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L'enfer du lèche-cul – Chapitre 8

L'enfer du lèche-cul - Chapitre 8



Ce récit m’a été inspiré par mes lecteurs et lectrices qui m’ont lu et encouragé à persévérer dans l’écriture. Un grand merci notamment à love_in_pain, DYLL17, jamy74, fervure et kikou_boy qui m’ont chacun inspiré une partie du scénario de cette histoire.

J’espère que vous l’apprécierez.

Encore merci et bonne lecture à toutes et à tous!

P.S: S’il vous plaît, justifiez vos votes quels qu’ils soient. Vos commentaires me serviront pour la suite.

L’enfer du lèche-cul chapitre 8: Nathalie prend le pouvoir

Manon et moi sourîmes à Nathalie et lui exposâmes notre plan.

«Tu pourrais essayer de faire virer la directrice en utilisant contre elle un argument de pression.» dit Manon.

Nathalie ne sembla pas convaincue.

«Oui, mais avec quel argument de pression?»

Je poursuivis l’explication du plan.

«Pour cela, nous aurons besoin de Guy. Il faut qu’il aille voir la directrice pour lui parler d’abord de son chemin scolaire pour ensuite amener la conversation sur ce que nous et les autres lui faisons subir. Nous demanderons à Guy d’enregistrer la conversation. Ensuite, il nous fera écouter la conversation et nous l’enverrons à tout le monde en expliquant que la conversation a motivé ton "coup d’État". Ainsi, ils te soutiendront dans ta démarche et tu n’auras aucun mal à virer la directrice de son poste. Ensuite, tu pourras organiser la fête. Qu’est-ce que tu en dis?»

Nathalie sembla enchantée par l’idée. Elle se retourna vers Guy et lui dit:

«Tu as entendu, esclave? On te laisse la possibilité de te rendre utile! Maintenant, va remercier ta sur et mon amant pour l’opportunité qu’ils te laissent.»

Obéissant à sa mère, Guy s’approcha de Manon et moi et s’agenouilla devant nous. Il commença par lécher la chatte de sa sur. Manon plaqua la tête de son frère sur son sexe afin de pouvoir décider du moment où Guy devait arrêter de la lécher. Gourmande, Manon força son frère à lui lécher la chatte durant une bonne dizaine de minutes. La cyprine de Manon s’écoulait de son sexe et inondait peu à peu la bouche de Guy. Manon lâcha la tête du soumis et Guy s’agenouilla devant moi. Mon camarade commença par me lécher les couilles pour ensuite remonter le long de ma tige et me sucer le gland.

«Suce-le jusqu’au bout, petite merde!» ordonna Nathalie.

Guy s’exécuta et je sentis ses lèvres aller et venir sur ma bite.

Après dix minutes de fellation, comme l’avait fait sa sur plus tôt, je remplis la bouche de Guy de mon liquide séminal et forçai Guy à avaler.

Nathalie ordonna à son fils de se relever et, tous les quatre, nous récapitulons sur la façon dont nous allions procéder pour faire virer ou démissionner la directrice. Nous convînmes finalement que, le lendemain, Guy devait se rendre dans son bureau, son téléphone allumé, et enregistrer la conversation. Guy devait progressivement orienter la conversation vers l’ "enfer" qu’il vivait. Sachant que la directrice soutenait Guy, nous saurions à ce moment-là jusqu’à quel point. Nous fîmes ensuite "réviser" Guy sur ce qu’il devait faire. Le soumis récita gentiment sa leçon et, comme il commençait à se faire tard, Nathalie me conseilla de rentrer chez moi avant que ma mère ne s’inquiète. Je me rhabillai donc et embrassai Manon et Nathalie une dernière fois avant de partir.

Sur le chemin du retour, je sentais l’excitation monter en moi. Le lendemain soir, Nathalie me rappellerait afin qu’elle, Manon et moi écoutions la conversation que Guy aurait enregistré au préalable. J’avais tellement hâte. Cependant, dès que j’arrivai chez moi, ma mère me salua à peine et demanda à me parler. Elle semblait contrariée et tenait mon portable à la main.

