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Le Secrétaire – Chapitre 2

Le Secrétaire - Chapitre 2



je nétais pas encore prêt de dormir, javais toujours mal aux mâchoires et javais une démarche assez particulière, ceux qui ont déjà goûté à la sodomie faite sans ménagements me comprendront.

Le déshabillage de Madame ne me prit pas beaucoup de temps, lui ôter le boléro et faire glisser sa mini-jupe et dun geste sec elle propulsa ses escarpins au milieu de la chambre, mais le câlin quelle mobligea à lui prodiguer se termina à huit heures.

Un peu à cause de moi car je narrivai plus à bander pour lhonorer et elle y tenait absolument, pour me récompenser, je men serais bien passé.

Néanmoins elle à un corps fabuleux, souple, doux, énergique et sans tabous.

Elle ma sucé, caressé, stimulé pour que je puisse lui faire lamour par ses deux écrins de velours, inoubliable.

(Il est vrai quaprès une nuit pareille jai du mal à me positionner ; jai enduré beaucoup de choses mais la récompense est de taille.)

Midi sonne les rideaux sont tirés de façon énergique et un délicieux fumet de café me tirent du sommeil, ou suis-je ? Qui est cette belle blonde lovée dans mes bras ? Martha me sourit et tout me revient à deux cent à lheure.

Je nai plus un poil, la mâchoire me fait encore un peu souffrir et jai limpression davoir un gouffre à la place de lanus.

Madame se réveille, sétire   me sourit et : « Martha après notre petit déjeuner vous ferez une grosse gâterie à ma nouvelle secrétaire, elle sest bien comportée et je lui avais promis une récompense, comme elle en pince pour vous je veux vous voir honorée. »

Martha ne cille pas elle me lance un regard un peu noir, elle non plus na pas été épargnée hier soir.

Je reprends des forces, café, jus dorange, tartines de beurre avec du miel, un morceau de fromage, une tranche de jambon, ouf ! Ça commence à aller mieux, le souvenir du dîner, avoir dû manger empalé sur un gode me chatouille lanus.

Madame se lève et sassied dans une chauffeuse, Martha ôte son chemisier et sa mini et se glisse sur le lit. Autant Madame est blonde autant Martha est brune, on ne voit que les cheveux et les sourcils mais on voit de suite que ce sont des vraies.

Les préliminaires sont dignes dune rencontre entre amants, tout en douceur et sensualité, les mains, les langues excitent les sens et cest naturellement que nous faisons lamour, avec tendresse et douceur.

Je la fais jouir une première fois avec ma langue, une deuxième  avec mon sexe dans son vagin inondé et une dernière fois en la sodomisant en douceur ; cest un regard tout autre qui se penche vers moi pour me prendre ma verge dans sa bouche.

Nos deux bracelets se mettent à vibrer en même temps : -« La récréation est finie, Martha vous me lhabillez comme hier soir mais avec un boléro noir et vous me la maquillez, je lattends à la bibliothèque. »

Nous passons dans la salle de bains, une douche rapide et me voilà en train de me faire maquiller, elle me diminue mes sourcils, allonge mes cils, maquille mes yeux, me rase la barbe très près, me met un fond de teint et termine-le tout par un rouge à lèvres.

Je me vois dans le miroir, je suis ridicule, on dirait un vieux travesti sur le déclin.

Elle me rajoute un serre tête, il enlève un peu de ma masculinité.

Ah !!  Je me tords la cheville, javais oublié les talons, allez on y va il ne faut pas faire attendre Madame, sinon je ne sais quelle punition elle va minfliger.

La descente est lente et périlleuse mais jarrive néanmoins dans la pièce ou elle mattend.

Elle est là, debout dans une combinaison pantalon large bleue, son regard dacier me glace, elle me regarde avancer.

-«  Tourne un peu que je te voie. Bien encore un peu dentraînement et ça ira mieux.

Tu vas sortir ma Mercedes du garage, je tautorise à mettre tes lunettes noires, tu vas me conduire à Cannes je vais faire du shopping, tu me prends devant la maison. »

Dans le garage quatre magnifiques voitures, une Mercedes grande comme un bateau, une Porche 911, un 4×4 BMW et oui ! Ma modeste Renault.

