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L'ensorcellement – Chapitre 2

L'ensorcellement - Chapitre 2



L’ensorcellement 2

Ma vie changea à partir de cet évènement. Ce jour où la vieille sorcière jeta un sort sur mon dogue allemand. Ceci le rendit plus violent, plus sauvage, et il acquit le don de parole. Un chien qui parle, c’était incroyable !

Mais il n’y avait pas que ça ! Elle l’avait rendu fou de sexe, et Zanko avait compris qu’il n’y avait aucune raison pour que je sois sa maîtresse. Il voulait un pied d’égalité entre nous, maintenant qu’il parlait et pensait comme un humain. Mais pire, il m’avait violée, baisée sauvagement. Il y avait mis tellement de force, de cur, que j’en avais jouis comme jamais. Je me rendis compte de mon erreur après, car à cause de ça, il comprit qu’il avait pris l’ascendant sur moi et que j’étais devenue plus faible que lui. J’étais donc devenue sa chienne, et lui mon maître ! J’ignorais si c’était là le souhait de la sorcière, mais elle était parvenue à se venger de moi pour lui avoir "volé" le pot dans le magasin.

Les heures qui suivirent notre premier accouplement, Zanko recommença à me saillir plusieurs fois, pour instaurer en moi un besoin de me faire baiser par lui. Après cela, les jours suivants, il comprit parfaitement que j’étais tombée amoureuse de sa grosse bite canine jouissive. Il put alors commencer à me contrôler et à me donner des ordres. Car si je refusais d’obéir, il refusait de me monter. Et là, le manque de sexe et de grosse bite prenait le dessus sur mon cerveau et me forçait à faire tout ce qu’il demandait. En général, après cela, il prenait un malin plaisir à me démonter la chatte et à se vider en moi. Mais moi, tout ce qui m’intéressait, c’était me faire baiser et jouir comme une folle. Je devenais plus animale que lui, alors que lui devenait mon maître !

Mon comportement se modifia alors avec les jours. Je devenais de plus en plus accroc au sexe, et ne pouvais plus passer une seule journée sans me faire prendre au moins trois fois par jour. Lorsque je devais aller travailler, Zanko ne disait rien, mais au retour, il me faisait ma fête. Et toute la journée, au travail, je ne songeais qu’à lui, à sa bite démesurément grosse ! Quant à mon petit-ami, Paul, je l’avais à peine revu en une semaine entière. Je ne pensais même plus à lui, et tout l’amour et l’attirance que je lui portais s’était envolée à la minute même du premier orgasme obtenu avec Zanko. Mais je m’attendais à le revoir bientôt, car il devait s’étonner de ne plus me voir. Il allait falloir trouver une excuse pour ces absences.

Le weekend, c’était le festival du sexe. Zanko me prenait dans toutes les pièces, et d’innombrables fois. J’étais nue en permanence, pour me faire enfiler plus vite et plus facilement. Cela me convenait : j’aimais me sentir chienne et inférieure à mon nouveau maître. Néanmoins, samedi, je parvins tout de même à sortir et aller voir Paul. Nous fîmes l’amour, mais cela n’avait plus à rien à voir comme avant. Je ne ressentis rien, ni plaisir, ni excitation, ni chaleur. Pour être honnête, le fait qu’il me touche me dégoûta presque. Mais je l’aimais tout de même beaucoup alors je lui dis que nous nous reverrions plus tard la semaine suivante.

Le dimanche, jour de repos, je décidai de rester à la maison, sauf si Zanko m’ordonnait le contraire, ce qui ne fut pas le cas. Alors que l’après-midi commençait, j’étais dans le salon, nue, en train de bouquiner, quand Zanko entra dans la pièce. Il m’observait attentivement, alors je lui rendis son regard. Il me dit :

— Va mettre un string ficelle et ramène-moi ce petit cul ici.

— Oui, maître.

Je me levai et filai dans ma chambre. J’attrapai le premier string ficelle noir que je trouvai, le mis, et redescendis au salon. Zanko m’attendait.

— Approche, femelle.

J’obéis. Je sentais déjà ma chatte en feu. J’avais besoin de sa bite. Je pus la voir, monstrueusement braquée vers moi, tendue de ses 30cm de chair.

— Tu vas me sucer.

— Quoi ?

— Ne pose pas de question, et suce la bite de ton chien !

