Histoires de sexe Histoires érotiques au travail

Les amants de Lady Schneckerley – Chapitre 6

Les amants de Lady Schneckerley - Chapitre 6



Il revint comme prévu, parce que j’envoyai Ann le chercher. Seul, il n’osait pas. J’avais mis le déshabillé le plus léger possible. Mes seins pointaient au travers du tissu. J’étais follement excitée à l’idée de toucher ce colosse d’ébène, ce monstre de chair et de muscle.

Je le fis monter dans ma chambre et lui demandai de se déshabiller, ce qui ne fut pas long, malgré un réflexe de pudeur, car il ne portait qu’une mauvaise culotte et était torse nu sous le pansement.

Dieu qu’il était beau !

J’ôtai le bandage en me frottant le plus possible contre lui, mais discrètement, l’air de ne pas y toucher, de façon à ne pas dévoiler mon jeu. Je voulais que le désir vînt de lui, sans qu’il réalise que j’avais tout fait pour le provoquer.

Je l’écoutai parler, me raconter les horreurs subies par lui et les siens, les humiliations et les mauvais traitements. Il m’apparut sensible et respectueux. J’en fus remuée jusqu’au fond de mon âme.

Allonge-toi Bo Tom !

Mais je vais salir, Maîtresse, vot’ lit…

Allonge-toi, il faut bien que je te soigne. Et d’ailleurs, tu es très propre.

Je me suis lavé, Maîtresse !

Il s’allongea sur le ventre et je pris la pommade que j’appliquai sur ses plaies après avoir précautionneusement enlevé le bandage. Peu à peu, je le sentis se détendre. Mes cercles s’élargirent vers ses fesses, que sa culotte usée protégeait pour le moment contre mon désir, puis je remontai vers son dos, délicatement pour ne pas le faire souffrir, puis vers ses bras.

Plus cela allait, plus je me rapprochai de lui. J’étais si excitée. Qui le saurait si je faisais l’amour avec un esclave noir ? Pourrait-il me refuser, se dérober ? Non bien sûr. Je mouillai.

Alors, j’enlevai ma tunique. Il n’en vit rien. Puis je m’approchai si près que mes tétons le frôlèrent. Ils étaient gonflés et je me mis donc à le frôler de plus en plus.

Je tirai sur son espèce de pantalon pour le baisser. Évidemment, ce fut plus compliqué que prévu. Il résista.

Que faites-vous maîtresse ?

Il faut bien que je te soigne là aussi. Tu as été fouetté sur tes fesses aussi.

Ce n’est rien, rien.

Allons, enlève-le.

C’est pas convenable d’être nu.

Voyons, ne fais pas l’enfant. Obéis !

Il le fit en soulevant rapidement son bassin et je tirai vite le frêle linge vers le bas, apercevant un bref instant la masse compacte des testicules. Son cul m’apparut dans toute sa puissance. Il était magnifique, bien rond et ferme, avec de petits poils noirs tout frisés dans la raie. Il portait quelques zébrures anciennes. Il n’avait pas été fouetté récemment.

Je m’enduisis les mains de crème et commençai à lentement peloter les globes à les écarter pour découvrir la tache un peu plus claire de la rondelle. Je n’avais encore jamais posé ma langue sur un cul de mec. Un marin m’avait bien demandé de le faire sur le bateau, mais il était sale et j’avais reculé devant cette répugnante perspective. Mais là, c’était différent. Bo Tom s’était manifestement lavé avant de venir et le parfum de l’onguent attisait de surcroît ma sensualité.

Je massai les cuisses et l’amenai ainsi à les écarter davantage et à me donner la vision des couilles partiellement ramassées sous son corps, pas complètement dégagées; les fesses, le dos, alternativement, et mes seins le rasaient de plus près. Il était impossible qu’il ne se fût pas rendu compte que j’étais nue.

Alors, je fis ce que je n’avais jamais fait jusqu’alors : je logeai ma langue sur la rosette et la léchai comme la plus délicate des sucreries.

Il se retourna aussitôt comme si un scorpion l’avait piqué. Evidemment, il bandait, il bandait dur, comme un cheval. Sa queue était monumentale, j’en avais vues de toutes les tailles sur le bateau, mais aucune de ce gabarit-là. Je la pris et posai délicatement un baiser sur l’extrémité puis avalai le gland. Je ne pourrais jamais la sucer tout entière. Je mangeai aussi ses grosses couilles. Il faudrait les raser. Je préfère ces joujoux là tout lisses.

Oh ! Maîtresse, c’est pas bien, il ne faut pas… Il faut pas maîtresse… C’est mal…

Il s’était appuyé sur ses coudes et se redressait. Je lâchai la bite et remontai le long de son corps tout en laissant ma main gauche traîner sur son paquet.

Pourquoi n’est-ce pas bien ? Pourquoi est-ce mal ?

Un esclave peut être puni pour cela… surtout avec une femme blanche et mariée…

Par qui ?

Le Maître. Il va me punir… me pendre…

Le Maître ??? Mais c’est moi le Maître.

C’est Monsieur…

Monsieur ? Si Monsieur te voyait comme je te vois, il ferait comme moi, sois-en sûr.

Mais c’est un péché !

Un péché ? Où as-tu appris de telles sornettes ?

C’est le pasteur qui dit ça.

Et le pasteur, il trouve normal de maintenir des hommes en esclavage ?

Il dit que…

Je posai un doigt sur ses lèvres, tout en remontant ma main pour lui caresser le torse et venir à son épaule.

Chut ! Tais-toi, Bo Tom… Laisse-toi faire, laisse… Il n’y aura que du bien, tu vas voir… Plus personne ne te fera du mal, je te le promets.

Et je l’embrassai à bouche que veux-tu, en me collant à lui, et me frottai à lui.

Je le chevauchai et sentis que je lui étais de moins en moins indifférente.

Il était presque tétanisé. Alors, je l’embrassai partout. Sur les joues, le menton, le nez, les paupières, le front la bouche, dans le cou, sur ses tétons durs puis me hissait de façon à ce que mes seins vinssent sur sa bouche.

Mange-moi les tétons.

Il hésita.

Lèche-le d’abord puis avale mes seins, dis-je plus fermement.

Après une dernière hésitation, il détendit son énorme langue sur ma poitrine, lentement. C’était chaud. Puis il se mit à sucer les pointes, l’une après l’autre.

Cela le libéra un peu et il posa ses mains sur mes fesses, les retirant aussitôt, comme s’il s’était rendu compte, soudain, qu’il avait fait quelque chose de mal…Alors, je l’embrassai à nouveau fougueusement.

Prends-moi, prends-moi !

Et je lui représentai mes seins.

Il reposa alors ses mains sur mon cul et se mit à explorer mon corps avec minutie, tout en augmentant la pression de ses lèvres sur mes seins. Ma chatte effleurait le bout de sa queue. Je mouillais.

Il caressa mon dos puis mes épaules et cessa de titiller mes tétons pour prendre ma poitrine à mains pleines.

Je me frottai plus énergiquement à son sexe. Je n’en pouvais plus d’attendre. Alors, je pris la colonne de chair et me laissai glisser dessus. Ce ne fut pas immédiat, compte tenu de l’engin, que je dus faire entrer progressivement en moi. Ses mains me serrèrent encore plus fort et il ferma les yeux en gémissant.

Alors je me mis à danser comme une folle sur son sexe. Il ne résista pas et éjacula rapidement… trop vite, bien avant que je jouisse. Je sentis les spasmes de son corps à chaque décharge et sa verge pulser dans mon vagin à chaque tir de sperme. Selon toute apparence, il avait les couilles bien pleines.

La bite débanda rapidement. Je la laissai sortir de moi. Puis, je la pris, encore grosse, mais mollissant, dégoulinante de jus… Je la suçai avec délice. Il râlait de bonheur.

Puis je me couchai sur lui. Il n’osa plus bouger.

C’était la première fois ?

Oui Maîtresse. Y a pas de femmes ici. La plantation est trop petite…

Il y eut un silence gêné.

Maîtresse… il faut… il faut que je rentre dans la case.

Pourquoi ?

Les autres… ils vont se poser des questions.

Laisse-les se poser des questions… Reste ici.

Ici… dans la maison maîtresse ?

Dans mon lit, toute la nuit.

Avec vous, maîtresse ?

J’ai encore beaucoup de choses à t’apprendre… et d’abord comment faire durer ton plaisir et… le mien. Cela t’a plu ?

Oh oui, Maîtresse… oui.

Et cesse de m’appeler Maîtresse.

Oui Maîtresse.

J’éclatai de rire… Et lui aussi.

Tu es fatigué ?

Non… M’dame…

Je me mis alors à parcourir son torse de baisers puis saisis sa main et l’amenai entre mes jambes.

Première leçon : comment un homme doit-il savoir se servir de ses mains ? Tu es volontaire pour apprendre ?

Oui, je vais faire de mon mieux.

Caresse-moi, écarte les lèvres avec les doigts… pince le clitoris…

Clitoris ?

Ah ! Regarde comment est fait le sexe de la femme.

Je lui fis une brève leçon d’anatomie, puis lui repris la main et la remis sur ma vulve.

Et, pour la première fois, il prit l’initiative. Il inséra un doigt ; tout en se redressant, il s’approcha de ma bouche. Je fis un bout de chemin, juste ce qu’il fallait pour l’encourager et nos lèvres se trouvèrent. Il m’embrassa avec fougue et ses doigts commencèrent à faire merveille.

A suivre.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire