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L'enfoutreur – Chapitre 4

L'enfoutreur - Chapitre 4



Les époux se précipitaient donc sur la croupe de leur femme dès que je la libérais. Je ne les faisais pas attendre trop longtemps.

Il devint évident, aux propos échangés entre ces hommes, que tout avait été convenu entre eux et mis au point par Amédée-Jacques.

L’un disait par exemple à l’autre :

— Ne te l’avais-je pas dit que ta femme avait un petit cul bien serré ?

— Tu avais raison… quel délice ! Tu aurais eu tort de t’en priver !

— Meilleur que la mienne ?

— Je ne l’ai pas prise par-là !

— Ah je croyais, je confonds avec qui alors ?

Deux types répondirent favorablement.

Peu à peu, les maris quittaient leurs femmes pour aller voir ailleurs si le cul était meilleur. Les groupes se faisaient et se défaisaient, tantôt à deux à trois, à quatre, tantôt un homme restait seul avec une femme.

Maguelonne était sans conteste la plus dévergondée mais sa soif de sexe devint vite communicative.

Toutes désormais, elles prenaient les bites sans rien dire, et faisaient tout ce qu’on leur demandait.

Les gars étaient visiblement encore plus surpris et enchantés de ce qui se passait qu’ils ne l’avaient escompté et qui allait bien au-devant de leur désir.

Chacun voulait expérimenter ce qu’il me voyait faire ou qu’il avait vu faire par un autre groupe sans l’avoir déjà pratiqué lui-même. Si, par exemple, je calais ma bite entre les deux énormes loches d’une plantureuse poitrine, les gars essayaient ensuite de se le faire faire. De même, après la première double, d’autres suivirent et dès qu’une nouvelle position se développait, elle était immédiatement reproduite trois ou quatre fois.

Cependant, chaque mari, à l’instar de ce qu’avait fait Amédé-Jacques, qui éjacula le premier, se préoccupait de contrôler son orgasme pour ne pas jouir dans le cul de la belle mais à l’extérieur. Si notre hôte choisit de crémer la raie de sa femme et de demander à l’un de ses domestiques de s’en enduire le bout du nud pour se le faire décrasser ensuite, les autres purent préférer expulser leur jus directement dans la bouche de leur épouse ou sur ses seins, tous les maris ayant convenu au préalable qu’ils arroseraient leur propre femme. Néanmoins on les sentait frustrés de cette décision et ils commençaient à se demander s’ils n’allaient pas très vite se revoir, voire prolonger la soirée, tant ils étaient satisfaits de leurs performances qu’ils avaient envie de généraliser aux femmes des copains.

Je fus frappé par la quantité de jute répandue. Ces gars-là ne devaient pas se purger les burnes tous les jours. Les jets étaient fournis et les tirs puissants.

Au bout de quelques minutes l’odeur de sperme se mêla à celle de la sueur car il faisait grand chaud.

Bientôt, tous les maris ayant vidé leurs couilles, il ne resta plus que nous.

Les cocus prirent donc une pause, se servant en champagne ou autres boissons, tout en nous regardant faire et en commentant nos exploits. Ils s’amusaient aussi de se voir complètement nus comme des ados dans des vestiaires et maintenant qu’ils étaient hors-jeu se plaisaient à comparer leurs sexes et leurs façons de baiser, et bien sûr, à évaluer les capacités de chaque femme comme des maquignons auraient comparé les qualités de leurs juments.

Ayant été appelé pour cela, je repris en main Maguelonne afin, sur les instructions de son mari, de la démonter sans mesure et dans le plus grand nombre de positions possible. J’avais mission de me soulager sur son visage.

Autour de moi les autres bandeurs s’activaient pour satisfaire aussi les fantasmes des maris qui, verge pendante, n’en appréciaient pas moins le spectacle.

Albert Desvert-Genfleur regretta que nous ne soyons pas plus nombreux pour faire durer le spectacle, voire pour le prolonger jusqu’à ce qu’ils puissent tous retrouver une bonne bandaison. On était tous d’accord dans les rangs des époux pour regretter de n’avoir pas pris la précaution de prendre une équipe de secours car, vraiment, le spectacle du rut les excitait.

— J’ai bien une idée suggéra le baron mais…

— Dites, dites cher ami !

Le baron glissa quelques mots à notre châtelain qui s’exclama: "Merveilleux, merveilleux, vous croyez que cela va marcher " ?

Le baron saisit son téléphone.

Progressivement mes collègues déchargeaient et je commençais moi-même à souhaiter le dénouement.

