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Le Sex-Mariage de Mylène – Chapitre 1

Le Sex-Mariage de Mylène - Chapitre 1



1 – Prologue

Mylène et Cédric viennent de faire l’amour, ils sont l’un près de l’autre, nus sur le lit, exténués par leurs folies, heureux et repus.

— Ça va ?

Demande Cédric, histoire de dire quelque chose.

— Ben, oui, ça va.

  Et toi ça va ?

Rigole Mylène.

— Tu sais avec Florence, quand on faisait l’amour, dès qu’on avait fini, elle se précipitait sous la douche.

  Cela avait le don de m’énerver.

Mylène n’aime pas cette allusion à Florence, l’ex de Cédric, non qu’elle soit jalouse mais imaginer son mec avec cette fille qu’elle considère comme une gourde l’agace profondément.

Pourquoi lui parle-t-il de ça ?

Il est vrai que Cédric a l’habitude d’accumuler les gaffes !

Elle s’en sort en biaisant !

— Les sucs de l’amour ne peuvent être sales, disait Aragon !

Cédric sourit.

Ce doit être de la déformation professionnelle, Mylène adore illustrer les thèmes qu’elle défend de fausses citations que personne n’ira de toute façon jamais vérifier.

Cédric et Mylène sont ensemble depuis plus de trois ans, ils vivent confortablement, très confortablement même.

Elle est conseillère en communication.

C’est à dire qu’elle vend pas mal de baratin aux entreprises qui croient en avoir besoin.

Après son passage on s’empresse de pendre de bonnes résolutions qui seront très vite oubliées quelques semaines plus tard. Mais son efficacité, son charisme allié à une beauté naturelle, lui ont forgés une solide réputation.

Elle est grande, blonde, s’amuse à faire croire qu’elle est d’origine scandinave alors qu’elle est née à 100 kilomètres de Paris en pleine Beauce.

Mylène est très demandée et la demande ça se paye.

Quant à lui, il a eu la chance de remplacer au pied levé, l’animateur malade d’une émission " bouche trou " à la télévision.

Il s’en sortit plutôt bien, et quelques relations aidant, il se retrouva en train d’animer des choses à la visibilité plus évidente et au cachet plus substantiel.

Donc nous l’avons vu, notre couple n’est pas dans le besoin, ils n’en ont pas pour autant attrapé la grosse tête, sachant très bien quels sont les aléas de ces professions.

Mylène se grattait négligemment un sein, Cédric adorait les seins de sa compagne, un frémissement agita même son sexe pourtant fatigué.

— J’aime bien quand tu me prends en levrette !

  Comme ça je ne te vois plus et j’ai la tête pleine de fantasmes !

— C’est pas très gentil ce que tu dis !

Lui fit remarquer son amant.

— Mais si au contraire, quand je te vois, je ne pense qu’à toi, ça devrait te faire plaisir !

— Alors je te pendrais plus en levrette !

  Ou alors ou va faire poser des miroirs, on en avait déjà parlé

— T’as rien compris !

  Tu sais ce que c’était mon fantasme ?

— Je m’attends au pire !

— J’étais en robe de marié et j’étais au centre d’une orgie !

Cédric ne répondit pas, tout ce qui évoquait le mariage l’agaçait viscéralement et il avait peur que sa compagne dévie la conversation vers ce sujet.

— Bon, je vais me lever !

Finit-il par dire.

— Tu sais, j’aimerais réaliser ce fantasme !

— Quel fantasme ?

Demanda hypocritement Cédric.

— Ben, celui que je viens de te dire, la mariée avec l’orgie !

— Tu voudrais qu’on se marie ?

  C’est nouveau ?

— Mais non

  Ce ne serait pas un vrai mariage !

— Hein ?

Elle lui expliqua alors ce qu’était un sex-mariage.

— C’est comme un vrai mariage, avec la robe blanche, les invités, la bouffe, les témoins, les garçons d’honneur.

  Et tout le reste, sauf qu’on ne se marie ni devant la loi ni devant Dieu.

— On se marie devant quoi, alors ?

Demanda Cédric, amusé.

— Devant le sexe !

— ?!

C est ainsi sur ces explications et sa surprise que Cédric accepte le sex-mariage.

2 – Préparatifs

Le fric attire les gens comme les mouches attirent le miel et nombreux étaient ceux qui se prétendaient être des amis du couple.

Mylène et Cédric ne se faisaient aucune illusion.

