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Les chroniques de Sophie – Chapitre 1

Les chroniques de Sophie - Chapitre 1



Caroline le lui a dit il y a quelques temps déjà. Elle y participe depuis environ six mois maintenant. Ce sont des soirées orgies où tout le monde couche ensemble. Elle lui a expliqué qu’on pouvait regarder sans y participer. Elle l’a donc invitée, et Sophie a dit oui par curiosité, histoire de voir une fois dans sa vie ce genre de chose.

A peine arrivées, Sophie voit qu’elle n’avait en effet pas menti : il y a un couple nu dans l’entrée. Lui, debout, se fait sucer par une petite brune, nue, à genoux devant lui. Elle n’en revient pas.

Une femme s’approche, totalement nue.

— Caroline! On t’attendait! Ah, c’est l’amie dont tu nous avais parlé, vraiment charmante! Je suis Élise, la maîtresse de maison. C’est juste un mot pompeux pour dire que vous êtes chez moi, dit elle en lui tenant la main.

— Sophie, présente-t-elle.

— Je comprends que c’est ta première fois ici. Ne t’inquiète pas, si tu veux pas participer t’es pas obligée. Si tu veux participer – elle fait un pas en arrière et la déshabille du regard de la tête aux pieds en levant un sourcil au ciel – et bien si tu veux participer je crois qu’il y aura une file d’attente, et j’en ferai partie, lance-t-elle dans un clin d’il.

— Dis donc tu nous ramènes pas la plus moche, lance-t-elle ensuite à Caroline.

Sophie fait dans les 1m65, 26 ans. De longs cheveux noirs et raides, des yeux tout aussi sombres et des sourcils généreux de jais. Le tout contraste avec sa peau pâle. Elle est fine, avec une petite poitrine. Elle a commencé à faire beaucoup de sport il y a quelques années et son corps l’en remercie. Elle n’a encore que très peu conscience de sa beauté hors du commun: jusqu’à ses vingt ans elle a été une fille très commune, cachée derrière de grosses lunettes, des habits larges, et une timidité maladive. Ce n’est que vers ses vingt ans et avec l’aide de sa sur qu’elle a changé physiquement: une coupe de cheveux, des lunettes à la poubelle, et des habits qui ne ressemblaient plus à des sacs à patates. Ce fut une transformation à la Cendrillon, sauf qu’elle avait pu garder l’ensemble passé minuit.

Élise s’adresse à nouveau à Sophie:

— La règle en quelque sorte, ou du moins la pratique, c’est que le moment ou tu te retrouves nue, c’est que tu es ouverte à toutes relations. Bon évidemment tu peux refuser ce que tu veux.

A peine fini, elle s’approche de Caroline et se met à l’embrasser franchement, leurs langues s’emmêlent. Ses habits tombent maintenant rapidement.

Sophie reste bouche bée. Quelle entrée en matière

Un homme s’approche de Sophie et lui souhaite lui aussi la bienvenue. Elle n’entend pas ses premiers mots car elle se parle à elle même dans sa tête Mais il est à poil aussi

— tu es nouvelle ici, je t’ai jamais vu! Viens avec moi, tu va pas rester dans l’entrée, et je crois qu’il faut laisser ces deux là. Moi c’est Thomas au fait."

Il l’emmène dans le salon. La notion d’orgie prend alors tout son sens: partout des hommes et des femmes nues. Certains en pleine discussion, mais beaucoup en train d’avoir des relations sexuelles.

Il lui sert un verre d’alcool et l’invite à s’asseoir. A coté sur le canapé, une fille chevauche un mec qui lui lui agrippe les seins fermement.

Thomas lui explique à nouveau les quelques règles de la soirée.

Au fur et à mesure de la discussion elle remarque son sexe grossir, jusqu’à être érigé à son maximum. Un sexe magnifique, veiné, puissant. Il a sans doute remarqué son regard vers son sexe.

— Je suis désolé, dit il, tu es vraiment une très jolie fille et t’imaginer au milieu de tout le monde sans tes habits me file une de ses érections!

— Ah euh… merci. répond Sophie, jugeant intérieurement de la stupidité de sa réponse.

— Le moment où tu te décides à franchir le pas ce soir, tu m’appelles hein! J’adorerais être le premier!

— Euh… oui oui. Sophie répond presque automatiquement, groggy par tout ça.

— Super!

Elle reprend légèrement ses esprits:

— Euh… enfin tu sais je ferai rien hein. J’accompagne une copine c’est tout.

