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Les camoinneurs – Chapitre 1

Les camoinneurs - Chapitre 1



Les camionneurs

Christian, je vous ai déjà parlé de lui, c’est un ami de mes parents, un Français pas loin de la soixantaine qui vit à Vancouver, et qui rachète des sociétés en faillite, la dernière fois que je l’ai vu, il m’avait sollicitée pour l’accompagner une soirée pour une affaire de rachats à des Turcs qui étaient sur Paris provisoirement, et nous étions allés à Louveciennes dans une boîte après le restaurant, ceux qui ont lu mon récit savent comment cela s’est terminé, (brèves et anecdotes).

Bref, nous étions toujours plus ou moins en relations par mail, toujours à l’insu de mes parents, surtout compte tenu de nos propos, et de nouveau, il doit rencontrer des personnes en France pour une nouvelle affaire qui avait l’air de beaucoup l’intéresser, des asiatiques qui sont pendant quelques jours à Paris pour des emplettes , acceptent de le rencontrer pendant cette période uniquement, ensuite ce serait peut-être trop tard, il n’est pas le seul sur cette affaire.

Ma dernière expérience avait été très spéciale..j’étais assez excitée en y repensant, mais d’un autre côté il n’avait pu maîtriser la situation ce soir là et un autocar m’est passée dessus, et l’expression n’est pas abusive, mais cette fois-ci il n’a pas besoin de moi, se sont des Chinoises.

Mais, profitant de son passage, il m’invite au Restaurant, et l’on s’arrêtera peut-être dans un coin du Bois de Boulogne en revenant me dit-il en riant.. il passe à 20 heures me prendre près de chez moi, place Vitor Hugo.

Il a loué pour son court séjour, une grosse Mercédès , j’ai mis la même robe qu’à notre dernière rencontre, très légère en mousseline genre robe de cocktail, très évasée et ample, la taille non marquée.

Assez courte, bien au dessus des genoux, assise dans ce large siège de cuir, elle est remontée à mi-cuisses car je l’ai relevé un peu derrière moi pour ne pas la froisser et mes fesses en contact direct sur ce cuir frais, m’émoustille un peu.

Je lui demande quel est le restaurant où nous allons, et pour cela je tourne mon regard vers lui et constate qu’il regarde plutôt mes cuisses que mes yeux, et, sans gêne, il passe sa main droite entre elles et relève ma robe devant jusqu’à la taille…je lui dit de regarder la route, un peu inquiète, mais un feu rouge lui sauve la mise, et lui permet de constater l’absence de culotte au dessus de mes bas auto fixants…il reste figé…et ne reprend ses esprits qu’avec le concert de klaxons pour qu’il démarre, le feu est passé au vert, " tu as prévu notre retour par le bois?superbe…" ..

Alors que nous roulons dans Paris, mon attention est attirée par un camion à côté de moi, deux types, genre Roumains, la cinquantaine, sont en train de regarder mes cuisses, complètement excités tout en roulant, je tire ma robe vers mes genoux mais Christian me retient et bien au contraire il la relève à la taille dévoilant, de nouveau, ma petite chatte totalement épilée..

"Pense à ces pauvres gars encore au boulot à cette heure, ça vaut bien la vue d’une jolie petite chatte, et puis ça ne te coûte rien..tiens ta robe devant ton visage, tu te sentira moins gênée.."

Quelle idée..mais sur l’instant je m’étonne encore d’être excitée..décidément mes fesses commandent ma tête, alors je tiens la robe à hauteur des yeux, je veux bien me masquer, mais je veux voir quand même, mais je sens l’air frais qui arrive sur mon ventre, Christian a ouvert ma fenêtre pour qu’ils voient mieux, l’air s’engouffre entre mes cuisses que j’entrouvre un peu plus, quelle sensation..être regardée ainsi..mais la voiture ralentit, devant ça bouche…le camion est toujours là, près de ma portière..bloqués nous nous arrêtons..

Christian rouspète. il ne peut se dégager..le chauffeur du camion en profite pour descendre rapidement et par la fenêtre ouverte sa main plonge entre mes cuisses, je descends vite ma robe tout en criant à Christian de remonter la glace…mais le second Roumain retire mes mains tandis-que le chauffeur plaque les siennes entre mes cuisses, sur ma chatte nue, il commence de suite à y insérer un doigts, puis une autre main commence à me caresser le ventre..je faiblis…, j’entends Christian qui leur dit, " allez-y doucement les gars, je vous laisse faire le temps de repartir, mais après foutez-nous la paix, c’est une gamine, tout doux, tout doux…".. vaincue, je me laisse aller en arrière sur mon siège, je remonte le pan de ma robe pour me cacher le visage derrière, en écartant les cuisses…ma robe ainsi remontée j’ai le ventre à l’air et leur permet de ce fait d’atteindre mes seins…qu’ils sortent sous le soutien gorge…un instant je pense aux gens dans les voitures derrière qui doivent se demander ce qu’il se passe…mais vraiment un instant parce que une main est en train de me branler…je mouille terriblement, lui permettant de rentrer deux doigts puis trois..je m’écarte démesurément, un genoux touche la portière, l’autre la console centrale..vaincue..soumise, l’autre se contente des seins qu’il malaxe maladroitement, brutalement…tout a été très vite et j’entends les voitures qui démarrent, les Roumains râlent, mais sont bien obligés de me laisser, Christian commence à repartir, puis ferme ma vitre, se dégage sur sa gauche pour lâcher le camion et y réussit, accélère et se faufile dans la circulation, sauvée…quoique j’aurai bien aimé encore un peu…ces grosses mains rugueuses qui me tripotaient…

