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Les débuts d'une grande aventure – Chapitre 2

Les débuts d'une grande aventure - Chapitre 2



Après l’entretien, je suis donc retourné à ma voiture. Au lieu de me demander si j’avais le poste, une seule question venait à mon esprit : est-ce que je lui ai plu ? En rentrant à mon appartement, ma petite tenue, partie au loin, afin que je me retrouve nu sur mon lit. J’ai essayé de me raisonner en me disant que j’avais agi comme une petite pétasse, mais plus je réfléchissais, et plus ma main descendait pour rejoindre ma queue fièrement dressée. Tout en fermant les yeux, je m’imaginais avec Pierre, dans un bureau, en train de lui faire toutes les gâteries possibles et inimaginables.

Après plusieurs minutes de masturbation, ma deuxième main vient titiller mon petit trou qui en demandait tout autant. Je rentrai alors un doigt, puis un deuxième. Que c’est bon de sentir son cul se dilater ! J’ai envie de lui, j’ai envie de défaire son bas afin de dévoiler sa belle bite. La saisir dans mes mains et appliquer de léger va-et-vient. Je verrai son visage se détendre et sa tête partir en arrière. Ma bouche rejoindrait son membre que je lécherai de petits coups de langue. Plus le temps passe et plus je prendrai sa queue en bouche afin de lui tailler la plus belle pipe de sa vie. Je lui laisserai me toucher mon cul de salope et lui proposerai de me prendre par ce petit trou. Je suis dans un état second dans mon lit…….Je finis alors par jouir, sur mon ventre, une quantité impressionnante de semence que je me suis empressé de mettre sur mes doigts afin de l’avaler. C’est ainsi que cette journée s’acheva.

Les jours qui suivirent l’entretien furent tout à fait normaux. Je me baladais toujours en string au boulot et un rien m’excitait au plus haut point. Cependant, toujours aucune nouvelle de Pierre; et je commençais à me demander si je n’avais pas joué un peu trop avec le feu. Après tout, je ne connais rien de lui, de ses penchants, de sa sexualité……. Je me suis souvenu alors que son numéro était toujours dans mon appartement et que je pouvais poser des questions. Que puis-je lui demander ? Comment va-t-il ? S’il a des nouvelles pour le poste ? S’il va y avoir un deuxième entretien ? S’il a aimé mon petit jeu…….Si un jour, voudrait-il que je m’occupe bien de sa queue ? Chacune de mes pensées finit par partir sur mes envies sexuelles…….

Le lendemain, je décidai de lui envoyer un message, car je m’inquiétais.

Bonjour, j’espère que vous allez bien. Je vous contacte pour savoir si vous avez des nouvelles pour le poste.

Bonjour, Marc, oui, excuse-moi, je suis un peu débordé en ce moment. Nous avons retenu ta candidature et tu vas pouvoir nous rejoindre dès la fin de ton stage. Voici les coordonnées du service RH pour ton contrat, je te laisse voir avec eux et dis bien que c’est moi, ton manager. J’ai très hâte de ta venue, tu m’as fait une super impression et nous allons bien nous amuser…A très vite !

Première réaction à la réception de ce message : Trop bien, j’ai enfin un emploi et finis les études. Deuxième réaction : Que veut-il dire par "bien amuser" ?

Les jours passent, et mon stage se finit de manière très joviale. J’ai très hâte de commencer mon nouveau travail. Le jour J finit alors par arriver. Pour l’occasion, bien que l’entreprise possède une politique vestimentaire quasiment inexistante, je décide tout de même de m’habiller comme pour mon entretien. Je me reluque alors une dernière fois dans la vitre et peux voir que, non seulement, mon cul est plus cambré que d’habitude, mais surtout que mes jambes sont de plus en plus fines grâce au sport. Je ne fais qu’entretenir cette partie depuis quelque temps.

Les premiers jours se passent bien, tout autant que mon intégration. Les collègues sont sympathiques, et je soupçonne même certains d’avoir remarqué mon string, quand il y en a un, sous mes pantalons. Pierre, quant à lui, reste très accessible et m’aide beaucoup durant ces premiers jours. Après deux semaines, nous décidons donc de faire le point pour voir comment je me sens et comment je vois la suite. Nous nous retrouvons alors dans son bureau.

Il est là, assis, avec son dernier bouton de chemise ouverte, ses jambes écartées sous son meuble et un regard très perçant. Je dois avouer que par rapport à la dernière fois, je ne mène pas large.

Alors, Marc, comment ça se passe pour l’instant ?

Très bien, les collègues sont très gentils et m’aident beaucoup sur les différents sujets. Je me sens bien en plus de travailler avec eux.

Parfait, j’ai eu également beaucoup de retours positifs suite à votre arrivée et j’en suis ravi. Cela prouve que je ne m’étais pas trompé.

Merci beaucoup, je fais le maximum et c’est un plaisir de venir le matin. Je commence doucement à me décontracter et l’ambiance devient moins pesante.

J’ai cependant une petite remarque à vous faire si vous le voulez bien.

Oui bien sûr, qu’y a-t-il ?

Certains des employés ont remarqué que vous ne portiez pas toujours de sous-vêtements, ou bien uniquement de strings. Est-ce vrai ?

Oui, c’est vrai, je me suis habitué, et je trouve cela plus agréable.

Ah oui ! Et en quel sens ?

Je racontai donc les effets que pouvait me provoquer la sensation d’un string sur ma verge et au sein de mon cul en évitant d’aller trop loin. Tout en parlant, nous échangions et il semblait très curieux. Je me surpris alors à regarder vers ses jambes, et pus déceler une nouvelle fois une bosse monter. Ce salop est en train de bander en m’écoutant parler et il croit que je ne vois rien. Je comprends mieux ces questions, cela l’excite. Bien évidemment, mon envie de sexe grandit et mon corps réagit automatiquement. Un léger rictus parvient alors sur son visage.

Marc, tu sembles gêné ?

Un peu oui…

Pourquoi ?

Parler de cela avec vous me met mal à l’aise et mon corps réagit.

Tu es donc en train de bander devant moi ?

Oui, je suis désolé, je vais me retirer si la réunion est finie…..

Oui, désolé de t’avoir mis mal à l’aise, tu peux y aller. Peux-tu par contre bien fermer la porte en partant et dire aux autres que je suis en réunion, je ne veux pas être dérangé. Et continue à t’habiller comme ça, ne te sens pas gêné.

Je quittai alors la pièce en fermant délicatement la porte. Je suis sûr d’une chose, il va se masturber et ne veut pas être dérangé. Je reste alors quelques secondes à la porte afin d’essayer d’entendre, ne serait-ce qu’un bruit pouvant confirmer ma pensée. C’est alors que le bruit de son pantalon tombant par terre arriva jusqu’à moi et plusieurs râles de plaisir dans les minutes qui suivirent.

J’excite mon manager, il se branle en pensant à nos conversations et mon envie pour lui grandit. Toute la nuit, je me refis la réunion dans ma tête et cette pensée s’accompagnait toujours d’une branlette magnifique. Il faut que je lui parle demain, sinon jamais je n’arriverai à travailler correctement.

Le lendemain matin, en arrivant, Pierre n’est pas encore arrivé comme à son habitude. A son arrivée, je lui demande alors si je peux le voir dans la journée, car j’ai des questions sur mon poste et que j’aurai aimé en parler avec lui. Il répond positivement à ma requête et programme un point pour 12h. La matinée tourne alors au ralenti. Plus le temps avance et plus le stress monte. Aurais-je le courage de lui dire ? Vais-je avoir des soucis ? Est-ce que je me fais des idées ? Une alerte sur mon pc vient d’apparaître afin de me rappeler que la réunion va commencer.

Je me rends donc en tremblant jusqu’à son bureau fermé. Je toque une fois, deux fois, trois fois……

Oui, entre Marc, je finissais une visioconférence…

Pas de problème, j’avais le temps, répondis-je.

De quoi voulais-tu me parler alors ?

Eh bah, voilà; j’aimerais vous parler de la réunion d’hier….. Lorsque nous avons commencé à discuter à propos de mes sous-vêtements, j’étais particulièrement embarrassé et en baissant la tête, je n’ai pas pu m’empêcher de voir que vous sembliez apprécier la conversation……

Comment ça ? Son visage se fige, il pensait certainement que sa grosse queue ne se verrait pas.