— Bah c’est con, faut te lâcher. Tu vas voir, avec tout ce qui se passe autour, on a vite fait d’être excité de toute façon. Dis toi que c’est juste du sexe. Ce qui se passe dans ta vie privée et ici sont deux différentes choses. Le moment où tu as franchi le seuil de la porte tu es quelqu’un d’autre, et vice versa. En plus tu prendras ton pied. Y’a pas deux mois de ça on a eu une fille qui venait juste visiter, comme toi elle restait discrète et ne voulait pas participer. Un cul incroyable ! Au final je lui ai offert la meilleure sodomie de sa vie, ici même où tu es assise, devant tout le monde. Avant la fin de la soirée pas une seule bite n’avait pas visité ses fesses.

Pas sûr que cela me donne envie, se dit Sophie.

A côté le couple a changé de position, il la prend maintenant en levrette sur le canapé.

— Tu vois ici, il n’y a pas de tabou. Tu as des tabous toi? Demande Thomas.

— Euh… non… oui… enfin euh non non.

— C’est bien ça! Quand t’es dans ces soirées, faut être ouverte d’esprit. Et puis si t’es pas assez ouverte on va s’en occuper! Ahah! Désolé c’est une blague nulle… Enfin bon, ici tu vas pouvoir réaliser tous tes fantasmes. On va tester voir si tu as des tabous tiens. On va commencer facile: tu as déjà été avec un homme?

— Baaah oui

— OK c’est bien, on sait jamais hein! Et avec deux hommes!?

— Ça non, non

— Tu verras, tu auras l’opportunité ici. Bon j’imagine que tu as déjà sucé un mec?

— Euh oui oui

— Tu le fais jusqu’au bout?

— Comment ça?

— Tu le laisses venir dans ta bouche? Et tu avales le sperme?

— Euh… enfin…

— Pas de tabou rappelle toi! Et puis je te garanti que pouvoir parler sans retenue aucune à quelqu’un de sexe, c’est un énorme soulagement. Alors?

— Bah euh c’est arrivé quoi. Pas systématiquement non plus.

— Tu pratiques le face-fucking aussi?

— Hein de quoi?

— Face-fucking. Tu connais pas?

— Pas du tout non.

— Comment t’expliquer… C’est quand tu suces le mec mais que c’est lui qui dirige, et disons que c’est plus lui qui te baise par la bouche.

— Ah. Euh non jamais fait ça non. Ment-elle

— Bah voila, on a déjà deux choses que tu vas pouvoir découvrir ici!

— Euh oui. Enfin tu sais j’accompagne moi c’est tout, je fais rien.

— Et sinon, tu as déjà pratiqué la sodomie?

— Euh bah… oui. Ça non plus pas systématiquement.

— Ah bah voilà, tout n’est pas perdu! Bon je dois te le dire, ça me fait plaisir ça, car tu as un cul ma-gni-fique! Je l’ai remarqué dès que tu es arrivée!

— Ah? euh… merci

— Désolé, j’adore poser cette question: c’était ou ta première sodomie? Dans quelle circonstance?

— En camping, répond Sophie un léger sourire aux lèvres.

— Ah! Ça, ça a l’air d’une histoire intéressante! Tes cheveux raides si noirs sont magnifiques, ça te vient d’où ? Décidément il ne s’arrête pas. Mais elle préfère ça.

— Ma mère est d’origine asiatique.

— Aah métisse asiatique, superbe ! Et sinon, désolé de l’expression mais t’es super bien gaulé ! Tu fais du sport ?

— Essentiellement du triathlon oui.

Caroline revient vers eux. Enfin. Par contre elle est entièrement nue.

— Il t’embête pas trop hein!?

— Non non ça va, rétorque Sophie.

— Tu la bombardes de questions toi je suis sûre! Lance-t-elle à Thomas d’un air accusateur.

— Je la met à l’aise, nuance! Et puis j’ai presque fini.

Il tourne la tête vers Sophie à nouveau.

— Et as tu déjà eu une relation avec une fille?

— Non mais tu arrêtes toi! S’exclame Caroline en lui tapant l’épaule

— Oui, répond Sophie.

Caroline tourne la tête vers elle, de grand yeux ouverts, un sourire aux lèvres.

— Ah ouais? Je savais pas ça !

Thomas rigole de la réaction de Caroline.

— Et c’était ou? Enfin comment?

— En camping.