Toutes sont verrouillées, je ne risque pas de menfuir, soudain je me rappelle, mon bracelet sert à ouvrir les portes, en effet la Mercedes souvre, le tableau de bord sallume et je nai plus quà appuyer sur le démarreur pour faire rugir le moteur.

Oui, rugir, vous avez déjà conduit avec dix centimètres de talon, pas facile, je cale trois fois, mon bracelet me rappelle à lordre. « Quest-ce que tu fais ? Tu mas dit savoir tout conduire ! »

-« Oui Madame, mais je dois mhabituer à vos chaussures, jarrive. »

Prudemment je mavance, mimmobilise devant Madame, sort rapidement pour lui ouvrir la portière. Je me rends compte que je suis en mini-jupe mon action et ma précipitation ont dévoilé mon service trois pièces.

Madame séclate de rire ; -«  Fais un peu attention, une secrétaire est plus distinguée et plus prude en public, nous allons à Cannes ! »

Une question me brûle les lèvres, mais je nose la poser.

Madame anticipe mon angoisse : -« Tu vas maccompagner, nous descendrons au Noga-Hilton, un voiturier garera la voiture et nous irons toutes les deux faire les boutiques puis nous dînerons au Noga avec Jean et en fonction de son bon vouloir nous rentrerons ou nous irons chez lui. Il tapprécie beaucoup. »

Les dès sont jetés, il va falloir que je sorte attifé de la sorte.

Je me regarde dans le rétroviseur, cest vrai que si je rencontre quelque connaissance ils auront vraiment beaucoup de mal à me reconnaître, bah! Le ridicule ne tue pas après tout.

Nous voilà arrivées, je me gare devant lentrée du Noga-Hilton, un des  voituriers mouvre la portière, je sors en faisant attention à ma jupe et je retrouve Madame sur le trottoir.

-«  pour les premières fois tu vas marcher à côté de moi, quand tu auras plus dassurance tu marcheras deux pas derrière. Tu ne parle jamais, si on te parle cest moi qui réponds.  Allons-y. »

Nous voilà à dix sept heures sur la croisette, au milieu des touristes, quelques-uns uns se retournent sur notre passage, mais pas de remarques ni de scandale. Elle mentraîne dans la rue dAntibes, dans une rue perpendiculaire  un sex. shop où nous entrons. Apparemment Madame est une cliente habituée. Elle se fait sortir tous les bijoux de seins, le vendeur lui fait remarquer que pour quils tiennent ils pincent fortement le téton.

-« Oui je sais, ce nest pas pour moi mais pour ma secrétaire, cest en attendant quelle ait sa poitrine et après je les lui ferais percer et jen mettrais des permanents fabriqués  par mon bijoutier avec mon blason. »

Je commence à transpirer et à trembler, quoi ? Sa poitrine, faire percer !

Je sors de mes interrogations car Madame ouvre mon boléro et maccroche des anneaux dorés au seins. Ça fait mal, mais une érection soulève ma jupe, Madame rit de bon cur accompagnée du vendeur. « Trouvez-lui un string ouvert qui puisse contenir sa virilité cachée. Car la pression ne va pas cesser et ne vas pas arrêter de saccentuer. »

Voilà le vendeur qui revient avec une petite boîte blanche, -« Jai exactement ce quil vous faut, un travesti me lavait commandé mais il était trop cher pour lui, on glisse la verge dans cette poche, on noue ces deux liens et on les ramènes à larrière en passant entre les jambes et on les attaches à la ceinture du string, sa queue ne pourra pas se redresser, ça vous convient ? » Madame  sourit et lui répond : -« Tout à fait, vous pouvez le lui mettre et lui expliquer ? »

-« Certainement, Madame, viens avec moi je vais te le mettre. »

Je le suis dans larrière salle, là dun geste brusque il me relève la jupe, empoigne mon sexe et le glisse dans le string, il serre fort les liens qui marrache un cri de douleur, passe les liens entre mes jambes, ferme la ceinture du string et fait un nud.

Ma verge et mes testicules sont plaquées dans mon entrecuisse, mon érection me fait mal.

Je rabats ma jupe et retourne dans la boutique, Madame est en train de regarder des robes, elle se retourne et émet un sifflement.

-« Très bien tu es plate comme une fille, très riche idée, je tai acheté deux robes et deux mini-jupes, tu ne peux pas toujours emprunter les affaires de Martha. »

Madame règle ses achats, me tends les paquets et nous repartons.

Dans une rue perpendiculaire à la rue dAntibes il y a un magasin de vêtements en cuir, je lindique à Madame car elle ne le connaissait pas.

Pour moi cest un vrai test, jai déjà acheté divers habits dans ce magasin tenu par le patron et sa femme.

Cest la femme qui vient soccuper de nous, Madame essaye un tailleur pantalon et me demande dessayer le même mais avec une jupe. Les essayages effectués madame indique à la vendeuse que nous les gardons sur nous, elle paye et nous repartons.

Ouf ! Ou ils ont été discrets ou ils ne mont pas reconnu, je me détends un peu.

Arrivées au Noga-Hilton ; Jean nous attendait dans le hall, ils nous complimente sur notre élégance et nous entraîne vers lascenseur.

-« Jai réservé un salon nous serons plus tranquilles, cest sa première sortie, ça se fête. »

Nous voilà attablés, je suis entre Madame et Jean qui me caresse sous la table les jambes, Madame entrouvre la veste de mon tailleur et lui montre mes bijoux, la main se fait plus entreprenante lorsquon lui indique lachat du string.

Ni une ni deux, Jean remonte la fermeture éclair qui maintient la jupe droite jusquà la taille, soulève le pan de jupe et glisse sa main entre mes cuisses juste au moment ou le serveur vient nous apporter les menus. Je suis rouge de honte, Madame a empoigné mon bras pour que je ne puisse pas rabattre ma jupe, Jean récupère de sa main libre les menus pendant que le serveur ne se gêne pas pour me mater.

-« Il faut que tu ty fasses, ça risque de tarriver quelques fois que nous texhibions mais par contre sache que tu ne seras aimée que par nous. »

Le repas se passe sans problèmes, bien que je sois toujours cuisses nues.

Lorsque nous repartons, je conduis Madame et Jean, ils décident daller au Casino et me demandent de rester dans la voiture.

Quelle épreuve !

Ce nest pas une voiture, mais des voitures qui se sont arrêtées pour me demander combien je prenais. Un calvaire, ouf ! Les voilà, je sors et leur ouvre les portières, Madame sinstalle à la place du chauffeur. « Monte avec Jean il a besoin de gâteries, je conduis pour rentrer. »

En effet à larrière à peine entrée, jean me déboutonne la veste et me défait la jupe, me voilà en string et escarpins.

Demblée il se saisit de mes anneaux et les malmènes, je gémis pour me faire taire il me fait sucer son sexe déjà tendu, le repas à dû lui paraître long, il éjacule rapidement.

Le retour me valut quelques pipes profondes et un anus bien visité. Je me fais   la remarque que lorsque Jean mencule, je nai pratiquement plus mal.

Arrivés à la villa, Je dois montrer à Martha les achats faits et lui rendre ses affaires.

Nos bracelets vibrent, nous sommes attendus dans le bureau.

-« Je suis ravie de cette journée, si tout se passe bien dans deux mois tu seras définitivement embauché. Martha ! Pas dobjections ? Jean ? Bon si nous sommes tous daccord Champagne. »

Le champagne aidant latmosphère sest détendue et les câlins ont repris mais à quatre, une belle partie de jambes en lair. Les femmes avec des ceintures godes, Jean et moi à qui ils avaient décidé de libérer mon sexe. Jean à été le seul à ne pas bénéficier des doubles pénétrations.

Jour après jour japprends à vivre en femme, avec beaucoup de sévérité de la part de Madame, mais souvent le soir elle me récompense seule dans sa chambre de ma bonne volonté. 

Mes passages à la cave, pardon donjon, me font toujours frissonner, je ne sais jamais ce quil va marriver, mais ils accentuent ma docilité et ma soumission, il ny a que Madame qui règne dans cette partie de la maison, Martha lui sert dassistante. Il marrive de passer une nuit, voir une journée emprisonnée, avec des poids aux seins ou à la verge, des godes de différentes tailles pour mélargir lanus pour le plaisir de Jean. Jai également goûté à la cire, à la cravache et au fouet, les moments cuisants ont été suivis par contre par beaucoup de tendresse ce qui ma fait moins redouter ces séances.

Cest sur loreiller quelle mavoua quelle avait des projets pour moi, pour ma transformation une fois les deux mois dessais terminés et le contrat définitif signé.

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