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Les nièces jumelles : saison 2 – Chapitre 5

Les nièces jumelles : saison 2 - Chapitre 5



Chapitre 5 : La retraite

   Je déteste devoir me rendre au boulot le samedi, mais quand il faut, il faut. Travailler le weekend, j’ai l’habitude ; à vrai dire, je bosse tellement tout le temps que je n’ai aucune vie sociale en dehors des jumelles, mais je préfère faire ça de chez moi.

  C’est enfin fini. Je suis épuisé, vanné ; pourtant, j’ai peur de rentrer chez moi après ce qu’il s’est passé avec Megan. J’ai fais exprès de trainer et de rester plus longtemps que nécessaire, mais je ne peux pas esquiver indéfiniment. Je gare la voiture et me dirige vers la porte d’entrée. J’ouvre, enfin chez moi. Il est encore tôt, ça va, je ne devrais pas me plaindre. Je n’aspire néanmoins qu’à une seule chose : me poser dans le salon, et regarder la télé sans qu’on me dérange. Malheureusement, j’ai à peine le temps de me débarrasser sur le palier qu’une des jumelles vient déjà m’ennuyer. Elle pourrait me laisser souffler deux secondes au moins !

Eric, c’est Megan, il faut qu’on parle.

  Sérieusement ? Elle veut qu’on ait ce genre de discussion MAINTENANT ? Je ne suis pas sûr d’être vraiment prêt. M’enfin, on y est, on y est. C’est sans doute mieux de faire ça le plus vite possible que de toujours repousser à plus tard.

J’ai réfléchi à ce que tu as dit hier, dit-elle. Tu avais raison, j’avais envie de Greg. Je suis désolée, je dois être une personne horrible mais…

Non, fais-je pour l’interrompre. Non tu n’es pas une personne horrible. Regarde-toi, tu es jeune, tu as à peine dix-huit ans. Tu sais combien de femmes j’ai eu dans ma vie avant toi ? Des tas. Moi, je suis un vieil homme, j’ai envie de trouver quelqu’un pour faire ma vie, mais ce serait égoïste de ma part de t’empêcher de vivre la tienne. Je suis ton premier mec, et je comprends parfaitement que tu n’aies pas envie d’être déjà casée et que tu veuilles t’amuser. Je sais à quel point c’est bon de séduire une fille, de passer du temps avec elle, et de… coucher avec elle. Je n’ai pas le droit de t’interdire de connaitre tout ça parce que je t’aime. D’ailleurs, je n’ai déjà légalement pas le droit de t’aimer comme ça.

Eric, je t’aime aussi.

  Cet aveu me touche profondément, je me retiens d’en avoir les larmes aux yeux. Ça m’en coute de lui avoir dit toutes ces choses.

Qu’est ce que cela veut dire pour nous exactement ? poursuit-elle. Que c’est terminé ? Que tu ne veux plus de moi ?

Bien sûr que je veux de toi, je t’aime comme un fou. La question c’est : qu’est ce que toi tu veux ? Prends ton temps pour y réfléchir, sache juste que je te respecterais quoi que tu choisisses.

Je te veux toi, déclare-t-elle.

  Elle n’a pas hésité une seconde.

  Elle me saute dessus et m’embrasse. Je ne peux plus me retenir, je l’enserre en pleurant. Megan, ma Megan. Elle est sûre ? Elle m’aime vraiment malgré tout ? J’ai eu si peur de la perdre pour cet autre garçon. Elle se met à genoux et défait la ceinture de mon pantalon. Elle veut qu’on fasse l’amour ? Ici ? Maintenant ? Elle ne perd pas de temps. J’ai trop envie d’elle pour la refuser. Elle sort mon sexe et commence à le sucer. Il ne me faut pas longtemps pour être bien dur. Quel bonheur de retrouver sa gorge chaude. Pendant un moment, j’ai cru que je n’y gouterais plus jamais. Elle me pompe avec la dévotion d’une chienne amoureuse. D’un côté, je sens qu’elle veut vraiment me faire plaisir, d’un autre, je peux également sentir combien elle aime ma grosse bite. C’est son jouet, son jouet préféré. Je soupire, je suis au paradis. Ce que c’est bon de se faire faire une pipe par la femme de sa vie après une journée de merde, surtout à peine arrivé sur le palier de la porte d’entrée ; sincèrement, elle peut me faire ça tous les jours.

