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L'eau qui dort. – Chapitre 5

Marion ; une veuve, une maman - Chapitre 3



Apéritif en terrasse, ma femme déguste.

Une fois douché, je constate que je suis seul dans l’appartement.

Il est plus de six heures j’ai dormi au moins deux heures. Houah …

Anne n’est pas revenue des courses. Je vais la rejoindre à la supérette et m’acheter quelques affaires de toilette.

Je descends sur la placette derrière la résidence naturiste, ouverte sur l’extérieur avec quelques boutiques, on s’y promène vêtu. Je suis en short et chemisette. A la supérette pas de signe de mon épouse. Il y a deux boutiques d’articles de plage, souvenirs et gadgets. Elle n’y est pas. Peut-être qu’on s’est croisé et qu’elle est rentrée. En passant devant le bar-tabac-journaux, j’entre pour jeter un il. La salle est à demie emplie des classiques joueurs de cartes, et accros du comptoir. La terrasse du côté plage naturiste est compartimentée par de petits paravents ajourés en bambous tressés fixés en croix à un piquet central, qui protègent les jours de tramontane: on est dans l’Aude. Le soleil est bas mais il fera jour au moins pendant quatre heures de plus à cette saison. Je sors par là, c’est sur mon chemin. Et à trois pas j’entends le rire de ma femme: "ha, haa, ha, ha, ah", provenant d’un groupe attablé, qui parle et rigole fort! Je reste coi et indécis trente secondes, puis m’assois à une table vide de l’autre côté.

Par l’entrebâillement des paravents, je cherche à distinguer quelque chose: parmi les clients, je vois le paréo rouge si seyant d’Anne, elle est de dos assise entre deux gars dont le celui de la plage à sa droite. En face, un couple dans la vingtaine, à gauche une autre femme que je vois mal.

Situation bizarre, je me sens espion. Mais de quoi, je vais bien le savoir me dis-je. De ma femme? De rien du tout sans doute. Un pot sur une terrasse l’été c’est banal. Malgré tout je me souviens de notre rencontre avec ce jeune homme sur la plage, son érection et le trouble de ma femme, et trouve que pour une coïncidence c’est une coïncidence!

Je nai pas le naturel parano, et je ne voudrais pas commencer là, mais d’un autre côté je ne me vois pas les rejoindre … Qu’est-ce que ça veut dire? Je me fais le fantasme du cocu? Pas vrai, Anne, si réservée et femme de devoir!!! C’est simple: je ny crois pas, il doit y avoir une explication.

Je suis partagé, cherchant à capter les conversations d’à côté. On entend des rires de filles, un des gars raconte une histoire, concernant une partie de bateau qui s’est retourné. Anne éclate d’un rire un peu trop fort qui retentit à plusieurs tables de distance: "ha, haa, ha, ha, ah, too much". Ce nest pas son style habituel, plutôt retenu, mais ce sont les vacances.

Le garçon me demande ce que je voudrais boire, je sursaute et marmonne entre mes dents: "Un Ricard". Je scrute tant que je peux à travers la cloison, on dirait que ma femme est appuyée sur l’homme de droite!

A demi courbé je passe à une table adjacente, où je serai mieux placé, je peux regarder entre le poteau central et le paravent. C’est plus risqué car je peux être vu, mais le gaillard est entre elle et la cloison. Je mate entre mes doigts. Je vois qu’il a mis un bras sur les épaules de mon épouse qui rit de toutes ses dents, en plein soleil couchant, sous ses lunettes polarisées. Il boit, repose son verre et se penche vers l’oreille d’Anne. Elle éclate encore une fois de son rire un peu forcé: "ha, haa, ha, haa, ah". J’entends une voix de jeune femme à l’accent chantant dire: "Quelle chance, Bruno tu en as trouvé une qui aime tes blagues! Ca faisait longtemps!

— Fais pas ta jalouse, ho toi. La dame a le droit de rire.

— Elle a tous les droits, c’est sûr.

— Hé, bé, oui!"

Je ressens une boule à l’estomac, et ne suis pas capable de décrire mon état d’esprit. Comme tout à l’heure, rien de grave mais la situation est chargée de tension. Je me dis que j’ai mal lu les signaux silencieux qu’échangeaient Bruno et Anne: une chimie brûlante devant moi et je n’ai rien compris: je repense à notre baise folle de toute à l’heure, ma fatigue, les bières qu’Anne me faisait boire et tout d’un coup tout s’éclaircit dans ma tête! C’est bien sûr elle voulait déjà sortir le retrouver!

A ce moment le garçon qui m’a retrouvé me sert mon Ricard. Je le paye. Et j’en prends une grand goulée: j’en ai besoin.

Je reporte mon attention sur l’autre tablée. Je vois que Bruno caresse la nuque de ma belle sous ses cheveux. Evidemment il est heureux d’exhiber sa nouvelle conquête à ses amis.

"Qui veut une glace?" Demande le mec de l’autre côté comme le serveur est près d’eux.

"Moi, moi, moi, moi " répond toute la tablée.

"Et pour madame, ce sera?

— Banana split s’il vous plait.

