Histoires de sexe sœur Histoires de sexe voisins Histoires de tromper

Les malheurs (?) de l'avocat – Chapitre 16

Les malheurs (?) de l'avocat - Chapitre 16



LA SOIRÉE AVEC LUC

Pendant le repas, Luc plaisante avec les femmes. André lui, narrive pas à se décontracter. Comment la soirée se déroulera ? Qui va faire le premier pas ? Lui ? Non ! Il nest pas à lorigine de linvitation. Ce nest pas parce quil brûle de subir une étreinte combinée quil doit prendre linitiative.

— Ce jeune homme nous a révélé que tu avais une jeune stagiaire, le taquine Odile. Tu tes bien gardé de nous en parler.

— Euh Il ny a rien à en dire.

Martine met son grain de sel.

— Luc, toi tu me répondras, elle est jolie ?

— Oui.

— Plus que moi ?

— Quand même pas, répond-il galant.

— Hum, aussi menteur lun que lautre !

— Allons au salon propose Odile, je compte sur toi Luc pour me raconter des anecdotes croustillantes sur ce qui se passe au bureau. André refuse de nous en parler.

— Vous vous méprenez, je vous assure que nous travaillons dur.

— Tout le temps ? Cette blague ! se moque Martine en lorgnant sur son père qui détourne le regard.

Luc jette un coup dil à André. Doit-il révéler ce quil se passe au bureau ? Il décide que non même si elles sont au courant.

— Euh Il nous arrive de nous détendre.

— Ah quand même !

— Euh Entre stagiaires Mais cela ne va jamais très loin.

André sent le rouge de la confusion monter au visage. Par chance personne ne le regarde. Il se dirige vers le canapé deux places mais sarrête brusquement : Luc le nargue avec un petit sourire. Le garçon na pas oublié que cest là que les choses sérieuses ont commencé lors de sa première visite, découvre André, mais ne la-t-on pas invité pour ça ? Avec un regard défi au garçon il sassied. Ingrid se campe au milieu du salon.

— Dis Luc, tu dis comment tu as fait à André le premier fois tu viens ?

Luc avale sec. Il ne sattendait pas à une attaque aussi directe. Il cherche lavocat du regard, mais celui-ci détourne les yeux.

— Oui, enchaine Martine, jai pas bien compris. A un moment je me suis levée. Papa tu tenais le Euh Tu caressais Luc.

— Oh ! Tu avais vu ? Je croyais

— Tu croyais que javais rien remarqué ? Tu sais, tu te cachais mal !

André rougit. Même sa femme voyait alors. Bah ! Ce nest plus grave Au point où ils en sont cela na plus dimportance.

— Quand je suis revenue quelques minutes plus tard, poursuit Martine, cétait le contraire ! Cest toi qui lui as demandé ?

— Euh Non.

— André a eu la bonté de se prêter à mon caprice, déclare le garçon.

— Ah ! Je nai pas vu ! regrette Ingrid. Quand jouvre un peu la porte, André est à genoux sur le canapé et toi aussi Martine. Vous montrez ?

— Pourquoi pas ? intervient Odile, moi non plus je nai pas bien vu.

André hésite. Est-ce que ce préambule prépare la partie intéressante de la soirée ou nest quun prétexte pour se moquer de lui ? Il décide de faire confiance à limagination dIngrid et sagenouille sur la banquette.

— Tu nétais pas habillé pareil !

— En effet, précise Luc, il navait plus de pantalon.

— Ni de slip Papa.

— Quest-ce que tu attends mon chéri ?

Il réalise quon lui demande de se déshabiller. Devant Luc !

— Je Je

— Nous sommes entre nous, je suis sûre que Luc ne se formalisera pas.

— Pas du tout, affirme le garçon.

— Alors ?

Avec un soupir, André quitte le pantalon. Martine fronce le sourcil. Lavocat soupire une nouvelle fois et ôtes le slip quIngrid sempresse de confisquer. Il remonte sur le canapé.

— Dire que jai manqué ce spectacle ! sourit Odile à la vue des fesses de son mari. Le canapé était tourné dans lautre sens !

— Vous voulez quon le mette pareil ?

— Non, jai compris, déclare Ingrid. Il nest pas besoin de montrer plus. Je propose un scénario autre. Dabord nous déshabillons Pas daccord ?

