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les aventures osées de Catherine – Chapitre 4

les aventures osées de Catherine - Chapitre 4



Nous sommes en octobre 2011. Rien ne s’est passé de coquin depuis notre retour de vacances. Je pense souvent à ce qui c’est passé à Pâques et cet été. Je me pose des questions. Y aurait il un problème dans mon couple? Non pourtant, Jacques, mon mari, me fait toujours jouir. Mais même si l’excitation est là, l’orgasme avec lui n’atteint que rarement les sommets vécus avec mes deux amants. Et quand j’y arrive avec Jacques, c’est souvent en m’imaginant avec un, ou plusieurs, autres hommes, m’exhibant devant eux, puis qui me prennent. Oui, moi la mère de famille sage et fidèle, qui encore quelques mois plutôt considérait comme inadmissible et impardonnable de tromper son compagnon, qui n’avait connu que deux hommes dans sa vie sexuelle, me voilà à avoir des fantasmes avec des inconnus, et désirant la pluralité masculine. J’essaie d’imaginer comment cela se passe dans des clubs libertins, et en ait même parler à mon mari « juste pour voir, et qui sait, faire l’amour en voyant d’autres couples le faisant, ce serait très excitant? Regarde chéri, déjà, rien que de visionner un film X et de faire l’amour devant, quel excitation ça nous procure? ». Mais non. Son travail trop prenant, et sa jalousie, font qu’il n’a pas retenu ma proposition.

Cette semaine, ma grande fille a 18 ans. Elle a demandé de sortir en boîte de nuit ce samedi soir, avec des copains et copines. Même si nous l’avons déjà laissée sortir pendant les vacances, là, c’est différent. Je suis pas forcément rassurée, mon mari non plus. Je propose à mon mari de l’accompagner. Pas pour être avec eux, mais pour les surveiller, notamment la consommation d’alcool, voire.. de drogue. Et puis ça pourrait être sympa de « se faire une boîte ». Jacques refuse, trop fatigué, mais me dit que si je veux y aller, je peux.

Il est samedi, les amis de de ma fille arrivent et nous sommes prêtes. Nous, c’est ma grande fille et moi. Pour le fun, nous nous sommes quasiment habillées pareilles : talons hauts, jupe très courte qui laisse mes jambes fines et musclées à la vue de tous, un petit haut moulant et décolleté, avec des dessous assortis, string et soutien gorge blanc. Je me suis maquillée, et par rapport à ma fille, je ne porte pas de collants comme elle, mais des bas couleur chair. Aucune compétition entre nous, juste un délire, et pour moi, en plus, l’envie de me faire draguer ce soir. L’idée d’être de nouveau sans mon mari entourée d’hommes me donne des bouffées. Mes seins gonflent dans mon bonnet 85b et se sentent serrés.

Nous voilà partis! Pendant le trajet, les garçons plaisantent, et je vois leurs yeux sur mes cuisses, sur mon haut. Ces regards me réchauffent en cette soirée de octobre, plus que la ventilation du véhicule. Nous arrivons en boîte, nous entrons. Un copain de ma fille va chercher quelques bouteilles, et je me retrouve avec une vodka pomme dans les mains. Je ne connaissais pas, c’est doux, on ne sent pas l’alcool, et j’en prends un deuxième..ah oui, là, je sens ma tête qui tourne et l’euphorie, la grisante envie de m’amuser. Je vais sur la piste danser. Je me retrouve rapidement entourée de sept garçons, la vingtaine, bien foutus. Ce sont des jeunes beurs, je ne fais pas plus attention, je continue à danser, mais mes mouvements sensuels, lents, mes mains dans mes cheveux longs, doivent leur sembler une invitation. Ils se rapprochent, insistent du regards et ne se gênent pas pour faire connaître leur appétence. Je me sens comme une femelle au milieu de mâles en rut.

Je m’extirpe, retourne boire un verre de vodka pomme, décidément trop bon ce truc, et l’envie d’y retourner me gagne. Me voilà de nouveau au milieu de ces jeunes à danser, non sans avoir vérifier que ma fille ne me surveillait pas : elle est trop occuper avec ses copains, et se fiche éperdument de ce que je peux faire.

Un des jeunes vient contre moi, nous dansons quasiment collés l’un à l’autre. Il me propose d’aller boire un verre, j’accepte et me voilà l’accompagnant dans un coin tranquille et sombre de la boite.

Il porte un jean noir et un T shirt blanc très moulant, laissant profiter de la vue de sa musculature.

Nous nous asseyons côte à côte devant une nouvelle vodka pomme.

« – moi c’est Djamil!

