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Le stagiaire . . . – Chapitre 4

Le stagiaire . . . - Chapitre 4



Dernier paragraphe du chapitre 3

— Ce soir tu ne m’envoies pas de SMS, il y aura mon mari. Mais demain, quand tu veux, il part vers 7H00. Demain soir, après le boulot, tu veux qu’on aille boire un verre sur Périgueux, on sera plus à l’aise non ?

— Demain soir ? Oui, je veux bien. On ira au bar XX rue YY, il est ouvert et en général, il n’y a pas grand monde. Mais ton mari ne va pas te poser des questions ?

— Mon mari, je gère. Et d’accord pour demain. On discutera plus librement qu’au boulot. Bonne nuit »

— Bonne nuit

Nous nous sommes dit au revoir, et sommes rentrés chez nous. Quand je suis arrivée, mon mari a mangé, rangé sa vaisselle, la maison est bien ordonnée. Le seul petit détail que j’ai oublié est que quand je rentrai à la maison, mon mari est arrivé avant moi, et qu’il voit que je reviens du travail avec la bouche plus provocante que d’habitude quand je reviens du travail. (Il a l’habitude de me voir maquillée, mais toujours un maquillage très discret ainsi que mon rouge à lèvres)

C’est la première chose qu’il remarque.

— Oh, ma chérie, tu t’es faite belle pour le petit stagiaire aujourd’hui ?

— Non, que c’est surtout parce que ce matin j’avais envie d’être belle pour moi.

Nous discutons un peu de tout et de rien, et, quand nous nous couchons, il remet le jeune sur le tapis, inquiet, mais aussi excité vu la grosseur que prend son sexe ! Je pense qu’il est plutôt excité d’imaginer me voir le faire que de me donner la permission de passer à l’acte. Je lui ai bien ouvert quelques portes, mais aussitôt, il se refroidit avec la crainte que je m’occupe de ce petit jeune.

Puisque je vois qu’il se met à bander en me parlant de Seb, je prends délicatement son sexe dans ma main droite pour lui infliger de lents va-et-vient. Peu à peu il se positionne sur le dos, se laisse faire, car je sais qu’il aime quand je le masturbe aussi. Sa queue dans ma main.

— Ma chérie, tu lui as fait ce que tu me fais ?

— Non, mon amour, je le fais qu’à toi. Tu aimerais que je lui fasse ? Ça t’exciterait ?

— Oui et non. J’aime imaginer mais je ne sais pas si j’ai vraiment envie que tu le fasses.

Sans lui répondre, je me baisse au niveau de son sexe et l’embouche délicieusement jusqu’au fond de ma gorge, centimètre par centimètre. Mais j’ai chaud entre les cuisses, car, il ne le sait pas, mais à chaque fois qu’il me parle de ce stagiaire, il me fait mouiller. En fait, ça m’excite grave qu’il m’en parle. Je sors son sexe de ma bouche après l’avoir sucé quelques minutes, le chevauche, place son sexe juste à l’entrée de mon vagin, et descends jusqu’à ce que la totalité de son sexe ait disparu en moi. Je pose mes mains sur son torse musclé pour prendre appui, puis je lui impose un rythme de montée et descente. Hum… Je prends du plaisir… J’aime me faire prendre dans cette position ! Lui aussi aime cette position, il peut me malaxer les seins.

Mes seins sont à sa merci, ils pendent devant ses yeux. Il aime mes seins, je le sais, il me le dit assez souvent. Mes montées et descentes sur sa queue s’accélèrent, je le vois se tendre, il va jouir !

J’entends un râle sortir de sa bouche, et, quelques secondes après, son liquide chaud envahir mon vagin. Je reste quelque temps sur lui, sa verge à l’intérieur. On s’embrasse tendrement. Quand je me relève, son sexe devenu mou, tombe sur son ventre et je sens son liquide couler d’entre mes cuisses. Je saisis de nouveau sa verge pour passer ma langue sur la totalité afin de la nettoyer. Je déguste ce liquide, mélange de semence et de cyprine.

Après une petite toilette intime, je reviens le rejoindre dans notre lit conjugal, et nous nous endormons paisiblement tous les deux.

Le lendemain matin, je me réveille, mon mari est déjà parti au travail. Il est environ 8H30. Je me lève, bois mon café, et repense à ce que j’ai proposé à Sébastien. D’aller boire un verre ensemble après le travail, en ville, après le travail ! Mais qu’est-ce que j’ai dit là encore ! Pourquoi j’ai dit ça ? Je vaque à quelques occupations ménagères, il est déjà 9H30, et je n’ai pas trouvé quoi dire à mon mari pour justifier mon retard ce soir après le boulot. Mais une chose de sûre, je n’ai nullement pas l’intention d’annuler le verre avec Sébastien !

9H30. Je pense qu’il est réveillé Seb ! Je m’assois à la table de la salle à manger, me fais une pause pour fumer une cigarette, mais aussi…… Pour envoyer un SMS à Seb.

— Coucou Seb. Peut-être que je te réveille ?

Je reçois une réponse pratiquement aussitôt.

— Salut Nathalie. Non, tu ne me réveilles pas. Je suis toujours dans mon lit, mais réveillé. Bien dormi ?

— Oui, bien dormi. Et toi ? Ah oui ? Tu es toujours au lit ?

— Oui, je prends mon temps de me lever quand on bosse d’après-midi. Puis pas grand-chose à faire, alors je prends mon temps.

J’ai envie de jouer la coquine.

— Tu as raison de prendre ton temps. Je fais comme toi. Si tu es encore au lit, tu dois être toujours nu. Hi hi hi

— A mon tour de te faire deviner. Je suis en caleçon ou nu à ton avis ?

