplore Charlotte.

C’est ta faute, lui dis-je. C’est toi qui les as rendus comme ça. Tu en as assez vu. Je te retourne maintenant.

Non ! Non ! Je veux encore regarder !

C’est moi qui décide, salope ! fais-je en la giflant.

Mais j’ai été saaaaaaage !

C’est vrai, ça mérite une récompense. Que dis-tu que je te baise avec le plug dans le cul ?

Oh ouiiiiiiiiiiiii !

  Je vais chercher vite fait le jouet avant de me remettre en place dans mon fauteuil. Elle bondit sur moi sans que je le lui demande. Je l’aide à la pénétrer avec ma queue, puis la maintient le temps d’enfoncer le plug au fond de son anus.

Ouiiiiiiiii !

T’aime ça, hein ? Avoir l’impression d’être prise par les deux trous en même temps ?

J’adooooooooooooooooore !

  Nos potes ont beaux être en train de baiser, cela ne les empêche pas de continuer à nous regarder. Martin est en train de fourrer Maria en la tenant par les cuisses. Elle est totalement offerte. Un vrai vagin qui ne demande qu’à se faire ramoner. Soudain, il beugle :

Putain ! J’ai trop besoin de gicler ! Aaaaah !

  Ce salaud se vide les couilles dans sa chatte sans même lui demander son avis ; bien qu’elle n’ait pas l’air de s’en plaindre. Il lui donne quelques derniers coups de bassin histoire de s’assurer de tout lui donner, puis il se retire.

Oooh, désolé Maria, s’excuse-t-il. Je n’en pouvais plus. J’en avais trop besoin.

Ce n’est pas grave. Mais je n’ai pas joui moi. Allez les garçons ! Faites-moi jouir !

  Yves prend le relais. Elle écarte les cuisses pour le laisser venir. Elle m’épate, je ne la croyais pas capable de ce genre de choses. Maria a toujours été une gentille fille un peu prude. Cela me fait vraiment drôle de la voir comme une chienne en chaleur qui a besoin qu’on lui donne un orgasme.  

  Yves est un peu plus attentionné. Au lieu de simplement chercher à se finir, il essaie d’abord de l’achever.

Oui ! Oui ! C’est bon comme ça, dit-elle. Continue.

Tu vas jouir ?

Oui. T’arrêtes pas.

  Il continue de la besogner pendant une minute, puis elle se met enfin à jouir :

Aaaaaaaaaaah ! Je vieeeeeeeeeeens !

Oh Maria ! Moi aussi ! Hmmmmmmmmm !

  Ils jouissent ensemble, c’est mignon. Il déverse tout son foutre au fond de sa chatte tandis qu’elle le serre contre lui pour l’accueillir en elle. Il en ressort peu après flasque et satisfait. Maria est désormais remplie du sperme de deux hommes. J’espère qu’elle prend la pilule, sinon, il lui faudra un test de paternité pour savoir qui est le coupable.

Hmm, c’était bon, soupire-t-elle. Merci, j’en avais besoin, putain. Je me sens mieux.

Putain, mais je n’ai pas fini moi, geint Mike. Je n’ai pas encore éjaculé. J’ai besoin de baiser !

C’est bon, vas-y. J’ai déjà joui, mais ce n’est pas grave. Je serais la dernière des salopes si je te laissais comme ça. Viens, prends-moi.

Oh oui !

  Il se met en position et la pénètre tout de suite. Le contraste avec Yves me met un peu mal à l’aise. Maria ne prend plus de plaisir, elle fait juste ça par charité, quand à Mike, il n’en a rien à faire d’elle particulièrement, il se sert juste de sa chatte comme un vulgaire trou à bite. Moi aussi je me sers de Charlotte pour tirer mon coup, mais au moins, je l’aime, et elle prend son pied avec moi. Il lui donne des coups de bassins de plus en plus virulents. Il n’en a plus pour longtemps. Elle, on sent qu’elle attend avec impatience que cela se termine :

Tu vas jouir ?

Putain oui.

Allez, viens. Ne te retient pas. Tire ton coup.

Oui ! Oui ! Aaaaah !

  Ça y est, c’est à son tour de se vider les couilles. Il se fige au fond d’elle. J’ai quand-même du mal à croire que Maria vient de servir de sac à foutre à trois mecs. Elle qui a toujours eu une vision romantique de l’amour. Elle devait vraiment être en manque pour faire un truc pareil. Quand il se retire, sa chatte déborde de sperme tellement elle est pleine.

