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Les aventures érotiques d'Amandine et Laura. – Chapitre 18

Les aventures érotiques d'Amandine et Laura. - Chapitre 18



Amandine, avec beaucoup de tendresse, écarte les grandes lèvres du sexe de Virginie puis ses petites lèvres, amenant ainsi à la lumière toute l’intimité de sa nouvelle amie. Elle la contemple longuement puis laisse Laura poser sa bouche sur le clitoris qui est maintenant dégagé de son capuchon. Son amie aspire le petit bouton dans sa bouche, faisant sourdre une nouvelle humidité.

Virginie geint de plus en plus puis, les yeux toujours fermés, elle murmure :

— Oh oui, mes chéries, faites-moi comme elle. Mettez-moi chacune une main dans moi.

Amandine lui répond tout aussi doucement :

— Nous ne savons pas. Si nous te faisons mal, dis-le nous. Mais nous allons te le faire en souvenir d’Hélène.

Elle répond sur le même ton :

— Oh oui, mes chéries, merci. Mais ne vous inquiétez pas, vous ne me ferez certainement pas mal.

Laura est la plus audacieuse. La première, elle ose mettre un doigt, puis deux, puis trois, puis quatre et enfin sa main toute entière qu’elle glisse jusqu’au fond du sexe brûlant et trempé. Virginie gémit doucement :

— Oh oui, c’est bon ! Encore !

A son tour, Amandine glisse une main dans l’antre embrasé et maintenant ruisselant. La paume de sa main est contre celle de la main de Laura. Une fois entrée en entier dans le sexe de Virginie, elle s’arrête. Ni l’une ni l’autre ne sait plus quoi faire.

Virginie prend leurs poignets et dit d’un ton rauque :

— Oui, mes amours ! Faites-moi comme elle, avancez jusqu’au fond et ressortez un peu, tout en remuant vos doigts. Oh oui, faites-moi jouir !

Dès lors, les trois jeunes femmes tombent dans une sorte de délire érotique : plongées dans une fournaise humide, les mains de Laure et d’Amandine deviennent autonomes, obéissant seulement aux pressions insistantes de celles de Virginie jusqu’à ce que, dans un grand cri, celle-ci exhale son plaisir. Après s’être cambrée au maximum, elle retombe, inerte, sur le lit. Ses deux nouvelles maîtresses la caressent tout autour du sexe avec leurs langues, avalant au passage des sucs qu’elles jugent délicieux.

Elle attendent que Virginie soit complètement calme. Elle leur paraît pratiquement endormie tant elle est paisible. Précautionneusement, chacune retire sa main de la prison de chair tendre et bouillonnante où elle était enfermée.

Sans s’être consultées, elles lèchent leurs mains puis s’allongent contre Virginie et l’enlacent en se serrant tant qu’elles le peuvent contre elle. Elles prennent toutes les trois un instant de repos post-orgasmique partagé qu’elles jugent merveilleux.

Dès qu’elles sont totalement revenues à elles, elles parlent longuement. Elles font des projets pour toute la durée du séjour d’Amandine et Laura, elles s’interrogent au sujet de ce que vont devenir Carlo, Eros et le reste de la bande, elles échangent leurs impressions à propos du commissaire David.

Soudain, Virginie déclare tout à trac :

— Je vous ai promis de vous dire toute la vérité. Alors voilà.

Elle ferme les yeux, comme pour se concentrer sur ce qu’elle va dire puis les rouvre et apprend à ses deux voisines :

— Quand je vous ai vues arriver en compagnie de Michelle, j’ai ressenti en moi la même chose que celle que j’avais ressentie en voyant Hélène.

Amandine et Laura, un instant stupéfaites, s’écartent un peu d’elles et l’interrogent du regard.