  Après qu’elle m’ait bien excité, je lui propose qu’on continue dans ma chambre. Nous nous y précipitons tellement nous avons faim l’un de l’autre. Je lui arrache son haut pour pouvoir jouer avec ses seins. Je presse ma tête entre pour les humer avant de les lécher et de mordiller les tétons. Ils sont beaux, ils sont gros, et ils sont à moi. Je la retourne contre le mur pour pouvoir admirer un peu son cul avant de lui enlever le bas. Quand je m’attaque à sa culotte et que je veux la doigter, je ne crois pas ce que je découvre ! Elle est pleine de sperme ! Il est encore frais. La petite pute, alors finalement, elle a couché avec ce Greg ? C’est ma faute, je lui ai dit qu’elle pouvait, je ne peux m’en prendre qu’à moi-même. C’est donc officiel ? Nous en sommes là ? Nous sommes ensemble, mais elle peut néanmoins s’amuser avec quelqu’un d’autre si elle en a envie ? J’ai mal, très mal, mais si ça permet de la rendre heureuse, je suis prêt à le supporter. C’est mieux ainsi que de l’enfermer dans une prison et qu’elle le regrette plus tard, ou pire, que je ne la perde pour toujours. Je ne peux cependant pas m’empêcher d’être en colère, d’être pris de rage. Elle l’a fait ! Merde ! Et ça, évidemment, elle ne m’en a pas parlé ! Le sale petite… J’ai soudain besoin de la posséder, de la ravager pour marquer mon territoire, de la faire jouir plus fort que lui pour la faire mienne, de rajouter mon foutre pour diluer celui qu’elle a déjà. Je veux être son mâle.

 

***

 Je suis conne, j’avais complètement oublié ce "léger" petit détail : je suis toujours pleine de foutre de Greg. Evidemment, Eric l’a bien remarqué, et je le sens bien énervé. J’ai peur, peur qu’on s’interrompe et qu’on se dispute. J’ai besoin de baiser, j’ai besoin qu’IL me baise. Je veux qu’il me fasse sentir que je suis sa femme à lui.

Tu te l’es tapé ! Tu es vraiment comme ta sur, sale petite salope ! s’emporte-t-il.

  Je suis terrifiée, je n’ose pas bouger. Il a dit que je pouvais, mais je me doutais bien que cela n’allait pas lui plaire, c’est bien pour cela que je ne comptais pas lui en parler.

  Sans autre préliminaire, il me fourre sa bite dans le cul. Je crie de surprise et de douleur. Il me plaque contre le mur et me ravage comme un sauvage. Je ne comprends pas ce qui se passe, mais quelque part, je me sens rassurée. Il me veut toujours, plus que jamais je dirais même.

Tu n’es qu’une salope, Megan !

Aaaaaah !

 C’est tout ce que j’arrive à prononcer. Je ne me débats pas car il me donne exactement ce que je voulais : me faire défoncer par mon homme à moi.

  Du sperme s’échappe de mon vagin à chaque coup de reins. C’est comme si c’était sa manière intentionnelle d’expulser cette souillure hors de mon corps. J’ai l’anus en feu. Je le crie : "Pardon ! Pardon !" Non pas pour qu’il arrête, mais pour le supplier de continuer.  En à peine quelques secondes, il est arrivé à m’exciter cent fois plus que Greg durant toute notre partie de jambes en l’air ; il est formidable, c’est pour ça que je veux être sa femme, sa femelle.

Raconte-moi ce que vous avez fait ! Je veux savoir ! dit-il d’un ton autoritaire.

 Vraiment ? En est-il sûr ? Je ne suis pas convaincue que ce soit une bonne idée, je sais combien tout ceci lui fait mal.

Je veux l’entendre ! insiste-t-il devant mon silence.

 J’ai peur, mais ci c’est ce qu’il veut, alors… d’accord :

J’ai commencé par le sucer.

Salope ! Tu as aimé ?

Oui.

Il avait une belle bite ?!

Oui. Mais pas autant que toi.

Et lui ? Il a aimé, j’espère ?! Ce sale petit enfoiré !

Oui, beaucoup.

  Il me prend plus fort, il devient encore plus bestial, comme si c’était le seul moyen d’atténuer sa douleur. Le foutre de Greg coule le long de mes cuisses avec ma mouille.

Et ensuite ?!

Il m’a prise.

Il t’a baisée ?!

Oui.

Tu as aimé ?

Oui.

 Il m’attrape carrément par les cheveux pour me limer. Je ne comprends plus ce qu’il se passe, on dirait qu’il aime ça, que ça l’excite de m’entendre lui dire que j’ai couché avec un autre. Cela me fait du bien à moi aussi, cela me soulage ma conscience, je ne veux rien lui cacher.

Et après ?

Il m’a prise en levrette.

Il t’a monté comme une chienne ?!

Oui.

Sale petite pute ! Ça t’a plu je parie !

Oui, il m’a faite jouir.

Et ensuite ?

Il a joui lui-aussi.

C’est comme ça qu’il t’a rempli la chatte de sperme ?

Oui.

Le salaud ! J’ai envie de lui défoncer la gueule ! Et toi aussi tu vas prendre !

  Je ne l’ai jamais vu comme ça. Il m’a baisée pendant au moins une demi-heure dans toutes les positions. Il m’a faite jouir un nombre incalculable de fois. Il m’a possédée, il m’a prise comme sa chose et il m’a usée jusqu’à épuisement. Il m’a défoncée la chatte et ramonée l’anus. Lorsqu’il n’en put plus, il est sorti de mon cul juste pour me farcir le vagin de sperme, comme pour remplacer celui de Greg par le sien afin de marquer son territoire. J’en ai joui à en pleurer, heureuse qu’il me réaffirme comme sa propriété. Nous nous sommes tous les deux écroulés après ça, incapable de faire le moindre mouvement. Plus tard, il m’a prise dans ses bras et m’a dit qu’il était désolé d’avoir été aussi brutal. Je lui ai répondu que moi pas, tant j’ai adoré ce qu’il m’a fait. Mes deux orifices ne sont plus que des trous béants qui ne se sont toujours pas refermés, mais je suis la femme la plus heureuse du monde. Je crois qu’on peut définitivement considérer cela comme une réconciliation.

***

  Après ma partie à trois et cette aventure avec Megan sur le bord de notre piscine, j’ai définitivement acquise une réputation de salope auprès toute l’école. Honnêtement, je m’en fou. C’est la dernière année, dans quelques mois, nous nous reverrons plus jamais, alors je peux bien en profiter. Le seul truc qui m’ennuie, c’est la réaction de mes amies qui me juge come la pire des trainées. Qu’est ce qu’elles peuvent être coincées… Tiffanie est gentille, mais c’est facile de parler pour elle, elle est encore vierge. Elle n’a aucune idée de combien le sexe peut être bon. Si ça se peut, une fois qu’elle s’y mettra, elle sera pire que moi, alors bon, franchement, faut qu’elle arrête.

  Les choses ne risquent pas de s’améliorer depuis que je me suis fixée comme challenge de coucher avec tous les garçons de la classe avant la fin de l’année. Il y en a, ça va être très facile, mais le plus dur, ça va être ceux qui ont une copine. J’ai déjà réussi à me taper Quentin, le copain de Coralie. Je n’ai eu aucun scrupule : ce notre petit groupe, c’est celle que j’ai toujours le moins aimé, et c’est aussi celle qui a été la plus virulente à mon sujet depuis les rumeurs sur ma sexualité débridée. Elle n’avait qu’à être moins coincée du cul, elle l’aurait gardé son mec. D’après ce qu’il m’a dit, elle n’était pas vraiment très chaude au lit. Avec moi, il a pu se lâcher. 

  Je me sens sentie beaucoup plus mal quand j’ai voulu passer à l’acte avec Guillaume, le petit-ami de Clarisse. J’aime beaucoup clarisse, je n’ai pas envie de lui faire du mal. Au contraire, j’ai envie qu’on garde contact après l’école et qu’on continue à se voir. Du coup, j’ai essayé de s’organiser un plan à trois. Si elle est consentante et qu’elle participe, il n’y a pas de problème de jalousie, n’est ce pas ? Guillaume n’a pas eu besoin de beaucoup d’arguments pour être chaud, mais Clarisse n’était pas du tout prête pour ce genre chose. Je ne pensais pas que j’arriverais à la faire accepter, mais je l’ai fais. Elle n’était néanmoins pas du tout convaincue que cela lui plairait.

  Quand le grand jour est arrivée, elle était tendue comme jamais. J’ai commencé par me déshabillée pour mettre tout le monde un peu plus à l’aise. Guillaume bandait déjà comme quand lorsqu’il a enlevé son caleçon. Clarisse, la petite rousse aux cheveux bouclés, était gênée de se retrouver nue devant sa meilleure amie. Elle n’a pas ma paire de nichons, mais ils sont très beaux aussi. C’est une très belle fille à lunette qui ne devrait pas avoir honte de son corps comme ça.

  J’ai commencé à sucer Guillaume, tous les deux furent très surpris. Apparemment, aucun d’entre eux n’avait jamais fais ça.

Tu es sérieuse ? Tu ne lui as jamais fais une pipe ? m’indignai-je.

C’est un peu dégueulasse quand-même.

Tu rigoles ? C’est délicieux une bite d’homme ! Puis c’est si bon d’avoir un sexe bien dur dans la bouche. Allez viens, je vais te montrer.

  Elle s’est agenouillée avec moi. J’ai pompé son mec pour bien qu’elle voit comme on fait, puis je lui ai tendue sa queue pour qu’elle essaie à son tour. Elle l’a fait glisser timidement entre ses lèvres. Je lui ai donné quelques conseils pour que ce soit meilleur. Quand je lui ai demandé comment c’était, elle n’a pas osé répondre, mais j’ai bien remarqué que ca lui plaisait.

  Peu de temps après, on s’est mise à le sucer toutes les deux. Autant dire que Guillaume était ravi. Pour sa première fellation, il a eu deux femmes rien que pour lui.

