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Les métamorphoses de Sylvie – Chapitre 28

Les métamorphoses de Sylvie - Chapitre 28



.28 – La suite bien douce du vendredi mémorable.

Sans me quitter d’un pouce, il s’est agenouillé sur le lit et il a fait basculer mon bassin vers le haut. J’ai compris qu’il voulait que son sperme reste dans moi au lieu de se répandre dans le lit. Il a tout doucement retiré son sexe du mien, bien que j’aie tenté de le retenir en moi en m’accrochant des deux mains après son gros bâton de chair, mais il m’a souri et il a continué. Quand il est sorti en totalité de moi, je me suis rendu compte que mon sexe était complètement rempli de son jus d’amour.

Je me demandais bien ce qu’il voulait faire.

Là, ce fut dément : il a posé ses lèvres sur celle de mon sexe, pour le clore, en quelque sorte, puis il m’a prise dans ses bras et m’a fait faire une sorte de demi-tour acrobatique vers le haut, de telle manière que j’étais à la verticale, mon sexe sur sa bouche, mes cuisses sur ses épaules. Il m’a aspiré tout ce qu’il avait mis en moi et, avec sa langue infernale, il me léchait à l’intérieur. Inutile de dire que je suis repartie bien haut dans mon orgasme.

Lorsqu’il a estimé qu’il avait récupéré tout le contenu de mon sexe, il m’a doucement reposée, le dos sur le matelas. Il a rampé le long de mon corps et il m’a fait un énorme baiser d’amour sur les lèvres, au cours duquel il m’a transmis une bonne partie de ce qu’il avait dans sa bouche.

J’ai tout pris, tout bu puis je lui ai demandé :

Tu n’as pas un peu peur que ce soit sale ?

Il a ri :

Ma chérie, rien de ce qui vient de toi ou de moi ne peut être sale. En revanche, si tu voulais me nettoyer un peu…

En disant ça, il regardait sa verge qui était encore enduite du produit de nos émotions.

Sans lui répondre, je me suis allongée près d’elle et je l’ai léchée. Quand j’ai terminé, je lui ai dit, en le regardant :

Voilà ! Tu es tout propre aussi.

Un long baiser d’amour nous a réunis. Après, il m’a dit une phrase que je n’oublierai jamais :

Sylvie, je n’ai jamais ressenti avec aucune autre femme ce que je peux sentir avec toi. Tu es merveilleuse. Je ne me suis pas trompé en te disant que tu étais la déesse de l’amour et du sexe.

Nous nous sommes allongés l’un contre l’autre et il m’a serrée dans ses bras. J’étais bien, je sentais que ma place était là, près de lui, bien au chaud au creux de ses bras. Nous étions côte à côte, nus, évidemment, encore engourdis dans la douce torpeur qui suit l’orgasme ; il a eu un geste qui m’a bouleversé.

Très tendrement, il a pris mon visage dans sa main et il l’a tourné vers lui. Il m’a longuement fixée dans les yeux, puis il m’a embrassée très délicatement sur les lèvres. J’ai eu l’impression que, en même temps, il me disait « Je t’aime » mais de telle manière que je ne pouvais pas le comprendre puisque ses lèvres étaient occupées à caresser les miennes. J’ai bien ressenti la tendresse qu’il a mise dans ses gestes ; j’étais tellement émue que j’ai fermé les yeux. Quand je les ai rouverts, j’ai à mon tour mis mon bras autour de son cou puis je lui ai caressé le dos. J’ai placé mon autre main, qui était un peu gênée puisque j’étais à moitié couchée dessus, sur son torse et j’ai caressé ses muscles. Il a reculé sa tête, a pris la mienne dans ses deux mains, m’a de nouveau regardée droit dans les yeux puis m’a dit :

Arrête, Sylvie ! Si tu continues, je ne réponds plus de rien, mais cette fois c’est à ton petit trou que je m’en prends. Sois raisonnable pour nous deux !

Marc, je n’ai pas envie d’être raisonnable ! Tu veux mon petit trou ? Je te le donne ! Tu préfères que je reste sur le dos ou que je me mette à quatre pattes ?

Il sourit et enfonça sa tête entre mes deux seins. Il déposa de petits baisers nombreux à cet endroit puis il me déclara d’une voix rauque :

Tu veux nous tuer ? Bon, attends ! Ça va être ta fête !