Le baron composa plusieurs numéros et discuta un long moment avec des inconnus dont je vis que certains étaient très haut placés. Il termina par cette conversation "J’ai obtenu l’accord du ministre, oui… non pas tous les aspects…. venez… quand ?" et il conclut par "merveilleux", on vous attend ! Il parla à nouveau à notre propriétaire.

— Messieurs d’ici moins de deux heures nous aurons du renfort.

— Qui ? Dites-nous, dites-nous…

— Nenni. Je vous laisse la surprise….mais vous verrez que notre baron préféré à de l’entregent et que des relations haut et bien placées peuvent servir à tout.

Nous n’en sûmes pas plus mais je me dis que je n’avais plus ma place ici. J’avais été prié de venir en tant que vedette et je me retrouverai spectateur… de je ne sais pas quoi entre autres… Je me hâtai donc de tirer mon coup.

Quand ce fut fait et tandis que le visage de Maguelonne ruisselait encore de mon foutre, je commençai à me revêtir.

— Que faites-vous cher ami ?

— Mais, vous voyez. Je me suis acquitté de ma mission et je prends congé !

— Ah non ! Vous n’allez pas nous laisser comme cela. La soirée ne fait que commencer !

— Mais il me semble que vous avez prévu d’autres activités et que cela ne me regarde pas!

— Certes votre mission est achevée et bien achevée, la garce a eu sa dose mais nous n’allons faire qu’appliquer ce que vous nous avez enseigné. Vous avez débridé ces messieurs et ces dames, fait tomber toutes les pudeurs qui nous retenaient, levé tous les complexes et toutes les inhibitions! Et tellement au-delà de ce que nous avions souhaité que tout le monde en redemande ! Comment vous remercier autrement qu’en vous priant de rester… en ami ?

— Eh bien écoutez, je ne sais quoi dire…

— Etes-vous capable de recharger vos batteries en deux heures ?

— Généralement oui…

— Bien. Nous allons tous prendre du repos et attendre la surprise que l’on nous prépare.

— Soit.

Alors j’attendis. Ce temps fut consacré d’abord à regarder Athanase terminer sa saillie. Les femmes furent priées d’aller faire une toilette, se recoiffer, effacer le maquillage qui avait coulé et sécher le sperme.

Ensuite nous profitâmes de la table exceptionnelle de notre hôte.

Enfin l’heure arriva dans l’excitation car ils n’étaient que deux dans la confidence, puis Gédéon qui dut aller ouvrir.

Les femmes nues furent ramenées dans la pièce.

Gédéon fit entrer un militaire. Je reconnus un officier de la Légion étrangère que le baron nous présenta comme un cousin qui précisément était avec ses hommes en entrainement dans un camp non loin de là pour parfaire leurs techniques de guérilla urbaine. Il était satisfait du travail de ses garçons et, à l’invitation du baron, avait proposé comme récompense pour ses hommes, une sortie avec des femmes disposées à tout. Sortie qui avait dû être approuvée par les autorités de tutelle compétentes auxquelles on navait cependant omis de livrer certains détails. Le temps de mobiliser un véhicule et ils étaient arrivés.

Nous vîmes donc débarquer une trentaine de légionnaires qui jetèrent tous un regard vers les femmes à poils, certains portant immédiatement la main à leur braguette alors que d’autres nous regardaient avec curiosité, voire timidité, le lieu les impressionnant peut-être aussi.

Les femmes s’étaient instinctivement reculées et regroupées, à l’exception de Maguelonne qui jetait déjà un il vers ses montagnes de muscles. L’une d’elles s’inquiéta de savoir si ces solides gaillards n’avaient pas ramenés quelque saloperie d’un bordel quelconque, mais l’officier se porta garant de la bonne santé de ses hommes qui avaient peu vu de femmes les temps derniers et qui, de plus, s’étaient tous sortis à leur avantage des tests médicaux récents. Il n’y avait rien à craindre pas même une petite chaude-pisse.

Ils obéirent sans difficulté à l’ordre de se foutre à poil, rangèrent soigneusement leurs treillis sur les côtés et se tinrent prêts. Au fur et à mesure, les carrures d’athlètes se dessinaient. Nous ne pesions pas grand-chose à côté de ces beaux bébés tatoués encore plus impressionnants qu’une équipe de rugbymen.

Amédé-Jacques proposa juste un concours. Celui qui aurait la bite la plus grosse choisirait la femme qu’il voulait et ainsi de suite jusqu’au sixième. Chacun désignerait ensuite dans l’assistance masculine ses compagnons de baise et gagnerait 1000 .

