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Les dangers de la Fumette – Chapitre 1

Les dangers de la Fumette - Chapitre 1



Coucou !

Je me présente, je mappelle Sandrine et je vais vous raconter ce qui arrive quand on fume trop. Cette histoire se passe sur une petite route de campagne, en revenant de Belgique. Je reviens dune super soirée chez un ami qui, pour ses études, sest installé en Belgique, juste sur la frontière. Lors de cette soirée, comme à la plupart des soirées où je vais désormais, lalcool coule à flot et il nest pas rare quune partie de la population fume de très étranges cigarettes. Eh oui, moi et mes potes sommes des consommateurs réguliers de Cannabis. Bien sûr, jai déjà testé pas mal dautres trucs, de la coke au LSD, en passant par les champignons magiques Mais lherbe demeure mon péché mignon, malgré ses défauts. Ses défauts oui, parce que cest quand même ça qui est la cause de mon histoire!

Comme je le disais donc, je rentre chez moi, en voiture, alors que je suis droguée jusquaux yeux. Mon pote ma bien dit que, si je voulais, je pouvais dormir chez lui, que cétait pas sérieux de reprendre la route dans mon état. Jai rien voulu entendre. En fait, le truc, cest que ce soir il y avait un mec trop trop beau et que jai pas pu concrétiser. Pourtant, je me considère comme plutôt bien foutue: Mes seins, un beau 85 C, nont rien de massif mais sont, selon moi, à la taille idéale. Ni trop gros, ni trop petits. Dun autre côté, je ne suis pas un mec, alors je me trompe peut être Mais mon véritable atout, daprès mes amis, cest mes fesses. Il parait que jai un petit cul très mignon, à damner un saint. En outre, je suis plutôt jolie de visage et nai pas un poil de gras, nulle part. Tous ces footings crevant et ces séances daquagym doivent probablement aider. Non, décidément, jai un joli petit corps, très bien sculpté. Bon, je ne suis pas grande, mais je croyais que beaucoup de garçons préféraient les filles plus petites queux. Mais non, malgré mes appâts, ma proie nest pas tombée dans mes bras. Le beau garçon a préféré se noyer dans le décolleté de Sonia qui, avec son 95 F, a tendance à être un aimant à mec bourré. Et cest là que le cannabis intervient: Si javais été plus net, jaurais probablement été plus combative, mais javais la flemme. Aussi, trop dégoûtée, jai pas voulu rester et les voir se rouler des pelles toute la nuit.

Alors je suis là, sur la route, en pleine nuit, alors que je suis incapable de savoir exactement à quelle vitesse je roule. Ça ne rate pas, au bout de dix minute, je suis forcée de me rabattre à cause dun motard. Affolée, je jette le pétard que javais au bec par la vitre pour ce à quoi ça me sert: Avec mon look, petit débardeur décolleté, ma tignasse brune coiffée en longues et fines dreadlocks et mon baggy, je suis déjà hyper suspecte. En plus, ma voiture pue encore la fumée de cannabis, à cause du joint que jai été obligée dabandonner. Quand le flic arrive, à mon niveau, je suis si stressée que jen ai les mains crispées sur mon volant. Il toque à ma vitre, me demande de la baisser. Jobéis et le regarde enfin. Cest un grand black. Non pas un beau et musclé comme on en rêverait, mais plutôt un ventripotent qui doit bien aimer la bière. Il me dévore du regard, profitant de sa position surélevée pour me reluquer la poitrine.

— Dites, vous savez que vous rouliez à 20 km au dessus de la limitation?

— Heu je heu jai pas fais gaffe désolée.

— Sortez du véhicule, sil vous plaît, mettez vos mains sur le capot et écartez les jambes.

Mortifiée, je mexécute. Il a senti lodeur, cest sûr. En plus, mes yeux doivent être bien rouges comme il faut. Une fois que je suis en position, le type se place derrière moi et commence lentement à me palper les jambes. Je ne bouge pas, le laisse faire. Il prend bien son temps, je sens ses deux mains longer chacune de mes jambes, les tâtant méthodiquement en insistant sur les poches de mon baggy. Puis il me laisse là. Sans instructions, je nose pas bouger davantage. Il se penche dans ma voiture et fouille rapidement le véhicule, trouvant, forcément, mon pochon que jai laissé dans la boite à gants. Revenant vers moi, il le pose sur le capot.

— Excès de vitesse, possession de drogue et conduite sous linfluence du cannabis, ça va chercher loin

Moi, muette comme une tombe, je ne dis rien, trop gênée. Il repart vers sa moto et ouvre un top-case. Je crois quil va en sortir ses papiers, voire des menottes, mais non, je le vois revenir avec un gant en caoutchouc et un tube de lubrifiant. Prise de panique, jessaie de le dissuader:

— Non! Vous avez pas le droit! Je

— Jai le droit et le devoir deffectuer une fouille complète sur vous, madame.

— Arrêtez de déconner! Vous avez trouvé mon pochon jai rien sur

Il ne me laisse pas finir, appuyant sur mon dos dune main, mécrasant la poitrine contre le capot. La froideur du métal sur ma joue et mes bras me fait frissonner. Il ne plaisante pas et moi, trop effrayée, je nose plus rien dire. Qui aurait cru quun simple pochon dherbe me vaudrait tout ça? Dune main, il déboutonne mon pantalon, le faisant glisser à mes chevilles. Je ferme les yeux, essayant de me vider la tête. Mais je sais ce quil voit: Mon petit cul, séparé par une mince ficelle noire. Sans attendre, il attrape le bord de mon string et me le descend à mi-cuisses, dune main. Je suis rouge de honte. Je sens sa grosse main posée sur ma fesse gauche, me lécartant. Puis, après ce quil me semble être une éternité, il pointe son doigt ganté contre mon intimité. Lintrusion de ce gros doigt lubrifié me fait leffet dun électrochoc. La situation me trouble, plus que je ne le voudrais. Encore sous leffet du cannabis, mon sens tactile est en éveil. Il a mis du gel, mais je sens que mon intimité shumidifie très vite. Jai honte, jespère quil ne remarque rien mais, forcément, vu quil a le nez sur mon cul, il aura forcément vu. Il ne dit rien, continuant à inspecter mon vagin avec son doigt, à la recherche de quelque chose que jaurais pu y cacher. Le salaud nest pas gauche, en tout cas, parce que je sens vite une chaleur monter au creux de mes reins. Je me surprends à regretter quil sarrête, faisant de mon mieux pour ne pas gémir de frustration. Mais la fouille nest pas finie. Après quelques secondes dattente, durant lesquelles il doit probablement remettre du gel, je sens son doigt se poser contre ma petite rondelle. Je nai pas le temps de protester quil pousse, déjà, plantant doffice plusieurs phalanges dans mon rectum, avec une désagréable brûlure. Ce quil fait ensuite me parait plus douteux: Au lieu de fouiller, il fait doucement aller et venir son doigt. Passé la gêne première, je ressens peu à peu du plaisir ici aussi. Mais, alors que je croyais quil me branlait le cul, ses mouvements de va et vient sarrête. Il plante un deuxième doigt et ouvre mon trou en les écartant. Lauscultation reprend. Moi, lesprit encore embrumé par le cannabis, jai limpression quil me fait ça pendant une éternité. Jai de plus en plus de mal à retenir mes gémissements, narrivant pas à cacher mes soupirs fiévreux.

— Bon, tout est en ordre de ce côté. Redressez-vous.

Dans un état second, jobéis. Je ne sais plus ce que je veux, quil sarrête ou quil continue, quil aille plus loin. Jai repris ma position initiale, debout, jambes écartées, les mains sur le capot. Seulement là, je suis cul nu, le pantalon aux chevilles et le string à mi-cuisses. Ni lui ni moi ne mavons rhabillé. Le flic se colle à mon dos, alors et commence à me palper les seins un peu trop librement à mon goût. Il les empoigne, dabord, puis commence à les malaxer quelques secondes. Puis, au bout dun moment, ses doigts se plongent dans mon décolleté. Habilement, il libère ma poitrine et fait sauter mes seins des bonnets de mon soutient-gorge. Lair frais, venant caresser mes mamelons, me donne la chair de poule. Lui ne se démonte pas, fouillant mon soutif à la recherche dautres drogues qui, je le sais, ny sont pas. De nouveau, il abandonne ma poitrine, pour lancer un nouvel ordre:

— Ouvrez la bouche.

Cette fois encore, jobéis. Après être allée aussi loin sans protester, je ne vois pas quoi faire dautre. Pour bien faire, il faudrait que je sois face à lui, pour quil puisse bien regarder si je ne cache rien sous ma langue. Mais non, il reste dans mon dos, se contentant de glisser ses doigts entre mes lèvres. Je sens le goût du caoutchouc, le goût du gel et le goût de mon propre jus damour. Cest la goutte deau qui fait déborder le vase et qui finit par embraser mes sens. Je laisse échapper un gémissement, en sentant ses doigts habiles jouer avec ma langue. Aussitôt, je le réprime, rouge de honte. Mais je sais, je sens, que ça ne lui a pas échappé. En fait, rien de mon état na pu lui échapper: Je suis excitée comme une puce, je ne saurais pas lui résister.

Alors que je croyais mourir de honte, le black passe à la vitesse supérieure. Sans prévenir, il place sa queue contre mes lèvres intimes et pousse dun violent coup de reins. Je pousse un cri, étouffé par ces doigts qui sont encore dans ma bouche. Le salaud est super gros! Une copine mavait parlé une fois, des noirs et de leurs grosses bites, mais cette fois je lexpérimente en directe. Immobile, je sens cette longue queue massive à lintérieur de moi. Il bute contre ma matrice, occupant tout lespace. Sans rien dire, il commence doucement à aller et venir dans mon con détrempé, sans cesser de me taquiner la langue du bout des doigts. Et ces doigts, je commence à les sucer. Cest plus fort que moi. Au début, son rythme est lent, doux mais, rapidement, il augmente la cadence. Moi je le sens, il me frotte de lintérieur, menvoie des vagues de plaisir, qui remonte de ma petite chatte, pour venir exploser dans ma gorge, sous forme de petits gémissements. Il me fait du bien, lenfoiré, en venant me taper le col de lutérus avec son gros machin Cette chevauchée dure encore et encore et encore Je lentend râler, grogner, dans mon dos, tandis quune de ses mains se pose sur mes fesses. Je suis partagée, jai envie de le regarder mais, en même temps, je sais que ça romprait le charme. Il continue, augmentant toujours plus la cadence comme sil voulait mincruster dans sa bagnole. Le silence nocturne est entrecoupé par nos plaintes lascives, par les claquements de son ventre sur mes fesses. Je vais jouir je sens que je vais

Un truc me rentre dans le cul. Cest son pouce. Devenue folle, je me mets à gueuler. Mes parois intimes se contractent, le plaisir explose dans mon ventre. Il continue quelques secondes, cultivant ce bonheur, avant de se retirer. Mon vagin me fait leffet dêtre un trou béant. Je halète encore un peu. Puis je sens son gland monstrueux contre la porte de mes reins.

— Non ! Hnnnnnnah ! Ah ! Aaahnnn ! Hnnn hnnn

Le salaud ma enculé, directement. Ca fait mal, mais pas autant que ce que jaurais cru. Lui il sen fout complètement Il na pas attendu que je mhabitue et imprime directement un rythme soutenu, mempalant sur toute la longueur de sa queue. Petit à petit, un plaisir sajoute à la brûlure qui me monte du derrière. Il est gros, très gros. Il sort son vit, presque en entier, avant de le replanter, jusquà la garde. Moi, je perds la tête. Je gueule, je hurle. Il mattrape par les cheveux, me donne une claque sur la fesse, tout en continuant à me défoncer la rondelle.

Je narrive pas à y croire : Je repartais chez moi, tranquillement, un pétard à la main et me voilà enculée par un flic contre le capot de ma voiture. Il semble infatigable, me burine le cul comme un sauvage, me pilonnant comme si sa vie en dépendait. Comparé à moi, il est plutôt silencieux Moi cest : « Han ! Han ! Ah ! Han ! Hnnn ! Haaa ! Han ! » Il nen a cure. Sa queue coulisse dans mon rectum, ses couilles claquent contre ma chatte. Je ne suis plus une femme, je suis devenue une chienne, une bête, qui a envie de se faire démolir larrière train. Jamais je naurais cru ça possible, moi qui aime dhabitude les rapports plus doux et affectueux. Mais là, cette énorme bite qui me pourfend réveille en moi les instinct les plus primaires.

— Vas y ! Haa ! Hnnn ! Défonce moi aaah ah ah ! ah !

Il obéit. De toute façon, il aurait continué à me ramoner le cul quoi que je dise. Je nen peut plus, cest trop de plaisir. La brûlure est toujours là, mais cette douleur, la douleur de mes cheveux dont ils se sert pour me maintenir cambrée, décuple mon plaisir. Je finis par pousser mes fesses vers son bassin, accentuant la puissance des pénétrations. Il est gros si gros il me défonce si bien si fort Jai peur, un peu, que mon anus ne puisse plus se refermer, après ça, mais je ne veux pas quil sarrête, pour rien au monde. Le plaisir monte, ne sarrête pas de monter, grimpant dun cran à chaque fois quil enfonce sa queue entre mes reins. Je vais jouir je vais jouir par le cul Je vais Mais il se retire. Moi, jai complètement perdu les pédales, je hurle de dépit:

— Ah ! Non ! Remets la moi!

Il ne dit rien. Je me tortille, nosant pas me retourner. Puis, après quelques secondes de silence, il me dit dune voix autoritaire : « Écarte toi les fesses. » Jhésite. Ce répit ma remis un peu de plomb dans la cervelle. Je me rends compte de la situation Mais le plaisir est trop fort, je la veux, sa queue, toute entière dans mon derrière. Finalement, je pose mon torse sur le capot, frissonnant lorsque le métal froid entre en contact avec mes seins. Puis, prenant mes fesses à deux mains, je les écarte. Je dois attendre comme ça pendant seulement quelques secondes, mais elles me paraissent être une éternité. Puis, cest avec un soupire de bonheur que je le sens reprendre possession de mes entrailles. Une fois de nouveau planté entre mes fesses, il se met à me pilonner plus brutalement, plus rapidement quauparavant. Il va jouir, je le sais. Mais lattente a fait retomber mon plaisir Au bout dune minute, je sens sa bite gonfler dans mon joli popotin, puis il explose. Jaccueille ses giclées chaudes avec un râle de plaisir. Jai limpression quil me remplit, tant la quantité de sperme est importante. Mais, moi, je nai pas joui. Il se retire, finalement.

— Mets toi à genoux.

Après une seconde dhésitation, jobéis. Laissant mon pantalon par terre, je me retourne, pour me mettre à genoux. Sa queue mapparaît alors et sa taille mimpressionne. Je le sentais gros entre mes fesses, mais jamais je naurais cru que ma mignonne petite rondelle puisse accueillir un si gros machin ! Lui, parfaitement stoïque, me toise. Il a un caméscope à la main. Il a tout filmé. Je rougis de honte.

— Suce moi, maintenant.

Jhésite une seconde. Il continue à filmer. Mais je men fout ! Je veux jouir. Et, pour ça, il faut que sa queue soit bien raide, il faut quil me prenne comme il ma prise. Lentement, jempoigne son membre à moitié ramollis. Ma bouche, timide, sapproche de ses grosses baloches et je sors ma petite langue pour en attraper une. Je ne me reconnais plus Il va me filer une contravention, le salaud, mais moi je vais lui sucer tout ce quil a. Lentement, jenroule mes lèvres autour de sa couille noire, laspirant dans ma bouche. La soirée ne fait que commencer

(A suivre)

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