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les jouets de maman – Chapitre 1

les jouets de maman - Chapitre 1



Sous le lit de maman, je trouve une petite valise.

Je l’ouvre, mon cur se serre, je découvre une panoplie de godes de tout diamètre et de longueurs différentes.

J’en triture quelques-uns, la texture m’impressionne, la forme ressemble à de vrais pénis veineux et gonflés, je les doigte longuement.

J’en choisis un et retire mon string.

Je m’allonge sur le lit et remonte ma jupe, j’approche le bite factice de ma chatte.

Je la fais glisser sur ma fente de basse en haut, j’ai comme une décharge électrique lorsque je l’appuie sur mon clito, je me cabre de plaisir.

Je frotte plusieurs fois l’engin sur mon bouton avant de le faire pénétrer dans ma grotte.

Lentement, il s’enfonce, je ferme les yeux pendant la pénétration, je fais quelques va-et-vient, j’appuie sur le bouton de la vibration de l’engin.

Ouah ! mon corps se cabre, jamais je n’aurais imaginé que de telles vibrations pouvaient me donner un plaisir si intense.

Je commence à faire des va-et-vient de plus en plus profonds.

Les yeux fermés, je vois ma mère, les jambes largement écartées avec le gode planté.

Elle agite le membre de silicone d’avant en arrière, je l’imagine se cabrer pendant qu’elle jouit.

J’agite le gode de plus en plus rapidement en moi, je serre les dents et pousse un cri en giclant de bonheur.

Je maintiens l’engin planté en moi, j’augmente la vitesse de vibration, je gicle davantage.

Soudain, derrière moi, maman m’apostrophe:

alors, on se sert des jouets de maman !

Honteuse, je baisse la tête, je coupe la vibration, je veux retirer le gode de ma chatte.

Rapidement, maman s’assoit sur le lit et m’empêche de retirer l’engin, au contraire, elle le maintient bien profond, et dit:

Continue ma chérie, prends du plaisir, c’est trop bon !

Je suis rouge de honte, maman me fixe de son regard noir, je suis scotchée sur le lit, elle pose ses lèvres sur les miennes et me donne un furtif baiser.

Elle saisit d’une main l’engin qui est en moi et remet en fonction la vibration, elle fait de très lents va-et-vient, je ferme les yeux et commence à geindre.

De sa main libre, elle prend un vibro dans la valise, le met en marche et l’appuie sur mon clito, je frémis.

Elle fait voyager le vibro sur mon bouton, il a doublé de volume, il est devenu gros comme une cerise, je râle comme une bête blessée, elle agite férocement le gode qui me fouille, je me raidis et pousse un cri terrible de jouissance.

Oui ma chérie vide-toi, donne-moi tout !

Elle retire les deux engins et pose sa bouche avide sur ma chatte dégoulinante de cyprine.

Elle aspire le jus qui s’échappe avant d’enfoncer sa langue au plus profond du temple.

Je gémis, couine comme un animal, sa langue me fait défaillir, soudainement, elle aspire ma perle, la tète férocement, la suce comme une vorace affalée, je pousse un cri, tellement c’est puissant.

Je ne peux m’empêcher d’appuyer mes mains sur la tête de maman et de la maintenir contre mon volcan en éruption.

Je gicle plusieurs fois d’affilée, maman avale mon jus avec délectation.

Oui ma chérie, gicle encore, c’est trop bon, c’est un vrai nectar pour ma bouche !

Elle reprend en bouche ma perle gonflée et la mordille, elle la titille longuement je me cabre et ne peux m’empêcher de hurler de jouissance.

Maman, c’est trop bon, je meurs de plaisir !

Enfin, elle s’écarte de moi, pose les engins sur le lit à côté de moi.

Elle me sourit et m’embrasse fougueusement, nos langues se nouent, nos salives se mêlent, le baiser dure un bon moment, je lui rends en écrasant ses lèvres fortement.

Elle s’écarte de moi, je suis un peu déçue, car j’aime le goût de ses lèvres et de sa salive.

Elle me sourit et retire tous ses vêtements, ses seins lourds pendent, je ne peux m’empêcher de les masser un petit moment et de les embrasser, ma langue joue avec ses mamelons plantés au centre de leur aréole, ils me semblent surdimensionnés, les bouts larges et épais sont très impressionnants, je les fais gonfler davantage en les tétant.

Maman geint de bonheur et me dit:

Tu es une bonne suceuse ma chérie, tu sais faire dresser mes tétons !

Maman s’allonge sur le lit et écarte les jambes, je me place face à elle et passe ma main sur sa chatte, mes doigts taquinent son bouton qui est énorme, rapidement, sa chatte se noie, j’y enfonce deux doigts et tourne dans la gaine brûlante, maman glousse de plaisir, mes doigts s’enfoncent profondément en elle, je commence a faire un va-et-vient de plus en plus rapide.

Maman me stoppe net :

Attends ma chérie !

Elle saisit le plus gros gode, elle le pose contre son anus et pousse, elle grimace, mais l’engin s’enfonce jusqu’à la garde, dans son fondement.

Elle actionne la vibration au maximum.

Vas-y ma chérie, fouille-moi bien la chatte, tu peux y mettre toute ta main !

Je me presse d’obéir, maman écarte ses grandes lèvres avec ses mains pour faciliter la pénétration.

Mes doigts s’enfoncent en elle jusqu’à la dernière phalange, je pousse fortement, maman pousse un :

Aaaaah ! rauque lorsque ma main entière fut en elle.

Sous ses indications, je commence un va-et-vient lent au début, rapidement, elle gémit, sa bouche est grande ouverte, ses yeux grands exorbités.

J’accélère, maman agite son bassin, elle souffle fortement.

Oui oui, vas-y plus fort ma chérie !

Je la pilonne à fond, ses râles me font flipper, je tourne ma main en elle tant que je peux.

Maman grogne comme une truie en rut, ses grosses fesses s’agitent, elle pousse un cri inhumain lors de sa jouissance, sa cyprine est expulsée avec force, c’est terrible.

Je ferme le poing et la ramone sauvagement, elle a plusieurs orgasmes, elle serre les dents pour se retenir de gueuler.

De ma main libre, je fais de violents va-et-vient avec le gode qu’elle a dans le cul.

Cela a pour effet de la faire jouir davantage.

Le lit est noyé de sa cyprine, maman geint sans arrêt, ses yeux sont révulsés, elle me demande de la démonter à mort.

Fais-moi mal, ma chérie, ne me ménage pas !

Je place ma main sur l’avant-bras de ma main qui est en elle, je pousse sans un seul arrêt, ma main longe celle qui la fouille et pénètre lentement la chatte déjà occupée.

Maman crie:

Oui oui ouiiiiiii ooooooh trooop booon vaaaa à foooond !

Mais deux mains sont en elle, sa chatte détrempée est distendue, je fais un lent va-et-vient en alternance comme deux pistons.

Maman se mord la main pour étouffer ses cris, elle se cabre, j’accélère les mouvements de piston.

Elle s’arc-boute et pousse un hurlement, sa jouissance est si puissante que le gode qu’elle avait dans le cul est expulsé avec force sur le lit.

Je la ramone encore un petit moment avant de retirer mes mains de l’antre dilaté.

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