— Euh Si, acquiesce Odile.

— Tu attends quoi Martine ? Et toi Luc ?

Après un petit moment de gêne les participants ôtent leurs vêtements que la fille au pair dépose avec soin sur une chaise.

— Tu souviens André, samedi jai dit je voulais essayer toi avec un vrai zob.

— Euh

— Luc, tu veux mettre dans le cul dAndré ?

— Euh Ou Oui, bafouille le garçon surpris par la franchise de la fille au pair.

— Bon ! Martine, tu prends de la crème sil te plait. Toi, André, tu penches contre le canapé.

Lavocat obéit. Il est un peu déçu que ce ne soit pas sa fille qui le reçoive mais la promesse de létreinte combinée le fait trembler dimpatience.

— Bien ! Ah ! Merci Martine Tu tartines le cul Oui Tu mets sur le zob Luc aime, nest-ce pas ?

Un grognement de satisfaction lui répond. Odile, amusée par le spectacle sinstalle confortablement sur le grand canapé. Cela ressemble aux séances avec Gérard, juge-t-elle, mais André semble plus décontracté.

— Martine ! Tu écartes les fesses comme moi.

Les deux filles tirent sur les lobes découvrant lanus.

— Luc, tu entres !

— Haan !

— Mmmh !

— Bon ! Tu retires Luc ! Non ! Avec André ! Tu laisses le place pour moi.

Elle sallonge à moitié sur la banquette les cuisses écartées.

— André ! Tu vises bien !

Luc pousse lavocat qui guide sa verge en position.

— Ouiii ! Maintenant nous parlons plus !

La pièce semplit de soupirs et de gémissements. Martine sinstalle auprès de sa mère.

— Ça ne te fait rien de les voir se comporter comme des bêtes ?

Surprise Odile scrute le visage de sa fille.

— Quest-ce que tu as ? Tu es jalouse ?

— Oh non ! Mais leur comportement me dégoutte.

— Regarde-moi ! Si ! Tu es jalouse ! Tu aimerais être à la place dIngrid nest-ce pas ?

— Oh non !

— Alors ? Que veux-tu ? Ah je comprends, tu voudrais disposer de Luc, lavoir à toi toute seule Cest pas la vérité ?

La jeune fille cache sa figure contre lépaule de sa mère.

— Sois tranquille, je ne te le disputerai pas quand ils auront fini.

Ingrid est en plein délire.

— Ouiii ! Jamais tu fais jouir pareil ! Aaaah !

— On le saura quelle prend son pied celle-là ! Cest pas encore fini ? marmonne Martine.

— Patience ma fille, cela ne saurait tarder, regarde comme ils accélèrent.

En effet, après quelques violents coups de rein Luc se raidit et éjacule avec un cri rauque, suivi par André. La jeune fille se précipite et entraîne le garçon avec elle sur le canapé de sa mère. Odile sapproche du couple. Elle retire son mari et se penche sur la fille au pair. Ingrid épuisée par plusieurs orgasmes, respire à petits coups.

— On dirait que ça ta plu ! Je croyais quavec André tu ne parvenais pas à jouir.

— Comme ça si ! Oh ! Que cest bon ! Tu essayeras Odile.

Avec peine elle se lève.

— Je remercie tous les deux. Vous Vous êtes des amours !

— De rien, déclare Luc. Tout à ta disposition.

— Ah non ! Elle a eu son tour celle-là ! rouspète Martine.

— Tu ne fâches pas ! Je laisse.

Elle sort de la pièce. Odile sempresse auprès de son époux. Martine samuse à chatouiller Luc.

— Hi ! Arrête !

Elle persévère. Le garçon se protège comme il peut.

— Si tu ne cesses pas, je te flanque une fessée.

— Chiche !

Au lieu de la correction promise, il lenlace et lembrasse sur la bouche. Ingrid revient avec un plateau couvert de verres pleins.

— Vous tenez ! Comme ça tu es tranquille !

Martine termine rapidement son verre et taquine Luc. Elle samuse à pincer les tétons.

— Ouille tu fais mal !

La main descend sur le ventre, les doigts sentortillent dans les poils. Martine fouille entre les cuisses.

— Tu ne maimes pas ? Ah ! Quand même !

Luc ne bouge plus, le verre à moitié vide en lair. Il cherche à le reposer mais Martine le repousse sur le canapé. Ingrid a pitié de lui et le débarrasse. Délivré du souci de ne pas renverser de boisson, Luc retourne la jeune fille et claque une fesse :

— Aïe ! Ça va pas non ?

— Je te lavais promis !

Les deux jeunes se chamaillent sous lil amusé dAndré et Odile. Martine veut rendre la fessée, Luc la maîtrise sans peine. Peu à peu les gestes sadoucissent et terminent en caresse. Un long baiser clôt le différent. Ingrid sapproche dAndré.

— Tu mérites un gros merci.

Elle sagenouille entre les cuisses. Elle prend la verge souple et la porte en bouche.

— Hé ! Tu as déjà eu ta part !

— Tu calmes Odile ! Je prépare pour toi.

— Je nai pas besoin de ton aide, merci.

Elle essaye de confisquer la verge. Sur lautre canapé, le couple nen est plus aux préliminaires. Martine se couche en travers et attire Luc contre elle. André fronce les sourcils.

— Quest-ce quelle lui trouve ? grommelle-t-il apparemment indiffèrent à la dispute autour de son sexe.

Tel quil est placé, Luc lui offre une vue imprenable sur ses fesses. Sa verge fait un bond. Ingrid devine la raison du regain de vigueur.

— Le gros nounours veut mettre dans le cul de Luc, nest-ce pas ?

Elle masturbe doucement la tige. Odile renchérit.

— Tu veux lenculer, le punir de baiser ta fille ?

— Tu veux venger toi ! Tu es raison, tu profites.

André est alléché à la perspective de se faire le garçon.

— Si tu veux Je ne ten empêche pas, lencourage Odile.

André les yeux rivés sur les fesses qui sagitent, se lève. Il naura pas de meilleures occasions de se venger des humiliations subies.

— Tu attends ! Tu nes pas prêt ! Odile tu aides.

Les deux femmes sactivent sur la verge qui grossit. Enfin, elles le libèrent. Il est temps, soupire-t-il. Martine gémit sous les coups de rein de son partenaire. André sapproche la pine en avant. Ingrid écarte les fesses de Luc.

— Que Que faites-vous !

Martine sentant le garçon se retirer, noue bras et jambes autour de lui.

— Ah non ! Tu ten vas pas !

— Tu le tiens bien, ordonne Ingrid.

— Que faites-vous ? gémit le prisonnier.

Ingrid tartine le cul de crème.

— Oh non ! Pas ça !

— Mais si, mais si !

— Quest-ce que vous lui faites, je vois rien, se plaint Martine.

— Ton père il veut participer.

— Non Non pas ça ! Je vous en supplie ! Pitié ! pleurniche Luc.

André avance. De la pitié ? Il nen est pas question, pense-t-il. Le garçon a-t-il eu pitié pour lenculer lui ? Non. Pourquoi donc aurait-on pitié de lui ? Le gland touche lanus.

— Non, non ! Pas ça ! Jai jamais fait !

— Oh ! Un dépucelage ! Tu es chancé André ! Tu profites bien !

— Je vous en supplie Je veux pas, je veux pas Haassshh ! Je veux pas

— Tu es trop tard, le renseigne Ingrid. André est entré.

— Oh ! Cest pas vrai ?

— Si, jassure ! Tu nas pas senti ?

Si, mais il pensait avoir plus mal. André se retire de quelques centimètres.

— Oooh !

— Ça va Luc ? sinquiète Odile.

— No Non.

— As-tu mal ?

— Euh Je sais pas !

— Rien de grave alors. Tu peux continuer mon chéri.

André senfonce à nouveau.

— Ouch !

— Ne me laisse pas en plan, fais-moi jouir ! ordonne Martine.

Luc donne un premier coup de rein puis un autre.

— Aaaah !

— Tu vas à ton rythme, conseille André, je te suivrai.

Enfin ! Il se paye Luc ! Ce nest pas trop tôt ! Une chance quil ait baisé Ingrid avant, sinon la joie laurait fait éjaculer dès lintroduction ! Ceut été dommage, il faut que le garçon ait le temps de ressentir leffet ! Il fait attention de suivre les mouvements de sa « victime ». Celle-ci donne quelques coups de rein. Plus de douleur. La verge dilate son cul mais cela ne lui fait pas mal, Cest même agréable cette grosseur qui lencombre. Luc senhardit et amplifie ses mouvements.