Pour vous parler d’elle, ma mère, Christine, est une belle femme de 38 ans d’environ 1,75m avec de longs cheveux bruns lui tombant jusqu’aux épaules. Elle était toujours habillée de façon élégante avec de magnifiques robes longues qui soulignaient à merveille les courbes de ses hanches et sa taille de guêpe et possédait une magnifique paire de seins (95D) ronds et bien fermes. L’expression innocente de son visage lui donnait habituellement un petit charme supplémentaire. Cependant, cette fois-ci, cette expression avait disparu pour faire place à une mine sévère et contrariée.

Elle me demanda de m’assoir dans un fauteuil en face d’elle et de répondre sans mentir à ses questions. Le ton de sa voix était si dur que je ne pouvais discuter. Je m’assis donc dans un fauteuil. Ma mère s’assit en face de moi. Ce qu’elle me demanda ensuite me figea d’effroi et de panique.

«Je trouvais ton attitude très suspecte ce temps-ci. Je te trouvais un peu trop joyeux. J’ai donc décidé de faire une enquête et, en consultant ton portable, j’ai découvert que tu recevais régulièrement des messages d’une certaine Nathalie. J’ai relevé le numéro et ai constaté qu’il s’agissait du numéro de la présidente de l’association des parents d’élèves. Autrement dit, la mère de Guy. Qu’est-ce que tu es allé faire chez elle?»

La voix de ma mère s’était faite si inquisitrice que je n’eus d’autre choix que de lui avouer ce qu’il se passait avec Guy à l’école.

Je lui expliquai comment ça s’était passé en passant par tous les détails: le jour où je suis allé apporter les devoirs à Guy et où j’ai découvert que Nathalie et Manon l’humiliaient. Je lui dis ensuite que ce jour-là, Nathalie m’avait fait voir ce que Manon faisait à son frère et que j’avais beaucoup aimé en passant par le jour où Nathalie m’avait demandé de participer à l’humiliation de Guy sans oublier le détail de la vidéo que j’ai montrée aux autres membres de ma classe pour qu’ils puissent aussi profiter de la soumission de Guy. Puis, pour finir, je lui racontai que les profs du lycée en avaient aussi fait leur jouet sexuel.

Je baissai les yeux, n’osant affronter le regard de ma mère. Je guettais sa réaction. Elle me demanda:

«As-tu eu des relations sexuelles avec Nathalie?»

«Oui, maman. Et avec Manon aussi. J’ai couché avec elles ce soir sous les yeux de Guy.» lui répondis-je.

Sans rien dire, ma mère se leva et m’ordonna de rester où

j’étais en disant qu’elle allait appeler Nathalie pour lui dire ses quatre vérités. Elle s’enferma dans sa chambre et je montai peu après elle afin d’essayer d’entendre ce qu’elle disait. Je prêtai l’oreille sans faire de bruit. J’entendis ma mère parler la première:

«Bonjour, c’est la mère de Daniel. J’aimerais vous parler de l’immoralité de vos actes et la perversion dans laquelle vous êtes en train d’entraîner mon fils!»

Puis, plus rien. J’eus beau coller mon oreille conte la porte, je ne pouvais discerner le moindre son. Je résolus donc de retourner dans le salon et d’attendre ma mère.

En descendant les escaliers, j’entendis ma mère éclater de rire. Rire d’approbation ou raillerie? Mon instinct me disait que je n’allait pas tarder à avoir la réponse à cette question. Un quart d’heure plus tard, ma mère redescendit les escaliers et me rejoignit dans le salon, le sourire aux lèvres.

«Je suis fière de toi, mon fils. Nathalie m’a dit que tu étais un bon amant pour elle et sa fille. Elle m’a aussi dit que tu étais également un très bon maître. Tu dois tenir ça de moi.»

Je regardai ma mère, complètement interloqué par son changement de position et ce qu’elle venait de dire.

«De toi? Comment ça?» lui demandai-je.