— Je ne pense pas que tu sois en caleçon. Je pense que tu es nu.

— Tu as raison, je dors nu. Je suis plus à l’aise.

Je décide de le faire bander.

— Moi aussi, j’aime sentir la douceur de mes draps contre ma peau. Puis il est plus facile pour mon mari de s’occuper de moi s’il en a envie.

— Coquine, tu dis ça à un homme qui est tout seul et qui en plus est nu !

— Pourquoi ? Je ne devrais pas te dire ça ?

— Ben j’ai juste l’impression que tu veux me mettre dans un état critique.

— Pourquoi état critique ? Peux-tu m’en dire plus ?

— Arrête de me dire des choses comme ça.

— Te dire qu’il est plus facile pour mon mari de s’occuper de moi quand je suis nue dans le lit ? Rhooooo, mais il t’en faut plus quand même. Non ?

— Oui, j’imagine la scène après.

— Imagine si tu le veux. Mais mon mari aussi dort nu. Et c’est plus facile pour moi de m’occuper de lui en pleine nuit.

— J’imagine encore mieux la scène là ! Mais je vais tomber dans un état critique.

— Et quest-ce qui se passe quand tu es dans ton état critique ?

— Heu… Je ne vais quand même pas te faire un dessin ?

— Non, je préfère voir en vrai qu’un dessin.

Je sens qu’il n’ose pas trop attaquer, et donc il change de sujet.

— Je peux te poser une question pour ce soir ?

— Oui, tu le peux

— C’est toujours OK pour ce soir le verre ? Et, si toujours OK, tu as la bouche maquillée comme hier au boulot ?

Il est vrai que je n’ai pas encore prévenu mon mari pour ce soir, mais je trouverai bien un prétexte. Puis ma bouche, il va falloir que je m’organise pour ne pas que mon mari voie que j’ai recommencé à mettre en valeur ma bouche, il va se poser sérieusement des questions. Chose que je ne souhaite pas ! Je me démaquillerai la bouche dans la voiture avant d’arriver chez moi dans ce cas.

— Oui, c’est toujours OK pour ce soir le verre dans Périgueux. J’espère juste que nous ne serons pas vus par des personnes que nous connaissons. Tu aimerais que je me maquille la bouche comme hier ?

— Oui, j’aimerais bien. Ça te va trop bien. Je te trouve très belle comme hier.

— Tu ne trouves pas que ça fait un peu trop bouche à pipe ? (Dans le but de le provoquer)

— Je n’ai jamais dit ça. Je trouve juste que tu es super-belle quand tu fais ce que tu as fait hier à ta bouche. Ça fait très sensuel sur toi.

— Merci. Déjà quand je mets du rouge à lèvres normal, je trouve que j’ai une bouche à pipe, mais si en plus je vais le contour au crayon, j’ai véritablement une bouche à pipe. (Je persévère à la provocation)

— Alors on va dire que j’aime quand tu as la bouche maquillée comme ça.

Je sais que j’ai une bouche, même sans maquillage, qui est pulpeuse. Et lui semble sensible à mes lèvres. Ce qui me ravit.

Je le provoque un peu plus, puisque de toute façon, j’ai pris ma décision, j’ai envie de me laisser aller à la tentation avec lui. Et je pense que je ne vais pas avoir de difficulté, malgré sa légère timidité.

— Alors pour te faire plaisir, demain, je maquillerai ma bouche comme hier.

— Merci, c’est super ! J’aime regarder.

— J’espère bien que tu ne vas pas te priver de regarder. Ce sera fait exprès demain soir.

— Mais ne va pas dire après que j’ai une bouche à pipe comme certains peuvent dire. Hein ? (Pour aller peu plus loin dans la provocation).

— Non, c’est juste pour avoir le plaisir de te regarder.

— D’accord. Parce que, même si j’aime bien utiliser ma bouche avec mon mari, il ne faut pas que tu laisses la rumeur que nous sommes allés boire un verre ensemble dans l’intention de t’exciter ou t’allumer.

— Promis, ce n’est pas mon but. Au fait ! J’ai gagné quoi ?

— Tu verras.

— Tu ne veux pas m’en dire plus ?

— Non, mais je sais que tu vas apprécier ce que tu as gagné.

Nous continuons un peu à échanger des SMS, puis l’heure qui tourne, il faut que je me bouge un peu quand même. Je vais me préparer, je passe dans la salle de bain, me maquille et, bien entendu, mets en valeur ma bouche. Petite jupe jusqu’aux genoux, petit haut décolleté qui laisse apparent la naissance de mes seins.

Il est temps que je parte de chez moi. J’arrive au travail. Consignes, pause-café, puis je vais fumer ma cigarette, Seb vient avec moi. Nous sommes tous les deux.

— C’est comme ça que tu voulais pour ma bouche ?

— Oui, j’adore. (En baissant les yeux au sol.)

— Si ça part un peu dans l’après-midi, je le referai pour toi ce soir dans les vestiaires. En plus ce soir, tu auras le droit à contour de mes lèvres au crayon. Ça la rend encore plus pulpeuse.

— C’est sympa. Je pourrai au moins regarder, et j’aime te regarder comme ça.

— Tu sais où on va ce soir ? Pas trop de monde j’espère

— Non, pas trop de monde, on va aller au bar XX. Il est calme le soir normalement.

Puis nous remontons. Nous commençons notre travail. Nous discutons. Dans l’après-midi, jenvoie un SMS à mon mari pour lui dire de ne pas s’inquiéter, je rentrerai un peu plus tard, une collègue est absente, nous sommes en sous-effectif, et que je vais devoir faire une heure de plus ce soir. Voilà ! Je l’ai trouvé mon prétexte ! Il ne connaît pas mes collègues. Il me répond que c’est d’accord.