Les soldats se tenaient droits, attendant les ordres et la saillie. Certains bandaient déjà et avaient du ml à se contenir devant les pouliches qui toujours ramassées dans un coin, et comme effrayées telle une pucelle avant sa nuit de noces, par le challenge qui les attendait.

La pièce était devenue étroite. La chaleur montait.

Regardez-moi ces messieurs, certains sont timides. Allez ! Foutez-moi toutes ses putes dans le tas pour qu’elles réveillent leurs ardeurs.

Les maris poussèrent donc leurs épouses parmi les légionnaires dont les rangs s’écartèrent pour les laissez-passer, Maguelonne en tête, qui, plus délurée que les autres, tâtait les paquets des gars qu’elle frôlait, ce qui incita bine des mains à se tendre vers les nibards. Le groupe se referma sur les femmes et les soldats commencèrent à bouger et à les tripoter. Des baisers s’échangeaient déjà.

L’officier discutait en riant avec son cousin se rappelant le bon temps d’avant le mariage où il avait déjà sauté celle qui était devenue sa cousine et qu’il serait heureux de remonter ce soir. Ce à quoi le mari répondit que l’ayant prise séparément jusqu’à ce jour, ils pourraient la prendre de conserve maintenant.

— Bien, j’espère que tout le monde bande maintenant ?

L’idée de participer à ce concours imprévu m’avait revigoré je dois l’admettre et mon orgueil me laissait croire qu’avec mes dimensions flatteuses, je devais l’emporter haut la bite. Du reste la compétition dura peu. Habitués à vivre ensemble, tous les légionnaires devaient savoir plus pu moins quels étaient les mieux montés d’entre eux et seuls quelques-uns sortirent du rang pour tenter leur chance.

De notre côté seuls les blacks et moi pouvions faire compétition sachant que, de mon groupe, je l’emportais.

Mais il se détacha un champion militaire. Contrairement à ce que certains préjugés m’auraient laissé croire, le gars était d’origine asiatique, indochinois probablement. Epilé comme un uf, il exhibait le plus volumineux sexe masculin que j’ai jamais vu. Le truc était tellement tendu qu’il bougeait à peine quand l’homme fit quelques pas pour se mettre à côté de moi. Les camarades disaient que le type était capable de faire tenir son quart rempli d’eau sur son sexe en érection… et ce devait être vrai. Indiscutablement battu sur le diamètre, le volume et même la tension, je ne l’étais pas sur la longueur car le gars ne venait qu’en troisième de peu derrière Athanase à trois centimètres de moi. Le podium était constitué mais restait à en déterminer la première place.

Quant aux trois dernières, elles étaient occupées par trois caporaux, deux Africains et un Latino-Américain particulièrement velu. Il fut d’ailleurs difficile de les classer car ces messieurs dont le sexe était impressionnant étaient de taille quasi égale à quelques millimètres près.

De l’Asiatique ou de moi, il fut convenu que les femmes nous départageraient. Qui allait gagner, la plus longue, cest-à-dire moi, ou l’autre ?

Elles nous déclarèrent ex æquo après avoir soupesé la poutre du garçon et les énormes balloches qui pendaient en dessous.

Je lui cédai la gloire et le proclamai vainqueur ayant déjà eu la chance de les tirer toutes et n’ayant pas envie d’une prime qui m’aurait donnée l’impression d’être un gigolo.

Le gagnant choisit la femme qui avait les plus gros seins. Il appela des potes et, pendant qu’à notre tour nous choisissions nos compagnons de jeu, les gars avaient enlevé la fille du sol, deux lui tenant le corps, face vers la terre, deux lui maintenant les jambes, les autres la portant un se faisant sucer et le vainqueur, essayant de la fendre par derrière, mais la fille chantait une drôle de tyrolienne vue la masse énorme qui s’introduisait en elle.

L’orgie recommença.

J’avais choisi pour ma part la belle femme rousse qui m’avait fait face au début de la soirée et j’avais appelé des légionnaires dont la plastique me plaisait et dont j’avais envie de voir les couilles s’agiter, les fesses se contracter, les muscles se bander pendant qu’il la saillirait. On se donna le tour pour la pénétrer. L’un des garçons voulut lui faire une faciale et la fit mettre à genoux pendant que ses amis se masturbaient autour.

Mais, assez vite, dans la cohue et la proximité des corps, les groupes se défirent et se recomposèrent, chacun allant en définitive où ses goûts le portaient.

Mais le légionnaire n’est pas préteur.

Pour ce que je pus en voir en effet, la plupart de ces jeunes hommes pénétraient la belle tout en laissant les camarades profiter de la bouche et des mains mais sans qu’il y eût beaucoup de doubles.

Ils avaient surtout envie de vider leurs couilles rapidement. Ils prenaient la femme en missionnaire, debout ou en levrette et les moins aguerris éjaculèrent très vite.

— Il serait dommage, avec des sexes aussi grands de ne pas tenter d’autres exploits.

— Que voulez-vous dire Amédé ? Répondis-je.

— Et si nous tentions une triple ?

L’idée n’était pas pour me déplaire.

Trop occupé avec sa femelle, l’Asiatique bien monté ne pouvait pas se rendre à notre invitation, mais le gars qui avait fini sixième au concours et Athanase acceptèrent. Il fut convenu que la bite la plus large irait dans le cul et que les deux autres se planteraient dans la chatte. Seulement, il fut quasiment impossible de dire qui avait la plus large.

Bien que j’eusse déjà vu une triple dans un film de boules, nous eûmes du mal à la mettre en place. Je fus choisi pour être le dernier à entrer, la taille de ma queue me permettant de me faufiler sous le mec en bouledogue qui déchirait les fesses et toucher la queue Athanase qui chauffait le vagin.

Mais quand nous y fûmes, un attroupement se fit autour de nous et il y eut des applaudissements.

Cependant la scène ne fut pas copiée mais, à l’initiative des maris, elle donna lieu aux rares doubles de la soirée où les militaires avaient le beau rôle et combattaient vaillamment. Certains, néanmoins, emportaient assez rapidement leurs citadelles et, sans être tout à fait éjaculateurs précoces, envoyaient rapidement la sauce.

Je n’avais jamais vu une telle orgie. Il y avait des gars de toutes les tailles, de toutes les ethnies, des tatoués ou pas, des rasés ou non du sexe, des couilles, du torse, de toutes les parties du corps. On entendait parler différentes langues, certains garçons jouissaient bruyamment comme s’ils eussent voulu prendre le monde à témoin de leur bonne fortune et de leur puissance, d’autres giclaient en émettant de sourds grognements. Leur affaire faite, se gars se précipitaient vers le buffet que nos trois domestiques, à poil et queues dressées réachalandaient entre deux saillies.

Après avoir abondamment éjaculé, à tel point qu’en voyant la fente exsuder le sperme avant qu’il ne s’écoule franchement à gros filets je crus que d’autres garçons y avaient déjà déchargé avant, un militaire au fort accent de l’est demanda à un copain d’amener une femme pour lécher le jus qui s’échappait abondamment du sexe.

Maguelonne se libéra de l’étreinte qui l’étouffait pour être la première à bénéficier de l’opportunité. Il faut dire qu’aucune autre femme ne s’y rua. Elle se mit donc à lécher passionnément la chatte de sa consur qui en éprouva un plaisir bruyant et soutenu.

Des hommes saisirent l’occasion pour se branler autour et j’en profitais pour me joindre à eux et me masturber vigoureusement pour lui gaver le gosier avec ma semence. Mais je ne produisis que quelques gouttes.

Il était temps pour moi de partir.

J’étais un peu déçu je dois dire. On m’avait finalement convié à une partouze s’en m’en prévenir et j’avais donné du mien pour une seconde improvisée où j’avais certes pris mon pied mais où je n’avais pas eu la vedette, étant noyé dans la masse. Mon orgueil souffrit de cette déloyale concurrence et je dus admettre en mon fors intérieur que mon activité d’enfoutreur était mue avant tout par le désir de flatter mon ego, de mettre en avant mes généreuses mensurations mais aussi une certaine maestria que je prétends avoir aux choses du cul, ce qui ne s’était pas passé au degré voulu ce soir. J’en tirai des leçons pour l’avenir.

Pour lors, je filai à l’anglaise non sans avoir dérangé le baron qui avait profité de l’euphorie générale pour s’éclipser en douce avec deux légionnaires qui devaient probablement trouver plus avantageux de se taper un mec à deux qu’une fille à six.

Quelques jours plus tard, Amédée-Jacques m’écrivit et me reprocha gentiment d’être ainsi parti comme un voleur et je reçus à peu près dans le même temps de mon notaire un avis me signalant que j’avais reçu un lot important d’actions des différentes sociétés d’Amédée-Jacques. Il y avait une lettre jointe.

S’il vous plait, ne refusez pas ! Vous méritez plus que quiconque d’être coté… en bourses…

J’appréciai le trait d’humour et passai à d’autres aventures.

A suivre

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