Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe lesbien

LES FANTASMES D'ISABELLE – Chapitre 19

LES FANTASMES D'ISABELLE - Chapitre 19



Durant le repas, le vin aidant, lambiance de cette salle à manger un peu hors du temps, je repensais à ces premières heures passées au château, la saillie imprévisible et inimaginable de rapidité avec le palefrenier, cette excitation particulière dêtre un moment comme une femelle, cet intermède tout aussi particulier avec Allen…je me dis que ce château inspirait la luxure. Mon regard se posa sur Richard, essayant de deviner ce quil pouvait bien tramer pour ce week-end. Je me faisais peut être des illusions, en fait Richard était peut être un homme sage et nous nous étions peut être trompés sur son compte. Pourquoi nous inviter lors dune réunion de la Confrérie des Baltimore ? Quavions-nous à faire dans cette réunion ? Je navais pas posé la question à Jessey, mais dès que nous aurions un peu de temps, jessaierai davoir son point de vue.

Arrivés à la fin du repas, Richard nous proposa daller nous détendre au coin du feu dans la grande bibliothèque.

Je fus impressionnée par toutes ces étagères remplies de beaux livres avec des reliures et des enluminures à lancienne. Lodeur du vieux papier se mélangeait avec celle du cuir et du feu de bois.

-Nous allons déguster un élixir réalisé par un maître de notre confrérie, Sir James Ansower. En fait il est surtout à consommer par nos femmes car il a des vertus particulières…

-Quelles sont ses vertus ? minquiétais-je.

-Cet élixir a la particularité de donner aux femmes de nouvelles sensations !

-Et pour les hommes ? demandais-je curieuse.

-La plénitude ! répondit Richard en riant. Tenez Fabien vient de nous en apporter un verrecela se boit glacé.

Fabien sans que Richard leût commandé apporta une carafe en cristal remplie dune liqueur dun vert menthe. Il remplit chaque verre de glaçons et versa lélixir sur ceux-ci.

-Attendez quelques instants que les glaçons fassent leffet, conseilla Richard. Fabien se retira de la bibliothèque après avoir allumé un immense bougeoir à quatre branches.

-A ta santé belle Isa, lança Richard en levant son verre.

-A la votre répondis-je. Jétais très étonnée du peu de contacts que nous avions depuis notre arrivée Jessey et moi, je le sentais très absorbé par les différentes discussions politiques ou économiques quil avait avec Richard. Je me sentais quelque peu à lécart. Je sentis que Richard posait plus souvent son regard sur moi depuis le milieu du repas. Cet homme était séduisant. Que voulait-il de moi ?

-Tu as vraiment une très belle femme mon cher Jessey !

— Isa en effet est une femme exceptionnelle, répondit Jessey.

-Exceptionnelle sur tous les plans ?

-Sur tous les plans !

-Nous verrons cela ! comment trouvez vous cet élixir ?

— Cest indéfinissable comme goût mais cest très bon ! précisais-je.

-Cest à base de plantes cueillies en Ecosse sur les lands.

Au bout de quelques minutes je me sentis comme portée sur un nuage, mon corps se détendait, je sentis une chaleur envahir mon ventre, comme si elle menveloppait. Limage de Richard et de Jessey devinrent floues. Je voyais comme dans un brouillard leurs sourires. Les mots de Richards résonnaient par moment dans ma tête. Je sentis comme un souffle dans mon sexe, étrange sensation qui me donna une envie particulière et excitante de pénétration. Je revoyais le palefrenier me labourer les fesses, cette sensation que nous avons nous autres les femmes lorsque lhomme éjacule dans le fond de notre vagin et nous remplit de son sperme tiède. Ces images hantaient mon esprit. Je sentis mon sexe fondre littéralement. Cet élixir était démoniaque.

Je sentis que deux mains me soulevaient de mon fauteuil par les aisselles sans savoir qui cétait. Je titubais en montant les marches vers ma chambre supportée par des bras puissants. Je chancelais presque en arrivant devant la porte de ma chambre je nétais pas saoule mais dans un état entre la conscience et lextase. Je fus quasiment portée sur mon lit où je mécroulais avec une envie terrible de faire lamour. Linconnu quitta la pièce en éteignant la lumière. La porte se referma délicatement. Jessayais de retrouver mes esprits, impossible de savoir où jen étais. Mon sexe à présent était en feu et je sentais quil shumidifiait je me sentais merveilleusement bien, prête à faire lamour pour léternité. Je revoyais Allen se caresser, je revoyais le sexe du cheval que jenserrai de ma main, je devinais le palefrenier labourer mes fesses… javais envie de jouir, de sexe, de plaisirs !

