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Le stagiaire . . . – Chapitre 3

Le stagiaire . . . - Chapitre 3



Dernier paragraphe du chapitre 2.

On s’embrasse, on éteint la lumière. Je me dis que ce jeune est en train de me faire perdre la tête, et, que, à quoi bon que je me retienne, J’ai de plus en plus envie de lui montrer de quoi je suis capable de faire avec ma bouche. J’ai en fait une folle envie de lui montrer comment une femme qui aime la fellation peut s’exciter à le faire.

Hier soir, je me suis bien fait sodomiser comme il faut par mon mari qui était bien excité lui aussi. Et je ne parle même pas de la fessée que j’ai reçue ! Il ne me donne pas souvent la fessée, mais quand je la reçois, je la sens passer ! J’aime ça !

Ce matin, au levé, J’ai une petite douleur au niveau de l’anus. Il faut dire qu’il y a été un peu fort. Mais je sais que cette douleur va disparaître dans la journée. En revanche, mes fesses ont bien encaissé les claques reçues, car je n’ai aucune trace ni petite douleur.

Il est 8H30, mon mari est déjà parti au travail, je vais prendre mon petit-déjeuner tranquillement dans la cuisine. J’ai toujours cette image d’avoir Sébastien dans ma bouche. Cette image ne me lâche pas ! Bien au contraire, elle se renforce !

Je nettoie un peu ma maison, je regarde mon téléphone fréquemment, c’est bête, mais c’est juste dans l’espoir de recevoir un SMS de Sébastien. Mais non. Rien !

Il est presque 11H00, j’entends mon téléphone m’annoncer l’arrivée d’un message. Comme une adolescente, je me précipite dessus. C’est mon mari. Nous échangeons quelques SMS

— Je t’aime mon amour, j’ai adoré hier soir

— Je t’aime aussi mon amour, j’ai mal à mon petit trou à cause de toi…

— J’avoue que je me suis excité un peu fort dans ton joli petit cul. Pardon.

— Le principal pour moi est que tu aies pris du plaisir dans mes fesses. Mais promets-moi de les laisser tranquilles un petit temps pour qu’elles soient réutilisables si tu as envie de recommencer.

11H10, je ne tiens plus, j’ai trop envie d’envoyer un SMS à Seb.

— Coucou toi ! J’espère que tu profites de ta journée de repos.

Une réponse arrive pratiquement aussitôt.

— Coucou toi ! Oui, je me repose, grâce matinée ce matin. Toi aussi grâce matinée ?

Ça y est, les échanges ont commencé. Je me surprends à m’assoir à la table de la cuisine pour me préparer à dialoguer avec lui par texto.

Je me suis levée à 8H30, mais je lui mens en lui disant que je me suis levé il y a à peine 1H00. Que j’ai flâné dans mon lit bien au chaud.

— J’attendais un message de toi, car je ne savais pas si ton mari était avec toi ou pas. Et je ne veux pas être la cause de dispute dans ton couple.

— Non, mon mari est parti ce matin de bonne heure.

— OK. Donc j’ai quartier libre avec toi toute la journée ?

— On peut dire ça comme ça, sauf que j’ai des trucs à faire quand même.

— Oui, je comprends, moi aussi d’ailleurs. Mais on s’envoie des messages en cours de journée ?

— Oui, avec plaisir.

— Je vais prendre ma douche, je te dis à plus tard

J’ai failli lui proposer de venir lui frotter le dos, mais je ne l’ai pas fait, c’était trop de la provocation, et je sais qu’il m’aurait pris au mot.

Il est pratiquement 11H30, je me décide à faire le ménage cette fois-ci. Je vaque à mes occupations, quand je reçois un message.

— C’est Sébastien ! Alors, toujours en petite tenue ?

— Qui te dit que je suis en petite tenue ?

— Si tu es toute seule et que tu as fait la grâce matinée, il y a de fortes chances que tu sois habillée décontractée.

Je commence sérieusement à entrer dans ce jeu en lui répondant…

— A ton avis, je suis habillée comment en ce moment ?

— Tu n’es pas en robe de chambre, tu es bien trop sexy, donc soi tu es en nuisette sexy, soi juste une petite culotte pour flâner chez toi.

Oh ! Petit con ! Il tape directement dans le mille. Je suis bien en nuisette, je n’ai pas mis de petite culotte comme il le dit, ni même de soutien-gorge. Quoi lui répondre ? Je lui dis quoi ? Je lui dis que Je suis habillée en survêtement ? Ou bien qu’il a raison, je suis en nuisette ? Ou alors simplement qu’il se trompe et que je suis habillée pour la journée ? Je réfléchis…

J’ai envie de l’émoustiller un peu, puis, après tout, il le cherche ! Non ?

