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Les aventeures de spartanus – Chapitre 2

Les aventeures de spartanus - Chapitre 2



L’arène était remplie. Ils étaient venus de toute la région pour voir un spectacle original. Néanmoins, personne ne savait quelle était la nature exacte de cette présentation. Dans quelques instants, Spartanus allait être la célébrité de la Sicile ou bien un homme mort. Cette dernière perspective lui causait beaucoup de crainte mais déjà le vin lui montait à la tête et le rendait moins soucieux de l’avenir.

Une trentaine d’esclaves était disposée en cercle au centre de l’arène. Ils se tenaient à quatre pattes et avaient l’ordre de ne point lever la tête. À cette vue, Spartanus eut une grande joie et se mit à sautiller sur place en criant :

— Avé ! Avé ! Avé !

Les quelques soldats chargés de la sécurité sur le lieu du spectacle eurent toutes les peines du monde à le retenir de commencer son numéro avant que le proconsul de la région ne donne le signal de départ. Ce dernier était placé à la tribune d’honneur en compagnie du propriétaire de l’école de gladiateurs. Tous deux étaient de vieux amis et discutaient de ce qui allait suivre…

— Allons, Flavius, puis-je savoir pourquoi tu refuses avec obstination de me révéler le programme du spectacle ? Je suis curieux et ne puis point attendre !

— Je n’ai nulle envie de t’imposer une telle souffrance, Marcius. La vérité est que moi-même, je ne le connais guère.

— Sais-tu au moins pourquoi ces esclaves sont disposés ainsi ? Va-t-on lâcher les lions ? Un gladiateur va-t-il devoir s’amuser à les décapiter ? Par Mars, éclaire ma lanterne !

— Non, je te l’ai dit, il s’agit de quelque chose de vraiment nouveau. Si nouveau que j’ai peur que cela ne déplaise au public. J’ai pris ce risque afin de voir les capacités d’un de mes gladiateurs, un Thrace qui est absolument nul au combat mais qui paraît avoir des facultés exceptionnelles pour une autre discipline ?

— Et quelle est cette discipline ? Parle nom de Jupiter ! Ne suis-je pas ton ami ?

— Je crains d’avouer la nature du spectacle même à mon meilleur ami. Ce gaillard est un as… De la pénétration contre-nature en réalité.

Pendant quelques longues secondes, le gouverneur Marcius Sextus Vinicius regarda son ami en attendant que celui-ci avoue que c’était une blague et, lorsqu’enfin il comprit qu’il n’en était rien, il partit dans un monstrueux fou rire qui paraissait ne jamais pouvoir cesser. Cette réaction ne rassura nullement son organisateur Flavius qui se rongeait les ongles comme un beau diable. Les trompettes sonnèrent et l’on annonça l’entrée de Spartanus. Le gouverneur reprit ses esprits et murmura en pouffant de rire :

— Huhuhu, alors oui en effet, je comprends que tu aies peur huhuhu, là ça passe ou ça casse et en cas de mauvaise réaction, je ne vois pas ce que je pourrai faire pour toi et ta réputation. Mais allons, huhuhu, apprécions le « spectacle » huhuhu.

Et le pauvre Flavius se demanda pourquoi il n’avait pas fait exécuter ce parasite plutôt que de lui confier son avenir en lui confiant un spectacle à lui tout seul. Spartanus se rua sur le premier esclave, un Gaulois, lui souleva sa tunique et retira la sienne. Toute l’assemblée put alors voir un phallus qui n’avait rien d’humain.

— Il a un pieu de cheval, s’écria un spectateur.

— On pourrait empaler douze prisonniers barbares sur sa queue, s’exclama un autre.

Et avant même que Spartanus ait sodomisé le Gaulois, le public s’agitait et hurlait.

— Ils sont contents ou non ? Demanda le propriétaire de l’école à son ami le proconsul.

Ce dernier ne répondit pas, non seulement parce qu’il ne connaissait pas la réponse mais surtout parce qu’il était lui-même hypnotisé par l’énorme engin qui pourfendait le fessier viril du premier esclave. Rapidement, Spartanus en eut fini avec lui et lui éjacula dans le dos. Il se jeta sur une esclave Numide, située à la gauche du Gaulois. Et le public applaudit chaleureusement le premier jet de sperme.

— Incroyable, murmura le proconsul, ils aiment tous ça.

Le patron de Spartanus, lui, retrouvait des couleurs. Déjà, Spartanus lâchait son jus à la face de la jeune femme de couleur qui arborait un sourire ravi. Après tout, c’était mieux que de se faire dévorer par des lions affamés. Le public, quant à lui, entama une ola endiablée et scandait le nom de Spartanus.

— Spartanus, nique-les tous ! Spartanus, nique-les tous !