Il me mit délicatement sur le dos puis il s’est installé dans la fourche de mes jambes. Avec sa bouche et surtout sa langue diabolique, il m’a humidifié le sexe et l’anus. Je sentais que je m’ouvrais de plus en plus. Il a glissé un doigt puis deux puis trois dans chacun de mes orifices, certainement pour voir à quel point j’étais ouverte. Il s’est arrêté et m’a dit :

Ouvre-toi bien, je vais te faire goûter à quelque chose que tu n’as certainement jamais essayé.

C’était sûr, je n’avais jamais essayé ça. Il s’est enfoncé d’abord dans mon sexe, doucement mais jusqu’au fond. J’ai senti mes liquides habituels qui facilitaient son introduction, puis il a lentement reculé et il s’est posté en face mon petit trou. J’ai écarté mes fesses avec mes mains pour ouvrir mon cul, je n’avais aucun autre mot à ma disposition à cet instant-là, afin qu’il s’enfonce dedans. C’est ce qu’il a fait, en progressant plus lentement que par devant, puis il est sorti tout aussi doucement et il est revenu dans mon sexe. J’avais des sensations que je n’avais jamais connues. Il s’est retiré une nouvelle fois puis il est revenu dans mon petit trou. A partir de là c’est devenu du délire : il m’a mis alternativement son énormité tantôt dans un de mes orifices, tantôt dans l’autre, en faisant tout doucement. Il a un peu augmenté le rythme de ses pénétrations-sorties et je me suis mise à crier pour qu’il aille plus vite, plus profond.

Au bout d’un moment, il a joint ses hurlements aux miens, en entrant de plus en plus violemment et en sortant tout aussi rapidement en alternant les orifices qu’il pénétrait. Ça a duré un bon quart d’heure jusqu’au moment où j’ai entendu quelqu’un qui disait en anglais :

J’arrive ! Tenez bon.

C’était le patron des ouvriers qui installait mon magasin, armé d’une barre de fer, qui devait se demandait pourquoi nous hurlions comme ça. Il s’attendait à voir un début d’assassinat, mais certainement pas à ce qu’il a vu !

Quelque chose a craqué dans moi, j’ai pensé : « Regarde, bonhomme, regarde comment il me fait jouir, regarde comment je réponds à ses coups de reins avec les miens ». Nous étions tellement partis, tous les deux, que Marc ne s’est rendu compte de rien. Je ne l’ai vu que parce qu’il est resté un moment dans l’encadrement de la porte que j’avais dans mon champ visuel.

Le patron, stupéfait, s’est excusé en anglais, évidemment, puis est redescendu.

Nous avons continué jusqu’à ce qu’il sorte de moi et m’arrose de sperme, depuis le sexe jusquaux cheveux. Il s’est effondré à côté de moi. Il m’a dit :

Quelle séance, ma douce Sylvie, quelle séance !

Oui ! Tu sais, j’ai adoré ce que tu mas fait ! En plus, il doit y avoir une autre personne qui a apprécié.

Une autre personne ?

Oui ! Le patron de tes ouvriers.

Il… il était là ?

Je l’ai vu du coin de l’il. On a tellement hurlé tous les deux qu’il a dû croire que quelqu’un venait tenter de nous tuer. Il avait une grande barre de fer à la main et quand il a monté l’escalier, il a dit : « J’arrive ! Tenez bon ». Toi qui ne voulais pas montrer une femme française à un Anglais, il m’a vue sous toi en train de me faire défoncer le sexe et l’anus par ton engin !

Merde, ce n’est pas vrai ! Dis-moi que ce n’est pas vrai !

Il avait l’air tout contrit. Je l’ai rassuré en lui prenant la verge dans mes mains et en lui disant :

Mais tu sais… ça ne m’a pas déplu, de voir qu’il me regardait !

Et en plus tu serais… exhibitionniste ? Décidément, je te découvre tous les jours ! C’est vraiment toi la déesse du sexe et de l’amour, Sylvie, je te le jure !

Tiens, s’il revient, je me tartine devant lui avec tout le sperme dont tu m’as recouvert !

Heureusement qu’il n’est pas près de revenir !