— Pour tout te dire, tu as raison, je suis encore en nuisette.

— Je suis trop fort ! Tu m’invites à prendre un café ?

Je pousse le vice un peu plus loin en lui répondant…

— Si tu viens boire un café, tu risques de ne pas me regarder dans les yeux. Et tu risques d’être troublé jusqu’à ce soir. Ha ha ha. Parce que je n’ai pas l’intention de me changer pour le moment.

— Whaouuuu, Trop bien si tu restes en nuisette. Et pourquoi je risque de ne pas te regarder dans les yeux ?

Je continue à jouer en lui répondant…

— Je suis à l’aise sous ma nuisette. Mais le truc est que je suis à l’aise dessous. Elle est plutôt décolletée.

— Nuisette transparente ?

— On va dire qu’une nuisette est toujours fine, elle ne sert pas vraiment à cacher.

— En effet, je ne risque pas de te regarder dans les yeux. Je viens alors ? Mais je ne sais pas où tu habites. Pfff

— Sérieux ? Tu me proposes de venir chez moi ?

— Ben oui, mais sans arrière-pensée. Juste boire un café. Mais tu peux rester en nuisette quand même.

— Et tu vas boire le café en me déshabillant du regard petit coquin.

— Je ne te cache pas que oui, il y a des chances.

— C’est assez gênant de te recevoir en nuisette !

Je suis assise à la table de ma cuisine, j’allume une cigarette, et pars dans mon imaginaire. Je m’imagine qu’il est en train de boire un café en face de moi, que je suis toujours en nuisette, nue dessous, qu’il materait ma poitrine généreuse, et qu’à chaque fois que je me lèverai, en lui tournant le dos, qu’il se fixerait sur mes fesses. J’aspire sur ma cigarette, et je m’imagine me lever, aller vers lui, lui demander de se décaler afin que je puisse me mettre en place pour goûter à son sexe. Quand je reviens à la réalité, je me rends compte que je suis en train de me caresser, que je suis toute mouillée, et que je suis en train de me faire du bien.

Je reprends mon téléphone.

— Je plaisante, je ne prendrai pas le risque de te recevoir chez moi, on ne sait jamais, mon mari peut entrer à n’importe quel moment. Puis surtout je ne te recevrai pas en nuisette sans rien dessous, ça ne se fait pas.

— Tu peux me recevoir en nuisette, tu sais, je ne vais pas te violer, juste regarder ce qui est beau à regarder.

Je me dis que ça risque d’être moi qui risque de la violer…

— Et qu’est ce qui est beau à regarder ?

— Je te le dis franchement ?

— Oui, franchement.

— Alors franchement, tu es en nuisette devant moi, je profiterai de regarder ta poitrine et tes fesses. Désolé, je suis franc. J’ai pu m’apercevoir que ta poitrine est belle au travers de ta tunique au boulot. Mais que tu as de jolies fesses.

— Coquin, tu me mates au boulot !

— Je ne mate pas, je regarde. Et j’aime la façon que ta tunique du haut te serre la poitrine. Tu sembles avoir une poitrine généreuse. Je me trompe ?

Il a raison, ma tunique comprime mes seins. Mais si je demande une taille au-dessus, elle est trop ample, je ne suis pas à l’aise dedans. Le problème est que j’ai une petite taille et des gros seins. Pour vous Messieurs, je sais que vous aimez ça, mais pour moi, c’est un peu un handicap d’avoir des gros seins. Puis un autre problème, beaucoup d’hommes trouvent que je suis provocante parce que ma poitrine est la première chose que l’on voit quand on est en face de moi.

Sans répondre à sa question.

— Je te laisse, j’ai des choses à faire. Je te dis à plus tard.

— A plus tard. De gros bisous.

Oh ! Il m’écrit de gros bisous ! Il se lâche ! Si ça se trouve, il est en train de m’écrire des SMS, son sexe à la main à se toucher, et maintenant que nous avons stoppé un peu les SMS, si ça se trouve, il va se masturber et se faire jouir. Mais j’aime l’idée qu’il se branle en pensant à moi. Ce qu’il ne sait pas, c’est que si j’étais à côté de lui, c’est moi qui risquerais de le branler pour le soulager. Mais chutttt, il ne sait pas que j’ai envie de me laisser aller à la tentation.

Je pose mon téléphone sur la table. M’enfonce dans ma chaise, écarte les jambes et me fais plaisir avec mes mains jusqu’à me procurer un orgasme. Deux fois que je me masturbe en deux jours en pensant à lui, je crois que c’est une évidence, il va falloir que je passe à l’acte. Mais je ne veux pas passer à l’acte jusqu’à coucher avec lui, je veux seulement lui faire une fellation. Mais comme m’y prendre ? Pas sur mon lieu de travail quand même !

Après m’être donné du plaisir, soulagée, je prépare mon petit repas en solitaire, puisque mon mari ne rentre que très rarement à la maison le midi. Je mange, fais deux ou trois petites choses, puis me décide d’aller faire quelques courses dont j’ai besoin. Il est donc 14H30.

14H30, et pas reçu de SMS de la part de Sébastien. Ça me manque en plus ! Alors je prends la décision de faire le premier pas en lui renvoyant un texto.

— Je t’imagine plongé dans tes cours, alors un petit message pour te donner du courage

Une réponse arrive deux ou trois minutes après.

— Oh ! Sympa ! Merci ! Je suis devant la télévision, je ne passe pas non plus la journée dans mes cours. Mais très sympa de ta part.

— Que regardes-tu comme film ?

— Un film porno. Avec des icônes d’éclats de rire.

— Sérieux ?

— Oui. Il y a même une scène plutôt chaude en ce moment. Tu veux venir le regarder avec moi ?

— Pfff. Que tu es bête ! Et non, je ne viendrai pas le regarder avec toi. Je préfère passer à l’acte que de regarder.

— Ben tu viens et on peut faire les deux.

— Non, je suis désolée, je ne viendrai pas te rejoindre pour un film porno.

— Non, je déconne, je regarde un film de science-fiction. J’aime bien ce genre de films.

— Au pire, il n’y a aucune honte à regarder un film X

— Mais ça m’arrive. Pas toi ?

Je ne suis pas une adepte des films porno, mais pour ne pas paraître vieux jeu , je lui réponds.

— Moi aussi ça m’arrive d’en regarder un quelques fois. Je vais devoir te laisser, je vais faire quelques courses à la grande surface de X. A plus tard.

C’est bête, mais j’ai fait exprès de lui dire à quelle grande surface j’allais, juste dans l’espoir qu’il y aille lui aussi, et que ça devienne une sorte de hasard que de le croiser. Puisqu’il sait où je vais exactement, peut-être aura-t-il la bonne idée d’y aller lui aussi pour faire en sorte qu’on se voit. Dans le cas où on se croise, je vais aller boire un verre avec lui, et la suite… Ben… Je verrai bien.

16H00, je reviens de mes courses. Mais je n’ai pas croisé Sébastien. Il n’y avait pas beaucoup de monde, c’était obligé que je le voie. Mais non, à ma plus grande déception. En rangeant mes courses, je réfléchis, je réfléchis et je réfléchis encore pour en arriver à la conclusion suivante : je me lance dès demain avec le petit stagiaire quand je vais le retrouver au boulot. Demain, nous sommes, lui et moi, d’après midi, donc avec des horaires 13H30 à 21H00. Je vais le tester.

Fin de la journée de repos, la soirée tranquille avec mon mari, tout se passe bien, nous allons nous coucher. Mon mari a passé une dure journée, dès qu’il s’est couché, il s’est endormi.

Le lendemain matin, je me lève vers 9H00, je flâne au lit, et enfin je me lève. Je déjeune, puis envoie un texto à Sébastien vers 9H30.

— Coucou, tu as passé une bonne nuit ? Tu es d’attaque pour cet après-midi ? Ce sera le premier après-midi que tu feras car jusqu’à maintenant, tu n’as fait que des matins.

Je reçois une réponse de sa part une bonne demi-heure après.

— Coucou, oui bien dormi, je suis encore sous la couette. Et toi bien dormi ?

Je lui mens, pour voir sa réaction, en lui écrivant.

— Oui, bien dormi. Et moi aussi, encore sous la couette.

— Ah toi aussi sous la couette ? En petite nuisette ? lol

C’est à ce moment-là que je commence vraiment à le provoquer un peu.

— Tiens, dis-moi, qu’est-ce que tu en penses ? En nuisette dans mon lit ou pas ?

— Je pense que tu es en nuisette

Je pousse un peu plus loin en lui répondant.

— Perdu !

— Et si je ne me trempe pas à la deuxième chance, je gagne quelque chose ?

— A voir …….

— A voir ? Oh ! Alors je tente ma deuxième chance. Tu es toute nue dans ton lit.

— Gagné

— Donc si j’ai gagné, je gagne quelque chose ?

— Oui

— Qu’est-ce que je gagne ?

— Tu verras.

— Tu m’inquiètes là !

— Oh mais non, ne t’inquiète pas. Tu verras ce que tu as gagné.

Nous continuons à échanger plusieurs SMS de la sorte, puis je me décide à ranger ma maison avant que je parte au travail. Voilà, je l’ai provoqué, il a mordu, il a gagné quelque chose, mais ne sait toujours pas quoi. Moi je le sais, mais ce sera la surprise.

La matinée se passe ainsi, il est midi, je dois aller prendre une douche, m’habiller, me maquiller car je pars dans 1H00 de chez moi. Une fois que je suis toute propre et fraîche, je m’habille d’une jupe droite qui s’arrête juste au niveau des genoux, une chemisette légère que je recouvre d’une petite veste. Par contre, quand j’arrive devant le miroir de ma salle de bain, je réfléchis pour mon maquillage. Je ne peux pas me maquiller provocant à cause de mon travail, donc il sera léger comme d’habitude, mais avec un petit plus, qui sera mes lèvres. En effet, un contour de la bouche avec un crayon de la même couleur que mon rouge à lèvres. Me voilà prête, il est 12H50, j’écris un petit mot à mon chéri et prends la route direction le travail.

13H20, j’arrive sur le parking. Pas de Seb en vue pour le moment. Je vais dans les vestiaires, discute avec mes collègues femmes, puis ensemble nous montons dans le service. Seb est là ! J’entre dans la salle de pause, fais le tour des collègues que je n’ai pas encore vu, et le tour de Seb arrive. Je ne vous dis même pas les yeux étonnés et écarquillés qu’il a eus en me voyant. (C’était pour lui la première fois qu’il me voyait avec la bouche aussi maquillée, car les précédentes fois, c’était juste un rouge à lèvres clair, discret alors qu’aujourd’hui, c’est un rouge à lèvres rouge et un contour de la bouche)

Je lui fais donc la bise très naturellement, et nous partons tous aux consignes. A deux ou trois fois, je l’ai surpris à me regarder du coin de l’il. Mais je reste naturelle, et fais mine de ne pas faire attention à lui.

Les consignes sont terminées, Vous devez commencer à la savoir, nous buvons un café tous ensemble, et, avant de prendre le travail, je descends fumer une cigarette. L’après-midi, le travail est moins lourd que le matin, de ce fait, nous avons un peu plus de temps. Je regarde Seb, et, très naturellement, je lui dis

— Binôme ? Je descends fumer, tu veux venir ?

Il commence à prendre les habitudes du service, et vient avec moi. Nous arrivons en bas, à l’endroit habituel. J’allume une cigarette, il me regarde sans rien dire.

— Tu es moins bavard qu’en texto. » (Avec un petit sourire)

— Cest plus facile de s’exprimer par écrit que devant la personne elle-même.

— En effet, tu as raison.

— C’est la première fois que je vois maquillée comme ça. Enfin, je veux dire avec un rouge à lèvres comme ça. Mais qu’est-ce que ça te va bien !

— Merci. Il arrive des fois que je mette ma bouche en valeur. Quand je suis décidé ou que j’ai le temps de le faire. Tu aimes bien alors ?

— Tu n’as pas besoin de grand-chose pour la mettre en valeur. Tu dois te douter que lui, j’aime bien.

— Bon, ce matin, tu as gagné quelque chose. Tu te souviens ? Mais je ne sais pas encore ce que tu as gagné. Tu as peut-être une idée toi ?

— Non. De boire un verre avec toi en ville ?

— Pourquoi pas, ça peut-être une idée.

Nous remontons dans le service, il reste derrière moi, mais je sais pourquoi, il me l’a presque dit en SMS. Il aime regarder mes fesses. Sans me retourner, j’imagine son regard sur mon cul, alors je le dandine en marchant. Nous prenons l’ascenseur, nous sommes en face à face, il est un peu intimidé, je crois bien que je vais devoir prendre les choses en main.

Nous commençons à travailler, à faire ce qu’il doit se faire, toujours avec mon petit jeune de stagiaire. A un moment donné, nous sommes en train de refaire un lit, il est en face de moi, nos mains se touchent. Il se retire rapidement en levant les yeux vers moi. Je lui souris et ne dis rien. Nous sortons de la chambre, et, dans le couloir, nous croisons mon collègue, Didier. Toujours avec son humour décalé et qui porte vers le sexe.