J’ai remarqué une bosse assez importante de votre pantalon et c’est surtout ça qui m’a………excité.

Ahhhh… je vois…… je suis désolé; je te dois des explications. C’est vrai que la discussion qu’on a eue m’a émoustillé et je pensais pas que tu le verrais. La façon dont tu racontais tes ressentis m’a provoqué cette réaction. Je ferai attention.

Il n’y a pas de soucis au contraire, j’ai adoré voir la réaction que je vous faisais et je dois dire que je trouve ça flatteur.

Ah bon ?

Oui, je peux vous faire une confidence ?

Bien sûr, ça restera entre nous au point où on est.

J’ai beaucoup repensé à vous depuis l’entretien et j’avais déjà remarqué que vous étiez, comment dire……bien servi par la nature.

Son visage se change une deuxième fois et il comprend que la situation commence à déraper. Moi-même, je commence à avoir une envie folle de lui sauter dessus et seule ma raison m’en empêche.

Je suis flatté à mon tour, vraiment, et je ne sais pas quoi te dire….. Je ne suis pas gay tu sais, et j’ai une femme. Je voulais pas te donner d’espoir…

Mon cur ne fait alors qu’un tour, cependant, une autre partie de mon corps ne semble pas prendre en compte cette "révélation" et mon membre est toujours fièrement dressé au point de se retrouver à l’étroit dans mon pantalon et je sais très bien que vu mon état, ce n’est pas mon cur qui va me faire parler.

Il n’y a pas de soucis, vous inquiétez pas, mais, puis-je vous poser une question avant de partir ?

Je t’écoute, que puis-je faire pour toi ?

Hier quand j’ai fermé la porte, vous pensiez à quoi en vous branlant ?

Comment ? Tu le sais que je me branlais ?

Je vous écoutais derrière la porte……

Je pensais à notre discussion et à ton comportement qu’on a eu à l’entretien.

Je m’en doutais bien que vous n’aviez pas oublié.

Tu as fait exprès ce jour-là n’est-ce pas ?

Je gagnais du terrain, il me reposait des questions sur un moment qui l’avait excité. Il aime cela et aime que je lui parle de sexe. Après tout, vu où j’en suis, soit après ce point je suis viré, soit il est très compréhensif.

Oui, j’avais fait exprès de vous aguicher et je voyais bien que vous étiez de plus en plus excités. Je dois dire que j’ai pas arrêté de penser au plaisir que ça doit être de vous voir nu et surtout de m’occuper de votre belle et grosse queue…..

Un silence se fit alors dans ce bureau où une conversation qu’un employé ne devrait jamais avoir avec son manager vient d’arriver. Je demandai donc si j’aurai des problèmes suite à cela. Il m’a bien répondu que non; qu’il n’y avait pas de soucis; tant que j’étais productif, c’est tout ce qui lui importait.

En quittant la salle, je me retournai alors en lui demandant si je devais fermer la porte.

Pourquoi voulez-vous la fermer ?

Car vu, une nouvelle fois, comment votre bite est à l’étroit, je pense que vous feriez mieux de vous en occuper au calme.

Un sourire gêné apparut alors sur son visage et me confirma que je pouvais fermer la porte.

Le reste de la journée s’est passée comme d’habitude et aucune répercussion de cette réunion n’arriva. Je rentrai donc chez moi le cur bien plus léger que la veille, mais toujours aussi excité par mon nouveau boulot. Aux alentours de 22h, alors que je finissais de regarder un film plutôt ennuyant, mon téléphone vibra. C’était Pierre qui venait de m’envoyer un message :

Bonsoir, Marc, il faut que nous parlions, je programme un point à 12h dans mon bureau demain. Bonne soirée à toi.

Je m’endormis alors en me demandant ce qu’il pouvait bien avoir à rajouter, mais plus le temps passait et plus mon désir montait : je veux qu’il me baise !!!!

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Dites-moi si vous voulez la suite et je suis preneur de beaucoup de conseils pour écrire la suite. Vos retours sont très importants pour mes débuts. Au plaisir de vous faire plaisir si cette histoire vous plaît……

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