— Alors là il va vraiment falloir que j’en sache plus sur tes vacances! Et surtout où se trouve ce camping! Tu nous avais caché que tu avais une copine aussi jolie! Pourquoi tu as attendu si longtemps pour la faire venir? Demande t-il à Caroline.

— En effet je vois qu’elle te plais: tu bandes comme un taureau!

— Oui bah d’ailleurs en attendant qu’elle se décide tu vas pouvoir soulager la gaule qu’elle me file. Viens ici!"

Il se lève, attrape Caroline par le poignet et la fait s’accroupir devant lui.

— Je vais te montrer le face-fucking, dit-il en regardant Sophie.

D’une main il prend son sexe pendant que de l’autre il agrippe Caroline par la tête.

Il plonge alors sa bite dans sa bouche. Les deux mains derrière sa tête, il prend immédiatement contrôle et fait des va-et-vient, de plus en plus profonds et de plus en plus vite.

Sophie comprend maintenant ce qu’il disait: il lui baise littéralement sa bouche, s’en servant pour se branler la bite.

Elle n’en revient pas de voir son amie ainsi, à genoux à ses pieds, soumise, cette bite magnifique, si grosse et puissante, lui ramonant la bouche.

De temps en temps il ressort son sexe dégoulinant de salive, pour le replonger aussi vite au fond de sa gorge. Il continue ainsi pendant de longues minutes.

Enfin, il sort sa verge, attrape Caroline par les cheveux et la fait regarder vers le haut, se branlant au dessus de son visage de son autre main.

D’un coup son sperme sort, éclaboussant son visage. Il continue de se branler, son jus continuant de se déverser sur le visage de son amie. Enfin les dernières gouttes tombent. Son visage est couvert de sperme.

Il l’agrippe par le bras et l’aide à se relever

— On va aller nettoyer tout ça.

Ils s’en vont.

Sophie, seule, déglutit . Pourquoi quelque chose d’aussi extrême l’attire autant? Pendant un instant elle avait voulu être celle à ses pieds recevant son sperme sur le visage.

Elle reste assise sur le canapé, encore groggy par ce qu’il vient de se passer. Elle avale son verre d’un coup. Ce doit être le quatrième ou cinquième déjà.

A côté le couple a été rejoint par un autre homme.

Toujours en train de se faire prendre en levrette, le nouveau compagnon est lui en train de se faire sucer.

Un autre couple a pris possession de l’autre côté du canapé, elle, allongée sur le dos, les jambes relevées jusqu’au visage est en train de se faire lécher le cul.

— Qu’est ce que je fiche ici ?, se demande t-elle intérieurement.

Sophie remarque quelqu’un sortir d’une petite pièce un peu plus loin, les toilettes.

Elle s’y précipite. Sur le chemin elle se rend compte qu’elle est sans doute la seule encore habillée.

Une fois la porte verrouillée elle soulève sa robe et découvre avec horreur le résultat de voir tout ce sexe partout autour d’elle: sa culotte, normalement blanche, est maintenant transparente au niveau de son sexe, trempée de mouille.

Sophie la descend légèrement et se rend compte que sa chatte est en feux. Jamais elle ne s’est vue aussi mouillée. Elle l’effleure à peine et se retrouve les doigts dégoulinants. Elle ne sait pas trop quoi faire. Elle remonte sa culotte et sort des toilettes.

La soirée bat toujours son plein, ce qui n’aide pas sa situation.

Elle attrape un autre verre qu’elle avale d’une traite.

Sophie remarque alors sur le mur un écran géant où est projeté une scène de film porno. Le plan change, et elle est à deux doigts de s’étrangler en y voyant un gros plan d’elle même. Elle tourne la tête autour et comprends enfin: un homme pointe sa caméra sur elle. Il ne s’agit pas d’un film mais d’un flux en direct de la soirée.

Elle s’assied un peu à l’écart.

Sophie s’était trompée sur un point: à l’autre bout de la pièce quelqu’un d’autre a gardé ses habits aussi. Un grand gars, il semble mal à l’aise. Elle est scotchée sur lui. Elle le trouve beau. Vraiment beau. Non c’est pas ça. Charmant! Voilà c’est ça, un charme émane de lui. La jeune fille ne peut juste pas expliquer quoi.

Peu de temps après Thomas la rejoint.

— Toujours habillée !?

— Toujours

— Tu me dis quand tu te décides hein, m’oublie pas.

— Non mais j’attends mon amie et puis je pars tu sais.

