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Les aveux de Loulou – Chapitre 3

Les aveux de Loulou - Chapitre 3



(3ème partie du récit de Loulou)

Le jeudi :

Dès mon retour à la maison, je suis monté dans ma chambre pour me passer un peu deau de toilette sur le corps car je savais que je sentais encore ce parfum de femme découvert chez Ti-Jo et bien cacher mes nouveaux petits trésors.

Mon grand-père allait un peu mieux, mais il est quand même resté dans sa chambre.

Ma grand-mère et moi avons mangé rapidement puis je me suis éclipsé car javais des devoirs à faire pour le lendemain. Un thème danglais, des exercices de maths, un devoir de physique à réviser et jen avais au moins pour deux bonnes heures.

En montant lescalier, je me suis demandé comment jallais pouvoir me concentrer compte tenu de ce qui venait de se passer et surtout, je ressentais en moi une espèce de poids, comme de la honte.

Javais honte de ce que javais fait. Javais honte aussi parce que jétais devenu un homo, une sorte de fille, un désaxé, un inverti comme on disait à lépoque et je nemploie là que les qualificatifs corrects parce que les autres me sont insupportables.

Une fois à ma table, devant mes livres et cahiers, je suis passé à autre chose et tout mon travail sest fait très facilement.

Mon sentiment de honte sétait dissipé et, même, je me sentais bien, comme si javais été dopé. Jétais content de mon travail et lorsque jai refermé mes cahiers, je savais que jaurai de bonnes notes.

Jai préparé mon sac pour le lendemain et, ensuite, jai pu profiter du reste de la soirée pour découvrir, sans plus aucun sentiment de honte, mes nouveaux petits trésors.

Dans le sac que mavait remis Ti-Jo, il y avait une revue porno anglaise sur les travestis ou « TRANYS » et leurs pratiques sexuelles, un ensemble de nuit blanc en tissu soyeux, avec une sorte de nuisette, un petit soutien-gorge et un petit short très sexy, une paire de bas à jarretières et une jolie paire de chaussures de femmes ; des chaussures blanches à talons aiguilles.

Au fond du sac, jai même eu la surprise de découvrir une petite trousse de maquillage, un tube de rouge à lèvres et un billet de 10 000, comme on disait à lépoque, soit plus que mon argent de poche du mois.

Jétais aux anges. Je vivais un rêve. Immédiatement, je me suis travesti et maquillé pour bien profiter de ces cadeaux.

Après, allongé sur mes draps, je me suis longuement caressé le corps par-dessus et par-dessous ces accessoires soyeux et je me suis masturbé en parcourant le livre porno et ses photos couleurs de travestis suçant des queues ou se faisant enculer, comme on dit, par toutes sortes de queues et un tas dobjets.

A voir leurs regards, ils semblaient y prendre beaucoup de plaisir.

Ces photos mont tellement excité que jai joui deux fois avant de mendormir. Je me suis même réveillé pendant la nuit à cause dun rêve érotique ravageur et jai dû me faire jouir encore une fois avant de pouvoir replonger dans le sommeil.

Le lendemain soir, jen ai fait de même, de manière plus longue et plus élaborée encore et le jeudi, lorsque je suis rentré du bahut, ma grand-mère na pas eu à me relancer longtemps pour que jaille faire le ménage chez Ti-Jo.

Dès que jai toqué à son carreau, il ma dit dentrer et daller dans la chambre du haut pour profiter de la surprise du jour.

Jétais déjà très excité à lidée de ce que jallais découvrir et de ce qui allait se passer et sans mot dire, jai avalé lescalier.

Sur le lit, il y avait, ce jour-là, une belle robe noire fendue, des bas noir et un ensemble soutien gorge, culotte et porte jarretelle assortis. Cétait beau et incroyablement sexy.

Je me suis juste demandé comment il faisait pour acheter tout ça, puis je me suis préparé le plus rapidement possible avec le cur qui battait très fort.

Je me suis maquillé, parfumé et jai mis les boucles doreilles et le collier fantaisie pour parfaire ma mise et me faire belle.

Je me suis contemplé dans le miroir puis, satisfait du résultat, jai descendu les escaliers pour aller me faire admirer et désirer par Ti-Jo.

Je voulais vraiment ça, bien que je sache parfaitement comment cela allait se passer ce soir là et, surtout, ce quil allait certainement me proposer de faire.

La lecture du livre porno mavait ouvert les yeux. Je savais très bien où il voulait en venir. Ti-Jo allait vouloir faire de moi sa femme en me pénétrant par le cul avec son sexe.

Bien sûr, javais peur davoir un peu mal car je navais jamais fait ça, mais je métais lavé avec soin et la veille au soir, javais essayé de voir ce que cela pouvait faire avec un objet de forme et taille comparable à un sexe en érection.

Je crois me rappeler que cétait une espèce de fiole en verre épais et cétait passé sans trop de problème, malgré une petite douleur initiale, grâce à peu de vaseline.

Jai débouché dans la pièce du bas en tanguant un peu à cause de mes talons.

Ti-Jo était dans son fauteuil et il ma regardé venir vers lui avec des yeux brillants de désir.

« Quest que tes belle, ma Loute ! Tes super jolie ! La robe te va bien, dis donc ! Putain, jai trop envie. Je pense plus quà ça maintenant ! Ca me rend dingue ! Tourne toi que jen profite bien de ta jolie robe ! Après ma Loute chérie on va sen payer une tranche tous les deux. Tu veux bien, hein ? Dis le à Ti-Jo que ten as envie toi aussi! »

Il était rouge et sa voix tremblait de désir.

Je me suis tournée pour quil voit le décolleté dorsal et mon petit cul bien serré par cette robe et, pour la première fois, jai osé dire à voix haute, dune voix rendue un peu rauque à cause de lémotion: « Oui, jen ai envie, comme vous, monsieur Jo ! »

Très vite, il ma demandé de retirer ma robe et de le rejoindre sur le lit pour une longue séance de baisers et de fellation puis, comme je my attendais, il est passé aux choses sérieuses et je lai laissé faire. Jen avais trop envie malgré la différence dâge et son physique pas terrible, cest clair.

Il a placé un gros coussin sous mes reins et ma fait écarter et relever mes jambes le plus possible.

Après, il a pris un tube de vaseline, en a mis une bonne quantité sur son doigt, men a enduit lanus, en a enfoncé en moi, de plus en plus profondément, ce qui ma fait gémir puis il a enfilé une capote, la enduit de vaseline et a présenté son sexe sur mon trou du cul offert.

Jai fermé les yeux. Javais un peu peur ; pas honte du tout, car javais vraiment envie quil me fasse ça, mais peur. Il a essayé de me rassurer pour parvenir à ses fins plus facilement.

« Bouge pas, laisse moi faire, jai le coup, et te contracte pas, surtout ! » Il appuyé en guidant sa queue avec sa main. Jai fermé les yeux.

Il a insisté un peu et jai senti que le gland allait bientôt entrer. Jai essayé de ne pas bouger et de me décontracter et sa queue, millimètres par millimètres, est entrée dans mon cul.

Cela me faisait un peu mal bien sûr, mais cétait surtout très bon comme sensation.

Il est entré en moi presquà fond puis sest mis à me baiser, lentement, puis de plus en plus fort. Il était à demi à genoux sur le lit et ahanait à chaque coup de rein.

Moi, je trouvais ça très très bon et je gémissais à chaque fois que le sexe entrait en moi. Mes mains sont venues se poser sur ses reins pour accompagner le mouvement.

Je me laissais faire. Jaimais ça, je lavoue, et je savais déjà que nous allions le refaire souvent et que je pourrai plus me passer de ça.

Je ressentais un drôle de plaisir, un plaisir nouveau, inconnu. Une sensation étrange. Cette pénétration nallait pas me faire jouir, bien sûr, mais je me sentais comme une femme et cela me comblait.

Jétais devenue une vraie femme et je me répétais cela en boucle pendant quil menculait en ahanant de plus en plus fort.

Il a fini par jouir en gémissant et sest retiré tout doucement. Il a bien fait de faire comme cela car jai trouvé ça étrangement un peu plus douloureux que la pénétration.

Il sest allongé à côté de moi et a retiré sa capote pleine de sperme. Il la jeté par terre et il est venu me sucer pour me faire jouir.

Pendant quil me suçait, jai fermé les yeux de plaisir et jai senti quil me pénétrait le cul de deux doigts. Cétait incroyablement bon, ce truc-là et lorsque jai joui, jai senti mon cul se serrer sur ses doigts au rythme de mes spasmes de jouissance.

Jamais je navais joui aussi fort. Jétais vraiment saoulé de plaisir.

Sa bouche a gardé ma queue et du bout de la langue, il léchait doucement le gland et avalait soigneusement les dernières gouttes de sperme. Bien évidemment, je lai laissé faire tellement cétait bon.

Il a fini par relever la tête.

« Ca ta plu hein, ma Louloute ? Tu voudras quon remette le couvert ? Moi, jai toujours envie de ça maintenant ! »

Jai ouvert les yeux avant de répondre dune voix plus décidée: « Oui, monsieur Jo, jai aimé ça et comme vous jai envie de recommencer. Vous voulez quon refasse ça maintenant ? »

Il a rigolé en disant : « Non, je suis crevé. Jai pas ton âge moi. Dis, tu peux revenir quand ? »

Jai réfléchi. « Pas demain, mais samedi après-midi si vous voulez. Par contre, il faut que jaille mentrainer à 18 h, alors je viendrai vers 15h si ça vous arrange. Je dirai à ma grand-mère que vous avez besoin de moi pour le ménage et faire des courses. Ca vous va ? »

Il a attiré ma tête pour que je lembrasse et sa bouche avait lodeur et le goût de mon sperme. Je me suis quand même laissé faire. Cétait différent de mes masturbations, plus charnel. Il y avait le contact de son corps, sa peau, les poils, les odeurs, le goût de sa queue et maintenant, celui du sperme ou du foutre comme il disait.

« Oui, on fait comme ça. Tu aimes mes surprises, ma Louloute ? » Il riait.

Jai rougi comme une fille. Il a ri de plus belle.

« Oui, jaime bien. »

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