Je me couchais sur le sol, et il vint se placer au dessus de moi. Son sexe était devant mon visage. J’ouvris la bouche et l’avalai. Elle avait plutôt bon goût, en fait, ce n’était pas si répugnant que je ne l’aurais cru. Je commençai donc à le pomper. Avec le temps, j’appréciai même la fellation ! J’étais de plus en plus excitée à sucer la grosse bite de mon clebs. Évidement, vu la taille et la largeur, impossible de la prendre entièrement en bouche. Déjà que je devais ouvrir en grand la bouche pour l’avaler

— T’aimes bien me pomper le chibre, hein, salope ? Tu pourrais faire mieux

Je recrachai son sexe et lui dis, les larmes aux yeux :

— Je fais ce que je peux !

— Ce n’est pas assez, bébé.

Je reculai pour me placer devant lui.

— Tu ne mérites pas que je te monte

— Zanko, pitié ! Baise-moi !

— Ou alors commença-t-il.

Sa bite s’agita sous son ventre, et il montra les crocs.

— Je peux te défoncer le cul avec mon chibre.

— Euh, je n’ai jamais

— .. été sodomisée ? On va y venir, ma belle, on va y venir. Ton cul m’appartient aussi, tu sais ! Mets-toi à quatre pattes, maintenant.

J’obéis, lui montrant ma croupe et me cambrant un maximum. Il retira mon string avec ses crocs, qu’il fit glisser le long de mes jambes. Il le laissa aux genoux, puis me sauta dessus, j’eus le souffle coupé. Je sentis son énorme sexe se placer sur mon anus.

— Prête, petite pute ?

— Oui, mon amour.

Il me donna un violent coup de boutoir, et j’hurlai ma douleur. Je n’avais jamais été prise par ce trou-là, et avec un sexe comme celui de Zanko, nul doute que j’allais prendre très cher. Il s’enfonça lourdement en moi et parvint, je ne sais comment, à enfiler les 30cm de son gourdin au fond de mon cul.

— Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiik ! criai-je.

— C’est ça ! Couine, ma belle, couine !

Il ne bougea pas, attendant que ma rondelle s’habitue à la largeur de son terrible chibre. Je souffrais énormément, à quatre pattes avec mon cul bombé.

— Tu veux que je te sodomise, bébé ?

— Ha ! Oui ! Encule-moi !

Alors il démarra sa cadence. Immédiatement, il fut fougueux et rapide, commençant une sodomie violente pour moi. La douleur que j’éprouvai lors de la première pénétration fut multipliée par mille, et je me mis à hurler de douleur.

— Haaaaaaa ! Haaaaaaa ! J’ai trop mal, arrête, Zanko !

Le dogue allemand renforça sa prise sur moi, en me maintenant davantage avec ses pattes avant.

— Non, Lisa. Je veux agrandir ton trou du cul, je vais te prendre par tous tes trous.

— Pitiéééé ! Hiiiiiiiiik !

— J’adore quand tu me supplies, tu fais vraiment esclave sexuelle !

Pour me faire taire et surtout comprendre que j’étais devenue sa chienne définitivement, il me mit un gros coup de boutoir au fond de mon rectum qui faillit me tuer. J’en fus paralysée de douleur, et il recommença à me bourrer le cul de toute sa sauvagerie.

Ce fut à ce moment-là que je compris que Zanko était dorénavant mon maître, et que les rôles s’étaient véritablement inversés. Il avait le pouvoir de me faire mal, et je ne pouvais rien y faire, car il était beaucoup plus costaud que moi, malgré le fait que ce soit un animal. Il me mettait tellement de gros coups de pine qu’il m’affaiblissait de plus en plus avec les minutes qui passaient. Je devenais de plus en plus soumise, de moins en moins réticente à cette sodomie, qui était la toute première de ma vie.

Je sentais son mandrin m’éclater le cul, et je le sentais très bien, tellement il était gros et long ! Il m’arrachait la rondelle à chaque passage, je criais à chaque coup de boutoir.

— Ha ! Ha ! Haaaa !

Il me défonçait comme on ne m’avait jamais défoncée, et le fait qu’il me prenne par le cul me rendait totalement folle de lui, complètement dominée par cet animal hors du commun. Et le don de parole qu’il avait acquis il y a peu le rendait goujat comme un homme pervers :

— Alors, petit salope, tu l’aimes ma bite dans ton cul ?

J’étais obligée de répondre, sans quoi il me trucidait le cul plus douloureusement.