— Nathalie ! ! ! Que ce rouge à lèvres est provocant ! Mais qu’es-ce qu’il est joli ! Un homme à croquer aujourd’hui ?

Juste pour émoustiller Seb sans en avoir l’air, je lui réponds dans le même humour que lui.

— Ben non, si j’ai maquillé ma bouche comme ça, ce n’est pas pour croquer un homme ! C’est plutôt pour lui faire une pipe !

Il a été tellement surpris de ma réponse, qu’il n’a pas su quoi répondre et a tourné les talons.

Je regarde Seb et lui dis.

— Tu ne crois pas que j’ai raison ? Je ne vais pas croquer un homme comme ça ! Et je rigole.

— C’est sûr …… (En rougissant)

Il est environ 16H00. Une petite pause pour prendre un café. Mes collègues ne sont toujours pas arrivés, Seb et moi nous installons à la table ronde après avoir fait couler notre café avec la machine tassimo du personnel. Je prends soin de m’installer en face de lui. Eh oui, j’ai décidé de le provoquer. Je ne sucre pas mon café, mais l’idée me vient de prendre quand même une cuillère et je touille sans sucre. En sortant la cuillère, je le regarde, le fixe dans les yeux, et, langoureusement, j’entre la cuillère dans ma bouche et la ressors en la faisant glisser entre mes lèvres. Il regarde et baisse son regard.

— J’adore sentir la chaleur de la cuillère.

— Et ça te va bien.

— C’est quoi qui me va bien ?

— Ben … Heu … Je veux dire que tu le fais d’une façon sensuelle.

— Tout ce que je fais avec ma bouche est sensuel et doux.

— Je n’en doute pas. (Il n’ose pas me regarder dans les yeux.)

— Ca te gêne que je te dise ça ?

— Non, pas du tout. De toute façon, quoi que tu fasses, tu es très sensuelle.

Dommage, une de mes collègues arrive. Je dois reprendre une attitude normale. Mais lui, je crois que je suis en train de vraiment le perturber. C’est ce que je veux !

Nous repartons tous les deux dans quelques chambres, et, dans une chambre, le patient est parti en radiologie, ce qui fait qu’elle est vide. Pas de lit non plus, puisque le lit part avec le patient. Mais nous devons passer un coup de désinfectant avant son arrivée. J’explique à Seb la façon de faire, nous commençons.

Au bout de quelques minutes, je me mets en face de lui.

— Je m’excuse tout à l’heure dans la salle de pause avec la cuillère. J’ai été très maladroite. J’ai réalisé après ce que j’avais fait.

— Non pas de soucis, je te l’ai dit par SMS, tu es d’un naturel très excitant. Même avec une cuillère.

— Oui, enfin là, je n’ai pas fait exprès et ça peut porter à confusion.

— Non, ne t’inquiète pas, je me suis régalé les yeux.

Je lui souris, et mon regard se porte vers son entre cuisses. Je remarque une légère bosse. Non ? ! Il aurait une petite érection ? Mais ça me plaît bien ça !

— J’ai cru comprendre par SMS que tu pouvais avoir des réactions. Je crois que tu en as une en ce moment. Non ?

Il est devenu tout rouge, baisse les yeux, ne dit rien, et se décale un peu. Je n’ai pas de mérite de l’avoir vu, dans ces pantalons tunique, tout se voit, surtout chez les hommes.

— Je sais ce que tu as gagné !

— Quoi ?

— Tu verras, mais j’ai mon idée.

Et nous repartons vers une autre chambre. Mais dans le couloir je lui dis à voix basse.

— Tu sais, ça me plaît bien la petite réaction que tu as eue tout à l’heure.

Il ne savait plus où se mettre.

L’après-midi se passe, l’heure est arrivée pour quitter le travail. Nous allons dans nos vestiaires et allons rejoindre nos vestiaires. Il est 21H30, il fait nuit, je vais à la rencontre de Sébastien.

— Ce soir tu ne m’envoies pas de SMS, il y aura mon mari. Mais demain, quand tu veux, il part vers 7H00. Demain soir, après le boulot, tu veux qu’on aille boire un verre sur Périgueux, on sera plus à l’aise non ?

— Demain soir ? Oui, je veux bien. On ira au bar XX rue YY, il est ouvert et en général, il n’y a pas grand monde. Mais ton mari ne va pas te poser des questions ?

— Mon mari, je gère. Et d’accord pour demain. On discutera plus librement qu’au boulot. Bonne nuit »

— Bonne nuit

La suite qui s’annonce plus active et excitante pour vous ……

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