La journée de travail s’achève. L’heure de quitter le travail est arrivée. Avant d’aller aux vestiaires, je dis à Seb discrètement de m’attendre en bas, sur le parking. J’ai laissé mes collègues partir avant moi, et, avant de descendre au parking, je réajuste le maquillage de ma bouche, et noublie pas de faire le contour avec un crayon de la même couleur que mon rouge à lèvres. Une couleur rouge, sans être trop vif.

Je descends, Sébastien m’attend au niveau des escaliers. Je lui demande de me laisser le temps d’aller à ma voiture, et, quand il passe devant moi, je le suis jusqu’au bar.

De l’hôpital jusqu’au bar, il y a environ 10 minutes de route, surtout à 21H30. Il se gare, je me gare juste à côté de sa voiture et descends. Nous marchons environ cinq minutes, et nous voilà devant ce bar que je ne connaissais pas. Il ne fait pas froid, mais un peu frais. Je lui propose d’aller à l’intérieur. Nous commandons tous les deux un café. Je regarde autour de nous, personne que je connais. D’ailleurs peu de monde en effet.

Je retire ma veste, Sébastien découvre mon petit haut moulant qui laisse deviner mes gros seins de 95D. Au boulot, il ne me voit pas habillée en civile, puisque nous sommes en uniforme. Je remarque son regard à trois reprises rapprochées sur ma poitrine.

— Tu te rinces l’il ?

— Tu as fait ce que tu avais dit pour ta bouche et là, je dois te dire que tu l’as fait admirablement bien.

— Ce n’est pas ma bouche que tu regardes j’ai l’impression. Non ?

— C’est la première fois que je te vois habillée en civile, et je remarque tu es super-sexy et classe en même temps.

— Tu parles de mon décolleté ?

— Oui, aussi.

Je m’approche de lui en m’appuyant sur la table avec mes avant-bras, de façon à ce qu’il puisse mieux voir mon décolleté.

— Si tu veux te rincer l’il, ne te cache pas, regarde. C’est fait pour ça.

Il me sourit, regarde plus intensément dans mon décolleté, très gêné du spectacle que je lui offre.

— Tu as une superbe poitrine.

— Merci. Décidément, j’ai une bouche à pipe, des gros seins, et tu me trouves sexy. Ça va t’exciter tout ça. (En le fixant dans les yeux)

— Ça risque oui

— Si ce n’est pas déjà fait. Non ?

— J’avoue que tu as le don de m’exciter.

— Si je comprends bien tu aimes les grosses poitrines et les lèvres pulpeuses.

— Tu as tout compris.

— Alors regarde ma bouche, et mate ma poitrine. Ça ne me dérange pas. Puis nous ne sommes plus au boulot. Nous sommes que tous les deux. Ne te gêne pas, regarde ce que tu aimes regarder ouvertement.

Nous restons environ une heure au bar. Pendant cette heure, en parlant, je fais la moue avec ma bouche, je me mets dans des positions de façon à ce qu’il puisse voir un peu mieux mon haut qui laisse deviner une poitrine lourde mais ferme.

Mais il va falloir que je pense au retour à la maison. Je ne peux pas me permettre de rentrer chez moi à plus de minuit, sinon, mon mari va se dire plus d’une heure supplémentaire, ça fait beaucoup. En effet, il arrive quelques fois que je fasse un peu de rabe, mais jamais plus d’une heure.

— Il va être temps que je rentre si je ne veux pas que mon mari s’inquiète.

— Il est jaloux ?

— Oui, il est un peu jaloux. Mais ça va, il me laisse du temps de libre et ne me surveille pas comme lait sur le feu quand même.

— La première soirée t’a plu ?

— Oui, c’était super-sympa. Et nous avons mieux parlé que quand nous sommes au boulot.

— C’est vrai. Plus de liberté d’expression.

Nous sortons du bar et nous nous dirigeons vers nos voitures. Nous avons environ 10 minutes de marche. Je réfléchis comment je peux m’y prendre car j’ai envie de lui faire au moins un petit truc avant de le quitter. Puis je repense à notre petit jeu pas SMS, de ce qu’il a gagné. J’embraye dessus…

— Au fait, tu ne m’as pas demandé quest-ce que tu avais gagné ! Tu te souviens ?

— Ah oui ! Tu vas me le dire maintenant ?

— Avant que je te le dise, j’ai une question. Es-tu très discret ?

— Oui, pourquoi cette question ? Tu as bien vu par rapport à mes SMS.

— C’est vrai que tu fais preuve de discrétion. Donc tu veux savoir ce que tu as gagné ?

Nous sommes au niveau des voitures. Je regarde autour, des jeunes ne sont pas loin de l’endroit où nous sommes garés sur des bancs publics. De l’autre côté, des gens qui se promènent avec leur petit chien. Il est 22H35. Zut ! Du monde autour, il est tard (par rapport à mon mari), je suis un peu ennuyée, ça ne va pas être simple.

— Oui, dis-moi ce que j’ai gagné. Je n’en ai aucune idée.

— Je vais te le dire dans ta voiture. Je peux monter dedans ?

— Oui oui, viens, on monte dans ma voiture.

Une fois que je suis dans sa voiture, je regarde une nouvelle fois autour, il y a trop de monde ! Il est un tard, et je ne veux pas bâcler, surtout pour une première. Je déboutonne ma veste de façon à mettre mon décolleté devant son nez.

Il y a un peu de lumière des lampadaires du parking, mais l’éclairage d’une couleur jaunâtre n’est pas très fort. Je pense que les personnes qui pourraient passer près de la voiture pourraient facilement nous voir, même sans le faire exprès. Il me regarde sans rien dire.

— As-tu été un peu excité par moments du fait que tu te retrouves devant moi au bar ?

— C’est-à-dire, je ne comprends pas bien ce que tu veux dire.

— Pour parler franchement, as-tu bandé au moins une fois ce soir ?

— Heu… Tu me mets mal à l’aise là ! Mais je vais te répondre franchement puisque tu me le demandes. Oui, quand tu m’as dit de mater tes seins. Ça m’a fait de l’effet.

— Je ne souhaite pas que tu penses de moi que je suis une fille qui allume et qui laisse comme ça. Voilà ce que tu as gagné. Je te propose de te faire du bien avec ma main.

— Euh… Du bien ?

— Tu ne veux peut-être pas que je te masturbe ? Pour être honnête avec toi, ce n’est pas tout à fait ce que j’avais prévu. J’aurai préféré te faire une gâterie. Mais ici, sur le parking, avec de la lumière et des gens autour de nous, ce n’est pas du tout évident de faire ça dans la tranquillité.

— Tu comptais vraiment me faire une gâterie ce soir ?

— Pourquoi à ton avis, je me suis maquillée comme ça juste pour aller boire un verre avec toi ? Mais pour la gâterie, ça ne va pas être possible ici, et il va falloir que je rentre sans trop tarder, alors on ne peut pas aller dans un autre endroit. Par contre, je peux te masturber.

— Ici ? Dans ma voiture ?

— Oui, ici, dans ta voiture. J’ai plus trop le temps, on a un peu trop parlé, et le temps est passé.

— Tu te moques de moi là

— Je suis prête à parier que tu bandes. Non ?

— Tu me dis des choses excitantes, alors, j’avoue que oui, tu me donnes envie.

Je pose ma main droite entre ses cuisses, elle découvre une grosse bosse. Il bande dure ! Je caresse cette bosse.

— Va falloir que je te soulage, je ne peux pas te laisser dans cet état. Après tout, c’est de ma faute, j’assume. Tu veux bien baisser sa braguette et sortir ton sexe. ?

Il le fait. Il est gêné, je découvre une verge droite, assez longue et d’un bon diamètre. Je prends alors son sexe dans ma main, lui fais faire de courts et lents va-et-vient, et caresse délicatement son gland, rond et bien décalotté. Je lâche son sexe et caresse ses testicules et reprends sa queue dans ma main pour le masturber tout doucement. Il ne dit rien, il ne me regarde pas, mais regarde ma main masturbatrice. Ma branlette est lente.

— Tu peux caresser mes seins au travers de mon haut si tu en as envie

.

Il s’exécute aussitôt en caressant mes seins. J’aime ça, même s’il le fait un peu maladroitement.

Ma masturbation s’accélère, mais hélas, je sens sa queue se durcir encore plus, et aussitôt, je reçois son sperme dans ma main. Je garde sa semence dans la paume de ma main, et caresse son gland avec son sperme. Il sursaute, il bouge, il est sensible, il râle.

— Ben dis donc, tu étais très excité en effet.

— Oui, je n’ai pas réussi à me maîtriser. J’en suis désolé.

— Ne le sois pas. C’est compréhensible. Je t’allume depuis un petit moment.

— C’est vrai.

J’avais prévu des kleenex que je prends dans mon sac à main et m’essuie. – Ça reste entre nous. Hein ? C’est promis ?

— Oui, promis. Jamais je n’aurai cru que tu me fasses ce genre de blague, surtout dans une voiture sur un parking.

— Comme quoi, il ne faut pas se fier aux apparences tu vois.

— Oui, c’est vrai. Merci, ça fait du bien. Tu m’as donné un bien de fou !

— J’en suis ravie. La prochaine fois, c’est ma bouche qui va te faire du bien. Tu vas voir, je suis une suceuse redoutable.

— Sérieux ?

— Oui, j’en ai envie de t’offrir cette douce caresse que j’aime faire.

— Je vais faire comme ce soir, je vais tenir quelques secondes si tu es aussi douce avec ta bouche qu’avec ta main.

— Ce ne sera pas grave si tu ne tiens pas longtemps. Je recommencerai, et tu tiendras plus longuement. Tu ne vas pas le regretter. Tu te laisseras faire ?

— Quelle blague ! Bien sûr que je vais me laisser faire. J’ai trop hâte de découvrir tes talons.

— Tu me diras ce que tu en penses alors.

— Depuis que je te connais, je n’ai jamais douté de tes talons. Je le sens, ça se voit.

— Ah oui ? Quand même ?

— Oui, c’est vrai. Je le sens depuis le début.

Il est un peu comme sur un nuage. Il se demande même si c’est du réel. J’ai été un peu déçue, je l’ai à peine touché qu’il est venu dans ma main. Il était très excité ! Je dus le branler trois minutes.

Nous nous sommes dit au revoir, à demain après-midi. Le voilà soulagé, et moi je suis assez contente, bien que je n’aie pas pu faire ce que je voulais. Je m’arrête à quelques minutes de chez moi pour me démaquiller la bouche et remettre un rouge à lèvres plus discret par rapport à mon mari dans le cas où il n’est pas encore couché.