C’était du délire. Et s’il y avait un homme heureux, c’était bien Flavius, l’humaniste qui avait laissé son plus mauvais gladiateur avoir sa chance. Il se surprit lui-même à reprendre le chant improvisé par les spectateurs :

— Spartanus, nique-les tous ! Spartanus, nique-les tous !

La prochaine victime de la célébrité du jour était un jeune Thrace. Spartanus le reconnut.

— Hey, salut, tu es de ma région pas vrai ?

Le jeune homme tourna la tête et répondit :

— Tiens, Spartanus, tu es devenu un homme célèbre on dirait.

Le public, ne comprenant pas cette pause, se mit à hurler à tue-tête :

— Nique-le ! Nique-le !

Alors le héros dit à son compatriote :

— Tu m’excuses hein ? Je dois t’enculer.

Et il se déchargea les couilles dans l’anus du Thrace. Par la suite, il niqua encore deux Ibères, un Breton, six Étrusques, trois hommes tout droit venus de Grèce qui aimèrent beaucoup ça, deux jolies filles au teint jaune venues d’un pays d’Orient très lointain, quatre Carthaginoises, un Phénicien, tout cela en un temps record.

— Spartanus, nique-les tous ! Spartanus, nique-les tous !

Et on s’extasiait toujours de la taille de son engin, de celle de ses testicules ainsi que de son habileté et de son endurance.

Spartanus encula encore quelques Barbares venus du Nord, mais commençait à faiblir. Le cul d’une petite Teutonne blonde se profilait devant lui. Mais Spartanus n’en pouvait plus. Il n’avait plus de jus, au sens propre comme au sens figuré. Il commençait à tourner de l’oil.

— Spartanus, nique-la ! Spartanus, nique-la !

Le public le poussait à donner le meilleur de lui-même. Il n’avait pas le choix, il savait qu’il devait encore sodomiser la jeune femme.

— Spartanus, nique-la ! Spartanus, nique-la ! Hurlait son propriétaire. Nique-la ! Nique-la !

Le gladiateur contempla sa bite. Elle devenait molle. Les événements tournaient mal. Il resta cloué sur place.

— Nique-la ! Nique-la ! Hurlait la foule. Nique-la ! Nique-la !

Certains se mirent à lui lancer des déchets.

— Tu vas la niquer oui ? Nique-la ! Nique-la !

Spartanus fit le vide en lui. Il pensa aux vastes plaines de Thrace, à la famille qu’il ne reverrait sans doute jamais, au vent frais qui soufflait en continu dans les vertes forêts de son pays natal. Il senti la force revenir en lui et fixa le cul de la blonde qui se tenait patiemment à quatre pattes devant lui. Il sortit de sa rêverie et jeta un regard noir au public qui s’excitait. Il pensa :

— Oui, je vais la niquer. Je n’ai pas le choix, je vais la niquer pour vous. Mais un jour, vous verrez, moi, Spartanus, je vous niquerai tous.

Et sous les hurlements de joie du public qu’il haïssait à présent, il s’approcha de la jeune femme, se mit à genoux derrière elle, souleva sa jupe de tissu et saisit son sexe qui avait retrouvé de la vigueur tout en caressant les fesses blanches de l’esclave. Il lui dit qu’elle avait une belle peau, ce qui la fit sourire. Elle lui dit alors qu’il était déjà connu dans la contrée de laquelle elle venait.

— Ta réputation t’a précédée, avant même que tu ne deviennes esclave.

— Je reste l’as de la sodomie néanmoins.

— Oui, répondit-elle en fixant la foule, mais tu es leur jouet désormais. Tu sodomises pour eux, pas pour toi. Allez, Spartanus, encule-moi. Je pourrai dire que le légendaire Thrace à la bite de cheval m’a fait mon affaire, et ce n’est pas rien.

Spartanus lui enfila son engin dans le trou du cul et se mit à la défoncer violemment. Elle poussa très vite de cris de sauvageonne, sa longue crinière blonde touchant presque le sable.

— Tu as raison, ô femme, je sodomise pour eux, mais cela ne durera pas.

Et tout en disant cela, il lui défonça le cul avec encore plus de vigueur qu’il ne l’avait fait au Gaulois ou à la Numide. Il remarqua qu’elle avait des seins d’enfer et se dit que comme il arrivait au bout de sa prestation, il pouvait se permettre un petit plaisir. Il bascula en avant et malaxa avec vigueur les gros lolos germaniques. Il éjacula en elle et se retira.

— Ma fille, dit-il d’un air supérieur, tu t’es fait ensemencer par le fameux Spartanus.

Et sous les cris de la foule en délire, il leva les bras vers le ciel, les poings fermés. Il leur cria :

— Je suis Spartanus, le roi de la sodomie. Acclamez-moi !

Et son cri fut noyé par les applaudissements de tout le public.

— Spartanus ! Spartanus !

Dans sa tribune, Flavius soufflait.

-Ta réputation est sauve, mon ami, dit le proconsul en partant. À bientôt, au prochain spectacle.

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