Au premier pépin tous ces rapaces s’éparpilleraient comme une envolé de moineaux.

Et on compterait alors les vrais amis dans ceux qui resteront.

Mais ils savaient déjà qu’à part Alissa et Pascal, fidèle entre les fidèles, les autres bof !

Le projet, de Mylène permettrait de faire d’une pierre deux coups.

Outre l’accomplissement du fantasme par lui-même, ils savaient qu’inévitablement l’affaire s’ébruiterait et que toute une tripotée d’hypocrites crierait au scandale, uniquement parce qu’ils n’avaient pas été invités.

— Six couples devraient suffirent !

Précisa Mylène.

Ils décidèrent de les sélectionner dans un très large cercle de connaissance.

Parmi ceux qui affichaient une vie décontractée sainement assumée.

— Et qui va présider tout cela ?

  On va tirer au sort ?

Interrogea Cédric.

— J’aimerais bien Miranda Taylor !

— Sérieux ?

  On fait comment pour la contacter ?

— Je l’ai rencontré une fois.

  C’était pendant un vernissage, elle était déchaînée !

  Elle m’a roulé un patin dans les toilettes et m’a refilé sa carte !

— Tu ne me l’avais jamais dis ?

— Ben maintenant, c’est fait !

Miranda Taylor était une ancienne actrice du hard, elle s’était reconvertie en créant une chaîne de salons de coiffures, mais contrairement à certaines de ses consurs, elle n’avait jamais renié son passé sulfureux qu’elle assumait crânement.

— Et le garçon de déshonneur ?

— On n’est pas obligé d’en avoir un mais je pensais à Thibault.

  C’est un collègue, un peu ambigu, mais il est mignon comme tout.

  Et pour la demoiselle de déshonneur on la choisira sur place, ça m’amusera !

Il fut également décidé de s’adjoindre les services de deux jolies femmes peu farouches, qui seraient dégotées dans une agence de casting, tendance "charme" et qui seraient chargées, du buffet, du vestiaire, de la musique et de toutes ces petites choses sans lesquelles une fête ne serait pas une vraie fête.

Il ne restait plus qu’à fixer le jour et à lancer les invitations.

3 – Attente

C’est dans une grande propriété de la vallée de Chevreuse, louée pour l’occasion que la fête devait avoir lieu.

Mylène était anxieuse !

Elle était dans un état d’esprit proche de ce qu’aurait été l’attente dans un vrai mariage !

Est-ce qu’on avait rien oublié ?

Est-ce que certains couples ne feraient pas faux bond au dernier moment ?

Est-ce que tout ce petit monde s’accorderait ?

Est-ce que l’orgie se déroulerait dans un bon esprit, sans dégénérer ?

Etc., etc.

Et surtout une question "fondamentale" revenait sans cesse

Est-ce que ma robe de mariée m’ira bien ?

Ils avaient en effet choisi une vraie robe de mariée, elle la voulut décolletée, très décolletée même, sans pour autant être indécente, elle voulut aussi qu’elle soit courte, mais pas trop

Quant au chapeau

Ah le chapeau !

— J’ai envie de garder mes lunettes !

— Ça ne va pas, non ?

— Ben si, ça fait intellectuel, et puis c’est un fantasme, les femmes à lunettes, non ?

— Fais comme tu veux !

— Je voudrais bien ton avis !

Bref, plus l’heure passait plus on sentait l’énervement.

Miranda Taylor arriva vers 16 heures.

Elle était vêtue d’un tailleur rouge vif et d’un élégant chapeau à mantille.

Elle s’entretint quelques minutes avec la future mariée.

— Tu me laisses improviser ou tu as quelques idées ?

Mylène lui répéta ce qu’elle lui avait déjà dit au téléphone, expliqua comment elle voyait le début de la cérémonie et déclara faire confiance à l’ex star pour les problèmes de détails.

— OK !

  Dis-moi simplement s’il y a des pratiques sexuelles que tu ne supportes pas !

— Pas de contraintes, et on évite les trucs extrêmes, à part ça je ne vois pas bien !

— Bon à 17 heures le garçon d’honneur viendra vous chercher, je vais régler les problèmes matériels.

  Je voudrais être deux heures plus tard, j’ai une de ces hâtes de te bouffer la chatte !

— Mais tout le plaisir sera pour moi !

Miranda redescendit.

Les deux soubrettes s’affairaient autour du buffet, elles n’avaient pas encore adopté la tenue topless que l’on attendait d’elles.

