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L'envol des tourterelles – Chapitre 4

L'envol des tourterelles - Chapitre 4



D’un seul coup, tout le courage et le réconfort que Sophie avait réussi à rassembler en elle s’effondrèrent. Celle-là, elle ne s’y attendait vraiment pas. Elle voulut se redresser et affronter sa mère, mais elle en fut empêchée par cette dernière qui venait d’entreprendre des mouvements de massage sur les épaules.

« Maman! implora-t-elle de nouveau d’une voix tremblante, pas mon anus? Mais ce n’est pas fait pour ça! Pourquoi??

– Tu dois rester vierge pour Alicia, voilà pourquoi. Pas question de fourrer ta chatte aujourd’hui.

– Mais c’est contre nature! Ce n’est PAS fait pour ça, tenta-t-elle d’insister. »

Jasmine réalisa à ce moment à quel point son super protectorat et son instinct de mère-poule avaient rendu Sophie innocente. Elle eut un moment de remords en pensant aux erreurs ayant causé cette situation. C’était maintenant le temps de corriger le tir. La relation d’amour entre Alicia et Sophie en dépendait. C’est ce qui justifia la longue tirade qui suivit.

« Ma petite puce chérie, mon petit poussin d’amour, sache que tu te trompes. L’anus et le rectum sont d’importantes sources de sensations agréables et ils sont régulièrement sollicités dans les relations sexuelles et ce, depuis la nuit des temps. Cependant cela a toujours été un sujet tabou.

« Lorsque tu étais petite, ton sexe et ton petit trou n’avaient qu’une seule fonction : l’élimination. À la puberté, tu as découvert une nouvelle fonction à ton minou : celle de recevoir éventuellement une semence d’homme par l’introduction d’un pénis dans ton vagin. Maintenant que tu es grande, il faut que tu saches que ton petit trou aussi veut s’éveiller aux joies de l’amour. »

Sophie écoutait sans bouger, la tête appuyée sur le coussin, son délicieux petit cul pointant vers le ciel, laissant les mains de sa mère parcourir son dos, s’aventurer en avant sur ses petits seins qui pointaient au travers du soutif, et descendre la colonne jusqu’à s’infiltrer sous sa culotte.

Jasmine posa une question très personnelle à sa fille :

« N’as-tu jamais éprouvé des sensations lorsque tu allais faire tes besoins à la toilette? Des sensations internes et des sensations externes?

– Euh elle hésita oui, Maman c’est vrai, mais je ne faisais jamais le rapport

– Et même lorsque tu laissais simplement passer un gaz le moindrement volumineux, les vibrations que tu ressentais dans ton petit trou ne te donnaient-elles pas cet agréable feeling de relâchement et d’abandon?

– Oui, c’est vrai, reconnut la jeune fille, mais je n’avais jamais envisagé cela de cette façon. »

Sur l’entrefaite, le sphincter anal de Sophie se relâcha quelque peu afin de permettre l’émission d’une vesse inodore. Jasmine put observer la scène au travers du slip en remarquant que l’anus de Sophie se refermait très lentement.

« Oh oui, elle est plus détendue maintenant, se dit-elle. Elle accepte la sodomie. C’est le moment »

« Ce n’était pas une commande que je te faisais, blagua-t-elle en parlant à sa fille.

– J’étais lasse de me retenir. Tu m’expliques tellement bien les choses.

– L’anus est fait pour le plaisir, ma fille. Cette fonction reliée à la sexualité a fait ses preuves depuis que l’espèce humaine existe. Si cette fonction n’existait pas, nos amis gays seraient vraiment désemparés. Ils en seraient réduits à se sucer mutuellement la bite, sans plus. »

Sophie écoutait attentivement les propos de sa mère, alors que celle-ci dégrafait le petit soutif qu’elle portait depuis maintenant une heure. Les mains de Jasmine glissèrent ensuite sur ses côtés en direction des minuscules cordons retenant le slip. Les rythmes respiratoire et cardiaque de la jeune fille s’accélérèrent. Maman tira alors simultanément un cordon de chaque côté, puis les pans avant et arrière du slip se séparèrent en pendouillant entre ses cuisses, collés au pubis légèrement poilu de Sophie par la cyprine qui avait commencé à sécher dans le tissu.

La vue de la nudité intégrale du cul de sa fille provoqua chez l’initiatrice une stimulation si forte que cette dernière sentit sa propre cyprine couler sur ses cuisses. Des petites lèvres rosées s’offraient à sa vue de même qu’un anus bien plissé, légèrement humide et qui dégageait déjà un parfum familier quoiqu’agréable. Elle ne pouvait plus attendre de commencer à apprivoiser cette bête sauvage.

Jasmine avança sa main pour terminer de dégager la petite culotte qui sentait déjà la mouille de sa fille, mais cette dernière la précéda et tira elle-même sur le morceau, arrachant quelques poils au passage.

À genoux derrière Sophie, Jasmine approcha la bouche du petit trou de sa fille. Elle colla son nez sur le sphincter et huma les effluves poivrés provenant de son derrière. Levant légèrement la tête, elle apposa sa langue sur le périnée, puis remonta lentement en direction de l’anus qu’elle voyait se serrer de façon sporadique.

« Ne résiste pas, Sophie, abandonne-toi à moi. Je ne fais qu’éveiller des nouveaux sens chez toi. »

La langue poursuivit son travail en forçant doucement son chemin à l’intérieur des muqueuses anales. Patiemment, on vit le trou perdre de sa résistance et accepter l’organe lingual. Le muscle de Jasmine avait progressé de 3 centimètres dans les entrailles de sa fille.

C’était suffisant selon la femme d’expérience. Elle saisit alors un tube contenant 5 millilitres de lubrifiant parfumé, l’ouvrit, en répandit une petite quantité autour de l’anus et en injecta le reste directement dans le rectum, non sans prévenir celle qui commençait à goûter aux joies de la sodomie :

« Tu vas sentir du froid, ne sois pas étonnée. Tout va bien, tu fais ça comme une grande. » lui dit-elle pour l’encourager.

Sophie se laissait faire, immobile. Elle trouvait agréables ces stimulations externes mais appréhendait l’arrivée en scène du gros morceau’.

Ses pensées se tournèrent vers Alicia, sa copine bien-aimée. Savait-elle, à ce moment précis ce que sa promise était en train de subir? Et soudain, ses yeux s’ouvrirent tout grand : L’accident de la baignoire était-il vraiment un accident?

Perdue dans ses réflexions, elle sentit la lourdeur du gode entrer en contact avec son trou du cul. Ça y était, dans quelques secondes, l’envahisseur commencerait à explorer l’intérieur de son petit corps de 50 kg.

« Tu vas sentir pousser, mon poussin. Reste bien détendue. Si c’est douloureux, dis-le-moi et j’arrête. »

À coups répétés, le gode frappait à la porte arrière. Il désirait un accueil chaleureux et soumis. Mais le petit trou était encore un peu sauvage. L’instrument phallique amorça donc un léger va-et-vient, guidé par Jasmine qui était aux commandes. La progression était lente, Sophie résistant aux poussées bien malgré elle. Jasmine y alla donc d’un coup un peu plus prononcé.

« Aïe Maman, arrête s’il-te-plaît! dit-elle dans un nouveau sanglot. »

La presque sodomisée avait tout fait pour étouffer ses pleurs. Elle voulait que cela se termine sans délai mais reconnut que du chemin restait à faire. Son anus spasmait au contact du corps étranger qui voulait l’envahir. La douleur était aussi maintenant bien présente.

« Je ne suis plus capable, Maman, c’est trop gros, je ne pourrai pas. » poursuivit-elle sur un ton désespéré. Les larmes abondaient sur ses joues rivées au coussin. De plus, elle se dandinait sur un genou, puis sur un autre dans une séquence de mouvements latéraux qui obligeait Jasmine à la suivre. Manifestement la vierge nubile ne tolérait plus sa posture.

Jasmine fit de nouveau appel à sa patience et à sa compassion. Elle savait ce que sa fille ressentait. Elle se retira donc complètement et observa le petit trou du cul de sa fille : il se referma partiellement, puis complètement par la volonté de la jeune, signe que la dilatation progressait bien. Voulant allouer au couple une pause plus que bienvenue de la part de la jeune fille, elle s’adressa à cette dernière :

« Viens, on va s’asseoir un peu, ça nous reposera les jambes. »

Sophie ne se fit pas prier. Elle se releva, plaça une serviette sur une chaise et y prit place. Jasmine prit place face à elle, sur le lit. De la sueur s’écoulait entre les seins de la fille et le long de sa colonne dorsale, témoin de l’énergie qu’elle mettait dans sa participation à l’activité.

« Ne t’en fais pas, tout va bien, malgré ce que tu ressens. C’est normal la première fois. Tu es encore une vierge anale mais d’ici une demi-heure, ce sera du passé.

– C’est très douloureux, Maman, dit Sophie d’une voix brisée. Donne-moi un conseil, tu en as toujours un pour moi dans mes circonstances difficiles. » Les larmes de la jeune fille coulaient à présent dans son cou.

La requête était noble. Sophie voulait se rendre au terme de l’expérience et s’en remettait à son expertise maternelle.

(À venir: La route de l’extase)

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