Il lui sourit et pointe alors son doigt vers un autre coin de la pièce. Sophie la remarque alors, prise en sandwich entre deux hommes, un sexe dans dans son vagin et un autre dans ses fesses.

Elle n’est pas prête de partir

— Elle prend son pied tu sais. Tu devrais vraiment te laisser aller. Rien ne sort de ces soirées de toute façon.

C’est vrai qu’elle semble vraiment aimer ça. Deux mecs en même temps… Et sa chatte est toujours en feu, encore plus qu’avant. D’une certaine façon elle l’envie.

— Tu vois au pire t’es même pas obligée de le faire devant tout le monde. On va dans une pièce tranquille et tu choisis ce qu’on fait. On baise, ou juste tu me suces, ou c’est moi qui te lèche, comme tu veux.

— OK

— Hein?

— OK je veux bien. Mais à part.

— Pas de problème, c’est toi qui décide.

— Un cunnilingus et c’est tout.

— Ça me va.

Il se lève, l’attrape par la main, et l’emmène à l’écart.

Sophie n’arrive pas a croire ce qu’elle vient de dire. Elle ne peut pas faire ça, c’est pas possible, elle doit arrêter. Mais son sexe la contrôle. Son ventre la meurtrie de stress.

Ils rentrent dans une chambre, Thomas ferme la porte derrière eux, ainsi que le verrou.

L’idée de ce qu’ils vont faire plait à Thomas : sa bite est en érection. Elle est énorme, les doigts de Sophie ne pourraient sans doute pas en faire le tour.

Il s’approche, descend la fermeture de sa robe, qui tombe à ses pieds. En sous vêtement devant lui, il lui caresse doucement la peau, les épaules, son ventre. Sophie ferme les yeux et le laisse faire. Elle tremble de trac.

— Tu es vraiment superbe. Tout le sport que tu fais t’as sculpté un corps de rêve.

Il attrape sa culotte et la lui descend.

Il doit voir l’état de son sous vêtement mais à la décence de ne rien dire.

La voilà à moitié nue devant lui, avec juste son soutien-gorge, sa chatte trempée découverte. Elle a un duvet poilu, aussi noir que ses cheveux .

Il continue de lui caresser la peau, s’attardant sur ses fesses.

Il lui fait signe de s’allonger, ce qu’elle exécute.

Allongée sur le dos, il lui agrippe ses genoux et écarte ses jambes. Elle sent son sexe s’ouvrir, complètement découverte devant lui. Il regarde, profite de la vue, elle préfère poser son regard autre part, ne pas voir.

— Même ta chatte est superbe.

Elle sent ses doigts se poser sur son sexe, le caressant doucement. Il l’entrouvre légèrement.

Lentement il rentre un de ses doigts. C’est d’un tel soulagement pour elle. Son menton se leve de plaisir, elle aggripe le draps fermement.

De son autre main elle le sent écarter ses lèvres, puis, froide au début, sa langue vient se déposer sur son clitoris.

Il la lèche ainsi, entre le clitoris et son doigt faisant des va-et-vient.

Il rentre un deuxième doigt, son état est tel qu’il rentre tout seul. Sa tête va en arrière, sa poitrine se gonfle, elle se cambre. A peine le deuxième rentre, elle sent le plaisir exploser dans son sexe, remontant dans son bas ventre jusqu’à sa tête. Toute cette excitation accumulée depuis ces deux dernières heures se libère enfin en un orgasme comme elle avait rarement eu. Elle s’entend crier, se cambre sous le plaisir. En moins de deux minutes elle vient de jouir devant cet inconnu.

Il relève la tête, ses doigts toujours en elle, sans doute étonné par son orgasme si rapide. Mais elle en veut plus encore. Sophie arrive juste à prononcer un mot: " Encore. "

Il replonge sa tête.

Cette fois il y va plus franchement, lui bouffant la chatte alors qu’il la ramone de ses doigts. Elle entend le bruit que sa mouille fait. Elle est trempée comme jamais. Elle sent des gouttes couler de son sexe le long de ses fesses.

Il lui met un troisième doigt, lui aussi rentre sans la moindre résistance.

Il relève la tête et se met à la doigter plus fort qu’avant.

Elle est à moitié nue, les jambes grandes ouvertes avec cet homme qui lui doigte sauvagement la chatte. Elle n’en revient pas. Il ralentit le rythme, puis doucement sort ses doigts.