   Ils ont l’air bien soulagés maintenant qu’ils ont tous eu leur orgasme, mais nous, nous n’en avons pas encore terminé. Sous le regard de notre public qui a repris son enregistrement de la scène avec leurs téléphones, je continue de baiser Charlotte tandis qu’elle a son plug dans le cul. Elle gueule tellement fort qu’en plus de boiter, elle finira aphone demain. Collée contre moi, je lui donne de furieux coups de reins. Ce que j’ai faim de sa chatte trempée. Je remarque que le jouet tente de se faire la malle tant mes assauts sont puissants. Je le renfonce au fond de son anus avant qu’il ne finisse par ressortir complément. Cela a l’effet de déclencher un orgasme instantané chez elle.

Je jouiiiiiiiiiiis ! Aaaaaaaaaah !

Ça, c’est ma petite salope !

   Je dois dire que je l’envie. Que je les envie tous. J’ai mal à la bite à force de bander comme ça. C’est trop bon, j’ai les bourses prête à éclater. Je n’en peux plus de me retenir. J’ai atteint depuis un bail ce point où baiser ne fait plus du bien mais devient une torture.

Hmm, Charlotte, ton maitre a envie d’éjaculer.

Oh oui ! Maitre ! Jouissez pour moi !

Comment tu veux que je jouisse ?

Dans la bouche ! Dans la bouche ! Je veux avaler, vous gouter. Votre sperme est tellement délicieux !

Alors mets-toi à genoux, trainée !

  Je l’aide à se dégager de moi tandis qu’elle se met docilement en position. Je la surplombe de toute ma hauteur. Elle ouvre grand la bouche pour que je vienne lui enfoncer ma hampe dans la gorge. Pas de bol pour elle, j’ai d’autres choses en tête. Je la gifle un bon coup pour le lui faire comprendre :

Tu veux peut-être avaler, mais ce n’est pas toi qui décide !

   Je lui attrape les cheveux et me branle devant sa gueule :

Je vais te souiller avec une douche de sperme devant tous tes potes pour qu’ils voient combien tu es une chienne. Regardez les gars, filmez bien et ne ratez rien. C’est comme ça qu’on traite une pute !

  Loin de se rebeller, elle sort la langue comme une bonne esclave. Elle est vraiment dans un sale état : son mascara a coulé, elle a les mains attachées dans le dos, elle est tellement crevée qu’elle tient à peine sur ses genoux, et pourtant, elle continue de se comporter comme la pire des salopes affamées de bites. Elle est en transe. Ses yeux me disent qu’elle me veut. C’est comme si elle avait besoin d’éjaculer autant que moi. Je m’astique comme un malade. Je n’ai plus à me retenir, c’est bientôt fini. Putain, ce que j’ai besoin de cette délivrance !

À moi ! À moi ! geint Charlotte. Du sperme ! Mon sperme ! Je le veux ! Je le veux !

Raaah, petite pute. Tu veux ta récompense, hein ?

Oui ! Oui ! J’ai été sage ! Maitre ! Pitié ! Nourrissez-moi ! J’ai soif de votre semence !

Oh ça ! Tu vas l’avoir !

  Franchement, le spectacle de la femme que vous aimez se comporter comme ça, ça fait craquer le plus endurant des hommes.

Ça y est ! Je viens ! Allez, prends ta récompense ! Salope !

  Je sens le sperme grimper le long de ma tige, puis exploser enfin. Je lui éclabousse sa jolie petite figure avec une première grosse giclée. Cela lui atterrit sur le front et le nez. Elle remue pour chercher à avoir les suivantes directement en bouche, je fais tout pour l’éviter. Je veux la salir, la souiller. J’éjacule avec force en beuglant comme un mâle. Je ne suis plus qu’à moitié conscient tant le plaisir est intense. Je lui envoie le reste de mon jus sur les joues et les seins. Je suis presque déçu moi-même quand mes couilles sont vides et que je n’ai plus rien à tirer. Elle plonge en avant pour me sucer et me rincer. Je me souviens que nos amis sont toujours dans la pièce que quand je les entends nous applaudir pour nous remercier le spectacle. Charlotte rougit de honte. Elle se colle contre mes jambes comme un animal de compagnie effrayé. Je l’admire, couverte de sperme qui dégouline sur tout son corps. C’est comme ça que je l’aime.