— Ouiii, ouiii, j’adore ta bite ! Encule-moi, sodomise ta femelle !

— C’est bien, bébé ! Je vais te casser les pattes arrière, tu ne pourras plus marcher ! Où plutôt, tu devras te déplacer comme une vraie chienne : à quatre pattes !

— Haa ! Haa ! Oui, une vraie chienne !

Il continua de me bourrer le fion, me malmenant comme il ne l’avait jamais fait, tandis que je tirais la langue de plaisir, en proie à de multiples émotions et sensations. J’atteignis mon tout premier orgasme anal très peu de temps après. J’hurlai ma joie de me faire saillir de façon aussi virile et violente. Ce n’était pas le plaisir qui avait amené mon orgasme : avec ce qu’il me mettait dans le cul, impossible d’en prendre entièrement plaisir. Non, c’était la position de force en faveur de mon chien, mon côté esclave et soumise qui m’excitaient comme jamais ! J’étais devenue la première pute au monde pour chien, et pour chien doué de raison et d’esprit humain !

Evidemment, tout cela me dépassait, entre les griffes de mon désormais maître et amant canin. Je jouissais comme une folle, trop occupée à me demander si mon Zanko serait capable de mettre son nud dans mon rectum. Mais mon chien avait décidé que ce ne serait pas pour tout de suite, car il continuait inlassablement son matraquage, me défonçant l’anus à toute vitesse, éclatant ma rondelle comme un bélier éclatant une porte en bois. Zanko m’avait attrapée par le ventre, ses pattes puissantes m’empêchant toute possibilité de fuite. J’étais à lui, il me le montrait à travers sa position et ses mouvements, et surtout avec ses paroles.

— Je vais réduite ton petit cul en charpie, ma belle ! Tu vas plus pouvoir t’asseoir pendant trois jours !

— Baise-moi, ne t’arrête pas, mon Zanko chéri ! lui criai-je, complètement envoûtée par son sexe et sa virilité hors-norme.

Et notre accouplement dura près d’une demi-heure ! Une demi-heure à me faire littéralement déchirer le cul par un énorme mandrin de 30cm et aussi épais que mes avant-bras. Je poussais maintenant des petits jappements de chienne endolorie par le sexe et la position. Je bavais un peu sur le côté de mes lèvres, jouissants devant tant de violence et de sauvagerie sur moi.

Soudainement, une explosion se produisit dans mon cul. Zanko voulut rentrer mon nud dans mon colon, mais ce dernier refusa tout net et sa grosse bite fut projetée hors de mon anatomie anale. C’est alors que le foutre jaillit en cascade de son gland pour atterrir sur mes jambes, mon dos et mes fesses. Je m’effondrais de bonheur sur le sol, comme une poupée sale. Je sentais un liquide chaud et collant s’écouler sur la partie basse de mon corps. Mes fesses étaient maintenant complètement enduites de sperme canin. Je me sentais terriblement bien, allongée sur le sol, le foutre sur moi, malgré une grosse douleur dans l’anus.

— T’aimes bien baigner dans mon foutre, hein, petite salope ?

Je ne répondis pas, le sourire aux lèvres.

— Aujourd’hui, ton cul a refusé mon nud, mais la prochaine fois que je te sodomiserais, je te promets que tu vas le sentir, Lisa.

— Oui, mon toutou adoré.

— Car il y aura bien d’autres sodomies pour toi, bébé ! Ne t’inquiète pas ! Après tout, tu es ma chienne, et j’ai tout le temps pour m’occuper de toi

Je l’entendis s’éloigner, et quitter la pièce.

Il me fallut dix minutes pour me ressaisir. Je m’agenouillais, dégoulinante de semence canine sur mon corps. Lorsque je me mis debout, je poussai un cri de douleur et chutai sur le sol. Une vive douleur dans l’anus m’avait transpercée. Je refis une tentative, mais pareil, j’avais tellement mal que je dus me remettre à genoux. Zanko m’avait cassé le cul ! Quel enfoiré ! Il me faudrait quelques heures pour me remettre en état de marche, et surement un ou deux jours pour marcher de nouveau normalement. J’espérais que mon chien ne décide pas de me péter le cul tous les jours, sinon, j’allais déchanter.

Je parvins à ramper dans la douche pour me décarcasser. La suite de la journée fut plus calme, même si mon chien me sauta une nouvelle fois dans la soirée, mais sans sodomie, cette fois.

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