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Les démons de Noémie – Chapitre 7

Tatiana veut faire carrière - Chapitre 14



VII

Contact : Deuxième partie

Noémie ne cessait de repenser à la cabane. Le simple fait de se remémorer les bites des chasseurs lui défonçant tous les trous la faisait instantanément mouiller. C’était la première fois qu’elle ressentait ça depuis le début de cette folie. En chemin, alors qu’elle marchait un peu chancelante, épuisée par cette partie de baise, une branche fit un accroc à son short en jean. Elle n’avait pas emmené beaucoup de rechanges, vu le court séjour qu’elle comptait faire ici et alla enfiler la robe qu’elle avait en arrivant, toujours sans soutien-gorge. Elle passa par la porte de derrière qui menait directement à l’escalier, pour éviter de croiser qui que ce soit. Dans un état second, elle avait beaucoup de mal à se concentrer sur l’instant présent.

Elle redescendit à la cuisine. Olivier et André étaient attablés. Ce dernier, légèrement agacé par le retard de Noémie, la regarda avec réprobation. Elle s’excusa et prit une chaise. En s’asseyant, elle grimaça, son anus étant encore très sensible.

— « Qu’est-ce qu’il y a ? », demanda Olivier.

— « Rien, je suis tombée sur quelque chose de dur dans le bois. »

Sur la table, une bouteille de vin rouge, du pain et une grande soupière en porcelaine blanche. Dans le four, un rôti de buf finissait de cuire et sur la cuisinière se trouvait une poêle remplie de haricots verts.

— « Tu as été sous la pluie tout-à-l’heure ? », dit Olivier.

— « Oui mais je me suis réfugiée dans la cabane », répondit Noémie en se servant de la soupe de poireaux.

— « Ah ben tu as du croiser Gérard et Stéphane, non ? », demanda André.

— « Euh Oui, oui… », fit la jeune asiatique, peu convaincue qu’elle devait donner cette information.

— « Et le gros Robert ? Il était là ? »

« Ah.. Euh Oui, aussi… », dit-elle en rougissant.

— « Ce gros vicelard puant… », marmonna André avec un dédain évident.

Noémie retrouvait peu à peu tous ses esprits. Elle devait analyser tous les nouveaux éléments. Elle sentait pourtant que quelque chose lui échappait dans tout ça. Un lien, un détail, qui aboutirait à un début de piste. Ce mystérieux message provenait-il d’un allié ou du cerveau de cette histoire ? Et combien de temps lui restait-il avant de devenir totalement « nymphomane » et de perde tout contrôle ? « Le trouble » évoluait constamment et elle succombait de plus en plus facilement au plaisir. Plus encore, elle participait, réclamait, jouissait avec ses « partenaires ». Si elle ne provoquait pas encore en prenant les devants, elle se demandait tout de même jusqu’où cela pouvait aller et si elle n’allait pas finir par être submergée par ses envies perverses.

— « Ce n’est pas moi, ça… », ne cessait-elle de se répéter.

Après le repas, elle retourna dans sa chambre pour se reposer, tandis que son compagnon accompagnait son oncle pour quelques courses au bourg. Allongée sur le lit, elle se remémora toute la scène de la cabane, dans les moindres détails. Elle remonta sa robe et enfourna une main dans sa culotte. Elle n’avait jamais ressenti autant de plaisir et de douleur mélangées. Elle finit par se débarrasser de la culotte et de la robe et enfonça rapidement deux doigts dans son vagin inondé

Nue sur son lit, les yeux fermés, elle écarta largement ses jambes et engouffra ses doigts dans sa chatte trempée. Elle y allait à fond et y inséra un troisième. Sa main gauche s’occupait de son clitoris gonflé en le massant très rapidement. Elle ondulait du bassin et,  le souleva un peu pour pouvoir introduire encore un doigt de plus. Elle les enfonça tous les quatre encore plus et poussa un fort gémissement. Elle cherchait à aller le plus profondément possible et se tortillait pour y parvenir. En repensant à sa double pénétration, à la bite de Bébert, à son odeur et ses poils noirs et mouillés qui se collaient sur son corps, elle essaya de passer le pouce et après une grimace de douleur et quelques contorsions, y parvint. Sa main entière s’agitait dans sa chatte dilatée et dégoulinante de cyprine. Elle l’enfonça tant qu’elle put et finit par hurler de plaisir après un très violent orgasme.

Sur son portable, un message s’afficha. La notification sonore sortit Noémie de ses pensées lubriques et elle alla chercher l’appareil, toujours nue et en sueur.

— « Prends l’appel. C. », était-il écrit.

Quelques secondes après, le téléphone sonna..A l’autre bout, une voix féminine se fit entendre.

— « On n’a pas beaucoup de temps, alors écoutes-moi bien et ne m’interromps pas. »

— « Quoi ? Qui es-tu ? », demanda Noémie, totalement perdue.

— « Cassandre, je m’appelle Cassandre et je suis comme toi. »

Noémie comprit vite de quoi elle parlait. Mais pouvait-elle la croire ? L’inconnue poursuivit :

— « Tu n’es pas seule, on est plusieurs dans ton cas. Je ne connais pas les autres, juste toi. Et avant que tu demandes, non, je ne sais pas ce qu’il nous arrive. Mais je sais qu’il y a des gens derrière tout ça. »

— « Quoi ? Je comprends rien Comment tu as eu mon numéro ? »

— « Ton numéro est dans le répertoire de mon mari. Il a aussi celui de ton compagnon, j’ai surpris une de leurs conversations, il y a plusieurs semaines de ça. Ils parlaient de toi. »

— « Qu’est-ce qu’ils disaient ? »

— « Ils par Merde, je dois partir, je te recontacterai si je peux. Méfies-toi d’Olivier ! ».

— « Pourquoi ? Allô ? Allô? »

Cassandre avait raccroché. Noémie était abasourdie. Pouvait-elle croire cette fille ? Olivier l’avait-elle trahie ? Et qui étaient ces « gens » dans l’ombre ? Toutes ces informations et les dernière péripéties l’avaient totalement épuisée et elle se coucha sur le lit, nue, puis finit par s’endormir.

Elle fut réveillée par une caresse sur son sein gauche. Elle sourit, pensant qu’il s’agissait d’Olivier. Sortant lentement du brouillard, elle se rappela l’étrange coup de fil qu’elle prit, sur le coup, pour un mauvais rêve. Elle tourna lentement la tête vers Olivier. Mais l’homme qui se tenait à côté d’elle n’était pas son compagnon. C’était Paul, l’un de ss cousins, un grand idiot de 35 ans qui vivait chez Adèle, l’ex-femme d’André. Paul était attardé et son visage rouge et ses yeux noirs tombants n’exprimaient rien. Il avait toujours un filet de bave à la commissure des lèvres et les dents de devant très écartées. Une fine moustache surplombait sa bouche tombante et son épaisse chevelure brune semblait en bataille constamment. Le vieux garçon sentait terriblement fort. Chaque semaine, il venait voir son père en mobylette. Assez mince, il portait ce jour-là une salopette rouge et un vieux t-shirt sale qui devait être blanc d’origine. Cette pièce étant son ancienne chambre, il v venait régulièrement pour « faire comme avant ».

— « Bonjour Noémie. », dit Paul, tout en continuant de caresser le sein de la jeune femme.

— « Euh.. Bonjour Paul… », répondit Noémie, sans bouger, ni repousser la main du garçon.

— « Ils sont doux, tes nénés.. »

— « M-m-merci Paul… », fit la jeune asiatique, tremblante. « Papa n’est pas rentré ? »

— « Non, on est tous seuls, c’est cousin qui m’a dit d’aller voir si tu allais bien. »

— « Tu l’as vu au bourg ? », demanda-t-elle tout en luttant contre son « trouble » grandissant.

— « Oui. T’es belle, cousine Noémie »

— « M-m-Merci… »

— « Oh, y a de l’eau entre tes jambes… »

La cyprine commençait effectivement à couler sur la couverture jaune, encore humide de ce que Noémie avait fait quelques heures auparavant. Paul, sans gêne, mit sa main entre les cuisses de sa cousine et commença à bouger ses doigts. Le bruit de clapotis l’amusa beaucoup. La jeune femme se mordit les lèvres et écarta un peu les jambes.

— « Doucement Paul, doucement… »

Le garçon adoucit la pression mais continua de jouer avec la chatte inondée de Noémie. Celle-ci se mit à caresser ses seins et écarta davantage ses belles cuisses dorées.

— « Paul, tu devrais pas mmmhhh être là… », réussit à dire la jeune asiatique tout en commençant à onduler son corps.

L’attardé continua de caresser le sexe en feu de la belle philippine. Sa salopette laissait entrevoir une érection de plus en plus proéminente. Noémie s’en aperçut, colla une main sur la bosse et caressa lentement. Surpris, il grogna en fermant les yeux.

— « Mets un doigt dans le trou… », susurra-t-elle.

Paul chercha l’orifice pendant quelques secondes et, une fois trouvé, enfonça violemment son index dedans. Noémie tressaillit, poussa un cri de douleur, sans abandonner toutefois sa caresse sur le sexe du cousin.

— « T’as mal ? Pardon, Noémie, j’ai pas fait exprès… »

— « C’est pas grave, Paul. »

La jeune femme déboutonna la braguette du jeune attardé et sortit le sexe qui grossissait à vue d’il. Elle lécha délicatement le gland et s’approcha pour engloutir le reste. Paul avait toujours son doigt fourré dans le vagin de la belle mais ne bougeait pas. Noémie mit alors sa main par dessus la sienne et lui imprima le geste qu’elle désirait. Le cousin se mit  à faire coulisser son index dans la chatte brûlante. De l’autre main, il caressait le sein qu’il affectionnait tant. Noémie le suçait lentement et sentait qu’il n’allait pas tarder à venir. Cependant, elle n’arrêta pas et le liquide chaud gicla jusqu’au fond de sa gorge. Le garçon grogna de plaisir et retira son doigt de l’orifice. Mais sa main continua de malaxer le sein gauche de Noémie. Finissant d’avaler la semence, elle remplaça le doigt de son cousin par deux des siens. Tout en se masturbant, elle l’interrogea :

— « C’est cousin Olivier qui t’a dit de venir me voir ? »

— « Oui, il est gentil, mon cousin. Il t’aime beaucoup. »

— « Oui, moi aussi, je l’aime… », dit-elle, pensive.

— « Toi aussi, t’es gentille, tu m’as fait du bien. »

— « Faut que ça reste entre nous, d’accord ? Tu ne le dis à personne. »

— « Oui, notre secret, cousine. »

Se branler devant lui la rendait folle de désir. Elle le fixait tendrement mais avec une lueur extrêmement perverse dans les yeux. Lui regardait les doigts aller et venir entre les cuisses de sa belle cousine avec un air idiot, et de la bave qui coulait le long de son menton. Ça lui plaisait énormément et elle accéléra le mouvement jusqu’à se faire jouir. Une fois tous ses esprits retrouvés, elle se rhabilla rapidement et sortit avec Paul de la chambre.

Quelques minutes plus tard, Olivier et André revinrent. L’oncle alla ranger les courses et Olivier retrouva Noémie et Paul dans le salon. Ils étaient assis dans le grand canapé en cuir noir, à droite de la porte. Plus haut, une tête de cerf empaillée dominait la pièce. Un imposant vaisselier en bois massif se trouvait sur la gauche. Devant le meuble, une table massive et longue, avec six chaises bien rangées. Contre le mur du fond, une grande horloge faisait un « tic tac » régulier. Les murs étaient recouverts d’un papier peint beige avec des grosses fleurs de couleur marron. Un énorme écran était posée sur un long meuble télé noir.

— « Tu as dit à Paul de venir me dire bonjour ? », demanda Noémie avec un grand sourire.

— « Oui, je l’ai croisé au bourg et comme il devait passer… »

— « C’est gentil de ta part. », répondit la jeune femme. « Il est monté directement dans ma chambre. »

— « Ma chambre aussi. », fit remarquer Paul.

— « Et alors ? Tu n’étais pas visible ? »

— « Si, ne t’inquiètes pas. On a juste rigolé tous les deux. », dit-elle, en regardant Olivier droit dans les yeux pour y déceler une faille.

Noémie alluma la télé pour couper court à la discussion. Depuis l’épisode avec Paul et ce qu’il lui avait dit, elle savait qu’elle n’avait pas rêvé le coup de fil. Si ce que lui avait révélé Cassandre était vrai, alors Olivier avait délibérément mis Paul dans son lit. Pourquoi ? Comment pouvait-il prévoir ce qu’il allait se passer ? Pourquoi elle ? Autant de questions qui tournaient dans la jolie tête de la jeune asiatique.

André les avait rejoint dans le salon. De chaque côté du canapé, se trouvaient deux fauteuils assortis, en cuir noir. Olivier avait pris celui de droite. L’oncle s’assit dans l’autre, près de Noémie. A la télé, un film d’aventure que seul Paul semblait suivre vraiment déchirait le silence à grands coups d’explosions. Noémie était perdue dans ses pensées.  Elle se remémora tout ce qu’elle avait vécu mais en essayant de le relier à Olivier. Verdier et Géraldi ? Pas de lien. Ses collègues de boulot, oui Brandier ? Aucun. Les chasseurs, non plus et Paul Tout cela n’avait pas de sens. Elle devait faire quelque chose pour avancer et comprendre. Mais quoi ?

Le lendemain, Noémie descendit à la cuisine, vêtue d’une chemise blanche qui s’arrêtait à peine sous ses fesses et une paire de tongs. Sans rien d’autre. Elle prépara le café et attendit qu’André revint avec le pain. Olivier dormait encore. L’oncle eut l’air surpris lorsqu’il rentra dans la pièce où commençait à flotter une bonne odeur de café frais. Il n’était pas seul. Derrière lui, un homme rondouillard au visage porcin tenait dans sa main une bouteille de vin rouge. Il avait les cheveux blancs plaqués en arrière et son visage pourpre arborait un sourire vicieux. Il portait une chemise bleue à carreaux blancs et un jean noir. Aux pieds, des baskets blanches.

— « C’est Vigouroux, le poissonnier du village. », dit André à la jeune femme.

— « Enchanté, jeune demoiselle. », fit le rondouillard d’un ton mielleux.

— « Elle, c’est Noémie, la compagne de mon neveu. »

Elle s’approcha pour serrer la main de l’inconnu mais celui-ci lui fit deux bises en frôlant ses lèvres. Il en profita pour la regarder de haut en bas et admirer les jambes longues et dorées de la jeune philippine.

— « Il est où, le Olivier ? », demanda Vigouroux.

— « Il dort encore », répondit Noémie, un peu troublée par ce nouveau venu.

Elle n’avait pas prévu ça. Elle avait juste voulu « allumer » l’oncle devant son compagnon pour voir sa réaction et provoquer peut-être quelque chose. Mais là, son plan tombait à l’eau. L’homme la dévorait des yeux et la jeune femme commença à mouiller. Vigouroux s’en aperçut et se demanda comment il allait bien pouvoir profiter de la situation. André ne remarqua rien, et servit le café à tout le monde.

— « Vous êtes là pour le week-end  ? », demanda le poissonnier.

— « Oui, on repart ce soir ».

— « Vous connaissez le petit chai à bois, à côté de la maison ? »

— « Non, pourquoi ? »

— « Ah il faut le voir, il y a des objets d’époque dedans. »

— « Ah, je ne savais pas… », fit la jeune asiatique, un peu inquiète.

— « Tiens ben, voilà mon neveu, Kevin qui arrive. On peut y aller ensemble, hein ? », s’exclama Vigouroux.

Le dénommé Kevin devait avoir dix-huit ans. Il était gros, comme son oncle, et roux. Son visage rond et blanchâtre était constellé d’autant de tâches de rousseur que de boutons d’acné. Ses petits yeux noirs globuleux ne reflétaient pas l’intelligence et lui donnait un air totalement stupide. Vêtu d’un t-shirt blanc et d’un pantacourt gris, il avait le même air porcin que son oncle

Noémie ne savait pas qu’ André avait pris l’habitude d’inviter Vigouroux prendre le café le dimanche matin, tandis que sa femme se rendait à la messe. Ce week-end là, le couple accueillait le fils de la sur de madame, qui n’aimait pas non plus les églises et avait rejoint son oncle.

— « Kevin, dis bonjour à la demoiselle! », lança le poissonnier avec une voix étrange.

Le petit Kevin murmura un « salut » presque inaudible et rougit en regardant Noémie, à moitié nue dans la cuisine. Cette dernière était très excitée par la situation et attendait maintenant les initiatives de Vigouroux.

— « Ça te dérange pas si on va se balader avec la jeune demoiselle, André ? »

— « Non, tant que vous la rendez en bon état pour Olivier… », dit-il en riant.

— « On va pas lui faire de mal, va, t’inquiètes pas ! », s’esclaffa Vigouroux.

— « Je devrais peut-être enfiler quelque chose d’autre… », fit Noémie dans un ultime effort.

— « Mais non ! Pas la peine, mademoiselle, c’est juste à côté, on en a pas pour longtemps », rétorqua le poissonnier, avec un regard lubrique.

Tous trois partirent donc en direction du fameux chai qui se trouvait assez loin et relativement isolé sur la propriété. Noémie fulminait intérieurement que son plan fut saboté par le poissonnier. Mais elle était en même temps surexcitée à l’idée que ce gros porc et son neveu allaient la baiser dans le chai. Elle saisit à cet instant que sa conscience et ses désirs de plus en plus pervers se confondaient. « Le trouble » faisait maintenant partie d’elle. Jusqu’à quel point ? L’oncle vicieux ouvrit la porte du chai et fit entrer Noémie et Kevin. L’endroit était sombre et il flottait dans l’air un mélange de poussière et de sciure.  Le poissonnier alluma la lumière et referma la lourde porte en bois. Au fond, plusieurs rangées de bûches étaient superposées. Le sol était en terre tassée et irrégulier. Une petite table poussiéreuse, stockée là visiblement, était presque au milieu de la pièce. Et sur les côtés, des étagères remplies d’objets divers, très anciens. Des lampes, des outils, des plaques en cuivre, des casseroles, etc.

Noémie s’approcha pour regarder et se hissa sur la pointe des pieds. Sa chemise se releva et dévoila son beau petit cul à Vigouroux et son neveu. L’oncle se glissa alors dans le dos de la jeune asiatique et déboutonna la chemise, de derrière, sans rien demander. Noémie laissa faire, en continuant de regarder les vieilleries. Le vêtement ne tarda pas à tomber au sol. Le vieux malaxa ses seins à deux mains et l’embrassa dans le cou. Elle tourna la tête et les deux langues s’enroulèrent.

— « Putain, j’en étais sûr Une vraie salope… », murmura-t-il, entre deux pelles dégoulinantes de bave.

La belle philippine sentit soudain une main sur sa chevelure noire qui lui intimait de se retourner et de se mettre à genoux. Sans un mot, elle s’exécuta. Kevin était rouge mais bandait comme un taureau. Vigouroux, avec un air vicieux, lui demanda de venir. Le jeune homme hésita, mais finit par rejoindre son oncle.

— « Tonton, j’ai jamais fait Je sais pas faire… », lança doucement le gamin.

— « Fais rien, déballes juste ta bite. »

Le garçon défit son pantacourt et sortit sa petite queue tendue vers le haut. Noémie l’avala d’un trait et suça le gamin à fond. L’oncle se mit à rire et sortit lui aussi son sexe. Il l’approcha du visage de la jeune femme et la gifla avec. Noémie, surprise, accéléra encore sa pipe, pour le plus grand plaisir du neveu rondouillard.

— « Ah t’es une salope, toi, une suceuse, hein ? Et si on t’en mettait deux dans la bouche ? »

La belle philippine cessa de pomper et ouvrit largement la bouche. Vigouroux guida son neveu et se plaça à côté de lui. Les deux bites se retrouvèrent collées l’une à l’autre et Noémie les saisit pour les rentrer dans sa bouche béante. D’un coup de langue, elle lécha les deux glands et enfourna ce qu’elle put..Puis, n’en pouvant plus, elle s’occupa des deux bites, alternativement. Elle en avait une dans chaque main et les branlait tout en suçant. Sa chatte était en feu et dégoulinante de cyprine.

— « Sale putain, t’aimes ça la bite ! », hurla Vigouroux.

Kevin, un peu dépassé par les événements, ne disait rien. Il suivait aveuglément son oncle.

— « Allez, lève-toi et va vers la table, petite pute. »

La jeune asiatique se dirigea vers le meuble poussiéreux, suivi par Vigouroux et son neveu. Il ordonna à ce dernier de retirer son pantacourt, tandis que lui enlevait son pantalon. Il se plaça de nouveau derrière la jeune femme et lui leva la jambe droite puis la fit reposer sur la table. Le cul et la chatte étaient ainsi bien dégagés et visibles. Il tenait la jeune asiatique par les épaules, pour qu’elle ne tomba pas dans cette position instable puis se plaqua contre elle et guida sa queue jusqu’à l’entrée de l’anus. Lentement, il l’encula jusqu’à la garde, lui tirant un long gémissement.

— « Allez Kevin, amènes-toi et défonces-lui la chatte ! »

— « Quoi ? Euh Oui ok »

Le gamin s’avança et se plaqua contre la jeune femme, en transe. Elle saisit la bite d’une main et la guida vers son trou inondé. Le rouquin l’enfila d’un grand et violent coup de reins.

— « Ouais mon grand, vas-y, limes-moi cette salope ! »

Et les deux commencèrent à défoncer les deux orifices en même temps, bien synchrones. La belle se tenait au cou de Kevin, qui la regardait maintenant avec un air supérieur et de l’excitation. Il la bourrait de toutes se forces en se tenant à sa cuisse tendue sur la table et à son épaule. Noémie enfourna sa langue dans la bouche du rouquin et lui roula une énorme pelle. Derrière, l’oncle l’enculait aussi fort qu’il pouvait. Les deux bides gras se plaquaient  sur la peau dorée de la belle asiatique en sueur. Ils la limaient à fond, à couilles rabattues, le plus profondément qu’ils pouvaient.

— « Sale putain, il t’encule bien, mon tonton, hein ? », dit Kevin, le souffle court.

— « Oui, oui… », répondit Noémie entre deux gémissements.

— « Ouais, mon grand, c’est comme ça qu’il faut lui parler, à cette pute. »

— « Salope, t’aimes trop la bite, hein, mes potes, ils te baiseraient comme une grosse chienne… »

Disant cela, il avait encore accéléré et faisait crier la belle philippine. L’oncle décida alors qu’il fallait changer de position. Il mit Noémie à l’équerre contre la table et offrit le petit trou à son neveu qui s’y engouffra directement. Il pilonna l’orifice aussi fort qu’il le pouvait, agrippé aux hanches de la belle asiatique. L’oncle profitait du spectacle et se branlait.

— « Encules-moi, plus fort ! Encore plus fort ! »

Le pauvre Kevin donnait tout ce qu’il avait et défonçait littéralement le cul de Noémie

— « Putain, je vais cracher… »

— « Dans sa bouche, dans sa bouche ! »

Noémie entendit la consigne et dès que le rouquin grassouillet se retira, s’agenouilla, la bouche ouverte. Kevin largua sa purée épaisse et odorante directement dedans, à grands jets, gémissant fortement, le sourire au lèvres. Vigouroux s’approcha et après s’être bien branlé, inonda le visage de la jeune philippine de grosses giclées de sperme gluant et malodorant.

— « C’est mieux que la messe, hein ? », dit l’oncle en riant.

— « Oh putain, oui, carrément ! », cria Kevin, vidé et heureux.

L’oncle balança un vieux mouchoir en tissu sur le visage  de Noémie et lui dit de s’essuyer. Après s’être rhabillés, ils repartirent vers la maison, faisant comme si rien ne s’était passé. Olivier prenait son café, en pyjama, dans la cuisine.

— « Tiens, le petit Olivier ! Justement, on parlait de toi avec ta compagne ! On a été visité le chai avec le gamin. »

— « Ah bien. Salut Kevin ! ! Mais vous êtes en sueur, vous avez couru ? »

— « Euh, oui, ta copine nous a fait faire un peu d’exercice. », dit Vigouroux en souriant.

Kevin avait le même sourire vicieux que son oncle en l’écoutant parler. Il regardait la jeune asiatique qui s’était resservi un café.

— « C’est meilleur avec de la crème, hein ? », lui lança-t-il, en faisant un clin d’il à son oncle, hilare.

— « Oui, c’est vrai. », répondit-elle, un peu agacée.

Elle repartit dans sa chambre, et s’y enferma. Le plan avait mal tourné, et même très mal tourné. Elle s’assit sur le lit, la tête entre les mains. Puis elle vit sur la chaise le portable d’Olivier. Elle l’alluma et parcourut le répertoire à la recherche de Cassandre. Rien, mais un numéro appartenant à un certain X et un autre au nom de Garance l’interpellèrent. Elle les mémorisa et remit le téléphone à sa place.

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