  Elle demande un mouchoir ou quelque chose d’autre pour se nettoyer, je le lui refuse en l’obligeant à rester à poil. Pire, je vais chercher son collier et sa laisse dans mon sac à dos pour les lui mettre. Je lui ordonne d’être ma chienne pour le reste de la soirée. Je me rhabille et me réinstalle dans mon fauteuil. Charlotte se tient juste à côté, à quatre pattes, le plug toujours fiché dans son cul.

  Nos amis, curieux, nous posent plein de questions. Comment c’est arrivé ? Depuis combien de temps ? Est-ce qu’on est toujours comme ça entre nous ? Je leur dis tout, sans tabou. Ils n’en croient pas leurs oreilles. Je tire parfois sur la laisse pour affirmer mon autorité sur Charlotte. Quand il est temps de partir, j’autorise ma chérie à s’habiller décemment. À peine arrivé à la maison, j’ai encore envie d’elle. J’arrache sa jupe et l’encule furieusement. Je me vide en elle après l’avoir faite jouir, puis lui remets le plug avec mon sperme encore à l’intérieur. Je veux que demain, quand je le lui retirerai, j’ai la preuve qu’elle l’a gardé tout ce temps.

  Avant de nous endormir, je redescends sur terre et redeviens un homme. Cela me donne soudain une crise de conscience. J’y suis peut-être allé un peu fort. Elle n’a plus rien dit depuis que je l’ai baisée devant nos amis. Je m’inquiète :

Charlotte, ça va ? fais-je.

Oui, fait-elle laconiquement.

Tu m’en veux ?

Non.

Vraiment ? Tu es sûre ? Je me sens mal d’avoir trahi ton secret en le disant à tout le monde comme ça.

Moi pas. Je me sens mieux.

  Ment-elle pour me rassurer ? J’ai du mal à la croire.

Je me sens soulagée d’un poids, poursuit-elle. Cela me fait du bien… d’assumer. Avant, je n’étais pas prête, j’avais honte, mais depuis que je t’ai rencontré… je me sens… libérée. Je suis comme je suis, c’est tout. Je t’aime, tu me rends heureuse.

  Je la sers fort contre moi. Moi aussi je l’aime. J’ai eu si peur un moment. Je m’en serais voulu de la perdre parce que j’ai trop joué au con.

  Nous avons définitivement perdu des amis après cette histoire. Les deux qui sont partis ne sont jamais revenus. Ils nous ont pris pour des gros tarés. Yves aussi a dû couper les ponts avec nous. Ni lui ni personne n’a raconté ce qui s’était passé au cours de la soirée, mais sa meuf lui en a voulu à mort de ne pas être parti avec elle. Pour recoller les morceaux, il lui a promis de ne plus jamais nous parler. Je trouve ça complètement débile. J’ai de la peine pour lui. Corine est une connasse coincée du cul, elle n’en vaut vraiment pas le coup. Ça ne va pas durer longtemps leur histoire.

  Avec les autres, par contre, cette affaire a renforcé nos relations. Nous sommes plus proche, plus intime, même si nous n’avons plus jamais refait une chose pareille. C’était un truc d’une fois, c’est tout.

  Mike a bien tenté de se taper Charlotte une ou deux fois dans les jours qui ont suivi, mais évidemment, elle l’a repoussé. Il a du mal à comprendre que si c’est une vraie chienne soumise, ce n’est pas non plus une pute ouverte à tout le monde. Je lui aurais bien défoncé la gueule si quelque part cela ne m’excitait pas de savoir qu’elle lui fait envie mais qu’il ne pourrait jamais la toucher. Je lui souhaite de bonnes branlettes pendant que moi je défoncerais le fion de ma chérie.

  Ma relation avec charlotte a beaucoup évolué avec le temps. C’est devenu encore plus sérieux entre nous. Cela n’a en rien assagi notre sexualité débridée, que du contraire. Ayant aujourd’hui beaucoup plus confiance, je l’ai autorisée à retourner dans son club de temps en temps. En ma compagnie, bien sûr. Elle a beau être à moi, je sais qu’elle fantasme toujours sur la double pénétration. Je suis ravi de pouvoir lui offrir ce petit cadeau de temps en temps. Mais tout cela, c’est une autre histoire.

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