— enchantée, moi c’est Catherine!

— ouais, enchanté. T’es nouvelle ici, je t’ai jamais vu.

— oui, j’accompagne ma fille et..

— ta fille?!? mais t’as quel âge?

— ça ne se demande pas, mais j’ai 40 ans.

— Ouah tu les fais pas, t’es carrément . sexe et super comme femme. T’es cougar?

Cette question me fait rire.

— merci. Non, je suis pas une cougar.

— pourtant vu comme tu bougeais tout à l’heure, t’étais en chasse. »

En même temps, sa main se pose sur ma cuisse et je la repousse.

« – allez, tu me feras pas croire que tu t’habilles comme ça sans avoir une idée derrière la tête? Une idée coquine?

— je suis pas contre un .. flirt.. mais rien de plus, je suis mariée et là pour m’amuser, et surveiller ma fille.

— perso, je pense que ta fille est grande, et qu’elle a pas besoin d’être surveillée. C’est elle là-bas? »

et je vois ma fille, sur la piste, embrassant langoureusement son copain, les mains de ce dernier sans équivoque sous sa jupe et dans son corsage. Je ne dis rien, je contemple. Cela me rappelle ce que j’avais vu l’année précédente, un mercredi après midi à la maison.

Quand je reviens à moi, Djamil est entrain de caresser ma cuisse, tout doucement. Mon dieu, j’ai rien senti!!! je ne le repousse pas, le regarde en sirotant mon verre.

« – on fait rien de mal, chérie »

et il m’embrasse dans le cou. Je tourne ma tête et lui donne mes lèvres. L’excitation monte en moi. De nouveau, mes seins étouffent dans mon soutien gorge, j’ai envie de ses doigts sur mes tétons. Je caresse son torse, sa mains effleurent le haut de mon bas, sous ma jupe, je sens ses doigts chauds sur la peau de ma cuisse, épilée. Je regarde autour de nous, ses copains nous matent en rigolant. Cela m’excite. Je les imagine nous rejoindre, et me caresser également.

« – tu fumes, j’ai envie d’une clope, me dit il, on sort?

— oui, je prendrai bien une taf aussi. »

Nous voilà dehors, à l’entrée de la boite, il allume une cigarette que nous partageons, et me propose d’aller dans sa voiture, sur le parking, on sera au chaud. Mes talons hauts claquent sur le bitume du parking, et c’est le seul bruit qu’on entend. Nous montons à bord de sa Golf, à l’arrière. Il verrouille les portes et en même temps qu’il commence à m’embrasser, sa main vient sur mes seins..

« – hummm, c’est dur, tu pointes, t’as envie plus qu’un flirt toi. »

je ne dis rien, je l’embrasse à plein bouche, sa langue épaisse envahit ma bouche. Mes mains glisse sous son T shirt. Humm quelle musculature, quelle puissance on ressent rien qu’au toucher.

Ses mains libèrent ma poitrine, enfin, elle respire! Immédiatement, ses lèvres se portent dessus et commencent à me lécher, mordiller, aspirer mes tétons. Ils sont sensibles et douloureux, je suis excitée. Une de ses mains revient sur l’intérieur de ma cuisse et se glisse jusqu’au contact de mon string. J’écarte les jambes et ses doigts s’insinuent rapidement dans mon sous vêtement, me caressent mes lèvres et cherchent mon clito en les écartant. Je suis humide, je gémis de plaisir et je caresse sa braguette, ou son membre est dur, semble vraiment imposant et demande qu’à être libérer. Je défais maladroitement le ceinturon, Djamil toujours s’activant sur mes seins et introduisant désormais des doigts dans mon vagin. Je gémis bruyamment, j’ai envie de son sexe, j’ai envie de le sucer.

Voilà, ça y est, son pantalon est ouvert et son boxer noir est tendu. Il se redresse, toujours ses doigts dans ma chatte.

« – tu sais, les femmes dans ton genre, c’est mon kif.

— dans mon genre?

— ouais, mariée, genre bourgeoise sage, mais qui sont chaudes du cul, et demandent qu’à bouffer de la bite de rebeu. »

je baisse son pantalon, et son boxer avec. Sa queue se libère, elle est belle : elle est dressée, dure, droite, une belle tige veineuse, brune, avec un joli gland décalotté. Elle demande ma bouche, et ma bouche ne demande qu’à me faire pencher pour prendre ce membre. C’est excitant, dans cette voiture. Machinalement, je regarde dehors, afin de m’assurer qu’on est seuls, et je me penche. Dans un râle de gourmande, je prends son gland en bouche et commence à le sucer, ma main gauche caressant son torse, ses cuisses, ma main droite sa tige et ses couilles rasées.