  On est passé ensuite aux choses sérieuses. Susceptibilité oblige, Clarisse y est passée en premier. Son mec l’a prise en missionnaire devant moi. Je les ai regardés en me masturbant. Autant cela ne dérangeait pas Guillaume, autant Clarisse n’était pas dans son assiette. Je l’ai sentie vraiment pas dedans. Quand ce fut mon tour, j’ai plaqué notre amant contre le lit et je l’ai chevauchée comme une folle furieuse. Il a eu l’air d’adorer que je me fasse du bien sur sa bite. Clarisse en fut tellement jalouse qu’elle m’a chassée pour lui faire la même chose. Elle voulait l’exciter pour lui masser la queue avec sa chatte, ça a tellement bien marché qu’il en a éjaculé en elle. Nous étions toutes les deux un peu déçue, aucune d’entre nous n’avait joui.

  Nous ne pouvions pas en rester, là, ça me semblait impensable, alors j’entrepris de lécher le minou de Clarisse. Je savais qu’elle n’a jamais eu de tendance lesbienne et n’avait jamais envisagé de faire ce genre de choses, mais je voulais essayer tout de même, qu’elle voit ce que ça fait. Elle fut tant choquée par mon geste qu’elle a essayé de me repousser, j’ai dû la rassurer pour qu’elle me laisse faire. Elle a déjà du trouver ça bizarre de se faire faire un cunni par une femme, mais elle a dû encore trouver ça plus dégueulasse sachant que sa chatte débordait de sperme. Moi, c’était pour ça que je le faisais à la base, je voulais gouter le jus de son copain. Je savais très bien que ce ne sera jamais son truc et que je ne devais pas m’attendre à ce qu’elle me fasse la même chose en retour.

Putain, Lucy ! T’es vraiment une salope ! m’a balancé soudain Guillaume en me fourrant de son gourdin.

 Surprise, rien ne pouvait me rendre plus heureuse, j’avais tellement envie de sentir encore sa bite au fond de mon vagin ; et puis s’il ne jouit pas en ou sur moi, cela ne compte pas vraiment pour mon challenge.

Clarisse s’est détendue au fil de mes caresses. Elle a commencé à aimer ça. Je l’ai doigtée et j’ai joué avec son clito comme une experte jusqu’à l’en faire jouir. J’ai été assez fier que ce soit moi et non son copain qui lui ai donné son orgasme, il ne lui a sans doute jamais fais un cunni comme ça. Ce dernier est devenu tout fou de voir sa meuf se faire brouter par sa meilleure amie. Il m’a bourré la chatte comme un sauvage jusqu’à en éjaculer, j’ai joui avec lui quand j’ai commencé à sentir son sperme m’envahir. Il a dû être heureux, il a baisé avec deux femmes et les a remplies de son foutre toutes les deux. J’aime aussi croire que ça a dû vachement l’exciter de constater qu’il a pu me faire jouir, moi, Lucy Trojan, la fille la plus prisée de l’école.

  Pour moi, cette partie de jambes en l’air s’est révélée assez quelconque au final, mais pour eux, ils m’ont avoué qu’ils ont passé un des meilleurs moments de leur vie. Cela a changé leur couple. Clarisse m’a beaucoup moins jugée après cela, et a même commence à prendre ma défense. Elle m’a également racontée que leur vie sexuelle est devenue beaucoup plus pimentée depuis. Elle est devenue accro à la pipe et le laisse même désormais éjaculer dans sa bouche. Elle s’est même mise à avaler ! Autant dire que Guillaume est aux anges. Elle songe maintenant à tenter une expérience avec deux mecs, histoire de restaurer l’équilibre. Moi j’avoue que j’aimerais plutôt pouvoir passer un moment seule avec elle. J’ai envie de la pervertir comme mon oncle m’a pervertie, lui faire découvrir les plaisirs du sexe avec une femme, et la voir enfin me lécher le minou pour sa toute première fois.

   Quelques semaines plus tard, je pars pour une sortie scolaire barbante. Notre école catholique oblige les dernières années à partir en retraite dans un monastère durant un weekend. Je n’ai pas envie d’y aller, personne n’a envie d’y aller, mais bon, pas moyen d’y échapper. C’est d’un ringard. On nous oblige à dormir dans des chambres séparées afin que nous puissions "méditer" en paix. Partager une chambre entre amies était le seul truc qui aurait pu rendre cette sortie marrante, et même ça, on y a pas droit. Le pire pour moi est que je ne peux même pas dormir avec ma sur. Cela fait trop longtemps que je ne suis pas retrouvée seule ainsi. Toute seule.

  Je décide d’essayer de pimenter un peu tout ça en faisant circuler la rumeur auprès des garçons que j’organise une tournante dans les douches à minuit. N’importe qui ayant envie de tirer un coup peut passer. Je me demande combien vont oser venir ; à mon avis, pas beaucoup. Déjà, la plupart ne prendront surement pas cette histoire au sérieux, ensuite, il faut qu’ils soient du genre à ne pas avoir honte de sauter une fille avec d’autres mecs., et pour finir, il faut aussi qu’ils soient prêt à violer le couvre-feu juste pour se vider les couilles. Ça raye pas mal de candidats potentiels de la liste.

  Je me pointe sur les lieux avec délibérément un quart d’heure de retard. Je n’ai aucune envie d’attendre pour voir si d’autres élèves vont se ramener ou pas, je préfère pouvoir commencer tout de suite. Je me dis que je serais déjà contente qu’il y ait au moins une personne. J’ai peur que de ne pas avoir été là à l’heure ait peut-être découragé les seuls qui ont fait le déplacement en croyant que c’était finalement une blague. Quand j’ouvre la porte, je n’en crois pas mes yeux. Cinq ! Ils sont cinq ! Et bien, il y en a qui ont vachement envie de baiser avec moi, dit donc. Je sous-estime mon succès.

  Ils ont l’air tous très timides. Je peux comprendre qu’ils doivent être gênés de se retrouver là dans ce genre de circonstance. Je les imagine mal discuter librement et se dire des choses comme : "Ah tiens, toi aussi tu es venu pour te taper Lucy ?" "Oui oui, bien sur. Je compte bien la défoncer." Cela ne doit pas être facile pour eux d’assumer leur envie de laisser libre court à leur instinct sexuel. Néanmoins, ils sont venus, et j’espère qu’ils oseront aller jusqu’au bout.

  Ils me disent qu’ils ne pensaient pas que je viendrais. Apparemment, il y en a même un qui s’est tiré avant que j’arrive. Le pauvre, comment il va regretter demain lorsque ses potes lui raconteront ce qu’ils m’ont fait. Pour les détendre, je commence mon show en enlevant ma nuisette. Je les sens déjà durcir quand je joue avec mes seins nus. Je leur lance des sourires et des regards de chienne en chaleur pour bien les chauffer.

Allez, les garçons, n’ayez pas peur, sortez là de votre pantalon, vous n’êtes pas venu juste pour me mater à poil, non ?

  Il faut un peu de temps avant que le premier se décide enfin à enlever son caleçon. Les autres ont moins peur de le suivre maintenant qu’ils savent qu’ils ne seront pas seuls. Je suis ravie de voir qu’ils bandent déjà tous. Il y en a de toutes les tailles, petites, moyennes et grosses. Pas grave pour celui qui a la plus petite, les autres seront là pour compenser. Certains ont déjà commencé à se branler. Je continue de les allumer en leur montrant ma chatte et en me la caressant. Ils ont tous la main sur leur manche quand je me mets à m’y enfoncer des doigts. Ils doivent être en train de s’imaginer me faire des choses obscènes en ce moment.

  Je m’approche d’eux et m’agenouille en leur disant :

Venez, je vais vous sucer. Je vais tous vous sucer.

  Ils se mettent en cercle autour de moi. Tous ces garçons… avec leur belle bite dressée rien que pour moi, je mouille comme une folle. Je saute en avaler une et en branle deux autres d’une main. Je suis un peu intimidée, je n’ai jamais eu autant de queues à satisfaire, je ne suis pas tout à faire sûre de comment m’y prendre.

  Je perds rapidement la tête, je n’arrive plus à raisonner clairement. J’adore sucer, je les pompe du mieux que je peux, leurs gémissements m’excite à mort. Je passe de l’une à l’autre comme une chienne en manque. Il me faut de la bite, j’en ai jamais assez ! J’adore cette sensation d’en avoir plein la bouche, j’aime leur gout. Je joue avec leurs bourses, elles sont pleines de sperme. Je veux les faire cracher, les vider, faire ramollir leur bite au point qu’elles ne soient plus capables de se relever. Je ne laisserais personne sortir tant que tout le monde ne sera pas repu, les couilles à sec.

Putain, Lucy, alors c’est vrai, tu es une vraie salope ! dit l’espèce de créature auquel le sexe dont je m’occupe est rattaché.

Moi non plus, je ne pouvais pas le croire, dit un autre.

  Tu es pourtant venu histoire de vérifier que c’était bien vrai, hein petit con ? T’inquiète pas, tu l’auras ton tour pour me fourrer.

Pitié ! Lucy, suce-moi aussi ! dis le dernier qui n’a pas encore eu la chance de gouter au délice de ma gorge.

 Je suis une bonne âme et lui donne ce qu’il veut, ses yeux se perdent au paradis. Quand j’estime qu’il en a eu assez, je passe au suivant. Je ne sais plus où donner de la tête, y en a trop. Je veux toutes les garder dures, qu’elles me veuillent, qu’elles me souillent. Je me suis jamais sentie aussi pute. Je me comporte comme tel aussi, à genoux au milieu de tous ces mecs, à sauter sur leurs chibres comme un animal. Ils gémissent, ils grognent et me traitent de tous les noms, je m’enivre de leur excitation. 