Malgré tout je surveille le camion dans le rétroviseur extérieur, il n’est pas très loin, mais moins facile à se faufiler, Christian réussit à mettre un peu de distance entre-nous, puis prend une autre rue adjacente sans vraiment savoir où elle mène, juste pour les semer, mais le camion a dû forcer le passage aussi et il est pas loin de nous…puis,une autre rue, et une autre, mais, l’on rentre dans une impasse..il va jusqu’au fond et éteins ses feux, ils nous ont vu avant l’extinction, il arrivent derrière nous à nous coller au pare-chocs, nous bloque, impossible de repartir on ne peut faire demi tour, c’est trop étroit.

Cette impasse est sombre, autour de nous ce ne sont que des voitures garées, des petites fenêtres opaques de salle de bains sûrement, quelques cartons où je vois des Sdf…

L’’un des camionneurs arrive à ma fenêtre avec une barre de fer et fait mine de vouloir casser ma vitre, mais Christian voyant que c’est peine perdu, débloque les portières.., il m’attrape, me sort de la voiture et me fait monter à l’arrière de son camion, me couche sur des vieilles couvertures qui traînent par terre, en deux secondes il m’a passée la robe par la tête avec le soutien gorge et je me retrouve nue juste avec mes bas auto fixants, il me contemple et sort un gros sexe déjà bandé qui me laisse songeuse……

Laissant grandes ouvertes les portes du camion, il se plaque contre moi et recommence à me doigter…de plus en plus vite, de plus en plus profondément…je voudrais ne pas mouiller, mais c’est physique, j’ai du plaisir, je ne peux rien faire que m’écarter, me donner à qui veut, je suis comme ça, je n’y peux rien…il enfile deux doigts, puis trois…mes cuisses nerveuses, tremblantes se tendent de plaisir…ma main s’est glissée jusqu’à sa grosse verge mouillée, et poussant plus loin comme je peux, lui attrape les couilles…il comprend mon envie, lui aussi n’en peux plus, il se couche sur moi et me pénètre sans mal..il sent mauvais, son haleine parcours mon coup, mais son sexe est gros…la salope que je suis ondule sous ses aller retour….je m’offre…me tends….ouverte…plus…plus…ahhh je suis secouée, au sol la couverture bouge avec moi….il me défonce sans ménagement, l’on n’entend plus que le,claquement de ses couilles sur mes fesses, ce clapotis caractéristique, mes soupirs masqués par ses grognements…mais, il termine, s’affale sur moi et se vide ainsi entre mes cuisses…

Je ne peux et ne veut pas me relever, j’attends…j’ai encore envie..le second est là, il attendait son tour…il me retourne, se colle contre mes fesses en me disant qu’il veut pas ramasser le sperme de son ami…il est très dur et se présente contre mon anus…ohh..là ce n’est pas lubrifié, je lui dis mais il s’en fiche et commence à forcer l’entrée, ses mains ont pris possession de mes seins….il grogne de plaisir et continue doucement à m’envahir le derrière….j’aime, j’ai mal mais j’ai toujours aimé la sodomie, je bouge en fonction de ses poussées pour atténuer la difficulté et la douleur, mais c’est bon, me faire remplir de ce côté là….il s’en rend compte et me parle en Roumains….sûrement des insultes, et me sentant onduler sous lui, il ne me ménage plus et m’enfonce à fond, m’arrachant des cris de douleurs et de plaisir mélangés…L’homme maintenant me secoue à grands coups, n’arrêtant pas de crier, de m’engueuler je pense, je suis une salope, il me traite comme ça, et il n’a pas tort…

Il me malmène dans le camion sur la couverture et les chiffons gras à la force de ses coups de reins entre mes fesses, mais je vois du coin de l’il, les sdf de tout à l’heure qui sont au bout du camion à regarder toute la scène depuis le début je pense…je me laisse faire, je brûle de l’intérieur, mais c’est bon….je mouille encore….salope que je suis..ses soubresauts me font prévoir l’ondée qui va m’envahir…ça y est…il me couvre totalement continuant à me remplir de sa semence…il s’arrête..reste sur moi…en moi…

Enfin le deuxième camionneur se relève, je reste au sol à récupérer, à souffler, mais il amène une longue et grosse caisse en bois au milieu du camion, met une grosse couverture sale dessus , m’aide à me relever et me fait mettre à plat ventre dessus, mon corps repose sur la caisse de mon visage à mon pubis, mes jambes pendent et mes genoux sont au sol, offrant ainsi au choix mes fesses ou ma chatte en levrette…je suis pas très consciente de ce qu’il veut, pensant qu’il va me prendre une nouvelle fois…mais non..il dit aux sdf d’en profiter, et que ça ne traine pas, qu’il doit repartir..je n’en reviens pas…je vais pour me lever mais il m’applique sa main sur les reins pour m’en empêcher…

Un premier monte dans le camion, les autres s’enhardissent, puis un second, un troisième, et encore, mais combien sont-ils??., certains devaient être en retrait, je n’ai pu les voir..je renonce à compter, je suis complètement entourée, je ferme les yeux…je sens une première queue qui envahie ma chatte, le plaisir revient, le premier camionneur avait été un peu rapide, je bouge mon derrière pour diriger les frottements de cette queue où je préfère…mais ils vont vite, excités par la vue du spectacle d’une gamine qui se fait baiser de tous côtés par des vieux roumains, par terre sur de vieux chiffons graisseux.. un deuxième est déjà en moi, le troisième prends mes fesses, mon anus lubrifié du sperme du deuxième camionneur l’accueille avec plaisir, je lui tends mes fesses, au fur et à mesure de ses coups je vais à la rencontre de sa queue, il n’en revient pas, je donne des coups de reins en arrière pour recevoir au maximum son sexe…c’est moi qui rythme la cadence en allant m’empaler sur leurs queues… parce que très excités d’enculer cette gamine blonde, ils veulent tous maintenant me prendre de ce côté…d’autres du quartier prévenus sans doute arrivent, d’autres déjà passés dans ma chatte veulent aussi mes fesses maintenant, c’est le délire, j’adore leurs mains qui me parcourent, me pénètrent, les seins pétris par plusieurs à la fois, ils,veulent tout et tous me toucher, les fesses, la chatte tripotée par celui qui m’encule…ohhh oui…puis s’enhardissant, un impatient passe de l’autre côté de la caisse côté visage qui est à ras bord, et me force à prendre sa verge dans la bouche..c’est Christian, las de me photographier ou filmer avec son téléphone, excité..il vient se soulager dans ma bouche le salaud…je m’applique pour lui, une main lui tient sa grosse verge à l’entrée de ma bouche, l’autre lui malaxe les couilles…ma langue joue avec son gland….le pompant…il ne tient pas longtemps et se lâche totalement dans ma gorge…je m’étouffe….il sort.

Mais du coup, c’est la fin de toute gêne, Christian a donné inconsciemment le départ à d’autres qui n’osaient pas se faire faire une fellation, ils veulent aussi prendre ma bouche.

Je ne cesse de m’étouffer et de cracher…mes mains libres essaient d’accélérer leur jouissance pour éviter de les avoir longtemps dans la bouche, limitant en même temps la longueur de pénétration dedans, une main tient la queue la branlant dans ma bouche, l’autre passe de leurs couilles à leur anus, la bouche pompant, la langue jouant avec leur gland, tout cela provoque une jouissance rapide, les soubresauts me permettant de prévenir l’éjaculation pour la sortir et la finir à la main….

Mais tous ces salauds prennent ça plutôt pour un réel plaisir, une envie frénétique de queues dans la bouche et entre les fesses…ils reviennent, passent devant et derrière, les camionneurs reviennent se faire pomper aussi..quelques uns repassent par ma chatte m’arrachant des hurlements de plaisir…je crie…..j’en veux encore….à un moment je ne maîtrise plus rien, j’ai des verges dans les fesses ou la chatte qui se succèdent ou qui reviennent…

Mes mains ne peuvent plus stopper l’envahissement de ma bouche, ils me tiennent le visage, me soulèvent un peu le torse de côté pour me tripoter les seins… ma bouche essaie de suivre, de limiter l’entrée des verges mais mes mains sont tenues, ils jouissent dedans, je crache comme je peux, mais le plaisir des queues investissants mes fesses, ma chatte, m’empêche de résister à quoique ce soit… une autre entre….et une autre…trois trous sont à leur disposition… certains sentent fort, ils sont sales pour la plupart…

Les yeux mis clos, je vois les camionneurs qui me filment, ainsi que Christian, sur toutes les coutures, ont-ils tout pris?…ça se termine, un dernier plus résistant que les autres me fait crier de plaisir… puis tout s’arrête..

Les camionneurs me sortent nue de leur camion, me ramènent à la voiture de Christian, je m’affale sur le siège en plaquant ma robe sur moi, pas le courage de l’enfiler, mon sac est ouvert, le Roumain me dit qu’il a pris mes cartes de visites, et qu’il me contactera très bientôt pour un client ou deux à faire un soir, quand il le voudra, il est certain que je ne lui refuserai pas un service de temps à autres compte tenu des belles photos et vidéos qu’il a de moi, très explicites de mes talents..

Il me prend pour sa pute, il ne doute de rien, mais je suis fatiguée, je ne réponds pas et je demande à Christian de me ramener sans passer par le bois…

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