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Les choix de Julie – Chapitre 1

Les choix de Julie - Chapitre 1



Quand on est étudiant, ce nest jamais facile de trouver un logement et encore moins sur Paris. Et pourtant Julie y était parvenue. Devant intégrer une prestigieuse école privée pour ses études, cest par un heureux hasard quelle était parvenue à prendre contact avec un couple de sexagénaires bourgeois qui avait un studio à louer juste au-dessus de leur appartement. La femme était dune très grande classe. Toujours très apprêtée avec son visage à la Catherine Deneuve, elle restait très distinguée en toute circonstance, habillée quelle était de vêtements de luxe et de bijoux. Lhomme quant à lui était plus que bedonnant un homme gras mais toujours élégant avec ses costumes sur mesure et ses chemises repassées. Son visage était austère et dur au premier abord. Avec son allure générale, associée à sa bouille rondouillarde, sa calvitie bien avancée et une moustache poivre et sel limite blanche assez épaisse, il ressemblait à Richard Riehle (je vous laisse allez regarder sur internet), cet acteur américain habitué aux seconds rôles en tout genre. Il savait aussi être très charmant quand on savait sy prendre avec lui. Julie se souvenait encore de sa première entrevue avec lui accompagnée de son père. Au départ pas commode, il est tout de suite devenu plus joviale et souriant voyant quelle avait tout ce quil fallait pour assurer le loyer grâce à sa bourse détudiante.

La première année sétait très bien déroulée. Julie était studieuse et il nétait pas rare que madame linvite à manger lors de certaines soirée. Avec eux, par moment, elle avait limpression dêtre comme la fille quils navaient jamais eue. Ils ont appris à faire connaissance et Julie a de suite vu quils étaient très catho (surtout elle en fait). Elle nosa pas leur dire ce quelle pensait de la religion de peur de les froisser. Elle préféra leur dire quelle nétait pas pratiquante et que sa famille nétait pas très portée là-dessus non plus. En passant plus de temps avec eux, elle apprit quils vivaient de leurs rentes, que monsieur était un homme daffaire, actionnaire dans de multiples entreprises cotées en bourse, mais quils étaient aussi très actifs (surtout madame principalement) dans une association de défense des valeurs morales chrétiennes.

Tout se déroula parfaitement bien. Malgré son allure froide et austère, son logeur restait toujours poli et courtois du moment quil percevait le loyer. Il était arrivé à Julie de le lui verser un peu en retard mais, vie détudiante oblige, il acceptait quelle ait dautres priorités tant quelle restait à jour.

Julie voulait devenir esthéticienne. Pour lobtention de son diplôme, elle devait faire un stage dans un institut mais ça ne sest pas passé comme elle laurait voulu. Elle est tombée chez un patron dans un salon franchisée dun grand groupe qui a voulu profiter delle et de sa position en lui promettant monts et merveilles. Elle lui a gentiment répondu daller se faire voir mais monsieur avait de linfluence et sest alors juré de lui pourrir la vie. En effet une fois diplômée et grâce à cette mauvaise histoire, à chaque fois quelle postulait à un boulot, le recruteur appelait son maître de stage, étant sa seule expérience professionnelle. Il nhésitait pas alors à lui casser du sucre sur le dos. En attendant de trouver, elle travaillait comme équipière dans un fast-food mais avec le loyer et ses frais, elle sen sortait à peine et ses maigres économies fondaient à vue dil.

Désormais dépourvu de sa bourse détude, elle se retrouvait à découvert de plus en plus tôt chaque mois. Sa situation était telle quun jour elle choisit sciemment doublier le loyer. Tout dabord en décalant le paiement de quelques jours chaque mois, elle espérait que son logeur ny voit que du feu. Malheureusement, elle en était arrivée au point de devoir choisir entre le loyer et pouvoir manger. Elle ne voulait pas voler ce couple qui avait été si gentil avec elle mais elle avait peur de lui et de sa réaction sil prenait connaissance de sa situation réelle. Elle savait quavec Irène, sa femme ça se passerait correctement étant donné quelle ne soccupe pas des affaires dargents de son mari par contre lui, Jacques-Henri Laferrière, quand il est contrarié, vaut mieux pas le chercher. Ce quelle espérait cétait faire durer cette situation le temps de trouver un boulot qui paye mieux.

Malheureusement un jour, elle la croisé dans lescalier alors quelle essayait de monter discrètement chez elle.

— Bonjour, monsieur !

— Bonjour Julie vous allez bien ?

— Oui merci.

— On vous voit de moins en moins ces temps-ci.

— Je sais jai été très prise.

— Ah au fait jy pense. Sauf erreur de ma part je nai pas perçu vos loyers du mois de septembre et doctobre. Il faudrait voir à me régulariser ça au plus vite. Sil vous plait.

— Vraiment ? Ça métonne. Je vais voir avec ma banque.

— Merci. Ce serait dommage den venir à une procédure dexpulsion pour défaut de paiement.

Les mots étaient lâchés : procédure dexpulsion pour défaut de paiement. Julie avait peur. Cétait le mois de novembre et la trêve hivernale allait commencer. Elle comptait sur cette période pour essayer de se refaire. Tous les jours, elle tentait au maximum déviter son propriétaire. Elle se calfeutrait chez elle le soir toute lumière éteinte pour faire croire à son absence quand son propriétaire tambourinait à sa porte. Au moment des fêtes, à cheval sur le mois de décembre et de janvier, elle savait que ses propriétaires partaient en suisse dans leur chalet des Alpes. Quand elle est repartie chez ses parents pour les fêtes, sachant quils ne roulaient pas sur lor, elle faisait semblant que tout allait bien chez elle. Elle ne voulait rien leur dire, sachant quils avaient eux aussi déjà leur problèmes.

Tous les jours, Julie essayait de se trouver un autre boulot, même à mi-temps en plus de celui quelle avait mais avec la crise, ce nétait pas facile. Les semaines puis les mois passaient et pas lombre dun job, même sous payé. Elle désespérait car elle cumulait maintenant plusieurs mois dimpayé et que la fin de la trêve hivernale pointait le bout de son nez.

Un soir où elle revenait dun entretien dembauche qui sétait mal passé, elle rentra chez elle sans faire attention. Cet entretien cétait presque sa dernière chance. Elle entra chez elle en traînant les pieds sans se rendre compte quelle avait attiré lattention. Elle retira sa veste de tailleur et sétait assise sur son canapé en soupirant et se demandant ce quelle allait faire quand elle entendit frapper à la porte.

— Ouvrez . Julie ouvrez je sais que vous êtes là . Je vous ai vu monter, ouvrez la porte ou je vais chercher mon passe.

Entre chacune de ses tirades, son propriétaire tambourinait à la porte comme un malade. Il était visiblement furieux. Elle était parvenue à lesquiver jusquà présent mais là, cétait trop tard. Il semblait motivé à entrer de gré ou de force. Se voyant coincée, elle prit alors une grande inspiration et se dirigea vers la porte pour lui ouvrir.

— Ce nest pas trop tôt. On dirait que vous me fuyez.

— Non pas du tout.

— Vous permettez que jentre CHEZ MOI ?

Le ton de sa voix était sec et méprisant. Il faut dire quil nen était pas à sa première tentative de contact et que Julie le fuyait comme la peste, repoussant ainsi ce moment quelle redoutait. Il déposa son par-dessus sur le porte manteau déboutonna la veste de son costume pour être plus à laise et planta son gros cul dans le canapé devant une Julie toute penaude, sasseyant sur une chaise à coté

— Bien entendu vous savez pourquoi je suis là ? dit-il dun ton sec

— Jen ai une petite idée mais dites toujours.

— Je suis là pour mes loyers. Mes loyers que vous ne payez plus. Alors je vous le demande tout net et je veux une réponse franche. Avez-vous lintention de les payer ?

— ..

— Pardon je nentends rien.

— . Jaimerais bien sincèrement

— Il sest passé quoi là ? Vous ne bossez plus ? Vous êtes fauchée ?

— Si, je bosse mais je ne gagne pas assez.

Julie sest alors assise sur le canapé et raconta à cet homme ce quelle avait vécu : son stage désastreux, les menaces de celui qui avait voulu abuser delle, les galères financières, les entretiens dembauche à répétition qui ne donnaient rien, . Quand elle eut fini elle attendit sa réaction.

— Bon Cest malheureux pour vous mais ça ne change rien à la situation. Vous me devez toujours plusieurs mois de loyer en retard.

— Je sais mais je suis prête à faire ce quil faut pour me racheter. Je ne veux pas partir et me retrouver sous les ponts où que sais-je encore.

— Ah oui ? Et comment vous feriez ? Vous mavez dit vous-même que vous naviez plus rien à part votre deux-tiers temps dans un fast-food. Jen suis navré mais si vous nous aviez tout dit dès le départ, vous auriez pu repartir avec vos affaires. Là non seulement vous allez vous faire expulser mais vous allez tout perdre et en plus. Je vais devoir me payer sur la vente de vos meubles et là jen ressors aussi perdant que vous.

— Je suis désolé . Je suis même prête à faire des heures de ménage chez vous si vous voulez. Mais ne me mettez pas à la rue . Sil vous plait.

— .. je suis un bon chrétien. Je ne suis pas là pour vous foutre dans la merde non plus. Ceci dit je suis aussi un homme daffaire et votre dette me fait mal où je pense. Pour les heures de ménage, ce nest pas possible car vous savez que nous avons déjà une bonne Si vous avez une autre proposition je suis prêt à lentendre. Je suis ouvert à tout.

Julie était presque rassurée de lentendre prononcer ses paroles mais fut de suite inquiète de sentir la main de son propriétaire sur son genou et commençant à remonter le long de sa cuisse.

— Et vous voulez quoi pour remplacer les loyers ? demanda telle-même si la main sur sa cuisse semblait indiquer la réponse.

— Ça je ne sais pas. Cest toi qui vois ma belle. Tu as quelque chose à me proposer ? répondit-il avec hypocrisie.

— Je ne sais pas. Vous me prenez au dépourvu.

— Fais-moi une proposition et jétudierai la question.

Cet homme commençait à la tutoyer pour affirmer son ascendant sur elle. Elle devinait ce quil pouvait lui demander mais ne voulait pas aller trop loin non plus.

— Je ne sais pas. Vous pourriez peut-être venir me voir de temps en temps et je pourrais me montrer « gentille » avec vous.

— Cest intéressant. Tout dépend de ce que tu appelles « gentillesse ».

— En fait jai un peu peur de vos exigences en la matière.

— Tu sais, ça peut se faire en douceur. Même si jai de nombreux appétits, je saurais ne pas me montrer trop gourmand. On pourrait commencer par quelque chose de simple. Et puis après ça pourrait évoluer progressivement .. lui dit-il en lui caressant la joue de sa grosse main.

— Quand vous dites « quelques chose de simple » vous voulez dire quoi ?

— Je ne sais pas moi . Je ne veux pas vous forcer la main. Je vous laisse linitiative de la proposition.

— Que diriez-vous . Dune gâterie par semaine ? Proposa-t-elle en espérant quil sen contenterait.

— Ça me convient . Pour un début au moins. Je sens que cela peut devenir le début dune fructueuse collaboration.

Cette proposition, elle nen avait aucune envie. Ce ton mielleux, teinté dhypocrisie associé au tutoiement était là pour dire « cest moi le patron. Tu sais ce que je veux mais je veux tentendre le dire à haute voix ». Malheureusement, elle navait aucune autre solution. Elle lui proposa alors quelque chose qui pourrait le contenter sans que ce ne soit trop exigeant.

— Si on se met daccord, ça se déroulerait comment ?

— Je viens te voir, on décide dun jour en particulier, on fait ce quon a à faire et je repars. Envisagerais-tu de conclure un accord de ce genre ? Parce que moi jy suis tout à fait disposé. Demanda-t-il un sourire se dessinant sur son visage.

— De toute façon je nai guerre dautres solutions .. On commence quand ?

— Tout de suite <Ziiip >. Dit-il en commençant à déboutonner son pantalon et en ouvrant sa braguette.

Julie, sous le coup de la surprise, était là, à coté de cet homme dont elle voyait le caleçon.

— Visiblement tu as changé davis ? Très bien, cest dommage mais dans ce cas .

— Non, non, je vais le faire.

Elle laida à sortir son bazar et se retrouva devant une verge de bonne taille mais flasque. Elle commença à la prendre en bouche quand elle fut interrompue.

— Cest quoi ça ?

— Bah la fellation que vous vouliez.

— Pour moi ça nen est pas une. Tu ne fais quemboucher le bout et bouger tes doigts sur toute la longueur. Une pipe cest : la bouche qui monte et qui descend sur toute la longueur, les mains ne servant quà se stabiliser. Ce que tu me fais là jappelle ça un simulacre. Alors corriges moi ça et vite.

— Tout de suite monsieur.

Julie obtempéra et fit coulisser ses lèvres sur toute la longueur de cette verge qui semblait avoir du mal à durcir.

— Bien, continu comme ça, voilà . Utilise ta langue autour du gland comme ça .Nhésite pas à la lécher sur toute la longueur . Oui cest bien . Reprends-la en bouche et recommence.

Julie nosait pas contredire cet homme dans la situation où elle se trouvait. Elle continua à obéir à ses ordres jusquau moment où elle le senti se déverser dans sa bouche.

— Bien. Cétait pas mal. Maintenant tu avales.

— .

— Jai dit tu avales, tout de suite. Ce serait dommage de risquer de tâcher mes vêtements. Ensuite tu ouvriras la bouche pour me montrer quil ny a plus rien. Tu naimerais pas que ma femme apprenne ce que lon fait et quelle te cause des ennuis nest-ce pas ?

— < Glurp> .

— Cest bien, tes une fille intelligente. Tu sais donner à un homme ce dont il a besoin afin dobtenir ce que tu veux . Dis-moi tas un homme dans ta vie ?

— Euh non.

— Ok alors nen cherche pas, De toute façon je doute quun homme apprécie de savoir comment tu paies ton loyer. Par contre pas un mot à ma femme ce serait dommage.

— Bien monsieur.

— Ah ma jolie petite colombe, je suis ravi que nous ayons trouvé un accord. Tu vas voir, je suis certains que ce sera le début dune fabuleuse aventure sexuelle entre nous. Bon bah moi je vais me rentrer . Ah si une dernière chose, quand je viens te voir si tu pouvais être habillée sexy et paraître plus souriante ça serait bien. Tu dois surement avoir une petite jupe au raz de la dignité, un petit haut sexy ou encore un bikini ?

— Je vais voir ça. Merci monsieur pour ne pas me mettre dehors et davoir accepté un compromis.

— De rien.

« Merci monsieur pour ne pas me mettre dehors » : non mais à quoi je pensais quand jai dit ça ? pensait-elle avec le recul. Elle resta de longues minutes, assise sur son canapé à réaliser quelle allait devoir offrir ses faveurs à ce gros pachyderme pour ne pas finir SDF. Il allait très vite lui falloir trouver un boulot pour pouvoir payer son loyer normalement et se sortir de cette situation.

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