— Je l’aurais parié" dit son voisin de l’autre côté. Anne encore une fois éclate de rire: "ha, haa, ha, ha, ah, c’est ce dont j’ai besoin … pour avoir de l’entrain!". Les trois mecs pouffent de rire: "Trop drôle ta copine Bruno! Elle s’appelle comment?

— Véronique!" répond Anne. La vache … j’en reste baba.

"C’est super comme prénom.

Un garçon chantonne: "Véronique, nique, nique … la la la – la la la …

"Oui, toutes les Véronique que j’ai connues étaient super sexy, comme toi." dit Bruno, "mais avec la classe" se rattrape-t-il. Anne ne réagit pas vraiment et pour cause …

— Sexy et ravioli … " dit l’autre.

" Aussi, c’est vrai …

— Quoi ravioli?", dit une fille.

"Oh toi alors: Ravi (es) au lit, ça va comme ça?

— Oh vous alors, vous savez pas vous tenir. C’est des fadas Madame essecusez-les."

Anne, morte de rire à cause de son faux prénom: "ha, haa, ha, ha, ah, ils sont essecusés bien sûr, ah ha!".

Ils ont envie de déconner, mais clairement se retiennent, car l’âge de mon épouse doit les impressionner: ils ont au maximum vingt cinq ans.

Bruno est taquin, de sa main gauche, il défait le nud du paréo dans le cou d’Anne: "Eh, là" s’écrie-t-elle et elle cherche à retenir le fin tissu. Mais lui, de l’autre main l’abaisse sur les cuisses de mon épouse, dépoitraillée maintenant. Le dos nu de Bruno est interposé entre nous. "Pourquoi cacher tant de beauté? Et puis on est sur la plage", dit le gars du couple en face. En effet les gens sont nus sur le sable devant eux et même à certaines tables et les deux autres filles sont topless.

Anne s’avoue vaincue et prend une gorgée de sa boisson pour se donner une contenance. On sert les glaces, il dégustent, le bavardage va et vient.

Le serveur est complice du groupe qu’il connait visiblement: "Tout va pour le mieux, madame?

— Absolument, merci.

— Et vous appréciez votre banana, madame?

— Je me délecte!

— La consistance vous convient-elle, madame?"

Le bras de Bruno est passé par-dessus l’épaule d’Anne, le coude autour du cou et la rapproche tout contre lui, il lui parle à l’oreille, se détourne en riant.

"… il y a mieux … et pas loin d’ici!

— Comment trouvez-vous la Chantilly?

— Onctueuse … parfumée …

— Je vois que madame s’y connait."

Je me demande ce que je fais là. Anne pousse encore son éclat de rire: "ha, haa, ha, hou, non, non, houu, haa!". Bruno a saisi le bout son sein gauche et le fait rouler gentiment du bout des doigts. Il prend un glaçon de l’autre main et le passe sur l’autre tétine de ma femme. Elle glousse: "oh nooon, ha, haa, hi, hi, hi c’est pas drôle …". Ses tétons sont érigés. Il se penche vers elle. Ce mouvement me cache leur visage il doit l’embrasser et elle lui rend son baiser visiblement. Il reste incliné vers elle une minute. La main de ma femme passe sur sa joue, son cou puis descend sur sa poitrine, hors de vue.

Les autres continuent de blaguer: "Encore une … banana?

— Laisse-les tranquille, ho, toi alors!

— Y’a pas de mal à aimer ca!"

Bruno déclare: "Bon on va ailleurs" d’un ton décidé. Il dépose quelques billets, se lève et attire ma femme à lui par la main. De profil je vois ses yeux baissés et son sourire enchanté. Les seins à l’air elle se lève en tenant son paréo sur ses reins. Ils s’en vont vers la plage, un couple est nu, l’autre le mec en slip de bain, la fille en string brésilien, Bruno est à poil: je vois son sexe qui pendouille à demi bandé quand il quitte son fauteuil qui le cachait. Il tend la main vers Anne et d’autorité lui enlève le tissu de paréo, elle est nue, sauf ses lunettes de soleil, en riant il se le passe autour du cou, elle s’accole à lui en tenant le tissu à deux mains feignant de vouloir le récupérer et lui roule une pelle. Quand ils se séparent, la verge de Bruno a pris plus d’ampleur: elle tressaute vers l’horizontale. Il enlace mon épouse et le couple s’en va lentement dans le sable, joint à la hanche, la main du garçon sur les fesses de " Véronique".

Dire que je suis abasourdi est peu de chose. Cependant un de mes traits de caractère est d’être réaliste. Il me faut une ou deux minutes pour accepter l’idée qu’Anne s’apprête à me tromper. Arrivé là le doute n’est plus permis. La question est: que faire? Une altercation ou une scène sont exclues. Alors? Alors: le cocufiage, c’est comme les accidents, faut croire, ça n’arrive pas qu’aux autres … Je comprends lentement que, à ce point, l’incertitude me serait insupportable.

Il faut que sache vraiment, bien que le doute soit mince, je dois en avoir le cur net.

Je regarde par-dessus le paravent et voit le groupe arrêté sur la plage, se séparer en se faisant des bises. Ma femme et Bruno se dirigent seuls vers les résidences, les autres vers les parkings avec un autre programme. Je les suis de loin, sans mal: ils sont passionnés l’un par l’autre, ils entrent dans l’immeuble, où je les suis illico. Le couloir est vide, il n’y a pas d’ascenseurs dans ces résidences trois étages. Ma femme rit de bon cur, elle glousse dans les escaliers, ils montent très lentement faisant des stations. Je les suis, en arrière d’un étage.

Une porte s’ouvre au troisième c’est à droite côté mer. La lumière s’éteint, je viens épier, le moindre bruit, mais rien d’audible ne traverse la porte.

Evidemment je suis speedé, surexcité et mon cur bat à tout rompre. L’escalier fait un tour, je grimpe quatre à quatre "pour voir". J’ai raison car une porte d’incendie donne accès au toit, par chance elle n’est pas verrouillée, je me faufile. Je m’approche du bord, et j’entends le rire d’Anne. J’y vais avec des précautions de sioux, bien m’en prend car les balcons sont en avancée, et à 3 mètres sous moi, le couple nu s’enlace, se caresse et s’embrasse devant deux fauteuils, une table et un canapé de jardin. Ils sont debout près du bord. Le beau Bruno a retrouvé sa forme habituelle, sa queue dressée est plaquée contre le ventre de ma femme. Ils se dévorent la bouche, les langues sont ardentes pénètrent, se sucent et se font sucer. Les bas-ventres se frottent: "Hmm, hmm ooum, miiam,

— Oh toi alors, Véro … nique: t’es trop bonne !

— Hmmm. Chéri!" Tiens, je croyais que c’était moi ’chéri’; pourtant il y a deux heures! Comme le temps passe.

Anne glisse vers le bas et s’agenouille devant le sexe de Bruno, il est en pleine forme, assez long le gland est fin. Elle reste un temps à contempler la belle bite comme pour se convaincre de ce qu’elle voit.

Bruno se rengorge: "Les filles, elles l’aiment toutes, comme toi."

Je suis obligé d’admettre que c’est un sacré engin car quand "Véronique" saisit la tige à deux mains, le gland dépasse fièrement et ses paumes ne couvrent pas la tige en entier jusqu’à la toison pubienne. On dirait que la jolie pine doit faire presque vingt centimètres.

"Elle est splendide …" dit-elle d’une voix émue. "Tu vas voir comme je vais te faire jouir avec!" se vante-t-il."C’est pour cela que je suis venue!

-Tu seras pas déçue … aouch!."

Coupant court aux discours, "Véronique" vient d’emboucher le vit du garçon. Elle semble avoir la même frénésie qu’avec moi à deux heures … C’est à la fois terrible, excitant et amusant pour moi. Un instant je pense partir et les laisser à leurs ébats: ce sont 2 adultes consentants. J’ai donné moi-même quelques coups de canif dans le contrat de mariage, et j’ai toujours pensé que ce n’était pas grave. Je pourrais respecter leur intimité. Mais une voix me pousse à rester et à regarder, savoir … regarder … voir… voir … je deviens voyeur, j’ai l’excitation du mec qui regarde et ne fait rien, c’est nul, trouble … et terriblement jouissif. C’est tout vu: je reste!

Bruno s’est appuyé à la bordure en béton, il se contente de jouir sous le traitement spécial de "Véronique" sa maitresse. Bien sûr elle lui a passé un doigt au cul et elle cherche à avaler toute sa bite. Quand "Véronique" l’embouche à fond de gorge, elle a encore une main autour de la tige. Elle lui fait sa "gorge profonde": allant et venant sur le gland puis la tige puis en fond de course avalant l’engin aussi profond qu’elle peut, se retirant en aspirant goulûment. Respiration et rebelote, elle redescend le plus au fond possible, avale et remonte en aspirant. A chaque fois elle engouffre un peu plus de longueur, sans arriver à mettre son nez dans les poils tant la verge est longue. Elle avale au moins quinze centimètres de "banane" à chaque pompe ça doit vraiment descendre bas dans sa gorge. Je la vois se rengorger dilatée par la verge. Je n’ai aucun mal à imaginer la sensation du gars, surtout qu’elle doit lui doigter le cul aussi.

Putain ma femme est une déesse de l’amour: deuxième gorge profonde de l’après midi! Bruno, se met à gigoter du ventre et fait une grimace, il se lâche! "Véronique" le fixe dans les yeux et reçoit sa purée en bouche, en gorge plutôt: direct dans l’estomac! Si c’est comme moi il doit larguer un maximum, elle va avoir sa dose. Elle fait un aller-retour, les lèvres jusqu’au pubis, sa bouche est pleine, ses yeux sont exorbités, Bruno gémit sans égard pour le voisinage. Puis mon épouse agenouillée retire sa bouche et solennellement place la pine au-dessus d’elle comme un tuyau d’arrosage, dirige les giclées suivantes sur le visage, les cheveux et la poitrine. Le garçon trébuche à la fin et ils s’étreignent en silence.

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