— Fais moi voir un peu ton beau cul. Dit-il.

Il prend ses jambes et les relève, amenant ses genoux au niveau de son visage. Sophie sent son anus se dévoiler, s’étirer par la position. Sa petite rondelle a des teintes brun sombre.

— Oh punaise tu as un de ces culs… magnifique, toute ouverte comme ça… Tu t’es faite enculer souvent?

— Pas trop non.

— Pourtant tu as un cul qui est fait pour la sodomie. L’auréole est bien large, il peut s’étirer en grand. Tu es capable de prendre de vraiment grosses bites. J’ai vraiment envie de voir ton beau cul de salope après te l’être fait défoncer, bien ouvert, béant.

Pendant qu’il dit ça il lui caresse l’anus avec un doigt.

— Tu mouilles vraiment comme un cochonne, ça dégouline de ta chatte, ton cul en est trempé.

En même temps il commence à glisser un doigt dans son anus.

Il est en effet lubrifié par la mouille, son doigt rentre en elle tout seul. Ses mots et son doigt l’excitent terriblement. A sa propre surprise elle le laisse faire.

Son doigt est maintenant rentré entièrement et il commence son va-et-vient.

— Un doigt c’est pas assez pour toi, tu peux prendre plus.

Il dépose deux doigts à l’entrée. Cette fois ce n’est pas aussi facile.

— Relaxe, relaxe.

Elle laisse ses muscles se relâcher, et sent en même temps les deux doigts entrer en elle.

— Voilà…. Magnifique. Tu vois ça rentre tout seul.

Il continue de pousser en elle, jusqu’à ce qu’il soit au maximum, ses doigts au fond de son anus.

Il commence son va-et-vient, allant de plus en plus vite.

Puis, de son autre main, sans prévenir, il lui remet trois doigts dans sa chatte. Sophie ne peux retenir un cri. Ses trois doigts en elle, il caresse son clitoris de son pouce en même temps. Pendant ce temps il continue de doigter son anus. Il n’a plus aucune retenue, ses deux doigts lui ravageant le cul.

Elle s’entend pourtant en train de crier de plaisir. Au milieu de tout ça un deuxième orgasme vient, lui donnant des spasmes dans tout son corps depuis ses fesses. Il retire ses doigts trempés. Sophie est à moitié KO et s’effondre sur le côté.

Lui pourtant n’a pas fini.

Il écarte une fesse d’une main, elle sent alors son gland de poser contre son anus.

— Non non non. Oppose Sophie

Elle n’a plus l’énergie pour ça.

— Hein ? Mais tu es toute prête, ton cul est dilaté. Regarde…

Aussitôt il remet dans son anus et ressort ses deux doigts, qui il est vrai, s’engouffrent en elle sans aucune résistance.

— Tu vois ?

— Non non, pas maintenant."

Elle ne sait pas vraiment pourquoi elle refuse, l’envie de sentir son sexe en elle est pourtant immense.

— Tu peux pas me laisser comme ça ?", proteste t-il.

Il lui montre sa bite, bandante comme un taureau. Il est vrai qu’il n’est toujours pas venu.

— Si tu veux je… Je te suce.

— J’aurais préféré ton cul, mais OK."

Sophie trouve l’énergie de se tourner pour attraper son sexe.

Il est bouillant entre ses doigts, elle sent des palpitations. Comme elle le pensait, elle n’arrive même pas à le prendre entièrement dans sa main: ses doigts ne peuvent en faire le tour.

Cette tige la rend folle d’envie, sa forme, sa puissance, son odeur, elle la veut en elle, même dans son cul s’il demandait encore.

Elle s’approche encore plus et pose ses lèvres dessus. Son odeur l’envahie.

Sophie commence alors à le rentrer dans sa bouche. Elle suce cette bite énorme. Elle n’arrive pourtant pas à mettre grand chose en elle, mais elle s’efforce de faire au mieux, elle sent qu’il aime ça. Pourtant il se retire.

— Tu n’aimes pas ? Interroge t-elle.

— Oh si si, j’adore. Mais faut que tu découvres de nouvelles choses aussi. Viens ici. Mets toi à genoux par terre.

Sans trop savoir pourquoi elle obéit, sans doute hypnotisée par son sexe.

— T’es du genre à aimer être traitée comme une pute toi, alors viens un peu que je me branle dans ta bouche.

Sa bite dans une main, il lui attrape la tête de l’autre. Aussitôt il rentre son sexe dans sa bouche et pousse.

Sophie essaie de le faire sortir mais il retire ses mains et au contraire attrape sa tête plus fermement et pousse sa bite énorme au fond de sa gorge.

Elle étouffe.

Il ressort alors. Juste le temps de lui laisser prendre sa respiration puis replonge aussitôt, encore une fois au fond de sa gorge.

Il refait ça plusieurs fois.

Puis, toujours en lui tenant la tête, il commence son va-et-vient, poussant à chaque fois au fond.

Il lui baise la bouche. Sauvagement.

Pourtant Sophie ne comprend pas l’excitation palpitant en elle.

Il continue ainsi pendant de longues minutes, se branlant dans sa bouche. Elle entend les bruits de fluides alors qu’il lui baise le visage violemment. La brutalité de l’acte est inouïe, jamais elle n’a vécu quelque chose comme ça. Pourtant elle adore. Elle a envie de sa bite, qu’il fasse d’elle ce que bon lui semble. Qu’il aime ses fesses tant que cela l’excite, elle le veut dans son cul. D’une main elle se caresse en même temps sa rondelle.

Enfin, il ressort et l’attrape par les cheveux, la faisant regarder vers le haut. Il se branle à 5 cm de son visage.

Sophie l’a déjà vu faire auparavant, elle sait ce qui va arriver. Et elle l’attend impatiemment, elle veut sentir son foutre chaud se répandre sur elle.

Elle sent sa prise sur elle se resserrer d’avantage, ça arrive.

Et soudain un énorme jet de sperme explose de son sexe, éclaboussant son visage. Son jus continue de sortir, elle en a partout, son front, ses joues, ses lèvres… Il engouffre sa bite dans sa bouche et continue de se déverser. Son sperme est salé.

Enfin elle sent les derniers spasmes le parcourir alors que le flot diminue. Il ressort, son sexe encore en érection.

— Lèche ma bite, nettoie tout le sperme.

Elle attrape son sexe et lèche le sperme.

La chatte et le cul encore dilatés de ses doigts, le visage couvert de son foutre, elle est à genoux devant lui, lui nettoyant le sperme avec sa langue.

— Attends y’a de quoi se nettoyer ici, tout a été prévu, lui dit-il quelques instants après.

Il lui tend des lingettes et commence à la nettoyer.

— Je sais que j’y ai été un peu fort, surtout pour une première fois, mais au fur et à mesure j’ai l’impression que tu aimais ça comme ça. Ça a été? Tu as aimé que je te traite comme ça?

Elle n’oserait jamais lui dire la vérité. Qu’elle a adoré se retrouver soumise ainsi, qu’il la traite comme sa pute, qu’il la force à avaler sa bite, qu’il la couvre de son sperme. Qu’elle n’avait qu’une envie c’est qu’il la prenne par le cul comme il l’a prise par la bouche

— Oui oui ça a été, est sa seule réponse.

— Bon par contre tu peux pas remettre ça."

Il lui montre sa culotte, trempée de mouille. Ultime humiliation.

— Y a des habits de rechange ici, c’est la chambre d’Élise, je vais te trouver quelque chose à la place.

— Euh, OK.

Il fouille dans un tiroir, puis lui tend sa trouvaille.

— Voila! Tu sera superbe là dedans!"

Il s’agit du plus petit string qu’elle n’ait jamais vu: noir, le devant est à moitié transparent, alors que le reste n’est littéralement qu’une toute petite ficelle.

— Non mais c’est minuscule.

— Après tout ce qu’on vient de faire, tu t’inquiètes pour un string? Ahah! Aller, tu vas être splendide.

— OK, mais de toute façon je remet ma robe par dessus hein.

— C’est tellement dommage… tout le monde devrait te voir. Alors 50/50: tu remets ta robe, mais tu as juste le string dessous, tu enlèves ton sous-tif.

— Oh punaise… OK OK … donne moi ça."

Elle l’enfile, sentant la ficelle rentrer dans sa raie des fesses.

— Tu es magnifique.

Elle enlève son soutien-gorge, se rendant compte qu’il voit ses seins pour la première fois. Petit, en poire, avec des aréoles sombres. La même couleur que son anus se dit-il intérieurement.

Enfin, elle enfile sa robe. Elle se sent complètement nue dessous, ce qui en soit est assez proche de la réalité.

Elle le suit alors qu’ils sortent de la chambre, pendant ce temps, la soirée semble avoir continué dans la même direction…

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