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Les douze servitudes d'Hélène – Chapitre 18

Les douze servitudes d'Hélène - Chapitre 18



Les 12 servitudes d’Hélène : êta et le Pirate (suite)

La galère avait quitté le port d’Assos et voguait maintenant en direction du lointain horizon sur la mer Egée… Peu à peu, la vie à bord retrouvait ses habitudes… êta devait rester en permanence à quatre pattes aux pieds du Capitaine qui tenait le gouvernail, tandis que les rameurs galériens forçaient sous les coups de fouet, au rythme d’un tambour… Le reste de l’équipage réparait voiles et filets, car il fallait parfois pêcher pour se nourrir en attendant de pouvoir s’attaquer à quelque navire marchand… Et ceux qui n’avaient rien à faire guettaient l’horizon, à la recherche d’une proie. êta n’était généralement pas autorisée à parler, son nouveau Maître l’ayant classée au rang d’objet du bord qu’il traînait en laisse en permanence, faisant rêver les marins. Pourtant, l’ennui d’une navigation monotone donna envie au Pirate d’échanger quelques mots et il permit à l’esclave de lui poser une question. Elle s’enquit donc de l’utilité d’un groupe de trois esclaves enchaînés à l’avant du navire, qui n’étaient jamais attachés à quelque banc de nage…

— Eux, ce sont les plaisirs de l’équipage. Lorsque nous capturons des marins, nous gardons parfois les plus mignons et ils sont enchaînés ainsi, disponibles en permanence pour les hommes d’équipage qui ne sont pas de quart, expliqua-t-il, je n’ai pas toujours la chance de trouver une créature de ta qualité. Et il faut bien que nous prenions aussi du plaisir lorsque nous sommes en mer, poursuivit-il.

Ce récit l’ayant excité, il saisit à pleine main l’épaisse chevelure blonde d’êta et l’attira vers lui, la forçant à plonger son visage sous son chiton, où sa verge commençait à se tendre. Tandis qu’elle le suçait avec avidité, avalant bien à fond le sexe tendu, léchant le gland de sa langue de velours, le Pirate maintenait la pression sur sa nuque, afin de lui faire sentir qu’il la forçait et que, aussi motivée et dévouée soit-elle à son plaisir, elle ne choisissait pas mais subissait la Loi de son Maître. Tandis qu’il se laissait aller au plaisir de cette bouche avide, caverne chaude et humide accueillant son plaisir, le Pirate fut dérangé par les cris puissants de l’homme qui assurait alors la vigie et qui signalait un navire à l’horizon ! Immédiatement, le Pirate rejeta êta sur le côté et se redressa, commençant à lancer des ordres. Les membres de l’équipage s’affairaient maintenant dans un bel ordonnancement, tandis que le fouet claquait plus sec et plus fort sur les épaules des pauvres rameurs qui s’étaient un peu détendus… Le tambour accélérait la cadence et le fouet mordait les chairs… Le capitaine manoeuvrant afin de placer sa petite mais rapide galère en position pour rejoindre promptement le lourd vaisseau qui était apparu au loin.

Les mouvements des pirates n’étaient pas passés inaperçus sur le navire marchand qui commençait à virer de bord et tentait de s’éloigner. Car à cette époque la peur des attaques des pirates primait souvent et les tentatives de fuite étaient souvent le meilleur moyen déviter un abordage meurtrier. Mais il avait peu de chances d’échapper aux pirates dont le vaisseau, tel un faucon poursuivant sa proie, fondait maintenant sur le lourd navire… le fouet cinglait violemment la peau nue des galériens, les pirates ne craignant pas de perdre quelques rameurs, car ils n’allaient pas tarder à capturer et faire travailler de nouvelles "recrues". La course-poursuite fut de courte durée et l’abordage rapide et efficace. Les pirates sautèrent à bord du navire marchand, abattant du glaive les quelques résistants qu se dressaient devant eux, accordant la vie sauve à ceux qui s’agenouillaient et imploraient leur pitié… Une fois les marchandises transvasées à leur bord, les pirates firent le tri… Les rameurs trop faibles furent jetés à la mer et remplacés par les marins capturés à l’instant. Puis les pirates mirent le feu à la grosse galère devenue inutile et prirent le large emportant, comme butin, tout ce qui était de valeur mais aussi les réserves deau douce et nourriture. Des marins capturés sur le navire marchand, ils avaient gardé sur le pont un jeune homme dont ils avaient arraché les vêtements et qui se tenait maintenant prosterné, sanglotant sous les rires et les quolibets… On le poussait du pied, on lui, crachait dessus, on le fouettait à coups de cordages et il pleurait. Et plus il pleurait, plus les autres riaient… le capitaine se pencha sur lui…

— Ha ! ha ! ha ! tu veux vivre, vermine ? Le jeune prisonnier se jeta à ses pieds :

— Oh oui, oui je vous en supplie ! Pitié !

— Pitié ? Je ne connais pas ce mot peux-tu m’expliquer, s’amusait le Pirate

Le jeune homme, nu et tremblant, ne savait pas comment réagir tremblant, il sanglotait sur le pied du Pirate. Celui-ci le poussa dun coup de pied sur son épaule, ce qui le fit tomber sur le côté, faisant éclater de rire l’équipage

— Alors !? Je t’ai posé une question… et je ne suis pas patient. Cest quoi ce mot : pitié ?

Bafouillant, le jeune homme :

— Je… la pitié, (il reniflait) c’est… c’est compatir aux souffrances ou aux faiblesses d’autrui… sniifff… à le considérer avec commisération, à le traiter avec indulgences ou tolérance…

Il se tut et le Pirate éclata de rire

— Pas mal, pas mal … toi, tu es l’élève d’un Philosophe ?

— Ou… oui, répondit le jeune homme

— Je m’en doutais… ils sont si bavards et utilisent de ces mots autrui ! Ha ! ha ! ha ! aux truies, des faiblesses aux truies ! , se moquait avec arrogance le Pirate, Vois tu, tu parles, tu parles, mais tu utilises des mots que je ne connais pas !, dit-il le pied sur les côtes du jeune philosophe, il y avait déjà ce mot pitié… il y aussi…Mmmhh attends, qu’as-tu dit ? Ah oui ! compatir ! et… commi commisération ! In indulgence !!!! Mais je ne connais pas ces mots ! Tu cherches à m’humilier ?

— Non, non !!! oh non! criait le jeune prisonnier en s’accrochant aux pieds du Pirate.

Mais le capitaine déjà le saisissait par les cheveux et le forçait à se relever

— Quatre mots que je ne connais pas… Quarante coups de fouet ! et il gifla son prisonnier désespéré

— Oh pitié ! euh ! je vous en supplie…

Le capitaine le repoussa vers ses hommes qui se saisirent de lui et se le lançaient de l’un vers l’autre, certains profitant de ce bref contact pour pincer ou peloter le corps nu du jeune homme Déjà, le capitaine brandissait un fouet qu’il faisait claquer sur les planches du pont, tout près du prisonnier… celui-ci eut un sursaut… le fouet venait s’abattre tout près du jeune homme qui sautillait maintenant de façon ridicule, offrant un piteux et très amusant spectacle aux pirates cruels… lorsque le fouet le touchait, marquant sa peau fragile plus habituée à l’étude qu’aux activités physiques, il poussait de petits glapissements craintifs… et ne cessait pas de sautiller de façon ridicule pour tenter d’éviter le fouet que le capitaine maniait avec dextérité, ne faisant mouche que lorsqu’il l’avait décidé… le jeu dura longtemps et le jeune homme commençait à s’épuiser ses trémoussements pour échapper au fouet devenant moins amusants. Alors le capitaine lâcha le fouet et fit signe à ses hommes de saisir ce nouvel esclave. Ce signe de la tête du chef était bien connu de ses hommes, il voulait simplement dire quil leur offrait, avant le fouet, cet esclave en pâture, libre à eux den faire ce quils voudraient afin quils se soulagent dans ses orifices.

Il se passa alors une chose incroyable passée inaperçue aux yeux de tous. Tandis que le chef des pirates rejoignait êta restée allongée sur le sol près du gouvernail, le regard de celle-ci croisait quelques secondes celui du jeune philosophe déjà maintenu et peloté par les pervers pirates. Le jeune homme fixa son regard sur la beauté des yeux dêta, il fut subjugué par ceux-ci, comme hypnotisé quelques instants. Mais ni êta ni le prisonnier, ni personne dailleurs, se doutaient que ce soudain regard de simplement quelques secondes était voulu par les Dieux de lOlympe. Et que ce regard déclencha une protection Divine sur le jeune homme afin que les douleurs à venir se transforment en plaisirs charnels. Comme si cette protection Divine à ne pas souffrir mais juste à apporter du plaisir, protection laquelle joui amplement êta depuis le début de ses aventures, était transmise via ce regard au jeune mâle esclave. Et êta en navait même pas conscience, ni connaissance même si elle fut maintes fois surprise de constater du plaisir ressenti à la place de violentes douleurs surtout lorsquelle fut enculée à sec à plusieurs reprises.

L’équipage soccupait du prisonnier… certains le maintenaient, tandis que l’un d’eux prenait place derrière lui, le saisissant aux hanches pour le soulever et l’enculer d’un coup sec et violent, obtenant un cri du philosophe prisonnier… Mais son cri de surprise fut donc vite transformé en plaintes de plaisir car la Volonté Divine opéra. Lenculeur allait et venait amplement dans son cul à grands coups de reins et lesclave laissait échapper de plus en plus des râles de jouissance.

— Mais cest quil aime ça, ce chien, sexclama le sodomite, tu aimes quon baise ton cul de lope, eh bien tu vas en avoir des coups de bites Hé, ah moi les amis, venez enculer ce chien, il a lair den redemander !

Ainsi durant des heures, tout l’équipage se relaya afin de sodomiser le prisonnier à tour de rôle, s’amusant à l’entendre gémir tandis qu’ils prenaient son cul et lui claquaient la croupe… Lorsqu’ils furent tous passés et pour certains repassés par cet anus désormais largement ouvert, où les nombreux spermes s’échappèrent et s’écoulèrent sur le bas de la raie de ses fesses, ils attachèrent leur prisonnier au mat. celui qui dirigeait les rameurs s’approcha de lui…

— Je vais te fouetter… et quand j’aurai terminé, tu donneras encore du plaisir à l’équipage… et puis, peut-être tu pourras manger un peu…

Et il prit quelques pas de recul, pour dégager l’espace et abattre le fouet sur le corps du prisonnier qui Divinement nhurla pas, à la grande surprise de tous, tant le coup fut porté violemment …

(A suivre )

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