Virginie continue :

— Oui, j’étais persuadée qu’on ne pouvait pas avoir deux fois le fameux « coup de foudre », mais c’est pourtant ce que j’ai éprouvé en vous accueillant. Si je ne m’étais pas retenue, j’aurais jeté Michelle dehors et pourtant je l’adore, je vous aurais sauté dessus et j’aurais commencé à vous faire l’amour. J’avais l’impression qu’Hélène me disait, de sa voix musicale que je n’oublierai jamais : « Vas-y, je te les envoie pour me remplacer. Aime-les comme tu m’as aimée et comme moi je t’ai aimée ».

Les deux jeunes femmes se rapprochent de nouveau d’elle et lui prennent chacune une main, sans s’être concertées.

Amandine répond :

— Nous aussi, on t’aime, tu sais. Jusqu’à il y a peu, je croyais que l’amour entre femmes c’était un fantasme d’hommes. Mais depuis, il y a eu Laura et maintenant, toi.

Laura ajoute :

— C’est vrai, tu sais. J’aimerais

— Quoi donc ? interrogent en choeur Virginie et Amandine.

— J’aimerais vous faire l’amour à toutes les deux et que vous me le fassiez jusqu’à ce qu’on n’en puisse plus de s’aimer.

Dès lors commence une débauche sexuelle comme la chambre de Virginie n’avait jamais été témoin.

Les trois jeunes tribades se transforment en bacchantes furieuses, ivres de luxure. Elles se lèchent mutuellement, se tètent, se caressent, aucune parcelle de chacun des trois corps n’est ignorée par les deux autres. Leurs mains, leurs bouches, leurs langues, leurs seins, leurs pieds, leurs sexes, leurs fesses, leurs cuisses, toutes les parties du corps de chacune sont utilisées pour caresser la chair des deux autres.

Elles expérimentent des positions qu’elles ignoraient, parce qu’elles ne savaient rien de l’amour à trois femmes.

Virginie apprend le fisting à ses deux amantes : elle montre d’abord à Amandine comment elle doit introduire petit à petit sa main dans le sexe de Laura, puis en fait autant avec Laura qui s’enfonce dans le sexe d’Amandine.

Finalement, elle se met entre elles. Elle enfonce à chacune une de ses mains dans le sexe, tandis que celle qu’elle pénètre se martyrise le clitoris.

Elle sont toutes les trois pratiquement épuisées lorsque Virginie déclare :

— Vous vous aimez, je vous aime aussi. Je voudrais que vous vous mariez dans moi. Mettez vos deux mains dans mon sexe comme vous l’avez fait tout à l’heure et croisez vos doigts dans moi. Je suis sûre que vous allez réussir et, pour moi, ce sera la manière la plus douce de vous unir, beaucoup plus qu’en allant devant le maire.

Bien que sur le point de s’endormir, Amandine et Laura consentent à la supplique de Virginie. Une fois qu’elles se sont disposées comme elle l’a demandé, elle les déclare unies dans la vie comme elles le sont dans son sexe. Les deux jeunes femmes s’embrassent religieusement.

Finalement, rompues par leurs émotions, elles s’endorment aussitôt, nues sur le grand lit.

Le lendemain, elles se réveillent en s’étonnant de se retrouver là. Puis la mémoire leur revient vite et elles s’embrassent longuement.

Virginie suggère :

— Ça vous dérangerait, mes chéries, si on restait toutes nues ? Hélène et moi passions nos journées dans cette tenue, si j’ose dire, sauf évidemment lorsque nous avions nos élèves.

Amandine et Laura répondent ensemble :

— Pas du tout, au contraire.

Laura ajoute :

— Et puis ça doit être plus pratique

en laissant planer de nombreux sous-entendus qui font sourire ses complices.

Virginie reprend :

— Nous allons chercher vos affaires et les mettre ici, après quoi on ira se doucher et nous mangerons, parce que moi j’ai drôlement faim, après notre séance de cette nuit !

Elle rient toutes les trois. Le déménagement est rapidement fait. Leur douche en commun, car la salle de douche de Virginie est très grande, est rapidement prise, bien que chacune savonne les deux autres en les caressant. Après leur toilette, elles filent à la cuisine manger un petit déjeuner reconstituant.

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