Ma mère éclata de rire et poursuivit:

«Ton père n’a pas toujours été le superbe étalon qui m’a fait jouir et m’a mise enceinte de toi que je t’ai décrit. Au début de notre relation, il aimait bien que je l’encule et que je l’insulte pendant l’acte. Il aimait aussi beaucoup sucer mon gode. Presque une lopette. Heureusement, ma domination lui a permis de se "réveiller" et de devenir un vrai homme. Nathalie m’a calmement expliqué qu’elle et sa fille humiliaient Guy pour lui faire prendre conscience de comment il doit être et devienne enfin un homme. À partir de là, nous étions sur la même longueur d’onde elle et moi. Elle m’a expliqué ce qu’elle comptait faire pour la suite et je dois dire que ça me plaît. Donc, demain soir, nous irons tous les deux chez Nathalie pour écouter la conversation entre Guy et la directrice.»

Je fus littéralement submergé de joie. Ma mère allait dominer Guy elle aussi! Des images de ma mère et Nathalie complètement nues l’une à côté de l’autre en train de soumettre Guy à leurs caprices me firent bander comme un fou. Ma mère aperçut la bosse qui déformait mon pantalon et sourit. Toute la soirée, nous échangions sur nos vies sexuelles. Je lui parlais de ma relation avec Nathalie et Manon tandis qu’elle me racontait comment elle soumettait mon père à ses caprices lorsqu’elle avait mon âge. Nous n’avions plus été aussi complices depuis la mort de mon père dans un accident de voiture un an auparavant. Nous riions de ce que nous allions faire à Guy et étions très impatients d’aller chez Nathalie écouter la conversation de Guy avec la directrice.

L’heure tournant, ma mère et moi allâmes nous coucher. Le lendemain, Guy devait se rendre dans le bureau de la directrice. Quant à moi, je devais veiller à ce qu’il le fasse. Le matin même, lors de la récréation, j’ordonnai à Guy d’appliquer le plan. Je l’accompagnai jusqu’au bureau de la directrice. Guy frappa à la porte et la voix de la directrice lui dit d’entrer. J’envoyai un message à Nathalie pour lui dire que Guy était en train de parler à la directrice.

Leur entretien dura toute la récréation, soit un quart d’heure. À sa sortie du bureau de la directrice, je demandai à Guy de me montrer son téléphone afin de vérifier qu’il avait bien enregistré leur conversation. Il sortit son téléphone de sa poche et me montra son dernier enregistrement. La date et la durée coïncidaient avec la "mission" dont nous l’avions chargé. La journée se déroula ensuite comme d’habitude et, à la fin des cours, je rentrai chez moi pour déposer mes affaires puis ma mère et moi nous rendîmes chez Nathalie pour écouter la conversation entre Guy et la directrice.

Arrivés là-bas, nous fûmes accueillis par Nathalie et Manon, toutes deux complètement nues. Manon et moi nous embrassâmes tandis que nos deux mamans se faisaient la bise. Nathalie nous demanda ensuite à ma mère et moi de nous déshabiller dans le couloir et de la rejoindre dans le salon lorsque nous serions prêts. Nous ne nous fîmes pas prier et rejoignîmes Nathalie et Manon dans le salon. Guy était également présent, nu et attaché à une croix de Saint-André. Ma mère et moi nous assîmes aux côtés de Nathalie et Manon et commençâmes à écouter la conversation.

Guy: Bonjour, Madame! Comment allez-vous?

Directrice: Très bien et toi?

— Mieux. Depuis votre intervention, plus personne à l’école ne me fait subir quoi que ce soit. Les cours ont repris normalement et les profs ont arrêté de m’humilier. Mais j’ai peur que les autres se mettent contre moi et recommencent à m’humilier en dehors de l’école.

— Ne t’en fais pas. Je vais pouvoir obtenir une injonction d’éloignement à l’encontre de tes camarades et professeurs ainsi que de ta mère et de ta sur.

— Vous en êtes sûre?

— Avec toutes les crasses qu’ils t’ont fait, en racontant tout cela à un juge, ça ne devrait pas être difficile d’obtenir cette injonction.

— Merci beaucoup, Madame. Je commençais à avoir peur. Les autres se moquaient de moi en disant que je n’étais pas assez bien monté. Depuis, j’ai l’impression d’avoir réellement un tout petit sexe. Je ne serai jamais à la hauteur.

— Il ne faut pas dire ça, mon loulou. Tu as un très beau sexe, j’en suis sûre. De plus, les petites bites, je trouve ça mignon. Je te le dis personnellement, j’ai toujours rêvé de sucer une petite bite.

— Vous êtes une femme bien spéciale, Madame la directrice.

— Il en faut pour tous les goûts. Tu veux bien me montrer ton zizi pour que je puisse le sucer? Si tu le veux et si cela peut te donner des forces.

— Bien sûr, Madame. (On entend Guy ouvrir la braguette de son pantalon et baisser son caleçon)

— Magnifique! (On entend la directrice se lever de sa chaise)

Le reste de l’enregistrement ne nous permit d’entendre que les bruits de succion de la bouche de la directrice sur la bite de Guy. Nous avions trouvé l’argument de pression qui nous permettrait de faire chanter la directrice.

«Bravo, esclave! Tu as bien travaillé! Ta maîtresse est contente de toi. Manon, détache ton frère et qu’il dise bonjour à nos invités.» dit Nathalie.

Manon détacha son frère de la croix de Saint-André et ce dernier s’avança à quatre pattes vers moi et entreprit de me sucer mais Nathalie lui saisit les bourses et les serra de toutes ses forces.

«Les dames d’abord, pauvre idiot!» lui dit Nathalie

Guy gémit de douleur et approcha son visage de la chatte de ma mère. Il sortit sa langue de sa bouche et se mit à lécher le sexe de ma mère. En voyant le spectacle, je ne pus m’empêcher de me masturber. Non sans un sentiment de gêne. C’était tout de même la première fois que je me branlais devant ma mère. Guy continua docilement à lécher la chatte de ma mère pendant que cette dernière lui maintenait la tête sur son sexe pour qu’il avale sa cyprine.

Lorsque Guy eut avalé toute la cyprine de ma mère, Nathalie le gifla violemment et lui ordonna de me sucer.

Exaspérée par son manque de réaction, Nathalie le mit ensuite au sol d’un coup de genoux dans le dos et se saisit elle-même de ma bite pour la diriger vers la bouche de son fils.

Déjà très excité par le cunnilingus forcé que Guy avait fait à ma mère, j’éjaculai dans sa bouche après quelques dizaines de secondes. Lorsque Guy eut tout avalé, Nathalie lui ordonna de monter dans sa chambre. Guy obtempéra et Nathalie, Manon, ma mère et moi pouvions enfin parler des choses sérieuses. Nathalie commença à exposer son plan.

«Dan, envoie la conversation à tes camarades en précisant qu’il y aura une petite fête demain. Quant à moi, je me chargerai de l’envoyer par e-mail aux membres de l’association des parents d’élèves. Il y aura donc onze mamans et onze papas à contacter. Je préciserai dans mon e-mail que je vais faire un coup d’État contre la directrice avec la conversation comme arme. Et lorsque j’aurai soumis la directrice à mes ordres, je ferai une annonce dans le haut-parleur de lycée afin que tous les profs et tous les élèves âgés de 16 ans et plus puissent participer à la fête. Ça vous va comme ça?»

Comme personne n’avait d’objection, Nathalie et moi commençâmes à prévenir les élèves de ma classe et leurs parents membres de l’association de parents d’élèves. Je composai un message sur mon portable en y ajoutant la vidéo sans oublier de vérifier si tous mes camarades l’avaient reçu. J’appuyai ensuite sur "Envoyer" et attendis leurs réactions.

Pendant ce temps, Nathalie était en train d’envoyer la vidéo par mail à ses collègues de l’association. Elle vérifia que tous ses destinataires allaient recevoir la vidéo et envoya la vidéo. La fête ne faisait que commencer.

