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Les aventures de Caro – Chapitre 6

Les aventures de Caro - Chapitre 6



Après cet été finalement assez sage, comme il y avait un creux à l’Auberge, nous avons pris une semaine de repos pour aller faire un petit voyage en Corse. Des vacances qui ont été l’occasion de rencontres coquines.

Lundi 12 septembre 1990

Après être passés par Bastia, nous voici aujourd’hui à Saint Florent.

Nous sommes sur la plage des Agriates, et comme c’est naturiste, nous profitons pleinement du soleil. C’est presque désert, à part un couple. Nous mous sommes installés assez loin pour ne pas déranger leur tranquillité.

Evidemment, Ju ne rate pas l’occasion de bander lorsqu’il se met entre mes jambes pour m’enduire d’huile solaire. Il s’est bien attardé sur mes seins et, et je lui caresse doucement la bite pendant qu’il s’occupe du bas, doigtant le clito gentiment. Les yeux fermés, tout à notre félicité, nous ne voyons pas le temps s’écouler, ni s’approcher l’autre couple. D’autant plus que le faible bruit de leurs pas sur le sable est masqué par le ressac des vagues.

C’est au moment ou je me redresse pour sucer Ju que je les vois assez proches de nous, la bite bandée du gars dans la main de la nana. Je ne me démonte pas et continue. Ju leur propose de participer. Le gars nous dit qu’ils en seraient ravis, car ils sont échangistes.

La jolie blonde ne perd pas de temps en présentations pour sucer Ju, pendant que le mec me présente sa queue. Puis c’est une levrette en parallèle et mon partenaire me lâche tout sur les fesses pendant que Ju préfère finir dans la bouche de la sienne.

Cette nana est polyvalente, car elle me rejoint pour donner un spectacle de remise en forme aux deux hommes. C’est une vraie blonde, j’en ai la preuve sous le nez avec sa moquette triangulaire pendant que je la bouffe en soixante-neuf.

Cette fois, ça dure plus longtemps, et tout y passe: sodomie, double, et même le gars qui vient aider sa femme à sucer Ju qui n’a aucun scrupule à lui lâcher ses dernières munitions dans la bouche.

Le soir, nous réalisons alors que nous ne savons même pas leurs prénoms.

Mercredi 14 septembre 1990

En fin d’après-midi, nous arrivons à Corte à l’hôtel que nous avons réservé.

Il est tenu par un couple qui nous apprend que nous sommes leurs seuls clients:

— Si vous n’aviez pas réservé, nous aurions peut-être fermé. Nous avons deux courses à faire. Alors, faites comme chez vous, et si vous avez absolument besoin de quelque chose, ne vous gênez pas, même de vous servir au comptoir. On vous fait confiance. Nous, c’est Gilbert et Nathalie.

— C’est très gentil de votre part! Et nous, c’est Julien et Caro.

— On sera de retour de toute façon pour le service du dîner.

Après s’être douchés, nous décidons de les tester, encore excités par notre récente expérience sur la plage. Nous descendons à poil et nous nous servons un apéro au comptoir avant d’aller le siroter dans les transats de la terrasse pour profiter encore un peu du soleil.

C’est dans cette configuration que Gilbert nous trouve en revenant:

— Mais Qu’est-ce que vous faites, dans cette tenue?

Je le contre avec un air innocent:

— Vous nous aviez dit de faire comme chez nous, alors voilà!

— Euh, oui, mais je ne pensais pas à ça.

Nathalie arrive sur ce tableau et le prend plus cool:

— Ah tiens, vous aussi? On est assez souvent nus à la maison et on va toujours sur les plages naturistes, mais on aurait peut-être pas osé le faire comme ça.

Je me lève et m’avance vers eux:

— Si ça vous gêne vraiment, on va aller se rhabiller.

Gilbert lorgne sur mes tétons et mon triangle totalement épilé. Finalement, il doit se dire que ce serait dommage de se priver de ce spectacle:

— Euh, non, c’est bon, maintenant que vous y êtes. De toute façon, je vais préparer le repas. Ce sera prêt dans une demi-heure environ.

Nathalie s’éclipse aussi et revient très vite nous rejoindre à poil, nous dévoilant une minuscule touffe bien entretenue.

Quand Gilbert revient nous annoncer que c’est prêt, il a la surprise de la trouver ainsi en train de boire un verre avec nous, mais il n’ose pas protester. Et quand nous nous levons et allons toujours nus à table, il tique un peu, mais ne dit rien contre, il en profite au contraire pour me mater un max. Comme c’est lui qui fait le service, je laisse bien mes jambes écartées et la chaise reculée pour qu’il ne rate rien en passant près de la table. J’en rajoute un peu en récupérant sur un sein une goutte de vinaigrette avec un doigt que je lèche suggestivement.

Après le dessert, Nathalie qui a fini la plonge des gamelles refait son apparition, toujours à poil elle aussi après avoir viré son tablier, et elle nous fait un clin d’il:

— Vous prendrez bien un digestif? Mettez-vous dans les canapés, on va se joindre à vous. Gilbert, si tu en profitais pour enlever ces vêtements?

Gilbert en reste baba:

— Mais, chérie, qu’est-ce qui te prend?

— Ben quoi? T’es le seul encore tout habillé, et on n’est que tous les quatre

Nous insistons avec elle et il se met enfin nu lui aussi. Pendant ce temps, nous nous sommes installés dans la partie salon. Ju s’est mis d’entrée sur le même canapé que Nathalie, et Gilbert vient donc s’assoir à côté de moi. Nous trinquons avec l’excellente liqueur de myrte.

L’alcool détend l’atmosphère, tellement que Gilbert ne se rend pas trop compte qu’il commence à bander à force de regarder en coin vers ma fente lisse.

Il faut dire que j’ai fait dériver la conversation avec Nathalie sur nos épilations extrêmes, et que j’ouvre bien mes jambes pour qu’elle et moi fassions mieux la comparaison.

Dans le mouvement, je frotte mon genou au sien. Je fais celle qui s’aperçoit de la situation:

— Oh! Dis donc Gilbert, on dirait que ça te motive! Et puisque c’est à cause de moi, je veux bien m’en occuper. Tu permets, Nathalie?

Et sans attendre sa réponse, je commence à branler Gilbert pour achever de le mettre en forme. Ju propose son érection à sa voisine qui l’empoigne en disant:

— Ça tombe bien, ça faisait quelques temps qu’on fantasmait d’essayer l’échangisme!

Nous faisons durer un peu cette séance de masturbation réciproque.

Puis je m’agenouille devant Gilbert et je commence à le sucer, pendant que Ju préfère se mettre debout devant sa partenaire pour le même traitement.

Je fais ensuite allonger mon étalon sure le tapis et le chevauche.

Ju fait agenouiller Nathalie au-dessus de la tête de Gilbert pour qu’il voit bien sa femme se faire prendre en levrette.

J’achève Gilbert en lui pompant toute sa sève et Ju préfère éjaculer sur les seins de Nathalie. Je saisis l’occasion d’aller la nettoyer avec ma langue, et je descends jusqu’à son clito que je gobe.

Elle se laisse faire et gémit de nouveau. Je n’hésite donc pas à m’installer en soixante-neuf sur elle pour lui donner ma fente à lécher.

Ce qu’elle fait sans trop que j’insiste.

Cela remet en grande forme nos mecs, et Ju vient me prendre en levrette.

Gilbert vient investir Nathalie devant moi, et je l’aide à la pénétrer.

Je le fais ressortir de temps en temps pour le sucer un peu, et puis retour à la case trésor. Et puis, changement à nouveau: Gilbert revient vers moi, et je lui demande de me sodomiser, ce qu’il fait sans rechigner. Quand Ju s’avance derrière Nathalie pour en faire de même, elle lui demande d’y aller doucement, c’est la première fois pour elle.

En bon gentleman, il fait bien attention et tout se passe en douceur. A la fin, ça coulisse tout seul, et il l’encule en grand, lui faisant pousser des clameurs.

Je jouis aussi de mon côté, puis je m’écarte de Gilbert:

— Toi aussi, c’était ta première sodomie, hein?

— Oui, c’est vrai, et c’était trop bon.

— Eh bien, tu vas le faire enfin avec ta femme, et même mieux encore!

Ju adhère à mon idée. Il s’allonge et met Nathalie à cheval sur sa queue, puis je guide la bite de Gilbert dans le cul encore béant de sa femme, lui procurant son premier sandwich.

Je l’aide en lui caressant les couilles, puis je lui titille l’anus, et enfin j’y insère mon majeur. cette intrusion le déclenche, et je sens les contractions de son éjaculation. Ju l’a senti aussi à travers les parois, et il en profite pour tout lâcher lui aussi.

Tout le monde est maintenant assez fourbu, et ils se retirent vers leur propre chambre pour nous laisser dormir.

Jeudi 15 septembre 1990

Ce matin, nous enfilons un string pour descendre prendre le petit-déjeuner et personne ne reparle de la séance d’hier soir, mais c’est dans l’air ambiant.

Au moment de partir, Gilbert et Nathalie insistent pour ne pas nous faire payer, et ils nous remercient encore.

A suivre

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