Cest à peine si jentendis la porte de ma chambre souvrir, impossible dans le noir de deviner qui entrait. A plat ventre sur le lit ma robe remontée sur mes cuisses, javais du mal à me mettre sur mes coudes lorsque je sentis que lon me retirait mes chaussures.

-JessJess cest toi ?

Personne ne répondit. Non ce nétait pas Jessey jaurais reconnu son odeur.

-Qui êtes-vous ? réussis-je à articuler.

Aucune réponse narriva. Je sentis linconnu prendre mes deux pieds dans ses mains et les caresser puis déposer un baiser dans le creux de ceux-ci. Mon envie de faire lamour se décupla. Puis je sentis ses mains descendre sur mes mollets, les caresser tout en écartant mes jambes. Les mains de linconnu remontèrent derrière mes cuisses jusquà mes fesses. Un instant il les malaxa, puis passa une main entre mes cuisses sur mon string. Jétais folle de désir, au point que je délirais des mots grossiers que je ne disais jamais.

Les mains habiles re-caressaient mes cuisses les écartant au maximum. Un doigt glissa entre lélastique de ma culotte et ma peau…Je nen pouvais plus jallais avoir un orgasme, je le sentais venir il éclata lorsque linconnu glissa son index dans ma vulve en feu et détrempée. Il laissa son doigt un instant enfoncé dans mon sexe humide puis il lui fit faire des va-et-vient déclenchant un nouvel orgasme terrible qui me secoua des pieds à la tête. Dieu que cétait bon. Jen voulais encore et encore. Cest alors que linconnu resserra mes cuisses afin de descendre mon string. Il le fit passer par mes pieds, jétais à présent les fesses à lair, offerte. Il dégrafa ma robe et maida à la retirer.

Qui était cet homme ? Richard ? le Palefrenier ?impossible de le savoir, mais cétait un homme qui connaissait les femmes et qui les respectait au vu de la délicatesse avec laquelle il me déshabillait. La robe passa par-dessus mes épaules. Jétais à présent nue et offerte au milieu du lit, je tendis la main vers linconnu pour mapercevoir quil était nuil était entré dans ma chambre nu. Ma main heurta son sexe tendu dans le noir. Je le saisis à pleine main sentant sa dureté. Il était bien monté. Linconnu me prit les deux seins dans ses mains et les caressa doucement sattardant sur mes tétons tendus à lextrême. Cette caresse déclencha une vague de plaisir dans mon ventre jétais sensible des seins.

Linconnu me retourna vers lui, me prit la tête entre ses mains relevant ainsi mes longs cheveux et me força à approcher ma tête de son ventre. Jappréhendais toujours la propreté dun homme dans ces moments là. Jétais difficile et exigeante sur la notion dhygiène. Lhomme sentait bon un doux parfum de bois de santal se dégageait de lui. Je sentis son sexe contre ma joue droite. Je ne pus résister à ouvrir la bouche et à mordre la tige étrangement dure comme du bois. Javais rarement connu un sexe aussi dur que celui que je mordillais à présent. Lhomme présenta son gland à lentrée de ma bouche mincitant ainsi à le prendre au fond de ma gorge, ce que je fis. Il appuya fortement ma tête enfonçant presque toute la longueur de son membre dans ma gorge déclenchant un haut le cur et une remontée de bile dans ma bouche. Il imprima un mouvement régulier de ma tête prisonnière de ses mains sur son sexe déclenchant un râle de sa part de plaisir. Afin de ne pas perdre léquilibre toujours dans ma semi inconscience jappuyais mes deux mains sur chacune de ses cuisses que je sentais musclées. Mais qui était cet homme ? Je ne le connaissais pas. Ma bouche enserrait son gland tout en laspirant. Cétait étrange, ma deuxième fellation depuis ce soir. Allait-il chercher à jouir comme cela ? Javais envie de ce sexe dans ma chatte, il était dur, musclé, le gland large et doux roulait sous ma langue. Pas un mot ne sortait de la bouche de linconnu que des sons de plaisir et des râles. Il se retira de ma bouche, me prit par les épaules et me repoussa en arrière sur le lit. Il prit mes deux chevilles et souleva mon bassin à la verticale. Jaimais cette position lorsquun homme me lèche. Il posa mes deux jambes sur ses épaules de chaque côté de sa tête et je sentis son souffle sur mon sexe baigné denvie.