Il est vrai qu’un seul couple était arrivé.

Il faut toujours que dans ce genre de truc les gens arrivent soit pile à l’heure soit plutôt en retard !

Pénible !

Ils se présentèrent.

Le premier couple répond aux prénoms de Pascal et Alicia.

— Ma tenue à l’air de vous plaire !

Remarqua l’actrice.

— Ça vous va très bien !

Répondit Alicia avec un sourire malicieux.

— Je crois deviner que les femmes ne vous rebutent pas ?

— J’en goûte quelques fois ?

Répondit la jeune femme adoptant pour le fun le même style ampoulé que son interlocutrice.

— Nous sommes terriblement en avance.

  Oserais-je vous suggérer que nous nous gouttassions mutuellement afin de briser la monotonie de l’attente ?

— Chiche !

— Je crois que ces bosquets un peu plus loin conviendraient très bien !

— Moi je ne crois pas, on va se saligoter !

— Mais non, nous pendrons nos vêtements aux branches !

— Allons, allons !

  Nos hôtes nous ont prévus des chambres d’amis, allons-y se sera certes moins bucolique.

  Mais assurément beaucoup plus pratique !

— Alors je te suis, montre-moi le chemin !

— Vous ne vous emmerdez pas les filles !

Intervint alors Pascal dont on avait jusqu’ici pas entendu la voix :

— Reste donc, ici, il faut garder tes forces pour la partie !

— C’est frustrant !

— Que veux-tu, il faut bien que les femmes aient quelques avantages, nous, nous jouissons à volonté !

— C’est pas juste !

Arrivée dans la chambre, Miranda, ôta sa veste de tailleur en dessous duquel elle n’avait qu’un soutien-gorge en fine dentelle semi-transparente sous lequel on devinait de belles aréoles brunes.

Alicia la regardait, la buvait des yeux et commença à son tour à se déshabiller.

Miranda enleva sa jupe et sans laisser terminer sa partenaire approcha son visage du sien et l’embrassa avec fougue.

— Hum, tu as la peau douce !

Constata Miranda.

— Toi aussi !

— Bon, allez, fais-moi voir ta petite chatte !

— Gourmande !

— J’adore bouffer des chattes, c’est vraiment mon truc, j’aime bien les bites aussi.

  Mais j’en ai tellement sucé, je suis un peu blasé de ce côté-là !

Plaisanta-t-elle.

Spontanément, Alicia s’allongea sur le lit, elle prévient sa complice !

— Profite en bien, parce que si tu es douée, tu vas voir, je pars au quart de tour.

— Ecarte-moi tout ça au lieu de discuter !

— On demande gentiment à la dame !

— S’il vous plait !

— Vas-y !

Miranda débuta par une première lapée !

— Hummm, qu’elle est bonne !

— Ben oui elle n’est pas toute fraîche, je ne me suis douchée que ce matin !

— Hum quel délice, tu me fais mouiller, salope !

— Suce !

Quelques nouvelles lapées, puis l’actrice attaqua le clitoris de sa langue, imprimant des circonvolutions savantes autour de ce petit bourgeon érigé.

Alicia se cambrait déjà, agrippait à pleine main le dessus de lit, attendant que l’extase l’envahisse, puis poussa un cri fulgurant.

— Ben dis donc toi quand tu jouis

— Je t’avais prévenu !

— Allez, on inverse les rôles à présent !

— Mais avec plaisir, chère amie

  Quand je raconterais que j’ai fait l’amour avec Miranda Taylor personne ne me croira !

— Je te dédicacerais ma culotte, ça te fera un souvenir.

— Vraiment ?

— Si je te le dis !

Un quart d’heure avant le début de la cérémonie, nos deux coquines redescendirent.

Tous les couples étaient à présent arrivés, sauf un.

Une petite estrade improvisée fut dressée devant le foyer de la cheminé à l’aide d’une table et d’un drap.

Miranda y disposa des bougies, de l’encens, ainsi que deux coupes de champagne vides, un tapis de cérémonie fut posé sur le chemin qu’emprunterait les deux époux, la musique était prête à jaillir des baffles.

Il ne restait plus pour Miranda Taylor qu’à se changer …

Devant la noce ahurie, qui savait certes que l’ambiance serait coquine, mais qui ne s’attendait pas à ce que les choses démarrent si tôt, Miranda se mit entièrement nue dans un coin de la pièce puis se revêtit d’un collant intégral entièrement constitué de mailles noires d’environ un cm².

Elle se chaussa ensuite de longues bottes qui lui galbait parfaitement ses grandes jambes, puis elle se recouvrit les épaules d’une grande cape noire, inspirée tout droit d’un mauvais film de vampire.

Elle jeta un coup d’il à son maquillage.

Un autre à sa montre, le mariage n’aurait qu’un ¼ d’heure de retard.

Le dernier couple arrivait, s’excusait bafouillait, bref tout allait bien.

Puis elle fit signe à Thibault le garçon de déshonneur.

4 – Cérémonie

Thibault qui s’était revêtu d’un drap blanc à l’instar des dignitaires romains, s’en alla quérir Mylène et Cédric, s’empêtrant dans son costume, perdant sans arrêt ses sandalettes, ce qui provoquait l’hilarité des convives.

Miranda demanda alors aux invités de se disposer dans le grand salon en dégageant le tapis d’honneur, permettant aux futurs mariés de cheminer jusqu’au foyer.

— Mesdames et Messieurs, Vicelardes et vicelards, débauchés et contents de l’être, voici maintenant nos hôtes Mylène et Cédric qui dans quelques minutes vont s’unir devant nous !

Je vous demande de les applaudir !

Annonça fièrement Thibault !

La musique emplit l’espace

Non ce n’est pas la marche nuptiale de Mendelssohn, c’est de la techno envoûtante et répétitive !

Les deux tourtereaux pénètrent dans le salon sous les acclamations de la petite assemblée.

Ils s’avancent lentement.

Tout sourire, Mylène est saisit par l’émotion et elle ne peut empêcher une larme de couler sur ses joues fardées.

Ils stoppent leur progression à quelques mètres de l’endroit où Miranda les attend.

Sur un signe de cette dernière, ils s’approchent.

Tout le monde n’a d’yeux que pour la scène.

Miranda accueille les deux futurs époux en les embrassant très chastement, puis se recule et d’un geste de la paume fait taire la musique.

— Cédric !

  Acceptes-tu de faire les meilleures et les pires bassesses pour le plaisir de ta promise ?

— Oui !

— Mylène !

  Es-tu prête à être docile et soumise aux épreuves faciles ou moins faciles que te fera subir ton mari pervers ?

— Oui !

— Nous allons procéder, maintenant à votre union de débauche !

Personne ne sait ce que la prêtresse du sexe a préparé, mais l’excitation est à son comble quand l’assemblée voit Miranda monter sur l’estrade, s’y accroupir, se placer l’une des coupes de champagne en dessous de sa vulve, fermer les yeux et se concentrer quelques instants avant de pisser dedans.

Le premier verre rempli, le second le sera également.

L’assistance applaudit.

Miranda redescend, se tourne vers l’estrade en profitant pour faire découvrir son superbe cul bien rebondi à tous les spectateurs.

Elle lève alors deux index vers le ciel et reste plusieurs secondes dans cette position, puis plonge simultanément chaque index dans une coupe.

Elle dirige ensuite ses doigts trempés de son urine vers la bouche des deux promis.

Ces derniers s’empressent de lécher les index ainsi offerts, provoquant encore une fois le déchaînement des invités.

— Alors, moi, Miranda Taylor, vous déclare à partir de ce moment

Elle marque un temps d’arrêt, fait durer le suspense :

— Je reprends

  Moi, Miranda Taylor, vous déclare à partir de ce moment vicieux et salope

Un tonnerre de rires et d’applaudissements fuse.

— Et uni devant le sexe !

Parvient-elle à conclure dans le brouhaha, tandis que cette fois c’est bien la musique de Mendelssohn qui retentit.

L’émotion est trop forte pour Mylène qui pleurniche comme une gamine.

Cédric relève alors son voile et l’embrasse à pleine bouche en lui pressant ses seins.

Elle aime ça !

Reprenant ses esprits elle lui rend la politesse en lui palpant sa grosse verge dans son pantalon, puis en la sortant de sa braguette.

Elle se penche et elle se met à le sucer habilement devant toute l’assemblée.

Et il lui caresse la joue fier d’elle, lui demande de se relever.

Spontanément, Mylène remonte sa robe offrant ses fesses trempées ou se mêle la sueur et aussi sa mouille

Elle a tellement envie !

Là devant tout le monde !