Putain, les mecs, n’y en a pas un qui va venir me ramoner ? J’ai la chatte en feu ! Merde !

  C’est vrai quoi, c’est quoi cette bande de puceau ? Pas un qui prend une initiative ! Quelqu’un m’arrive par derrière et me pousse pour me mettre à quatre pattes. Enfin, ce n’est pas trop tôt. Il s’enfonce dans mon vagin d’un trait avant de démarrer son va-et-vient. Ça y est, je me fais baiser, c’est ça que je voulais. Il me lime pendant que les autres font la queue pour se faire pomper. J’adore regarder les pauvres qui sont en train de se branler en enviant leurs copains.

Putain, Lucy, ce que t’es bonne ! dis celui qui s’éclate dans ma chatte.

  Un de ses collègues le pousse pour prendre sa place. Il a une queue moins épaisse mais un brin plus longue. Je suis tellement lubrifiée qu’il glisse tout seul. Je ne sais même pas c’est lequel qui est en train de me prendre, et je m’en fou, tant qu’on me prenne !

  Les garçons se succèdent dans ma chatte et ma bouche en se servant de moi comme un garage à bites. Je m’amuse enfin dans ce trou à rat merdique. Chacun d’entre eux doit regretter de ne pas pouvoir passer du temps seul avec moi, mais ils ont l’air néanmoins ravi de pouvoir profiter de mon corps durant un temps.

  Nous changeons de position et je décide d’en chevaucher un de dos. Deux autres viennent me pointer leur queue au visage en me suppliant de les prendre en bouche, je les lèche et les suce comme je peux. Soudain la porte de la salle des douches s’ouvrent, tout le monde panique et se fige. Surtout moi, s’il s’agit d’un prof, je n’imagine pas la tête qu’il ferait en me voyant entourée de braquemards, le tout en train de rebondir les seins à l’air sur un de mes camarades d’école. Par chance, au soulagement général, il ne s’agissait que d’un élève. 

Tu es en retard, on dirait, fais-je au nouveau venu. Allez, fou-toi à poil et donne moi ta queue. Tes amis ont déjà pris de l’avance.

 Le malheureux ne devait pas s’attendre à un pareil accueil. Purée, mais en plus, je le reconnais. Il a une copine, lui ! Et il est venu quand-même ? Haha. Je l’imagine avoir hésité longtemps dans son lit avant de se décider à venir, se retenant de laisser libre court à son envie de moi. Je suis sûre qu’il devait être en train de se branler quand il s’est dit que ce serait ridicule de se faire gicler dans des draps quand il y avait une petite possibilité que la vraie Lucy soit dans les douches prête à se faire sauter par n’importe qui. Ça a dû lui demander du courage de tromper sa copine comme ça.

  Le gars que je chevauche me maintient pour m’empêcher de retomber afin d’avoir les mains libres pour branler deux bites en même temps. Le petit nouveau s’approche et me tend son sexe, je le goute avec avidité.

Oh, putain ! s’exclame-t-il.

Tu aimes, hein ? Petit cochon, fais-je.

  Six, j’ai maintenant six hommes rien que pour moi. Je commence à prendre le coup de main. Je suis presque déçue qu’il n’y en ait pas plus.

  Mon amant du dessous se met à me limer furieusement, il n’en peut manifestement plus d’être passif et de me laisser faire tout le boulot. Je prends un pied d’enfer.

Je n’en peux plus ! C’est trop bon ! Aaaaah !

 Je le sens éjaculer en moi. Un sur six, plus que cinq. Même si cela me fait toujours un effet monstrueux de sentir du sperme se répandre dans mon vagin, je n’ai pas joui. L’avantage d’avoir autant de partenaire, c’est qu’ils peuvent être précoce, ce n’est pas grave, il y en a d’autres pour rattraper le coup.

  Il se retire et se met de côté. Il a tout de même envie de rester pour observer la suite, le coquin. J’invite le petit dernier à me pénétrer. Il me prend en levrette en jouant avec mes seins.

Putain, Lucy, je n’arrive pas à croire que tu sois une telle salope ! me dit-il.

Profite-en.

Oh, bordel, ça, oui !

  Il n’a pas l’air très expérimenté, mais il compense par un chibre gros et long qui me fait du bien. Ça n’a pas l’air de le déranger que je sois pleine du sperme d’un autre, il doit tellement être en manque que ce n’est pas ça qui va l’arrêter.

  Les autres me tendent leur mandrin tant ils n’en peuvent plus. Les pauvres ont besoin de mon attention. Je suce comme je peux, mais il n’y en a pas pour tout le monde.