Linconnu frotta son nez sur mon clito le faisant redresser puis écarta mes petites lèvres détrempées. De sa langue il remonta de mon petit trou jusquau clito provoquant un spasme dans mon ventre. De sa position il pouvait plonger sa langue dans mon sexe. Il savait merveilleusement bien sen servir, plongeant dans les limbes secrets de mon corps, remontant en se tortillant autour de mon clito que je sentais dressé comme rarement il la été puis replongeant en moi au plus profond aspirant toute la cyprine que jémettais. Jéclatais dans un orgasme violent qui me fit redresser mon corps dans des spasmes successifs. Je le sentis quil continuait à maspirer tout en glissant mon clito entre ses lèvres. Cétait merveilleux.

Je me laissais griser par ce contexte général où mon subconscient lui-même se laissait porter par ces fantaisies. Linconnu se redressa tout en maintenant mes jambes posées sur ses épaules, il ne pouvait voir mon sexe tant la chambre était baignée dans le noir le plus profond, il laurait découvert lèvres ouvertes suintant de jouissance prêt à être pénétré. Javais en cet instant lenvie plus que raisonnée dune pénétration forte. Je sentais même le sphincter de mon anus se contracter par spasmes successifs. Telle que jétais la pénétration que jattendais ne pouvait quêtre profonde et prenante. Linconnu présenta son gland à lentrée de ma petite chatte. Javais un sexe dadolescente. Cest ce qui excitait souvent les hommes. Jaimais mon sexe que je trouvais beau et bien proportionné surtout au niveau des grandes lèvres. Je le regardais souvent dans une glace surtout lors de mes épilations. Je me disais que si jétais un homme je ne ferais que le manger et le sucer.

Linconnu me pénétra pratiquement à la verticale me tirant un cri de plaisir. Cétait un moment que jappréciais tout particulièrement lorsque après un orgasme important je sentais un sexe dhomme coulisser jusquau fond de mon ventre. Cétait délicieux et souvent cela me déclenchait un nouvel orgasme. Linconnu était attentif à dégager de mon ventre un maximum de plaisir. Il pénétra en douceur, tout en pilonnant fortement enfonçant son sexe durcit et noueux le plus profondément. Chaque fois que le gland touchait le fond de mon vagin, jéclatais de plaisir et mes cris résonnaient dans la chambre. Jétais une femelle qui saccouplait sauvagement. Nos bassins ondulèrent lun contre lautre, je frottais mon sexe contre ses bourses, puis tel un marteau-piqueur il se mit à me besogner avec force et sans ménagement. Je sentis venir du fond de mon corps un orgasme puissant une nouvelle fois qui me fit hurler dans un râle indescriptible. Je secouais mon bassin, cherchant le moment où il se devait de minonder de son sperme. Je le sentis se crisper puis il éjacula par saccades le plus profondément en moi. Jétais heureuse de plaisirs et de jouissance. Nos corps restèrent collés un instant dans cette position, immobiles. Moi grande ouverte et lui en érection laissant séchapper les derniers spasmes de son sexe. Rien ne vaut une telle jouissance, instant de bonheur que le corps na pas le droit de se refuser. Jaime le sexe, cela fait partie de ma vie, de mon quotidien, mon corps en a besoin, mon moral aussi. Quiconque se refuse ce plaisir de luxure perd une partie de sa vie et de léquilibre de celle-ci.

Linconnu se retira de moi doucement, jentendis très nettement un bruit de succion lorsquil se retira de moi. Il reposa mes deux jambes sur le bord du lit, caressa de sa main mon pubis puis alla constater que mon sexe se vidait de son sperme qui sécoulait sur le couvre lit que nous navions pas eu le temps de retirer. Il se pencha vers mon ventre encore animé de spasmes et déposa un baiser sur celui-ci. Je lentendis alors se diriger vers la porte de ma chambre, jétais comme dans un brouillard, je vis un peu de lumière apparaître, puis la porte se referma. Je passais ma main sur mon front, essayant de retrouver mes esprits. Jétais bien, trop bien peut être et prête encore à faire lamour tout mon corps en réclamait. Je passais également celle-ci entre mes jambes, constatant que mon sexe était inondé de sperme gluant et déjà collant. Sans que je puisse my attendre je sombrais ainsi dans un sommeil profond en travers du lit. Je navais pas eu le temps de dire « merci » à cet inconnu qui mavait ainsi comblée.

FIN DE LA PARTIE

Suite dans « Les Fantasmes dIsabelle N°12 »

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire