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Le secret de Judith – Chapitre 3

Le secret de Judith - Chapitre 3



Chapitre 3. Tantra.

Il est 6 heures maintenant. Solène vient de se lever et prend sa douche. Elle commence à 7 heures à l’hôtel. Moi je ne travaillerai qu’en fin d’après-midi et en soirée. Je voulais redescendre avec elle au village et rentrer au camping mais elle a insisté pour que je profite de mes quelques heures de répit en restant dormir autant que je veux. Je n’ai pas dit non.

Solène sort de la salle de bains et revient dans la chambre. Je la regarde s’habiller. Elle est magnifique. Quel corps de déesse ! Tellement élancée et gracieuse. Elle passe une culotte de coton, un soutien-gorge de dentelles blanches et recouvre le tout d’une jolie robe blanche, très habillée. Parfait pour l’accueil de l’hôtel. Elle vient près du lit m’embrasser avant de sortir de la chambre. Je ne peux empêcher ma main de remonter le long de ses jambes et de caresser ses sublimes petites fesses, sous le coton.

–    Petit coquin ! Tu sais bien que je n’ai pas le temps ! Mais arrête, tu vas me faire mouiller ma culotte !  

–    Tu vas trop me manquer

–    Toi aussi. On se voit ce soir après ton service ?

–    D’accord. J’espère que je ne serai pas trop épuisé

–    T’inquiète, je saurai bien te remotiver !

Elle a dit cela en relevant sa robe et en se cambrant pour m’offrir ses fesses. J’essaie de baisser sa culotte.

–    Hopala ! Pas touche ! Pas avant ce soir !

Elle me roule une pelle sauvagement et se sauve en riant.

**********

Je me réveille. Il doit être huit heures je pense. La lumière du soleil entre dans ma chambre. Je m’étire sur le lit, nue dans la chaleur de ses rayons. Je me prélasse Enfin je décide de me lever et d’aller prendre mon petit déjeuner. Solène et son amoureux ont déjà dû partir. Quelle folie ai-je faite hier soir ? J’espère qu’ils ne m’en voudront pas

En me levant je découvre un petit mot posé sur ma table de chevet. « Merci Mamie. Je t’aime. Tu es folle mais je ne pourrais rêver d’avoir une meilleure grand-mère que toi. Solène, ta petite fille qui t’adore. » Au moins, je suis rassurée sur ce point

Je sors de la chambre, heureuse et détendue. Sur le palier, j’entends une respiration endormie qui provient de la chambre de Solène. Elle est pourtant partie à cette heure Jean ? La porte est entrouverte, je me glisse à l’intérieur. Jean est endormi sur le lit. Nu. Le drap ne le couvre plus. Je le regarde. Il a l’air d’un enfant avec son visage si juvénile, sa peau lisse, glabre. Il a pourtant des muscles saillants, un torse et des jambes de gymnaste Quel bel éphèbe ! Je ne me lasse pas de le regarder Son sexe repose sur son bas-ventre, étendu vers sa cuisse droite. Lisse, long et fin, il semble si doux et tendre Hmmm Comme j’aimerais

********

J’ouvre les yeux. Solène Mais non, ce n’est pas Solène ! C’est Judith ! Mon dieu, je suis nu sur le lit ! Je me précipite pour ramasser le drap et me recouvrir mais Judith m’adresse un tel sourire, un tel regard, emplis de bienveillance et de tendresse maternelle J’arrête mon geste et me rallonge

Nous restons ainsi de longues minutes, sans un mot. Nous nous regardons, nus tous les deux. Elle, debout près de la porte, moi allongé sur le lit.

Puis Judith s’approche de moi. Voyant qu’elle va aller s’asseoir au pied du lit, je me décale vers le côté opposé pour lui faire une petite place Elle vient s’allonger près de moi.

–    Bonjour Jeannot.

–    Bonjour Judith.

–    Bien dormi ?

–    Formidablement. C’est incroyable comme on dort bien chez vous

–    Voilà que tu recommences à me vouvoyer petit coquin !

–    Euh oui, pardon, chez toi.

–    Je préfère ça En tous cas tu as bien fait de rester en profiter si tu ne commences pas à travailler très tôt. A quelle heure embauches-tu ?

–    16 heures.

–    Alors tu as tout le temps ! Si tu veux tu peux rester ici tant que tu veux. Tu seras bien mieux qu’au camping ou au village.

–    Oui, c’est sûr. C’est gentil de me le proposer. On est tellement bien, au calme dans ce vallon magique Et il s’y passe de drôles de choses

–    En effet

Nous sourions tous deux, complices. Elle approche sa main de ma tête et commence à me caresser le visage, les cheveux, doucement, tout doucement, avec une telle bonté, une telle tendresse Je ferme les yeux et me laisse faire. C’est bon, c’est doux. Elle me masse les yeux, les pommettes, les lèvres Puis je sens ses mains sur mon torse. Elle me masse, me caresse, de ses doigts fins, légers, suaves

Je reste allongé, les yeux fermés Judith atteint mon ventre

–    Attends mon beau Jeannot, je reviens.

Je ne bouge pas, je suis bien, tellement bien, confiant, détendu.

Judith revient au bout de quelques minutes. Elle me demande de me retourner sur le ventre. Elle reprend son massage et, cette fois-ci, commence à m’enduire le corps d’une huile parfumée et chaude. Ses gestes sont lents, intenses, chaque caresse pénètre au plus profond de mon corps, de mon âme Elle soulève et enveloppe mes bras, m’enduit et me masse le dos, les côtés du buste, les hanches, les fesses, les jambes, les pieds Ça dure longtemps, des heures j’ai l’impression

Elle respire fort Ma respiration se cale sur la sienne. Puis je sens qu’elle m’enjambe. C’est alors son corps entier qui part à la rencontre du mien et le masse. Ses cuisses massent mes côtes, son buste mon dos, ses seins rencontrent bientôt mes fesses, vont et reviennent, profondément, ses bras s’étendent sur mes jambes ses cheveux me caressent. C’est un corps à corps d’une telle puissance ! C’est une telle communion !

Une éternité s’écoule elle me retourne à nouveau sur le dos. Elle recommence alors son massage, m’enduisant d’huile parfumée le cou, les épaules, le torse, le ventre, le bas-ventre. Elle s’est assise entre mes jambes. Elle passe et repasse lentement ses doigts dans les creux tout autour de mon sexe, à l’intérieur des cuisses Enfin, doucement, elle saisit ma verge elle l’enduit entièrement je réagis à peine C’est doux, intense, un partage. Mon sexe est resté au repos, à peine un peu gonflé. Ses doigts passent sur mes bourses, les soulèvent soigneusement, s’en vont dans les plis de l’aine puis s’éloignent vers mes jambes.

A présent son corps va et vient sur le mien, l’épouse, le masse, le caresse Enfin elle s’allonge complètement sur moi, les bras tendus sur mes jambes, ses cuisses entourant mon torse Je sens ses petits seins au niveau de mon bas-ventre Nous restons ainsi de longues minutes, dans une totale fusion. C’est d’une telle puissance Une vague émotionnelle me submerge et des larmes coulent sur ma joue

Enfin, elle se relève. Alors que je rouvre les yeux, elle me fait signe de les refermer, ce n’est pas fini

Ses doigts me caressent. Ils s’avancent à nouveau dans la pilosité de mon pubis, atteignent la base de mon sexe. Son index remonte depuis mes bourses sur ma verge, lentement, très lentement, avec une sensualité extrême Elle souligne les petites veines, recherche les points sensibles, tandis que son autre main entoure la base de mon sexe et me masse des points précis du pubis. A présent le sang afflue, mon sexe se gonfle il se redresse lentement dans la main ouverte de Judith. Elle le tient dans sa main et le caresse de l’autre, comme un oiseauIl se dresse de plus en plus, il n’a jamais été aussi gonflé, aussi tendu, il se gorge de tout mon sang ! Judith l’entoure de ses deux mains, le frotte doucement entre ses doigts, son index parcourt sans arrêt mon gland, elle le caresse, l’attire. plus haut, toujours plus gonflé de sang

Soudain, une décharge tellurique d’une violence inouïe traverse tout mon corps et converge vers mon sexe. Je convulse. J’essaie de retenir cette jouissance en moi, mais des jets de sperme d’une puissance folle jaillissent de ma verge retombent sur mon torse, celui de Judith, son visage, ses cheveux Je tremble, je vibre je m’écroule

**********

Je viens de faire un massage tantrique au beau Jeannot, l’amant de Solène. Ca faisait des années que je n’en avais plus fait. J’espère que je n’ai pas fait de bêtises je n’ai pas vraiment respecté toutes les étapes

En tout cas j’ai vraiment ressenti la communion de nos deux corps. Et, vue la puissance avec laquelle il s’est soulagé et il a joui de tout son corps, je pense que j’ai vraiment libéré des énergies profondes Même si pour son âge il est déjà étonnamment attentif aux signes de son corps et de celui de sa partenaire, j’espère qu’ainsi il se connaîtra encore mieux et saura retrouver cette énergie, cette communion avec ma Solène

Je suis totalement épuisée. Ce n’est peut-être pas très recommandé de faire ça à mon âge Mais je me suis sentie tellement proche de lui, là, à ses côtés. Il a l’air tellement gentil, attentionné, doux, avec ma petite chérie. Je voudrais qu’il la protège d’elle-même, l’apaise qu’elle profite d’un vrai amoureux, pas seulement de quelque mâle en rut.

Je me suis rallongée près de Jeannot. Son sperme colle sur ma poitrine, dans mes cheveux je me suis à peine essuyée. Huummm. Cette odeur ce goût ça fait tellement longtemps

Jeannot dort. Un ange. Je nous recouvre du drap et m’endors à ses côtés.

**********

Je viens de me réveiller. Judith est profondément endormie près de moi. Le réveil indique 11 heures.

Quelle histoire de fous ! Une femme de 70 ans vient de me faire un massage intégral, dans un corps à corps total, nus l’un contre l’autre elle m’a massé avec une intensité dingue, réveillant dans mes entrailles et mon âme une énergie folle, qu’elle a canalisée, jusqu’à cette explosion Un orgasme inouï Mais pas seulement un orgasme, c’est tout mon être et mon âme qui ont été transportés, se sont élevés, libérés. J’en ai pleuré, je crois. Je n’avais jamais ressenti ça.

Je ne sais pas où elle a appris à masser comme ça, ça doit être un truc de sa jeunesse hippie

Cette femme est incroyable. A son âge, son corps est encore d’une telle énergie, d’une telle souplesse, et tellement beau ! Je la regarde Sa peau dorée est certes marquée par l’âge, mais pas au point d’être très ridée ni fripée. Quelques belles rides sur le visage tout de même, elle a encore des beaux muscles dans les bras et les jambes, presque pas de chairs tombantes Elle a un petit ventre, les fesses qui tiennent forcément un peu moins bien mais quand même ! Elle s’entretient, elle doit faire du sport, c’est sûr Et elle dégage une telle aura Je ne me lasse pas de la contempler, endormie, souriante, détendue si belle Ma nudité près d’elle ne me dérange absolument plus. C’est presque le contraire je n’imagine plus devoir nous cacher nos corps sous des vêtements, détruire cet état de totale confiance et insouciance 70 ans la grand-mère de Solène quelle folie !

Voilà qu’elle ouvre les yeux. Elle s’étire, de tout son long, se caresse rapidement le buste, les cuisses, les fesses. Je la regarde Son visage, son corps, ses seins, son sexe mon intimité n’est plus totalement insensible à tant de grâce et de sensualité féminines elle l’a sûrement remarqué mais je m’en fiche totalement. Elle me sourit, avec tellement de bienveillance.

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Jean le beau petit Jean. Nu près de moi. Son sexe s’est à demi redressé Est-ce vraiment pour moi ?

–    Tu es beau Jean je comprends ma Solène

–    Toi aussi tu es belle Judith c’est incroyable d’avoir encore un corpsaussi

–    Merci. Tu es gentil.

–    Je t’assure

Je suis folle. Je m’approche de lui et l’embrasse sur les lèvres. Il se laisse faire Je me colle contre lui. Il me prend dans ses bras. Nous restons enlacés. Je lui caresse doucement le dos il me le rend. Je sens sa main qui descend descend descend. ma fessehummm.

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Les fesses de Judith sous mes mains je les caresse doucement, sensuellement. Nos jambes s’entrecroisent sa vulve sur ma cuisse cette humidité

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Jean. Jean. JEAN ! En moi

Il apprend mon corps. Tellement bien

Nous fusionnons. J’explose

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Mon dieu ! J’ai baisé la grand-mère de ma petite amie !

Non non je lui ai fait l’amour. Nous avons fait l’amour. Et je n’arrive pas à me dire que c’était mal. C’était tellement naturel, inévitable

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Jean. L’amant de ma petite-fille Il m’a pénétrée, secouée, étreinte, tellement bien ! Sa queue en moi, qui fouillait mon vagin, à la recherche de notre plaisir Ses doigts sur ma chatte, dans mes fesses Sa bouche sur mes seins, mon ventre mes pieds Quel orgasme ! Depuis quand ne s’était-on pas aussi bien occupé de moi ? Que va-t-on dire à Solène ?

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Je prends ma douche. Judith a déjà pris la sienne. Elle avait encore du sperme séché sur le corps ! Je n’y crois pas. Comment ai-je pu faire ça ? Et Solène ? Et pourtant, rien qu’en y repensant, mon sexe s’émeut

Je sors de la douche. Je me sèche, enroule la serviette autour de ma taille et sors à la recherche de Judith. Elle n’est pas dans sa chambre, pas dans le salon, pas dans la cuisine ni sur la terrasse. Je jette un il dans la prairie qui descend vers le torrent. Enfin je l’aperçois, dans un replat légèrement en contrebas de la maison, au soleil. Elle est toujours nue, elle fait des mouvements de gymnastique je crois Je reste en arrière et je la regarde. Non, en fait je crois que c’est plutôt du yoga. Je n’y connais rien mais ça ressemble à ce que j’en ai vu. En tout cas, vu les postures qu’elle arrive à tenir, je comprends mieux pourquoi son corps est encore aussi en forme. C’est beau, gracieux, élégant, un défi à la gravité

Judith m’aperçoit. Elle me sourit. Elle semble avoir terminé ses exercices, elle remonte vers moi.

–    Alors mon beau Jean, comment te sens-tu ?

–    Comme jamais Tellement détendu, et en même temps reposé, plein d’énergie, présent Ce massage tout à l’heure c’était fou, je n’aurais jamais imaginé qu’on puisse ressentir cela, cette énergie profonde qui nous submerge, ce bien-être total

–    C’est ce qu’on appelle un massage tantrique, enfin plus ou moins. C’est indien

–    Comme le yoga ?

–    Oui. Mais c’est une autre approche. Je suis assez portée là-dessus. J’ai beaucoup voyagé en Inde et en Asie en général. C’est une culture fascinante, bien plus évoluée que la nôtre en ce qui concerne la compréhension de l’âme humaine, son lien avec le corps. Je pratique le yoga depuis bientôt 40 ans, pas en continu, mais maintenant je ne peux plus m’en passer.

–    Et les massages ?

–    Je les ai beaucoup pratiqués à une époque Mais ça faisait des années et des années que je n’en avais plus faits. Je suis heureuse que ça ait fonctionné. Normalement il faut une approche beaucoup plus longue, et surtout complètement partagée Là, je t’ai un peu pris par surprise, ce n’est pas très recommandé.

–    On recommence quand tu veux ! En respectant toutes les règles que tu veux !

–    Je ne sais pas Et Solène ? Que lui dit-on ?

–    Je n’en sais rien. Il vaut sans doute mieux ne rien lui dire

–    Oui. Si elle me ressemble sur ce point-là aussi, je pense qu’à son âge j’aurais eu beaucoup de mal à comprendre et accepter ce qui s’est passé

–    Tu peux peut-être lui apprendre ces massages ?

–    C’est un long chemin, il faut d’abord beaucoup travailler sur soi, très bien se connaître. Ca ne se fait pas en quelques semaines

–    Ah alors espérons qu’un jour elle suivra ta voie

Judith s’approche de moi. Elle me prend dans ses bras, colle son visage dans le creux de mon épaule. Je l’enlace. Je dénoue ma serviette, qui tombe à mes pieds. Nous restons ainsi, nus, enlacés, debout, dans le soleil.

–    Mon petit Jean. Promets-moi de prendre soin de Solène. Elle paraît très sûre d’elle, mais elle s’est déjà plus d’une fois brûlé les ailes Je connais certaines de ses cicatrices Je ne voudrais pas qu’elle repasse par tout ce que j’ai traversé de plus glauque à son âge.

–    Je ne sais pas comment la protéger, ni de quoi Mais je l’aime. Enfin, je crois Je ne veux surtout pas la blesser, je veux lui faire du bien.

–    Je l’ai senti tu es très généreux. Alors ne change pas reste attentif à elle. Elle ne te dira pas tout, il faudra que tu devines certaines choses

–    Je vais essayer.

Judith dépose un baiser sur mon front, et s’en va vers la cuisine.

–    Il faudrait peut-être manger quelque chose avant que tu ne partes, non ?

(à suivre)

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