Nous nous sommes mis à rire. Il m’a dit, redevenant sérieux tout d’un coup :

Crois-tu qu’il va falloir que nous nous excusions ?

Je ne pense pas, surtout pas ! Mais il doit être persuadé que je suis ta femme, comme tu lui as dit.

J’ai volontairement appuyé sur le « ta ». Il a souri puis a mis sa grande main sous mon sexe et sous mon anus. Il m’a dit :

Allez, je te porte jusqu’à la douche ! C’est le privilège du mari !

C’est là que je me suis rendu compte de sa force. Certes, je n’étais pas bien lourde, mais je pesais tout de même à peu près soixante kilos. J’étais à cheval sur sa main et il m’a emmené comme ça ; moi, j’en ai profité pour écarter les lèvres de mon sexe afin de me sentir plus près encore de la chaleur de la paume de sa main. Il m’a déposé dans la salle de douche puis m’a appris :

Nous nous douchons, nous allons chercher nos vêtements dans ton garage, ainsi que ma valise avec ton cadeau dedans, nous revenons ici puis je t’emmène au restaurant. En revenant, je te donne ton cadeau. D’accord ?

D’accord, Monsieur. Mais… les ouvriers ?

Ça ne te dérange pas qu’ils viennent manger avec nous ?

Non, pas du tout ! Au contraire, ça me fera réviser mon anglais !

Mais…

Ne t’inquiète pas, il s’est sûrement dit que nous ne l’avions ni vu ni entendu !

Oui… tu as peut-être raison.

Nous avons suivi son programme point par point. Nous nous sommes douchés ensemble et comme d’habitude il y a eu des « jeux de mains, jeux de vilains » comme il m’a dit, des baisers très très mouillés, surtout ceux qu’il a infligés à mon pauvre petit clitoris qui n’en pouvait plus de se raidir. Nous avons quand même réussi, une fois propres, à redescendre dans le garage, en faisant très attention, à récupérer nos vêtements, sa valise (avec le cadeau, j’avais bien noté) puis nous sommes revenus dans la chambre pour nous habiller.

Il a pris mon téléphone et m’a demandé quel était le meilleur restaurant de la ville. Je le lui ai indiqué. Il a réservé une table pour cinq.

Nous sommes redescendus pour aller voir les ouvriers. J’ai dû me joindre à lui pour qu’ils acceptent de venir avec nous au restaurant, mais ils ont fini par accepter, surtout quand ils se sont rendus compte que je connaissais leur langue.

Ils se sont nettoyés, habillés très correctement et Marc nous a emmenés dans sa Mercédès.

Dans le restaurant, il n’y avait que peu de monde : seul un couple de vieux amoureux, sans doute, comme me l’a dit Marc, occupait une petite table. Le patron nous a installés au milieu de sa petite salle et nous avons longuement discuté en anglais, tout en dégustant un succulent repas. Le patron des ouvriers, qui me jetait parfois un il surpris, a dit que tout serait prêt pour dimanche soir, comme l’avait demandé « Monsieur ». Je l’ai remercié ; il m’a simplement répondu qu’il était très fier de travailler pour une aussi belle femme que moi. J’ai souri mais je n’ai pas relevé. Il m’avait tout de même vue nue, m’acharnant à me précipiter à la rencontre de la grosse queue de Marc, qu’il m’enfonçait tantôt dans un trou, tantôt dans l’autre, sans même se guider avec la main, comme il me l’a dit après notre étreinte sauvage. ll avait d’ailleurs ajouté, avant que nous prenions notre douche commune : « Ça prouve que tu es vraiment la déesse du sexe et de l’amour ».

Après le repas, nous sommes repartis seulement Marc et moi, puisqu’il avait réservé aussi des chambres pour les ouvriers, dans le petit hôtel contigu au restaurant.

Nous sommes revenus à la maison tranquillement. Il a garé sa voiture dans le garage et nous sommes montés, pour une fois, bien sagement. Certes, j’étais dans ses bras, mais habillée.

Il m’a déposée sur le lit et il m’a dit :

Attends, je vais sortir ton cadeau.

Il a ouvert sa valise et a cherché dedans. Jamais je ne me serais doutée de ce qu’était le cadeau qu’il me destinait.

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