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Les minettes du Val de Saône – Chapitre 4

Les minettes du Val de Saône - Chapitre 4



C’est Noémie qui m’a réveillé de ma sieste en venant s’allonger sur moi. J’ai ouvert les yeux en sursautant.

J’ai dormi combien de temps ? ai-je demandé.

Trop longtemps. Il faut que vous me baisiez, m’a-t-elle répondu avec un sourire coquin.

Mes mains étaient venues se poser sur ses hanches, et je suis descendu lentement caresser ses fesses.

Je ne te baiserai pas.

Quoi ? Mais pourquoi ?

Pas tant que t’arrêteras pas de me vouvoyer.

Comme vous voudrez, m’a-t-elle répondu avec un air de défi.

J’ai claqué ses fesses. Trois claques vives. Noémie n’a pas eu l’air dérangée, elle a souri en se mordant la lèvre. Je lui ai claqué à nouveau le cul, quatre ou cinq fois, plus fort encore cette fois.

D’accord, d’accord, a-t-elle fini par dire, j’abandonne. Mais baise-moi alors. Regarde comme je mouille.

Elle avait attrapé l’une de mes mains et l’avait glissé entre ses cuisses, puis fourré sous le tissu de son maillot de bain. J’ai pu effectivement constater que mes doigts glissaient incroyablement bien entre ses lèvres, et que son clitoris était déjà dressé fièrement. J’ai joué avec son bouton du bout du doigt, et elle s’est immédiatement mise à gémir doucement, et à remuer son corps de rêve contre le mien.

Je veux te sentir en moi, m’a-t-elle dit en chuchotant et glissant elle aussi sa main dans mon short de bain.

Il faut que j’aille chercher une capote.

Noémie a grogné, mais n’a pas bougé, et a continué d’onduler son corps contre le mien.

Nadia, a-t-elle dit, capote !

J’avais oublié Nadia, et ai vu son petit corps se lever, juste à côté de mon transat. Toujours seins nus, elle est allée fouiller dans son sac, a jeté une capote à sa copine, et s’est à nouveau allongée à côté de nous, sur le dos, lunettes de soleil sur le nez.

Enfile ça, m’a dit Noémie en me donnant le préservatif, et enfile-moi !

Je me suis exécuté et j’ai enrobé mon sexe de latex, puis Noémie s’en est saisi d’une main. De l’autre, elle a écarté le bout de tissu qui recouvrait son sexe à elle, et elle est venue s’empaler sur moi. Elle a lâché un long gémissement, au fur et à mesure que je m’enfonçais en elle, jusqu’à ce que je sois en elle jusqu’à la garde.

Putain ce que c’est bon ! a-t-elle soufflé, les yeux fermés.

Et elle a commencé à aller et venir sur mon membre, ses mains posées sur mon torse. Mes mains à moi caressaient tout son corps, de ses fesses que je claquais gentiment, remontant sur ses seins que je pinçais doucement à travers le maillot de bain, et jusqu’à sa gorge, que j’attrapais et serrais entre mes doigts, ce qui la faisait gémir encore plus.

Noémie s’est redressée, et a accéléré le rythme. J’ai pu avoir accès à son entrejambe, et du bout du doigt, je suis allé titiller son clitoris. Les gémissements de Noémie sont devenus des grognements, puis des cris.

Ne jouis pas encore, lui ai-je dit en chuchotant. Si tu jouis, je te punirai.

Elle m’a regardé avec un sourire, puis a attrapé mon poignet qui continuait son uvre entre ses cuisses pour me faire arrêter.

Sadique, m’a-t-elle lancé avant de venir m’embrasser.

Son rythme a ralenti, mais elle ne s’est pas arrêtée pour autant de remuer contre mon bassin. Je tripotais allègrement ses seins quand mon regard s’est porté sur Nadia à côté de nous. La copine, toujours sur le dos, avait pris l’un de ses gros seins dans ses mains, tandis que l’autre s’était aventurée dans le bas de son bikini.

Eh bah ! a dit Noémie, qui avait suivi mon regard.

Tsss, a fait Nadia. C’est de votre faute, les amoureux, vous m’avez fait envie.

T’en veux ?

Décidément, c’était une habitude, chez Noémie, de vouloir tout partager à ce point ! J’avoue que je n’étais pas contre l’idée. Nadia était très belle et si j’en avais l’occasion, je n’aurais pas dit non.

Je ne sais pas, a répondu Nadia.

Moi je sais que t’en veux.

Noémie s’est alors relevée, retirant mon sexe du sien, et est allée s’allonger auprès de sa copine, nous laissant ainsi seuls, mon érection et moi. Elle a immédiatement fourré sa main dans le maillot de Nadia, et les deux se sont mises à rire, puis à se dire des choses à l’oreille. Encore des secrets. Noémie m’a ensuite regardé et m’a dit :

On peut peut-être aller dans ta chambre ?

Les deux filles se sont levées et je les ai menées jusqu’à ma chambre. J’avais encore le préservatif sur mon sexe légèrement débandé en arrivant dans la pièce. Noémie s’est jetée sur le lit, rapidement suivie par Nadia, et les deux filles ont rigolé un instant avant d’échanger un langoureux baiser. Puis elles ont retiré ce qui leur restait de maillot de bain, et se sont assises nues sur le bord du matelas. Quelles beautés ! Connaissant déjà un petit peu le corps de Noémie, bien qu’il m’en reste beaucoup à découvrir, mon regard s’est focalisé sur celui que je connaissais le moins. Et Nadia, vraiment, je le répète, quelle beauté ! Ses seins lourds aux tétons dardés, ses hanches larges qui ne demandaient qu’à être agrippées, et son ventre sur lequel mes yeux glissaient pour aller trouver un sexe aux lèvres gonflées et surmontées d’un joli buisson entretenu. Et ses yeux. Le vert de ses yeux me figeait sur place.

Avec un sourire et sa main tendue vers moi, Noémie m’a invité à me rapprocher d’elles. Elle m’a immédiatement saisi par le sexe, et a retiré le préservatif. Je n’avais pas perdu tant de vigueur que ça. Ses doigts sont montés et descendus un instant sur mon membre, puis c’est sa bouche qui est venue s’en occuper. Nadia s’est rapprochée de nous, et j’ai senti sa langue venir titiller ma hampe et mes bourses. Fellation à deux bouches, merveille du Monde ! Puis elles ont échangé. Nadia m’a pris en bouche et Noémie s’est occupée du reste. Et elles ont valsé ainsi quelques minutes, jusqu’à ce que, sentant l’orgasme pointer le bout de son nez, j’ai prévenu mes compagnes, qui m’ont immédiatement lâché.

Attends un peu, a dit Noémie. Tu vas baiser ma copine, il te faut des ressources. En attendant, tu peux nous regarder.

Je suis resté debout, nu, bandant à mort, tandis que Nadia s’allongeait sur le dos, cuisses ouvertes, et que Noémie, après avoir embrassé à nouveau sa copine, descendait le long de son corps. A quatre pattes sur le lit, elle a fourré son visage entre les cuisses de Nadia, et a commencé ce que j’imaginais être un travail de langue. Les résultats se sont rapidement fait entendre, et Nadia s’est mise à gémir. Bon sang que c’était beau. Le corps blanc de Noémie contrastait avec celui plus bronzé de Nadia, et les deux filles se mêlaient l’une à l’autre dans un mélange de gémissements et de bruits humides que devaient produire les doigts de l’une dans le sexe de l’autre.

Comment rester de marbre face à ce beau spectacle ? En tout cas, moi, je n’ai pas pu. Je me suis approché du lit, et posé une main sur la poitrine de Nadia, puis l’autre sur la croupe de Noémie. Je les ai caressées toutes les deux un instant, avant de délaisser Nadia et me concentrer sur la croupe de Noémie. Ces jolies fesses me faisaient de l’il. Je les ai caressées un instant, avant d’y planter mes griffes, puis de les claquer. Trois ou quatre fois seulement, et c’était suffisant pour y laisser une marque rose. J’ai alors collé ma bouche dessus, et je l’ai embrassée, mordillée, léchée. Ma langue a glissé entre ses fesses, j’ai léché son petit trou un instant avant de glisser plus bas, jusqu’à sa fente déjà dégoulinante. J’ai pris soin de la boire, entièrement, allant chercher du bout de ma langue, et de mes doigts, toute cette liqueur que je me faisais un plaisir d’avaler. Puis je me suis concentré sur son clitoris.

La chambre résonnait de nos grognements de plaisir. Lécher Noémie me faisait grogner, et la faisait grogner aussi, et elle-même faisait grogner Nadia avec sa langue. Puis les grognements sont devenus des gémissements, et des cris. Je crois que Nadia a joui la première, mais a été rapidement suivie par Noémie, dont j’ai senti le corps se contracter au-dessus de moi. J’ai continué à la lécher, et à sucer son clitoris, et j’aurais pu continuer longtemps, la faire jouir encore plusieurs fois, si elle ne m’avait pas arrêté.

Elle est prête, m’a-t-elle dit à voix basse en se relevant, viens la prendre.

Je ne me suis pas fait prier. J’ai pris la place de Noémie entre les cuisses de Nadia, et me suis penché pour embrasser celle-ci. Notre premier baiser, un baiser langoureux et humide. Nadia m’a tendu un préservatif, a ouvert ses cuisses en grand, et après m’être protégé, j’ai posé mon sexe contre le sien, gonflé de désir, luisant de mouille. J’ai voulu pousser pour la pénétrer, mais Noémie a saisi mon sexe, m’empêchant de faire mon uvre.

Il y a juste un truc que je ne t’ai pas dit, a-t-elle ajouté sans lâcher mon sexe, c’est que Nadia est vierge.

J’ai dû faire une tête bizarre, parce qu’elles ont toutes les deux rigolé, avant que Noémie ne rajoute.