J’arrive chez moi, pas de lumière, pas de bruit. J’entre, et, pas de mari ! Il est au lit, ce qui me permet de vite retirer mon haut moulant, et de me mettre en nuisette. Avant d’aller me coucher, je décide de fumer une cigarette et de réfléchir à ce que j’ai fait il y a moins d’une demi-heure. Je me dis que j’ai bien fait, et que je ne regrette pas. Ce qui me plaît chez ce jeune est qu’il est respectueux, apparemment pas ou peu expérimenté, et que je sens que je vais me faire plaisir avec lui dans des situations excitantes. Je lui envoie un SMS.

— Je te demande de la discrétion, en espérant que tu aies pris au moins un peu de plaisir.

— Je te promets de la discrétion, je n’en parlerai à personne. Merci pour ce que tu as fait, même si je n’ai pas réussi à tenir plus longtemps. J’ai adoré, tu es une vraie experte.

— Si tu n’as pas tenu longtemps, c’est que ma main t’a procuré du plaisir. Bonne nuit, à demain après-midi au boulot.

Le lendemain matin, nous nous sommes échangé quelques SMS et nous nous sommes revus au boulot. J’aurais voulu lui faire une gâterie en cours d’après-midi, mais je n’ai pas réussi à trouver le moment où j’aurai été tranquille. Je suis déçue……. Mais j’ai mon idée, car lui faire une bonne fellation me hante l’esprit.

Demain, nous travaillons encore d’après-midi. Nous prenons à 13H30. Mon mari partira demain matin et ne repasse pas à la maison pour manger. Pourquoi je n’irais pas chez lui 1H00 avant d’aller à l’hôpital ? Ma décision est prise, je lui fais la proposition quand nous nous retrouvons seuls au moment de quitter le travail. Je vais le voir au niveau de sa voiture.

— Tu as quelque chose de prévu demain entre 12H30 et 13H30 ?

— Non, pourquoi ?

— Tu crois que je pourrai passer chez toi avant d’aller au boulot ? Tu m’offres un café ? (Avec un petit sourire aguicheur.)

— Avec plaisir, il sera chaud.

— Il n’y aura que le café qui sera chaud ?

— Je ne pense pas non.

— Sache que je suis une femme qui tient toujours ses promesses. Quand je dis, je fais.

La soirée se passe, la nuit se passe, le lendemain matin, quelques échanges de SMS avec Seb, et, bizarrement, je ne regrette pas du tout mon acte.

Il est midi. Je suis prête à partir, mais j’attends un peu, je n’ai que 15 minutes de route pour aller chez lui. Il est un peu tôt. Je me suis habillée avec une jupe, un haut court qui laisse mon ventre et mon nombril apparent, du noir aux yeux, un rouge à lèvres non gras et un tour de lèvres au crayon de la même couleur que mes lèvres. Je me regarde dans le miroir avant de partir, je me trouve désirable et sexy. J’ai un petit doute concernant ma bouche. J’ai peut-être un peu exagéré, ce rouge vif fait de ma bouche très pulpeuse. Puis non ! Ça va, après tout, il y a de fortes chances que ça lui plaise.

Je prends ma voiture, me dirige vers chez lui. 12H25, je suis devant chez lui. Une sonnette, jappuie. Une minute après, la porte s’ouvre. Je le vois habillé, prêt pour aller au travail. Il me fait un sourire, me fait la bise, m’invite à entrer. Je découvre un joli petit appartement, bien rangé, propre. Il me propose de me faire visiter son petit chez lui. Je le suis. Je découvre, juste en entrant, une petite pièce qui fait office de salle à manger, salle de séjour et une petite cuisine. Il me demande de la suivre, ouvre une porte, et je vois une petite chambre avec juste un lit deux places, une sorte d’armoire, puis, une autre porte qui donne accès aux toilettes en même temps que salle de bain avec une simple douche. Petit, mais plutôt confortable.

Il m’invite à m’asseoir sur une des deux chaises qui entourent une petite table rectangulaire. Mais mon regard se porte vers un clic-clac, qui sert de canapé. Je lui demande s’il y voit un inconvénient si nous pouvons e café sur son clic-clac.

Je m’installe dessus, il me tourne le dos et me fait une senséo. Je croise les jambes, et profite qu’il ne me voit pas pour regarder ma montre. Il est 12H45. Le temps passe trop vite, il faut partir au plus tard à 13H20 voir 13H25 !

Il revient vers moi, s’assoit à mes côtés, et timidement.

— Tu es belle.

— Merci, c’est gentil. Elle te plaît ma bouche en rouge vif ? Pas trop rouge ?

— Non, pas trop rouge à mon goût. J’aime cette couleur, c’est provocant et sensuel en même temps. C’est très beau.

— Tu as eu le droit à une couleur plus claire, mais aujourd’hui, j’ai eu envie de mettre du rouge. J’ai pensé que ça allait te plaire.

— Tu as eu raison, j’adore.

— Tu ne peux pas dire que je n’ai pas une bouche à pipe ! En rigolant.

— J’avoue que je ne peux pas dire le contraire cette fois-ci. (En rougissant)

Je pose la tasse de café sur le sol à défaut d’avoir une table devant son clic-clac, et pose ma main droite sur sa cuisse gauche.

— Voyons voir si je te fais le même effet que la dernière fois…… Mais oui, je sens une grosse bosse pour mon plus grand plaisir. Il ne dit rien, me laisse faire. Je fais promener ma main sur sa bosse. Je n’avais pas vu, mais sur son micro-ondes, qui est pratiquement en face de moi, un petit cadrant qui indique l’heure. 12H55 ! Si je continue à ce rythme, il va nous manquer du temps ! Je déboutonne les boutons de sa braguette, puis le dernier bouton du haut. Il comprend tout de suite, se redresse un peu et fait glisser son pantalon jusqu’à ses chevilles. La dernière fois, j’ai senti son sexe dans ma main sans le voir vraiment à cause de la pénombre, mais là, en plus de la sentir dans ma main, je le vois. Il est beau, de taille normale, voire assez gros, droit, poils très courts au niveau pubien, et testicules rasés. Tout ce que j’aime !

Je suis en train de le branler lentement, et discrètement, je regarde l’heure sur le micro-ondes, il indique 13H00 ! Il reste au grand maximum 20/25 minutes ! C’est court quand même ! Je tourne la tête vers lui, il s’est enfoncé dans son clic-clac, dos bien appuyé contre le dossier, jambes légèrement écartées. Je remarque près de moi un petit coussin. Je lui demande si je peux le prendre et le mettre au sol. Il me répond par l’affirmatif. Je prends ce coussin, le pose par terre, juste devant lui, entre ses jambes.

— C’est pour mes genoux, le sol est dur et froid. Il nous reste peu de temps, mais je ne veux pas te laisser au boulot dans cet état. Je t’ai promis une longue fellation, mais je crois qu’elle ne sera pas aussi longue que ça, encore une fois à cause de l’heure.

— De toute façon, je doute que je puisse tenir bien longtemps pour être honnête.

— Fais-toi plaisir, n’essaie pas de te retenir. Ce nest pas grave. Tu t’es déjà fait sucer par une de tes petites amies ?

— Oui, mais très peu de fois. Puis jamais bien longtemps. Je n’ai pas beaucoup d’expérience en fait.

Ce qu’il me dit m’excite, c’est un jeu pour moi que de lui faire découvrir plusieurs choses. Je regarde de nouveau l’heure. 13H04 !

Je lâche son sexe, me lève, me place à genoux entre ses cuisses, reprends ma lente masturbation. J’approche mon visage de sa queue, elle est tellement tendue que le gland est complètement décalotté. Je passe ma langue sur le côté de son sexe, un coup à droite, un coup à gauche, tout en descendant vers ses testicules. Une fois que je suis arrivée à ses testicules, je prends soin de les lécher doucement tout en continuant à la masturber lentement. Je sens qu’il se concentre plus à se retenir qu’à prendre du plaisir. Je comprends qu’il aime mes coups de langue sur ses bourses. Je remonte doucement, puis, une fois au niveau de son gland, je lève mes yeux vers lui, le fixe droit dans les yeux, et, de mes lèvres rouge vif, j’entoure ce gland qui est prêt à exploser. Mes lèvres glissent sur son gland en prenant la forme de celui-ci. Centimètre par centimètre, son sexe disparaît dans ma bouche. Il râle une nouvelle fois. Je remonte, m’arrête sur ce beau gland que je prends soin de lécher, et de faire glisser mes lèvres dessus. Tout en gardant la colonne de chaire entre mes lèvres, je tourne légèrement la tête vers l’horloge du micro-ondes, il est 13H10 !

Je débouche ce beau sexe.

— Ça va être très rapide, tu as vu l’heure ?

— Oui, mais j’ai tellement envie de jouir de toute façon. Tu es si douce !

— Laisse-toi aller, je gère, ne t’inquiète pas.

Heureusement pour lui que je ne lui ai pas fait une fellation vorace, sinon, je le fais éjaculer en moins d’une minute !

Je reprends sa queue dans ma bouche, le regarde dans les yeux, je fais glisser mes lèvres de haut en bas en creusant les joues. Je sais qu’à ce rythme il ne va pas tenir, mais nous ne pouvons pas nous permettre d’être en retard tous les deux ensemble au travail. Il me regarde, j’accélère mes va-et-vient, toujours en creusant mes joues, je vois sur son visage une grimace et ses lèvres se pincer. Je continue. Ses jambes se tendent. Je comprends qu’il est au point de non-retour. Je pompe, et reçois un premier jet contre ma langue, j’avale, un deuxième jet taper sur mon palais, j’avale, un troisième que j’avale aussi. Je garde sa queue dans ma bouche quelques secondes, puis délivre ce sexe qui a explosé rapidement. Je le prends dans ma main, continue à le regarder, baisse mon regard, et m’aperçois que quelques gouttes perlent sur son gland.

— Il faut que je nettoie ce que j’ai provoqué.

Sans le laisser me répondre, je nettoie le gland avec ma langue, puis pose mes lèvres dessus pour l’embrasser.

Je redresse la tête, lui sourit.

— Même si ça a été rapide, tu as aimé ?

— Oui, rapide à cause de moi encore, mais tellement intense. Je ne suis pas encore remis de mes émotions.

Je regarde l’heure et lui demande d’aller dans sa salle de bain pour me démaquiller la bouche et me remettre du rouge à lèvres.

Nous partons de chez lui à 13H23, heure du micro-ondes.

Comme d’habitude, consignes, café, et je vais fumer ma cigarette, il est avec moi. Nous sommes tous les deux.

— Tu ne regrettes rien ?

— Non, c’est juste que je n’arrive pas à tenir bien longtemps. Tu es trop experte que je craque aussitôt.

— Que tu ne tiennes pas longtemps n’est pas grave. La prochaine fois, je ferai autrement.

— La prochaine fois ? Tu es prête à recommencer ?

— Oui, sauf si tu ne le veux pas.

— Tu plaisantes, je ne demande que ça

— Tout à l’heure, je n’ai pas été méchante avec toi. Mais au fur et à mesure, je vais te sortir ma science quand je fais une fellation. Tu vas aimer.

— J’en suis certain ! Tu es vraiment une experte en la matière.

— Non, pas une experte, juste que j’aime faire ça.