Comme il commençait à se faire tard, Nathalie et Manon nous raccompagnèrent ma mère et moi jusque dans le couloir. Nous nous rhabillâmes et reprîmes la route de notre maison. Lorsque nous fûmes arrivés, nous allâmes nous coucher en attendant impatiemment le lendemain.

Le lendemain, vers 7h30, Nathalie m’envoya un message dans lequel elle me demandait de la rejoindre devant le bureau de la directrice dans une demi-heure et de demander à ma mère de préparer le "terrain" pour l’humiliation de Guy en attendant l’arrivée des parents de mes camarades. Je montrai le message à ma mère et nous nous changeâmes pour nous rendre au lycée. En arrivant, je pris la direction du bureau du bureau tandis que ma mère était restée dans le hall pour monter le décor de la fête selon des instructions que Nathalie avait notées sur un papier laissé à son intention.

Lorsque j’arrivai devant le bureau de la directrice, Nathalie attendait déjà en compagnie de Guy et Manon. Selon notre plan, Guy et Manon devaient rester avec elle jusqu’à ce que j’arrive pour laisser le temps à ma mère de disposer la croix de Saint-André au centre du hall et préparer les cordes qui serviraient à l’y attacher et le bandeau qui servirait à lui cacher toute vue sur les personnes qui profiteraient de lui.

Dès que je fus arrivé aux côtés de Nathalie, cette dernière ordonna à Manon d’escorter Guy jusque dans le hall et d’y attendre son annonce.

Dès que Guy et Manon se furent suffisamment éloignés, Nathalie frappa à la porte. La voix de la directrice lui dit d’entrer.

En entrant, elle me tendit son sac à main et me dit:

«Tu seras mon assistant. Donne-moi les objets quand je te le demanderai.»

J’en profitai pour jeter un coup d’il dans le sac de Nathalie. Divers instruments de domination s’y trouvaient, notamment le gode ceinture qu’elle et Manon avaient utilisé pour sodomiser Guy et des bouts de corde. Visiblement, Nathalie avait de la suite dans les idées.

La mère de Guy se dirigea élégamment vers le bureau de la directrice, faisant entendre le bruit de ses talons à chaque pas. La directrice sembla surprise de sa venue.

«Que voulez-vous?» lui demanda-t-elle.

«Votre démission.» lui dit Nathalie d’un ton calme.

«Quoi? Vous n’êtes pas sérieuse?! Pourquoi devrais-je démissionner?»

«Pour ça.» répliqua Nathalie en lui montrant le portable de Guy.

Elle lança l’enregistrement et la directrice pâlit.

«Je… C’était seulement pour consoler votre fils.»

«L’injonction d’éloignement aussi? On ne me la fait pas à moi! Vous vouliez monter mon fils contre moi! Voilà pourquoi je souhaite votre démission. Je l’exige, même!»

«Non mais! Pour qui est-ce que vous vous prenez?! Vous offrez votre fils aux perversités de ses camarades et à celles de ces profs et vous avez encore le culot de me demander de démissionner?! C’est plutôt vous que l’on devrait interner!»

Piquée au vif, Nathalie saisit la directrice par les poignets et la fit basculer par-dessus son bureau. La directrice tomba à genoux sur le sol et Nathalie lui passa les mains derrière le dos.

«Donne-moi les cordes, Dan.» me dit-elle.

Je fouillai dans son sac et en sortis un bout de corde que je tendis à Nathalie. La mère de Guy attacha les mains de la directrice derrière son dos et commença à se déshabiller.

«Mets-la nue.» me dit Nathalie.

Je posai le sac de Nathalie sur une chaise et m’agenouillai en face de la directrice. Soumise, elle se laissa faire sans opposer de résistance. Après lui avoir ouvert sa veste, je m’attaquai à son pantalon dont je fis glisser la fermeture éclair d’une lenteur humiliante comme me le suggéra Nathalie. Je lui retirai ensuite son pantalon et sa veste. La directrice était à présent en sous-vêtements devant sa maîtresse et moi. Je lui dégrafai son soutien-gorge puis lui retirai sa petite culotte de la même lenteur que pour son pantalon, dévoilant ainsi sa nudité.