« – ah, putain, c’est boooooonn! »

Djamil pose une main sur ma tête, me caresse les cheveux. De l’autre, il me fait me mettre à genou sur le siège arrière, mes fesses orientées vers la fenêtre. Il relève complètement ma jupe, écarte mon string et continue à me doigter. Je cambre pour bien m’ouvrir. Ma vulve est humide, et je sens ses doigts aller et venir, je sens que cela coule le long de ma cuisse.

« – humm tu suces bien.. elle te plaît ma bite hein? »

j’ai à peine le temps, dans l’excitation de dire oui, que sa main sur ma tête se fait plus ferme et me force à prendre sa tige plus en profondeur, en même temps, ses doigts s’enfoncent dans mon minou.

Il se raidit, son bassin remonte, tendu, ce qui fait encore plus rentrer de sons sexe dans ma bouche.

Je n’ai que rarement fait de gorge profonde, je n’aime pas trop la sensation d’étouffer. Mais il me tient. Je me redresse quand même, l’embrasse pour calmer ses ardeurs, mais il me prend par les cheveux et me faire reprendre la fellation.

Elle est bien dure dans ma bouche. Elle est bonne. Sa seconde main s’active sur mon cul. Quelques fessées qui claquent et accompagnent les bruits de succions, de déglutition et nos râles de plaisir.

Bloquée comme je suis, je ne vois rien de mon environnement. Je pense soudainement que ma croupe relevée et exhibée est à la vue de ses copains, qui nous ont suivi furtivement dans le parking. Qu’ils me matent suçant Djamil, qu’ils voient ses doigts entrer et sortir de mon vagin, étaler mon jus sur mes fesses, ma raie, ma petite rondelle et qu’ils voient ses doigts dilater mon anus en le forçant. J’imagine d’un coup craintive que les portes vont être déverrouillées, qu’elles vont s’ouvrir et que je vais être prise en levrette, comme ça, à la chaîne. Cette crainte bascule en excitation.. et si …hummm, je m’active que mieux sur son membre.

« – mets moi un doigt chérie. Allez, tu vas voir, je vais plus bander encore. »

j’approche mon index, qui rentre sans problème dans son anus, je l’enfonce, fais quelques allers retours et touche ses parois internes, comme il le fait dans mon cul.

« – ouaaah, chérie, c’est bon continue!!! »

je sens sa queue déjà imposante encore grossir et durcir. Sa main me force à la gober, il appuie sur ma tête, je me retrouve le nez dans son pubis, étouffant. Je n’imaginais pas que tout pouvait rentrer. Je ne m’imaginais pas pouvoir le faire. Ses doigts me pénètrent sans gêne, viennent sur les seins, parcourent mon dos avant de replonger dans mon intimité.

Djamil tient fermement ma tête et il se tend. Ma langue sans le dessous de sa queue qui d’un coup se gonfle et se dégonfle comme des battements de coeur…. juste avant que ma bouche et ma gorge sentent une pression chaude, un liquide abondant m’envahir. Il jouit dans ma bouche!! non! Je tente de me retirer, je n’y arrive pas, il me tient, je suis obligée d’avaler. Il se vide dans un râle de plaisir.

Il me laisse me redresser, j’ai le goût de son sperme dans ma bouche, pas mauvais d’ailleurs.

« – c’est pas sympa ça, c’est nul!

— éh, tu m’avais pas dit que je pouvais pas, et ’inquiète pas, je suis sain..

-pas cool quand même! »

je me rhabille, il tente de me retenir, mais il sait qu’il a été trop loin. Je suis toute humide et ouverte, avec la sensation d’avoir la bouche et le visage souillés. Je sens son sperme dans mes cheveux aussi.

Nous retournons dans la boite. Ouf! Ma fille occupée avec son copain n’a rien vu de mon absence.

Je vais aux toilettes, me nettoyer, je reviens prendre une vodka pomme. La soirée se termine, nous rentrons avec ma fille. Juste avant que je passe sous la douche, et en allant se coucher, ma fille me dit « j’espère que tu t’es pas trop ennuyer maman? – non, non, ce fut .. une super soirée ».

Sous la douche, je me nettoie, et me caresse, imaginant une autre issue à mon tête à tête dans la Golf. D’imaginer son sexe allant dans mon minou, je bascule rapidement sur un autre scénario, celui où .. je le suce et les portes se déverrouillent, et je me retrouve à la merci de sept jeunes beurs qui me prennent à tour de rôle, dans plein de positions. Je jouis très fort.

J’ai fait un test de dépistage trois mois après. Je suis saine.

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