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Les femmes de ma vie – Chapitre 3

Les femmes de ma vie - Chapitre 3



Solange et Carole

Solange me téléphona un samedi soir.

    « Salut Paul. Si tu es libre mardi après-midi, jai trouvé une petite blonde qui va te plaire.

— Ah ! Bon.

— Elle sappelle Carole. Elle a trente-deux ans. Cest une petite blonde avec de gros seins.

— Intéressant.

— Bi-sexuelle mais davantage lesbienne ..Et maso.

— Encore plus intéressant. Elle vient chez toi ?

— Oui. A quinze heures.

— O.K. Jarrive. »

    A cause de travaux sur lautoroute, jarrivais en retard à Lille. Mais quand Solange vint mouvrir la porte, jai compris que les deux belles avaient déjà commencé. Elle portait un déshabillé transparent, des bas et un porte-jarretelles noir. Ses un mètre soixante-quinze étaient prolongés par des chaussures à hauts talons. Ses cheveux décolorés étaient courts. La porte refermée, elle membrassa. Ce qui ma toujours étonné chez Solange, bien que plutôt dominatrice, cest la fille au baiser le plus doux que je connaisse. Elle passa devant moi dans les escaliers et je pus profiter de ses fesses rondes. Dans la chambre, un miroir couvrait toute la surface dun mur. Sur le lit au centre de la pièce, Carole nous attendait à genoux. Elle avait réuni ses cheveux blonds en deux courtes nattes. Elle était nue et je voyais ses gros seins ronds et blancs. Ses jambes écartées laissaient apparaître son sexe rasé. Ses yeux bleus me fixaient attentivement tandis que je me dévêtais.

    « Je lui ai demandé de nous attendre ainsi, mexpliqua Solange.

— Tu as bien fait. »

    Je mapprochais de la belle et lui embrassais les lèvres. Sa langue senroula à la mienne, bientôt rejointe par celle de Solange. Ma main empauma son sein droit et je sentis que Solange soccupait du coté gauche. Nous nous écartâmes de Carole et je regardais les doigts de mon amie. Ils avaient attrapé le téton et tournaient, tiraient avec une énergie qui me surprit. Si le visage de Carole restait impassible, celui de Solange reflétait un immense plaisir. Ses yeux pétillaient et un léger sourire se dessinait sur ses lèvres. Nous attrapions un bout entre le pouce et lindex en même temps, puis nous étirions le nichon. Et à chaque fois, cest moi qui stoppais le premier tandis que mon amie prolongeait de quelques secondes et quelques millimètres. Carole ne bronchait toujours pas. Solange la retourna, la tête dans les draps et les fesses dodues en lair. Mon amie et moi commencèrent la fessée. Une fois de plus, elle mit plus dardeur que moi dans sa tache. La moitié de cul à ma disposition était à peine rosie, que déjà sa moitié virait à lécarlate. Je constatais aussi que le sexe de Carole luisait dhumidité. Jessayais de suivre la cadence et la densité des coups de mon amie. Sans y parvenir. Vaincu, jabandonnais ma fessée pour me glisser derrière Solange. Je passais mes mains sous son déshabillé pour attraper ses seins lourds en poire. Je les malaxais avec énergie tandis que la grande blonde avait le champ libre pour rougir le cul de Carole. Il prit des teintes écarlates. Solange alternait les claques avec des passages délicats sur les deux mappemondes. Il fallut plusieurs minutes avant que Solange ne sessouffle. Elle attrapa alors Carole par les hanches et lallongea sur le dos. Elle lui écarta les jambes et les petites lèvres, me présentant son clitoris. Je laissais la poitrine de mon amie pour le sexe nu de Carole. Ma langue titilla le petit bouton. Solange séloigna quelques minutes, puis revint avec un vibromasseur de bonne taille.. Elle le lécha avidement en salivant. Ses yeux riaient encore. Elle le présenta devant la grotte de Carole et lintroduisit lentement. Je lui libérais la place pour lobserver. Elle agissait tout en douceur. Son sourire ne lavait pas quitté tandis que le godemiché coulissait dans la chatte. Carole, les yeux fermés, ne disait toujours rien et on nentendait que le ronronnement du vibro et un léger clapotis. Parfois les doigts de Solange samusaient sur le clitoris de son amie. Je ne sais pas par quoi elle fut avertie, mais elle sécarta légèrement juste avant quun liquide inodore ne jaillisse. Cétait un jet puissant et rond comme ceux des fontaines dans les parcs publics. Il fut suivi dun deuxième, un peu moins fourni.

    Puis tout senchaîna très vite. Pour la première fois, Carole prit linitiative. Elle coucha Solange sur le dos et se saisit du godemiché. Jen profitais pour enlever le déshabillé. Mes mains saisirent les gros seins pendant que ma bouche semparait de ses lèvres. Le sex-toy reprit son ronronnement et je devinais que Carole prodiguait à son amie la même caresse qui lavait envoyée au septième ciel. Où Solange la rejoignit très vite. Mes lèvres glissèrent sur les bourgeons dressés tandis que le plaisir clouait au lit la maîtresse de maison. Le godemiché se tut. Carole me contourna et vint sasseoir sur le visage de Solange. La douce langue sactiva dans la grotte déjà bien humide. Je me mis debout et présentais mon sexe devant le visage de la petite blonde qui le goba aussitôt. Salivant sur ma bite, elle malaxa mes couilles. Le gland décalotté gonflait ses joues. Elle enfonça le phallus presque en entier dans sa bouche, sa langue senroulant sur le bout. La sonnerie de la porte dentrée retentit alors. Vive comme léclair, Solange se redressa alors malgré Carole et moi. Elle franchit la porte de la chambre avant que je puisse réagir. Nous restâmes un peu hébétés. Puis nous reprîmes nos ébats à deux. Mais le charme était rompu et la suite fut dune banalité totale. Je ne revis pas Solange de la journée..

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