Nous repartons dans le service et prenons le travail. Je sens Seb pas comme avant, il semble perturbé de ce que je lui ai fait juste avant d’arriver au boulot. Ce que je peux comprendre. Vers 16H00, Nous allons dans une chambre, le patient est parti en radiologie, et nous devons profiter de son absence pour désinfecter le mobilier. Demain est notre jour de repos. Je le regarde. Demain, nous ne travaillons pas, et du coup, je n’aurai pas le plaisir de lui faire une gâterie. Nous terminons la désinfection plus vite puisque nous sommes deux à le faire. Je me tourne vers lui.

— Voilà, c’est terminé pour cette chambre, mais on va attendre un peu ici, on va trop vite. Et si on va trop vite, on va être obligé d’aller faire les chambres du fond, alors qu’elles ont été faites ce matin par l’autre équipe.

Une idée me vient……. Je regarde Seb…….

— Ça te dit une petite pipe dans la salle de bain tout de suite ?

Je vois mon Seb rougir comme une pivoine, baisser les yeux, très surpris ce que je lui propose.

— Tu plaisantes ? Pas possible ici. Non, trop de risque.

Je regarde entre ses jambes, il me dit non parce qu’il a peur (je le comprends), mais la grosse bosse me dit oui. Je suis une suceuse infatigable, et ça ! Il va s’en apercevoir ! J’ai envie de le sucer, et je sais que c’est possible de le faire dans la salle de bain, puisque le patient ne revient pas avant une demi-heure minimum. Il suffit de fermer à clé, personne ne va nous chercher, et nous serons en sécurité et à l’abri des regards.

Je suis assise dans le fauteuil des visiteurs, lui est debout. Je me lève, le prends par la main, l’attire vers la salle de bain.

— Tu sais ce que c’est une pipe rapide ? Ben tu vas le savoir. Viens avec moi.

Comme un enfant, il me suit sans rechigner. Nous pénétrons dans cette salle de bain, je referme la porte derrière sans oublier de tourner le verrou. Je baisse son pantalon tunique, son boxer, et sa belle queue bien droite se dresse à 90 degrés. Je baisse le couvercle des toilettes, m’assois dessus, lui demande de s’approcher, ce qu’il fait. Il n’est pas du tout tranquille, il est à laffût du moindre bruit. Je prends son sexe dans ma main, le masturbe, le regarde, ouvre la bouche, enfonce son sexe en faisant glisser mes lèvres pulpeuses sur sa peau, et remonter en aspirant. Je fais ce mouvement plusieurs fois. Je donne ensuite de petits coups de langue sur son gland.

— Ça fait quoi de se faire tailler une petite pipe au boulot ? Ça fait du bien non ?

— T’es super-coquine toi ! Jamais je n’aurais imaginé qu’une telle chose pouvait se réaliser, j’ai tellement fantasmé sur toi ! »

— Tu t’es souvent branlé en pensant à moi ? Et aussitôt je prends sa queue dans ma bouche et lui fais faire quelques allées et venues.

— Oui, je me suis souvent branlé en pensant à toi, je le faisais même pendant qu’on s’envoyait des SMS.

— Ah oui ?

— Oui.

Tout en faisant une langue large et molle se promener sur son gland, je lui dis qu’il n’aura plus besoin de la faire, au moins pendant sa session de stage. Je pose mes mains sur ses fesses, le pousse vers moi, engloutis son sexe et me mets à le pomper. Des bruits de succion se font entendre tellement je salive. Je maintiens la cadence, j’entends des soupirs et reçois sa semence dans la bouche que je prends bien soin d’avaler et de surtout de ne pas perdre une goutte au risque de lui tacher son pantalon tunique. Pendant qu’il jouit dans ma bouche, je l’entends dire.

— Oh ! Je jouis encore ! Que c’est bon !

Je fais glisser mes lèvres sur son gland humide, et me redresse. Je me regarde dans la glace du lavabo, mon rouge est un peu parti, mais ça ne dévoile pas ce que je viens de faire. Tout va bien, nous pouvons rejoindre les autres de l’équipe.

Après avoir remis son sexe à sa place dans son caleçon, et ayant repris un peu ses esprits, d’un air heureux.

— Tu es vraiment plus coquine que je ne l’imaginais ! Mais quest-ce que j’aime ces petits jeux !

— Et tu as vu, pas besoin de mouchoir avec moi. J’avale tout sans rien laisser paraître.

— Tu es magique toi.

Je suis satisfaite de ce petit moment imprévu, et nous allons dans la salle de pause où sont la plupart de mes collègues. Nous restons naturels et je dis à l’équipe que la chambre numéro XX est enfin terminée !

La journée se termine normalement, l’heure est arrivée de rentrée chez nous. Par discrétion, Seb et moi, nous nous sommes dit au revoir comme nous faisons avec les autres collègues, et montons dans nos voitures.

J’arrive devant chez moi, je suis toujours dans ma voiture, je lui envoie un SMS avant d’entrer dans la maison.

— J’ai encore envie de te sucer !

— Je savais depuis le début que tu es une experte, et maintenant je peux le confirmer

— Tu n’as rien vu, aujourd’hui c’était plutôt du bâclé vu les circonstances, je ne pouvais pas prendre mon temps.

— Tu me donnes trop envie

— La prochaine fois, je m’occupe de toi mais en prenant le temps. Bisous, bonne nuit, stop SMS, je rentre chez moi.

Quand je rentre chez moi, je vois mon mari devant son ordinateur. Je viens lui faire un bisou. Nous discutons un peu. J’avoue ne pas être très à l’aise devant lui, je suis presque au point de regretter ce que j’ai fait aujourd’hui. S’il savait qu’à deux reprises aujourd’hui, j’ai fait éjaculer ce stagiaire ! Soi il serait fou de rage, soi il serait excité. Mais je ne prendrai pas le risque.

La soirée, la nuit se passe. Le lendemain je suis de repos, je reprends demain matin. Depuis que je me suis réveillée, j’ai une idée folle qui me trotte dans la tête ! J’ai envie d’aller le voir cet après-midi ! Je réfléchis, je me dis que je suis libre cet après-midi, et que si lui aussi, pourquoi ne pas passer une ou deux heures avec lui ? Je lui envoie un SMS.

— Coucou, une question, que fais-tu cet après-midi ? As-tu une ou deux heures à me consacrer ?

Je lui envoie à 9H00, je reçois sa réponse à 10H15.

— Désolé, je dormais et pas entendu l’arrivée de ton SMS. Une ou deux heures à te consacrer ? Oui, ça peut se faire. Que tu veux qu’on fasse ?

— Toi tu ne fais rien, c’est moi qui fais.

Il me propose de se retrouver chez lui vers 14H00. Je me prépare, mon mari n’est pas à la maison, je sais que quand je vais rentrer, il ne sera pas revenu puisque je ne vais pas arriver tard, donc je peux m’habiller et me maquiller comme je le veux.

Il est 13H45, je suis sur le point de partir. 14H05, je suis devant sa porte. Il ouvre la porte, me regarde stupéfait de la façon dont je suis maquillée et habillée. Il est vrai que je suis plutôt en mode allumeuse, sexy et provocante. Il m’offre un café, puis, voyant qu’il ne prend pas d’initiative, je prends les choses en main. Je me lève, lui prends la main, l’attire vers sa chambre, et dépose un baiser sur la joue. Je déboutonne les boutons de sa chemise, lui retire, passe ensuite à lui enlever son pantalon et son caleçon. Le voilà nu.

Je lui demande de s’allonger sur le dos et de me laisser faire, cette fois-ci, nous allons prendre le temps. Il s’allonge en bandant bien fort. Je ne m’occupe pas de lui tout de suite. Je retire mon haut blanc, mon soutien-gorge et ma minijupe en prenant soin de garder mes bas autofixants, mon string et mes chaussures.

Tout en prenant mes seins dans les mains, je les serre l’un contre l’autre.

— Mes seins sont à ton goût ?

— Oui, elle est belle, grosse, j’adore.

Je m’allonge à côté de lui, l’embrasse dans le cou, descends doucement vers sa poitrine pour lui lécher ses tétons, continu ma descente le long de son ventre en y passant ma langue, et arrive enfin au niveau de son sexe dur. Je m’empare de cette belle verge avec la main, la masturbe doucement, puis lèche sensuellement son gland avec une langue molle et large. Je l’engloutis dans ma bouche et lui inflige quelques succions dans un mouvement lent. Je descends, je monte, et reviens sur le gland que je caresse avec mes lèvres en le regardant dans les yeux. Je remonte en passant sur son ventre et reviens à ses tétons tout en continuant à le masturber.

Je sens mon entre cuisses s’humidifier. Oui ! Je mouille ! Le fait d’avoir ce corps à ma disposition, de faire ce que je veux de ce corps me fait mouiller. Je ne souhaite pas l’embrasser sur la bouche, je réserve cela à mon mari.

Je redescends vers son sexe, et lui inflige une belle et longue fellation. Belle parce que je me suis mise de sorte qu’il puisse me regarder, longue, parce que j’ai dû avoir son sexe dans la bouche, sur la langue ou sur les lèvres un minimum d’une demi-heure, toujours en faisant bien attention de ne pas le faire éjaculer. Maintenant que j’ai pris une bonne demi-heure à le faire souffrir avec ma bouche, je décide de lui donner du plaisir avec mes seins. Pour ce faire, je me place entre ses jambes, à genoux, me baisse, saisis son sexe et le serre entre mes seins pour lui faire une bonne branlette espagnole. Avec la paire de seins que j’ai, je n’ai aucune difficulté à garde sa queue entre mes seins. Il prend du plaisir, et je pense qu’il est très excité de voir cette grosse poitrine le branler comme il peut le voir dans les films pornos. Je m’aperçois qu’il aime beaucoup être entre mes seins.

— Tu veux jouir sur mes seins ?

— Hum… Continue comme ça, je vais jouir sur tes gros seins !

Je continue, accélère le mouvement et dès que je sens qu’il est au bord de l’éjaculation, je prends son sexe et, tout en le masturbant, le dirige vers ma poitrine. Je reçois plusieurs giclées sur mes seins, puis frotte son gland dessus. Le petit coquin a souillé ma poitrine, mais j’aime ça.

Après un petit nettoyage, je le rejoins sur le lit, m’allonge près de lui. J’apprends de lui que c’est la première fois qu’il se fait branler en branlette espagnole, mais aussi qu’il n’a jamais autant joui en deux jours avec une femme. Nous discutons, et je vais vers son sexe pour le reprendre en bouche. Doucement je le lèche, joue avec son sexe qui reprend rapidement de la vigueur.

A force de le sucer, je suis tellement humide entre les jambes, que je deviens très excitée et affamée. Je me redresse, approche mon visage vers le sien, et l’embrasse sur la bouche. (Je sais, je ne souhaite pas m’embrasser sur la bouche, mais l’excitation veut que je perde un peu pied.)

Je m’allonge sur son corps, frotte mes seins contre son torse, nos langues s’enroulent, nos baisers sont passionnés. J’écarte la ficelle de mon string, prends sa queue dans la main droite, et frotte son gland contre mes lèvres vaginale

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