  Soudain un deuxième se m’est à s’exclamer :

Raaah ! Lucy, sale pute ! Je vais te souiller, salope, prends !

 Il s’astique devant mon visage, je devine aisément ses intentions. Ils pensaient peut-être que je n’aimerais pas ça, mais j’ouvre la bouche et sort la langue pour lui prouver le contraire. Il ne peut plus résister et se met à gicler. Il m’en fout plein la gueule le petit salaud, ça doit faire longtemps qu’il ne s’est pas branlé. Celui qui me laboure ne doit pas en croire ses yeux car il éjacule lui aussi dans ma chatte. Déjà ? Si vite ? Tout ça pour ça ? Cela fait déjà trois sur six ! Si cela continue, cette partouse va durer moins longtemps qu’une simple baise avec mon oncle. J’engloutis la bite qui vient de me salir pour en gouter le sperme. Elle ramollit lentement dans ma bouche. Je chevauche un nouveau gars de face en m’insérant son sexe dans ma chatte remplie de la semence de deux autres garçons. Ils posent ses mains sur mes fesses et me donne des coups de reins. Le foutre que j’ai à la figure commence à couler. Des trainées glissent sur mes seins. Cela ne dégoute pas mes deux autres partenaires qui viennent me réclamer une fellation. Je le prends et les suce avec beaucoup d’envie.

Putain de merde ! fait l’un d’entre eux. Je n’ai jamais vue une fille autant aimé la bite.

La vache ! Elle est plus chaude que les actrices pornos ! commente l’autre. Tout ce temps à se branler devant des films alors qu’on avait une telle pute à l’école sans le savoir. C’est le rêve !

  Je m’insurge qu’ils osent me parler de cette façon, même si en réalité, cela me plait de savoir que je les excite plus que ces petites connes qu’ils matent dans leurs films.  Après de longues minutes de baise torride, je jouis enfin pour la première fois. Je me fais encore traiter de salope lorsqu’ils s’en rendent compte. Ils en deviennent plus fougueux et brutal, pile ce qu’il me faut. Un de mes partenaires éjacule dans ma bouche. Il pousse un râle quand il voit que j’avale tout sans broncher. Je me remets à quatre pattes pour me faire prendre à nouveau par les deux exterminés. Mes seins se balancent librement sous les coups. Je me dis que ces deux derniers mériteraient un petit cadeau pour les récompenser d’avoir été aussi endurant, mais j’ai promis de réserver mon cul à mon tonton.

  Je jouis une seconde fois en sentant du sperme me remplir pour la troisième fois de la nuit. Ma chatte déborde lorsqu’il se retire. Les autres garçons la reluquent les yeux ébahis. Du foutre dégouline du long de mes cuisses sur le carrelage, quand les gouttes ne tombent pas directement de mon intimité. Je pense avec une certaine mélancolie qu’il ne me reste plus qu’à faire gicler celui que je suce quand je sens un dard bien raide me fourrer. Oh ! Oui ! Quel bonheur ! La scène a dû en exciter un tellement fort qu’il s’est remis à bander ! Il me baise comme un animal en me traitant de tous les noms. Il se penche sur moi pour jouer avec mes seins en ayant rien à foutre qu’ils soient tout collant. Quand il se retire, un autre prend sa place. Mon dieu ! Un deuxième veut un second round ? Les choses deviennent vraiment intéressantes ! Le dernier qui n’avait pas encore joui me gicle sur les seins après qu’on m’ait redressée à genoux. Je le masturbe à deux mains pour m’assurer qu’il me donne tout ce qu’il a.

   Je m’étale son sperme sur les nichons pour tenter de rendre de la vigueur à certains. Cela marche à merveille vu qu’un nouveau vient me forcer à lui faire une gorge profonde. Je l’insulte même si j’ai adoré ça. Mes amants sont plus fougueux que jamais. Voir que je suis si salope les encourage à se comporter comme des mâles et non plus comme de simples puceaux venus pour tirer un coup. Ils me prennent chacun à leur tour dans toutes leurs positions. Je me fais plaquée face au mur et sautée comme la dernière des trainées.

Aaah ! Je vais me vider les couilles ! Sale pute ! crie celui qui me baise avant d’éjaculer une nouvelle fois dans ma chatte ; il me fait jouir au passage. Je reste là sans bouger à attendre que le suivant le remplace. Il ne faut pas attendre longtemps. Il me tire par les cheveux et me baise comme sa chose. Je n’ai plus la force de continuer à jouer les rebelles en protestant. Je me laisse au contraire tellement aller que je me mets à l’encourager :

Allez ! Vas-y ! Démonte-moi et décharge-toi dans mon vagin ! Elle a soif de sperme !

Putain de salope ! grogne-t-il.

  Quand le moment est venu pour lui de se finir, il me force à m’agenouiller pour me gicler dessus. J’accueille ses jets poisseux en ouvrant la bouche come une chienne. Il en avait encore de sacrée réserve, il m’en a même foutu dans les cheveux. À peine a-t-il fini que j’entends quelqu’un me crier dessus :

Hey, la pute, regarde, j’ai une bite bien tendue pour toi, viens t’empaler dessus !

 Oh oui ! Il est allongé sur le sol le sexe à nouveau dressé. Je me rue dessus et m’en sers pour me faire du bien. Je suis vraiment en transe. Il me faut de la queue et du sperme. Il n’y a rien qui me fait plus tourner la tête qu’un homme qui éjacule pour moi. Je ne supporte pas de savoir un garçon avec des couilles pleines, il faut que je fasse tout pour lui faire cracher son venin.

  Je perds la notion du temps, je ne sais plus où j’en suis. Je ne compte plus combien de fois j’ai joui ni le nombre de fois qu’ils m’ont baisée. Ils doivent passer le moment de leur vie, et sincèrement, moi aussi. Ils n’auraient sans doute jamais cru qu’ils s’éclateraient autant en faisant le mur cette nuit. J’ai du sperme partout, Ça dégouline sur mes joues, mon menton, mes seins et mon ventre. Je suis toute collante et gluante, mais ils ont tellement envie de me ramoner qu’ils passent outre leur dégout. Ma chatte est tellement pleine que leur jus dégouline sur mes cuisses à chaque fois qu’on me pénètre. Je n’ai jamais été autant épuisée physiquement et mentalement, et pourtant, je n’arrive pas à m’en lasser. Je suis épaté de ma propre endurance quand je pense qu’il y a tout de même six hommes qui sont en train de me passer dessus, et ce plusieurs fois de suite.

  Quand je n’en peux vraiment plus, ils sont encore trois à être dur. Je ne peux pas leur dire d’arrêter comme ça, mais je sens que je pourrais m’évanouir si j’avais encore un orgasme. Je leur propose donc de se finir en m’offrant une douche de sperme. Je veux qu’ils se branlent pour moi et qu’ils me jutent dessus en me donnant tout ce qu’ils leur restent au fond des couilles. Je suis accroupie comme une chienne qui attend sa récompense. Je prends grand plaisir à regarder ces trois mâles complètement ivre de luxure à s’astiquer devant moi ; ces pauvres garçons à la bite bien dure qui ont encore besoin de se soulager une dernière fois. Je fantasme sur le foutre qui réside au fond de leurs bourses et dont j’ai hâte de voir sortir. Je me caresse et joue les allumeuses pour les aider à se finir plus vite. Je m’enduis le corps de sperme comme s’il s’agissait d’une crème hydratante ; je suis huilée de semence d’hommes.

Putain ! Salope ! Je vais te gicler à la gueule ! Connasse ! crie l’un d’entre eux.

  Il s’approche et m’envoie un premier jet copieux en plein sur le front. Son jus épais dégouline sur ma paupière et mon nez. Ce spectacle a raison de la résistance les deux autres qui explosent presque simultanément. Je suis forcée de fermer les yeux. La dernière chose que vois est un délicieux méat tirant un flot de sperme.

Oh oui, les garçons. Jouissez ! Jouissez ! Couvrez-moi entièrement ! J’adore ça ! Putain ! Oui !

  Je dois avoir un problème au cerveau : je suis prise d’un nouvel orgasme juste à me faire juter dessus. Je me caresse la chatte pour intensifier mon plaisir. Je sens du sperme chaud m’atterrir à la figure. Ils beuglent en me traitant de "sale pute" "videuse de couilles" et de "sac à foutre". Ils se déchargent sur moi comme dans des toilettes publiques.

  Quand je sens que c’est fini, et que ma propre vague de plaisir est passée, je me dégage les yeux afin de pouvoir les rouvrir. Je découvre les visages de mes amants complètement repus et épuisés. Ils ont l’air heureux. Cette fois, leur queue sont complètement ramollies, autant à bout de souffle que leur propriétaire. Je suis assez fière de moi. j’ai eu six partenaires, et je leur ai tous bien vider les couilles. La prochaine fois, j’essaierais d’en avoir plus.

Bon les garçons, vous m’excuserez, mais j’ai besoin de prendre une douche. Filez ! Une dame à besoin d’un peu d’intimité.

  "Un dame" le mot est un peu fort vu ce qu’il vient de se passer, mais cela me fait rigoler. Obéissant, ils se rhabillent et s’en vont discrètement, ça serait idiot qu’ils se fassent attraper maintenant. Je me lève pour me regarder dans un miroir. Putain, j’en ai vraiment partout. Par chance, j’étais venue auparavant cacher mon téléphone quelque part en espérant pouvoir faire une vidéo. Il est temps d’envoyer un selfie à tonton Eric.

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