«Allonge-la.» me dit Nathalie.

J’obéis à son ordre et lorsque la directrice fut allongée sur le dos, Nathalie s’assit tranquillement sur son visage et lui ordonna sèchement de lui lécher le cul. La directrice s’exécuta et Nathalie ne manqua pas de manifester son plaisir par des petits soupirs et d’accentuer l’humiliation en pétant sur le visage de la directrice. Après dix minutes de ce traitement, Nathalie changea de position et se mit à frotter sa chatte sur la figure de la directrice avant de lui demander de la lui lécher. Nathalie se délecta de ce traitement durant une quinzaine de minutes avant de positionner sa chatte juste au-dessus de la poitrine de la directrice et d’uriner sur les seins de la directrice.

Nathalie se releva et me demanda de lui donner le gode ceinture en me disant que je pouvais me branler à présent étant donné qu’elle n’aurait plus besoin de mes services pendant l’acte. Nathalie s’attacha le gode autour de la taille et se mit à pénétrer la directrice. Dès le début, les va et vient de Nathalie se firent rapides et puissants, faisant crier la directrice de douleur. Après quelques va et vient, la directrice, s’étant habituée au gode de Nathalie, commença à pousser des petits cris de plaisir qui furent aussitôt par une gifle et un rappel à l’ordre de Nathalie.

«Vous êtes ici pour m’obéir et non pour jouir! C’est clair?»

Nathalie poursuivit ses va et vient dans la chatte de la directrice durant quelques minutes avant de sortir du sexe de sa soumise. Nathalie souleva les jambes de la directrice et les posa sur ses épaules de façon à pouvoir accéder plus facilement à son anus.

Sans crier gare, Nathalie enfonça les 20cm du gode dans le cul de la directrice qui, semblant ne jamais avoir eu de bite dans cet orifice, hurla de douleur. Nathalie ne s’en soucia pas et continua de la sodomiser. La mère de Guy s’amusa ensuite de ce traitement durant une vingtaine de minutes avant de se retirer et de cracher au visage de la directrice.

Elle rangea le gode dans son sac puis elle prit place au bureau de la directrice et composa un numéro sur le clavier du téléphone. Après deux sonneries, son interlocuteur décrocha.

«Bonjour, monsieur le concierge! C’est Nathalie, votre nouvelle directrice. Pourriez-vous aller chercher deux grands morceaux de bois dans votre réserve et les assembler en croix de Saint-André? Une fois cela fait, vous apporterez la croix dans le hall et la placerez au centre. Compris? Contactez-moi quand vous aurez amené la croix dans le hall.»

Son interlocuteur répondit par l’affirmative et elle décrocha.

Une vingtaine de minutes plus tard, le téléphone sonna. Le concierge avait fini sa part du travail.

«Emmène-la dans le hall et, avec ta mère, attachez-la à la croix. Ensuite, contactez-moi lorsque ce sera fait, je ferai l’annonce et ensuite, que la fête commence. Mais d’abord, déshabille-toi.»

Après m’être déshabillé, je guidai l’ex-directrice jusqu’au hall où ma mère et les parents de mes camarades s’étaient déjà déshabillés et attendaient le début de la fête. Ma mère avait déjà attaché Guy à la première croix de Saint-André et elle m’attendait à côté de la deuxième croix que le concierge venait d’amener afin que nous y attachions ensemble l’ex-directrice. Ma mère prit quatre bouts de cordes et m’en tendit deux. Elle s’occupa d’attacher les chevilles de la directrice tandis que je me chargeai de ses bras et lui bandai les yeux avec le bandeau que Nathalie nous avait laissé à l’intention de la directrice.

Après nous être assurés que les liens des deux soumis étaient bien solides, nous envoyâmes un message à Nathalie afin qu’elle puisse faire son annonce. Quelques secondes plus tard, la voix de Nathalie de fit entendre dans le haut-parleur.

«Tous les professeurs et les élèves âgés de seize ans et plus sont invités dans le hall pour fêter le départ de Madame Adeline et mon arrivée au poste de directrice. Petit impératif: mettez-vous nus. Merci et à bientôt!»

Aussitôt, des portes s’ouvrirent et des dizaines d’élèves sortaient de leur salle de classe en compagnie de leur professeur et déferlaient dans le hall, tous entièrement nus. Les premiers à arriver furent mes camarades de classe. Je saluai les filles d’une petite bise et serrai la main des garçons. Puis chaque élève de ma classe se dirigea vers ses parents et les professeurs restaient avec les autres élèves, attendant le feu vert de Nathalie. J’en profitai pour jeter un coup d’il à l’aménagement du hall.

Au centre se trouvaient les deux croix de Saint-André sur lesquelles Guy et la directrice étaient attachés nus, les yeux bandés. Autour des deux croix, des godes ceintures avaient été laissés à disposition pour les filles et leurs mères.

L’équilibre précaire des croix permettait de les faire basculer vers l’arrière afin d’avoir un accès plus facile aux orifices des deux soumis.

Nathalie arriva dans le hall, un micro à la main et commença à expliquer le déroulement de la fête. Elle précisa la disposition des godes ceintures pour les femmes et la façon de faire basculer les croix et les remettre droites dont le concierge fit la démonstration avec celle de Guy, aidé de ma mère. Elle conclut ensuite son discours par cette formule: «Tous les coups sont permis! Amusez-vous bien!»

Elle repartit ensuite dans son bureau en me disant qu’elle enverrait Manon me dire de venir la voir lorsqu’elle en aurait besoin et m’interdit de participer à la fête etde me branler, prétextant qu’elle aurait besoin que je sois en pleine forme.

La fête commença enfin et les dominateurs se séparèrent entre hommes et femmes. Les femmes se regroupèrent autour de Guy et les hommes autour de la directrice.

Autour de la croix de Guy, ma mère fut la première à ouvrir les festivités. Elle lui administra trois paires de claques de plus en plus violentes. Elle fut aussitôt imitée par ma camarade Rosalie qui donna un puissant coup de pied dans l’entrejambe de Guy le faisant hurler de douleur. Ilona suivit puis Alice en passant par Gabrielle puis Zoé qui lui donnèrent chacune un coup de poing sur l’entrejambe pour finir avec Marina qui se saisit de son entrejambe et le serra de toutes ses forces, faisant gémir Guy de douleur. Les autres mamans entrèrent dans le jeu et se mirent à frapper Guy de toutes leurs forces sur chaque partie de son corps.

Lorsqu’elles l’eurent bien corrigé, ma mère demanda aux femmes de se mettre en demi-cercle autour de Guy. Ma mère donna l’exemple en crachant sur le visage de Guy. Séduites, les autres femmes l’imitèrent.

Le visage de Guy était à présent couvert de la salive de ses maîtresses. Jugeant le temps venu de se servir des godes ceintures, les filles en prirent chacune un et se l’attachèrent autour de la taille.

Ma mère et Rosalie firent basculer la croix de Guy, le faisant basculer sur le dos. Ma mère souleva les jambes de Guy et les posa sur ses épaules. Elle enfonça ensuite les 25cm de son gode dans l’anus de Guy et entama une série de puissants va et vient avant de céder sa place à Rosalie qui fit de même. Lorsque toutes les femmes eurent profité du petit trou de Guy, elles retirèrent leurs godes et ma mère s’assit sur le visage de Guy, l’obligeant à lui lécher le cul. Après l’anulingus, ma mère frotta sa chatte sur la figure de Guy et lui demanda de la lécher. Le soumis s’exécuta et après dix minutes de ce traitement, ma mère céda sa place à Rosalie qui l’imita non sans conclure par un retentissant bruit de pet sur le visage de Guy qui fit applaudir les autres femmes avant de laisser le soumis à Ilona qui le força à lui sucer la chatte. Lorsque toutes les femmes eurent fini de faire subir leurs perversions à Guy, elles relevèrent la croix et allèrent regarder ce que les hommes faisaient de la directrice.

Laurent et son père avaient allongé la directrice sur le dos et les autres hommes lui faisaient sucer leurs bites l’une après l’autre avant de se mettre à la sodomiser à la chaîne. Les femmes applaudirent et encouragèrent leurs époux et leurs fils ainsi que les autres élèves à continuer. Le père de Laurent se retira de l’anus de la directrice et la pénétra ensuite avec force, la faisant gémir de douleur. Il fit quelques va et vient et vient dans la chatte de la directrice avant de se retirer et d’éjaculer sur son visage. Il fut imité par son fils qui éjacula sur le ventre de la directrice. Les autres hommes suivirent. Après avoir joui sur les différentes parties du corps de la directrice, les garçons furent applaudis par les filles qui se chargèrent de les remplacer. Les femmes commencèrent à reprendre la besogne de leurs époux, fils, camarades ou collègues fatigués par leur effort.

Malheureusement, je ne verrai jamais ce que les femmes ont fait à la directrice.

Une main me tapota l’épaule. C’était Manon.

«Ma mère t’attend.» me dit-elle avant de rejoindre les femmes autour de la directrice.

Je me dirigeai vers le bureau de Nathalie et poussai la porte. Nathalie m’attendait déjà, complètement nue. En la voyant, il ne me fallut pas plus de quelques secondes pour rebander dur.

Sans un mot, Nathalie s’avança vers moi et nous nous embrassâmes dans une étreinte passionnée.

Nathalie me prit ensuite par la main et me fit asseoir dans un fauteuil. Elle s’agenouilla ensuite face à moi et se mit à me sucer goulûment jusqu’à la garde. Ses lèvres firent encore quelques va et vient sur ma hampe avant de la recracher lentement dans un bruit de succion.

Elle se mit ensuite dos à moi et s’empala sur ma queue. Je lui saisis les hanches et l’abaissai à mon rythme sur ma bite pour la soulever et l’abaisser à nouveau sur ma queue durant quelques minutes en la faisant hurler de plaisir avant de sortir de son orifice anal.

La mère de Guy s’allongea sur son bureau et m’invita à la pénétrer. Je pris ma bite dans ma main et la dirigeai vers le sexe de Nathalie. Ma queue rentra facilement en elle tant l’excitation qu’elle éprouvait, traduite par l’écoulement abondant de sa cyprine, était grande. Je la saisis ensuite par les hanches et entamai une série de va et vient à force progressive en commençant d’abord lentement plu accélérer de plus en plus jusqu’à sentir le sperme monter en moi.

«OH OUI, NATHALIE!!! JE VAIS JOUIR!!!!»

«VAS-Y, MON AMOUR!!! JOUIS EN MOI!!!!»

Excité par les propos de Nathalie, j’éjaculai par puissants jets dans sa chatte. Impressionné et hébété par ce que je venais de faire avec la nouvelle directrice, je restai en elle jusqu’à ce que mon sexe se ramollisse et reprenne sa taille de repos. Après que je me sois retiré de son sexe, Nathalie me dit qu’elle adorait faire l’amour avec moi et qu’elle et Manon seraient à ma disposition, prêtes à obéir au moindre de mes désirs sexuels.

Par la suite, Nathalie tombera enceinte de moi et nommera ma mère directrice du lycée par intérim. Guy et l’ex-directrice seront les soumis réguliers de l’école et serviront les perversités des élèves et des professeurs avec la permission de Manon à qui l’autorité sur les soumis aura été confiée. Par conséquent, elle sera la seule à pouvoir profiter de Guy et de l’ancienne directrice soumise sans demander de permission à qui que ce soit.

Fin de la saga

Une suite qui m’a été inspirée par Jamy74 sera écrite sous un autre titre si vous le désirez. Avez-vous aimé cette saga? Exprimez-vous!

Amicalement

StormX

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