Elle veut se préserver pour le mariage. Une question de coutume, je crois. Mais elle se fait prendre le cul depuis des années…

Et comme pour m’apporter la preuve de ses dires, elle a glissé mon sexe plus bas, entre les fesses de sa copine. J’ai senti mon gland buter contre son anus. J’ai hésité un moment, puis ai regardé Nadia. Elle arborait un sourire qui aurait pu me faire jouir immédiatement.

Encule-moi, m’a-t-elle dit à voix basse.

Encore une fois, comment résister ? Mes mains sur ses hanches, j’ai poussé. J’ai senti son sphincter se relâcher, son orifice s’ouvrir, et je me suis senti glisser dedans, comme aspiré. En un rien de temps, je me suis retrouvé enfoncé entièrement entre ses fesses. Une chose était sûre, elle n’en était effectivement pas à sa première sodomie. Ou bien Noémie avait fait un travail plus que remarquable. Et une fois bien en place, les mains toujours sur ses hanches, j’ai commencé à aller et venir. Nadia a commencé à gémir, grimaçant par moments.

Putain, a-t-elle soufflé, elle est grosse quand même.

Je te l’avais dit ou pas ? a répondu Noémie dans mon dos.

Je n’ai pas écouté leur conversation plus longtemps, concentré sur les coups de reins que j’envoyais entre les fesses de Nadia. Le spectacle était magnifique à voir. Sa chatte perlait de gouttes de plaisir tandis que mon sexe disparaissait dans son cul avant de réapparaitre comme par magie.

Noémie nous a rapidement rejoints. Elle est venue chevaucher le visage de son amie, frottant allègrement son sexe contre sa bouche, puis s’est penchée en avant pour venir la lécher en contrepartie. En position de soixante-neuf, les deux filles prouvaient leur amitié à grands coups de langue, tandis que j’enculais cette fille que je ne connaissais que depuis deux heures. La situation ressemblait au paradis, et je me suis demandé un instant si je n’étais pas mort. Les doigts de Noémie caressant mon ventre, mes cuisses et mes bourses m’ont prouvé le contraire.

Je pénétrais maintenant Nadia de toutes mes forces. Je l’entendais crier, malgré Noémie assise sur son visage. Je me suis demandé, l’espace d’un instant, si je n’étais pas en train de ravager son derrière, si ses cris étaient des cris de douleur ou de plaisir. Ça m’a refroidi un instant, et j’ai ralenti la cadence, puis je l’ai entendu crier plus fort encore, et son corps s’est tendu, comme traverser par un éclair. La langue de Noémie sur son clito, et peut-être aussi ses trois doigts enfoncés dans son vagin, avaient fait son uvre, et Nadia venait de jouir avec force. Il ne m’en fallait pas beaucoup plus pour me mener moi aussi à l’orgasme.

Les filles… Ooh… Les filles vous allez me faire jouir, ai-je péniblement articulé.

Jouis sur moi, a alors répondu Noémie qui avait lâché le clitoris de sa copine un instant.

J’ai encore baisé Nadia un moment, jusqu’à me retrouver au bord de l’explosion. Je me suis retiré au tout dernier moment, et j’ai retiré le caoutchouc sur mon sexe avant d’éjaculer sur le visage de Noémie. Oh putain, qu’est-ce que c’était bon ! Je grognais comme un animal en rut, recouvrant ce joli visage d’ange d’une semence chaude et collante. Noémie s’en est régalée. Je l’ai regardée ouvrir sa bouche en grand, sortir sa langue pour en récupérer autant que possible, laissant le reste dégouliner sur le sexe de sa copine. Bon sang, sa dépravation m’excitait tellement.

Le visage maculé, Noémie s’est relevée et, comme un peu plus tôt dans la piscine, est allée embrasser son amie pour partager sa récolte. Moi, ébahi, admiratif, je les ai regardées en reprenant mon souffle. Puis on est allé prendre une douche bien méritée, tous les trois ensembles. La douche de mes parents n’était pas très spacieuse, on a dû se serrer, et cela ne nous a pas encouragés à rester sages. Des doigts se sont faufilés, des langues ont dansé ensemble, des gémissements ont résonné. Rien d’illogique lorsque l’on prend sa douche avec deux beautés comme Noémie et Nadia.

Après la douche, on est retournés dehors, profité du soleil, et lorsqu’il a commencé à se cacher, Nadia a décidé de rentrer chez elle.

Merci pour la journée, a-t-elle dit avec un sourire.

Reviens quand tu veux, lui ai-je répondu avec le même sourire. C’était un plaisir !

Noémie s’est levée de son transat pour embrasser sa copine, lui promettant qu’elles se verraient demain. Puis elle s’est tournée vers moi, et m’a regardé avec un petit sourire en coin.

Et moi tu m’autorises à rester ?

Evidemment ! Autant de temps que tu voudras.

Même cette nuit ?

Surtout cette nuit ! ai-je répondu en riant.

Ma chère Noémie, sais-tu à quoi tu t’exposes en passant la nuit dans mes draps ?

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