Excité par un tel spectacle Cédric lui baisse sa minuscule petite culotte et la pénètre fougueusement par derrière.

Le bruit de ses fesses mouillées se fait entendre à chaque coup de verge.

Les invités n’en peuvent plus tellement ils sont trop excités

Mylène a chaud !

L’un de ces messieurs a carrément sorti son gros pénis de son pantalon et se met à se l’astiquer.

Il est bientôt imité par les autres hommes de la noce.

Devant ce spectacle cochon elle glisse un mot à l’oreille de son mari en les regardant tous se branler et il lui enlève sa petite culotte en annonçant que celui qui l’attrapera sera le premier à sodomiser la mariée !

Il la lance cette magnifique petite culotte toute mouillée et très odorante.

C’est spectaculaire, en un instant une véritable mêlée de rugby s’est formée, mais l’un des invites s’en extirpe et exhibe fièrement le trophée du vainqueur.

Il s’approche tout en reniflant le slip et Cédric ouvre tendrement les fesses de son épouse à cette grosse bite qui pousse doucement son anus dilaté et bien préparé.

Et il entame une série de va-et-vient entre ses fesses en la faisant hurler de plaisir devant son mari bien bandé.

Elle transpire !

Sa belle robe blanche est désormais imprégnée de l’odeur de sexe et elle laisse l’invité lui sodomiser son anus délicat.

Elle se retourne, lui sourit afin de l’encourager.

Cédric la renifle, l’embrasse dans le cou et lui lèche sa sueur sur ses tétons chauds de belle femme saine et épanouie.

Elle sent la transpiration, ses aisselles ruissellent, elle sue dans le dos, elle est folle de sexe !

Elle passe sa belle main derrière elle et saisit cette grosse queue en la sortant de ses fesses devant tout le monde.

Elle se penche vivement et détaille cette bite qui vient de l’enculer !

Elle constate qu’elle n’est pas trop polluée, alors elle se met à la sucer, ça ne dure pas très longtemps, le mec éjacule.

Il en pouvait plus, incapable de résister plus longtemps au spectacle de cette mariée qui goûtait à l’odeur de son propre cul mélangé à celle de la bite de l’homme dans sa bouche, et tout cela en se labourant énergiquement la fente de ses doigts.

Des invités se sont approchés à tour de rôle pour féliciter les mariés.

Les femmes amenaient leurs hommes par la queue sortie du pantalon et elle les suçait.

Pendant ce temps Cédric commençait à préparer la mariée en sortant ses généreux nichons laiteux du corset blanc et en déchirant le bas de la robe.

Elle avait le cul à l’air, les tétons aussi et elle assumait parfaitement son rôle de "mariée déchue" qui en veut, et en veut encore, qui en veut par tout le monde …

Quelques minutes plus tard.

Mylène se releva et demanda à être raccompagnée dans sa chambre seule avec toutes les femmes afin de se choisir une demoiselle de déshonneur.

Miranda était restée en bas.

Les hommes n’osaient pas l’approcher et patientaient en faisant honneur au buffet !

Quel spectacle étrange que ces hommes débraillés, la bite sortie de la braguette en train de boire du champagne et d’avaler des petits fours distribués par deux ravissantes soubrettes à la poitrine nue !

L’actrice aurait bien entreprit un ou deux de ces hommes, mais elle se devait de préserver leurs forces et leur sperme.

La vedette de la soirée, ce n’était pas elle, c’était Mylène, c’était la mariée !

Alors elle décida de caresser la poitrine d’une des soubrettes, celle-ci eu un mouvement de recul, peut-être n’aimait-elle pas les femmes, tant pis, elle essaya avec l’autre, beaucoup moins farouche.

Deux minutes plus tard les deux femmes étaient sur le sol en pleine frénésie en train d’accomplir un soixante-neuf d’enfer au milieu des hommes réunis en cercle.

Quant à Thibault, il s’était assis dans un coin, s’empiffrait de petits fours et se demandait si cette orgie le concernait bien

Au premier étage, les femmes s’enfermèrent.

Notre mariée finit de se déshabiller et s’étendit sur le lit :

— Allez-y, je suis à vous !

  Et soyez à la hauteur !

  Ce n’est pas tous les jours mon mariage !

Elle se laissa alors caresser, tripoter, lécher et laper la chatte et le cul par ces belles femmes sensibles et prêtes à tout afin d’être désignée comme "la salope élue".

Mylène finit par faire son choix sur une belle rousse, très salope qui la séduisit en lui promettant à l’oreille de recueillir le pipi coulant de la chatte de la mariée dans une coupe de champagne devant tous, afin disait-elle de "se saouler de ces déjections dorées de superbe blonde appétissante"

Ce fut donc son choix !

Elle fit déverrouiller la porte, appela Thibault par l’interphone.

Lui demanda de faire monter tout le monde et d’apporter des coupes de champagne.

Les hommes entrèrent à moitié nus.

Mylène était à quatre pattes dans le lit avec sa chienne de déshonneur.

Elle prit la coupe qu’on venait de lui tendre, puis se mit ensuite à pisser dans le lit, complètement envahie par l’excitation.

La demoiselle d’honneur recueillit ce qu’elle put dans une autre coupe et comme promis, la bu devant tous à même le verre, cul sec, exhibant un sourire de vicieuse satisfaite et absolument décomplexée.

Un essaim de bites pénétrait à présent la mariée par la bouche, les fesses et la chatte.

Les femmes n’étaient pas en reste et elles léchaient la mariée comme des chiennes affamées.

Mylène fleurait et elle sentait le pipi chaud de "blonde savoureuse" et tout le monde avait envie de se soulager dans la mariée.

Le sperme giclait copieusement à gros bouillons tièdes dans son rectum dilaté.

Son vagin était tapissé de crème et sa bouche était engluée du foutre frais et chaud des d’invités de la noce.

Tout le monde à part le mari l’ayant pénétré.

Cédric eut alors l’idée de demander à ces messieurs de pisser tout leur champagne chaud dans le trou de balle de la mariée.

Elle servait d’urinoir pour hommes, en ressentait l’étrange chaleur dans son colon.

L’urine chaude l’irriguait de plaisir "sale" de femme dévergondée.

Elle recrachait le pipi de ses fesses en gueulant comme une belle grande salope et fière de l’être.

Le mari fut ensuite poussé sur le lit.

Et il se mit à laper sa "chienne" sale et ces dames se mirent à lui pisser dans la bouche les unes après les autres à tour de rôle et il buvait le sale cochon, se saoulant de pisse de femme devant sa propre épouse.

N’en pouvant plus, il tira aussi délicatement que possible Mylène par les cheveux et lui déchargea son foutre dans sa bouche avec une véritable frénésie animale.

5 – Lendemain

La fatigue vint.

Certains des invités partirent à l’aube, d’autres rejoignirent les chambres d’amis qu’on leur avait réservées.

On retrouva Miranda Taylor endormie sur un canapé, avec la serveuse dans ses bras.

Nos deux tourtereaux se confinèrent avec la fille et le garçon de déshonneur.

Mylène passa sa journée à jouer avec le pénis de son mari, elle s’amusa à le diriger dans la fouffe de l’autre et dans son cul

Mais elle voulait encore aller plus loin, et demanda à Cédric de s’introduire entre les fesses de Thibault, le garçon d’honneur.

Celui-ci criait de douleur, une douleur délicieuse car il adorait.

Plus tard, elle lui ordonna de lécher l’anus et le vagin de la demoiselle d’honneur.

Voilà qui redevenait plus classique pour Cédric qui ne se doutait pas que ces léchages ne seraient qu’un prélude, car il lui faudrait ensuite faire la même chose au garçon d’honneur.

Elle lui a appris donc patiemment à lécher le cul de Thibault, puis lui demanda de lui sucer le pieu.

Il le fit mieux que la reine des queues, que n’aurait-il pas fait afin de satisfaire sa mariée exigeante ?

Il n’avait pas sucé beaucoup de bites dans sa vie, mais l’occasion se présentait, il ne rechignait pas.

Et avant de remercier les deux derniers invités elle demanda au garçon d’honneur enculer son mari et de jouir dans son fondement tandis que la fille d’honneur faisait un pipi chaud dans sa bouche.

Ensuite, fourbus de sommeil, ils se sont endormis ensemble dans un épouvantable lit épongé de sperme et de sueur, imbibé d’urine et pollués de fantaisies d’adultes consentants.

Elle se réveilla avec lui assommée par la fermentation des secrétions de la noce le lendemain dans l’après-midi dans les restes de leurs costumes corrodés, brisés de plaisir, souillés mais fiers.

Elle le regarda en souriant en lui disant :

— CHERIE !

  FAISONS L’AMOUR !

  ENCORE ! !

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