— Ouii ! hurle Martine Encore ! Aaaah !

André est un peu jaloux, sa fille a lair de jouir plus fort que lors de la séance du godemiché On verra bien quand ce sera son tour de la baiser tout en étant enculé ! De penser à Martine lui fait perdre le rythme. Un mouvement plus vif du garçon le désarçonne.

— Zut ! Excuse-moi ! Arrête un instant ! Han !

André reprend place. Luc soupire de satisfaction.

— Aaaah !

— Ouiiiii ! conclut Martine.

Ingrid saccroupit à coté dOdile sur lautre canapé.

— Tu sais, cest beaucoup bon faire lamour comme ça ! Le zob vibre joliment ! Tu dois essayer.

— Je ne sais pas Dis, tu me laisses Luc quand ils auront terminé ?

— Je crois André pas capable un troisième coup.

— Oh ! Je naurais pas besoin de lui.

— Tu veux Luc te donne un gros plaisir comme le premier fois ?

Odile ne répond pas et attire Ingrid contre elle. Les gémissements samplifient, dominés par la voix stridente de Martine en plein délire. André seffondre le premier. Sa queue glisse hors de lorifice. La sensation de vide déclenche léjaculation de Luc accompagnée par un dernier orgasme de la jeune fille.

Le calme soudain semble incongru. Ingrid écarte André puis Luc.

— Alors ? Tu dis quoi ?

— Je Je savais pas

— Tu vois, tu es raison de venir, tu complètes la éducation.

Le garçon sassied avec précaution, ça va, il na pas mal. Ingrid emmène Martine. Elles reviennent quelques minutes plus tard avec des sandwichs et de la boisson

Odile sempresse auprès de Luc. Cela fait ricaner André : elle sapprête à le tromper avec le garçon. Tromper ? Le terme nest pas exact car cela supposerait une dissimulation, inexistante dans le cas présent. Ah ! On peut dire que la première visite du garçon a changé bien des choses dans leur famille ! Il esquisse une grimace de contrariété : il devrait en être fâché mais ny arrive pas ! Il est tombé bien bas ! Offrir sa femme et sa fille à la lubricité dun garnement juste pour le plaisir de sentir une queue dans son cul ! Le plaisir éprouvé tout à lheure lorsquil était en sandwich entre Luc et Ingrid vaut largement ce sacrifice ! Il est prêt à le renouveler Aussi souvent que possible ! Il regarde avec envie la verge du garçon prendre forme entre les doigts dOdile. Lui en serait incapable si vite ! Oui, de quel droit empêcherait-il sa femme de chercher un plaisir quil ne peut lui donner ? Il sinstalle confortablement pour assister à létreinte. Il nest pas le seul ! Martine et Ingrid enlacées se câlinent en admirant le couple. Il leur sourit

Les fesses du garçon qui sagitent entre les cuisses dOdile réveillent sa libido. Parviendrait-il à enculer Luc une deuxième fois ? Non, son sexe ne raidira pas à temps, il vaut mieux se réserver pour sa femme dans leur chambre. Quelle meilleure manière de couronner une soirée réussie quune étreinte conjugale ? Il caresse doucement sa queue pour maintenir lexcitation

Odile essoufflée après les orgasmes éprouvés sourit à son mari qui se penche sur elle.

— Viens ma chérie. Laissons ces jeunes gens samuser entre eux. Il est temps pour nous de rejoindre notre chambre.

Elle se laisse entraîner. André la couche et se glisse auprès delle. Il cherche à lembrasser.

— Tu Tu ne men veux pas ?

— De quoi ? Que tu aies pris du plaisir entre les bras de Luc ? Nétait-ce pas prévu ?

Il lembrasse. La verge raide presse sur le ventre.

— Oh ! Tu aurais envie de ta femme après Ingrid et Luc ?

— Je ne peux rien te cacher Tu veux bien ?

Sans répondre, elle glisse sous lui et présente la queue entre ses cuisses.

— Ooooh !

— Quas-tu mon chéri ?

Il nose avouer la délicieuse sensation qui a enveloppé sa verge quand elle sest introduite dans le vagin rempli de la semence du garçon !

— Je taime Han !

— Moi au Aussi ! Mmmh !

A suivre

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire