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Les nièces jumelles : saison 2 – Chapitre 7

Les nièces jumelles : saison 2 - Chapitre 7



Chapitre 7 : Le puceau

   Je m’appelle Christophe, j’ai dix-huit ans depuis peu, et je déteste l’école. Je n’ai pas beaucoup d’amis, et même dans ma bande, je suis le souffre-douleur. Je suis typiquement le mec que personne ne remarque et dont tout le monde s’en fiche, surtout les filles.

  Je suis quelqu’un d’extrêmement timide et d’introverti. On me dit toujours "allez, décoince-toi un peu, Chris". C’est facile de dire ça quand on est un bel apollon. Moi, je n’ai rien pour moi. Je suis petit, brun, maigre, avec des lunettes. Le cliché typique de l’intello, mais sans l’intelligence ; j’ai à peine la moyenne, et pourtant, je bosse comme un fou. Tout ce que je demande, c’est que cette dernière année passe vite que j’aille à l’université, en espérant que ce soit différent. Bizarrement, j’en doute.

  Il y a bien tout de même UN truc qui me fait aimer l’école. Disons que… dans ma classe, il y a cette fille, Lucy, qui est vraiment canon. Elle a des courbes à réveiller les morts, une paire de nichons qui fait fantasmer, et de superbes longs cheveux noirs. J’en suis fou amoureux. Je ne le lui ai jamais dit, évidemment, je ne lui ai même jamais vraiment parlé. Je ne pourrais jamais ; c’est la fille parfaite, comment pourrais-je avoir la moindre chance face aux autres mecs ? Je suis un loser. Elle est sortie avec Thomas il y a quelques mois. Apparemment, il l’aurait dépucelé. Putain, ce que je donnerais pour une nuit avec elle. Je me masturbe presque tous les jours en pensant à ce que je lui ferais. J’ai honte, je suis un pervers, mais j’ai des besoins moi-aussi, et elle me fait rêver ; c’est juste insupportable.

  Elle a une sur, Megan, mais je ne sais pas pourquoi, je préfère Lucy. Elles ne sont pas pareilles ; enfin, si physiquement, mais pas côté caractère. Lucy est plus vivante, souriante, ouverte. Elle a un je ne sais quoi en plus qui lui ajoute un charme fou, au point que je suis capable de différencier les deux d’un seul regard. Je parie qu’il n’y a pas beaucoup de personnes qui puissent en dire pareil, même les profs se font régulièrement piéger. Lorsqu’ils font les présences, elles s’amusent à se faire passer l’une pour l’autre, tout le monde n’y voit que du feu, sauf moi. Non, non, ce n’est pas moi qui me trompe. La preuve, les jours où elles reçoivent des copies de contrôles, je les vois à la fin du cours s’échanger leurs notes pour remettre les choses dans l’ordre, je ne suis pas fou.

  Bref, chaque jour d’école est une torture. Je m’y ennuie, je m’y fais malmené, et le bonheur de voir Lucy est souvent contrebalancé par la douleur que cela me fait de ne pouvoir être avec elle. En clair, c’est l’enfer.

   Il y a de drôle de rumeurs qui circulent sur elle, ces temps-ci. Comme quoi ce serait une salope qui couche avec tout le monde. Il y en a même qui disent qu’elle se serait taper plusieurs mecs durant la retraite au cours d’une partouse. Je n’y crois pas une seconde. Je veux bien croire que ce soit une chaudasse, mais à ce point-là. Je suis le seul à prendre sa défense quand mes potes la traite comme une pute lorsqu’on parle d’elle entre nous. Un peu de respect ! Merde ! Il n’empêche que ces histoires alimentent mes fantasmes. Quelque part, cela m’exciterait beaucoup que tout soit vrai ; quand je me branle, il m’est arrivé de me l’imaginer entourée de bites.

  Ce matin, il m’est arrivé un truc dingue ! Lucy est venue me parler :

Chris, faut que je te parle, me dit-elle.

Heumm, d’accord. Qu’est ce qu’il a ?

Pas ici, pas maintenant. Rejoins-moi dans les toilettes des filles durant le cours de français, il n’y aura personne, c’est plus sûr.

Que… ? Mais je ne vais pas sécher un cours tout de même !

Tu te démerdes ! Mais ce que j’ai à te dire est important.

  Je ressasses cette conversation toute la journée. Je ne sais pas quoi faire. Moi ? Sécher les cours ? Je n’ai jamais fais un truc pareil, ce n’est pas mon genre, je pourrais jamais. D’un autre côté… c’est Lucy… Pour une fois qu’elle me demande un truc, je ne voudrais pas la contrarier ; c’est peut-être ma chance de l’approcher. Mais n’empêche, pourquoi les toilettes des filles ? Si je me fais chopper, je serais vraiment dans la merde. Mais c’est peut-être ça le but. Peut-être que tout ceci n’est qu’une blague destinée à se foutre encore de moi. Raaah, c’est le bordel dans ma tête.

  Après moult délibération avec moi-même, l’heure venue, je vais au cours ; tant pis, je me dis que c’est plus sûr. Je le regrette aussitôt en voyant que Lucy n’est pas là. Merde, elle était donc peut-être sérieuse, et là, elle m’attend. Je stresse, si c’est vrai, je ne veux vraiment pas rater ça. J’hésite durant un moment, puis je me décide à trouver une excuse bidon pour pouvoir sortir de la classe. Mon cur bat la chamade lorsque je déambule dans les couloirs. Je suis vraiment en train de sécher un cours. Qu’est ce qui me prend ? Ça ne me ressemble pas. Je me fige devant les toilettes des filles. Je peux encore faire demi-tour ; par contre, si j’entre, et que le but était de se foutre de moi, j’ai peur de ce qui pourrait m’arriver. Déjà que j’ai la réputation d’être un type bizarre, là, on va carrément me prendre pour un pervers. Je ne sais pas comment, je trouve le courage d’ouvrir la porte. Je suis peut-être le mec le plus débile du monde. Après tout, pourquoi voudrait-elle me parler. Elle, à moi ? 

  Je ne sais pas ce que je fais là, je me sens ridicule Je me sens partiellement soulagé lorsque je constate qu’elle est bien présente.

Tu en as mis du temps, m’engueule-t-elle. J’ai failli me barrer.

  Désolé, fais-je. Tu voulais me parler d’un truc important ?

Oui. 

 Elle se rapproche de moi avant de commencer :

Il y a quelque temps, je me suis mise en tête un challenge idiot, celui de coucher avec tous les garçons de la classe. Il s’avère que j’ai presque fini, il ne manque plus que toi.

  Mon cur s’emballe à nouveau, qu’est ce qu’elle vient de dire là ?

Je t’ai gardé en dernier parce que… bah, voila, c’est toi quoi. Je n’ai pas très envie, mais je ne vais pas abandonner si près du but. Tu dois être content, c’est ton jour de chance.

  Qu’est ce qu’il se passe là ? Je ne comprends rien. Je rêve où elle vient de me proposer de coucher avec elle ? Je dois prendre mes fantasmes pour des réalités, ce n’est pas possible. 

  Elle se met à genoux et commence à défaire mon pantalon. Merde ! Merde ! Ce n’est pas en train d’arriver, je vais me réveiller. Pourtant, elle me retire bien mon caleçon pour en extirper mon sexe. Je bande déjà à moitié, j’ai honte, elle doit me trouver débile. C’est un réflexe, je n’y peux rien ! Elle me branle. Lucy Trojan me branle. Ce n’est pas une blague ? Elle va vraiment aller jusqu’au bout ? Si c’est un canular, ça va un peu loin.

J’imagine que tu es puceau, n’est-ce pas ? me demande-t-elle.

  Je fais signe de la tête.

Le contraire aurait été étonnant. Allez, allons-y. C’est la dernière ligne droite. Essaie de ne pas jouir dans ma bouche, sinon, ça ne compte pas.

  Comment elle me parle, mais quelle salope ! Genre je ne suis qu’un moins que rien, une corvée. Je compte bien lui prouver le contraire ! Je n’en reviens pas quand elle prend mon sexe dans sa bouche. Cette fois, je n’ai plus de doute, elle est sérieuse, elle est vraiment sérieuse. Elle me suce, Lucy me suce. La fille sur laquelle je fantasme secrètement depuis des années. Je gémis tellement c’est bon. C’est ma première fellation. C’est la chance de ma vie, je ne veux pas la gâcher.

  Je réalise seulement ce qu’elle vient de dire. Elle a couché avec tous les mecs de la classe ? Je suis le dernier ? Mais alors… mes potes…. même mes potes l’ont baisée ? Ce n’est pas possible ! Elle ment ! Ils ne m’ont rien dit les petits salauds. Et elle… mais quelle salope ! Je suis jaloux, furieusement jaloux. Tout le monde a eu la chance de lui faire l’amour, de profiter de son corps, et pas moi. Non, moi, elle ne voulait pas de moi. Elle le fait par dépit, parce qu’elle s’est fixée son "challenge". J’en ai marre, marre qu’on se foute de moi, qu’on me prenne pour de la merde.

 

C’est qu’elle est grosse ma parole, commente-t-elle en regardant ma queue en érection. Si je m’y attendais. Elle est même carrément pas mal, clairement la plus grosse de la classe.

  Vraiment ? Je suis trop énervé pour prendre bien le compliment. J’ai envie de me venger. Elle veut bien coucher avec moi par pitié ? Attends, je vais la défoncer cette pute !

  Elle pompe tellement bien que j’ai déjà envie de gicler. Non, il ne faut pas, je dois me retenir. Je ne veux pas encore agir comme un puceau, je veux lui prouver que moi aussi, je suis un homme. Ses bruits de succions sont délicieusement obscènes. Elle bave tellement sur ma bite qu’elle glisse sans aucun problème. Je sens sa langue titiller mon gland. Bon sang, alors c’est ça une pipe ? C’est tellement bon de se faire sucer par une fille. J’en rêvais depuis si longtemps. J’en étais arrivé à croire que cela ne m’arriverait jamais, que les mecs comme moi n’ont pas droit à des choses aussi érotiques. 

  Je la regarde d’en haut ; ce qu’elle est bonne, putain. J’ai une vue plongeante sur son décolleté, j’ai envie de jouer avec ses gros seins. En voyant mon sexe disparaitre et réapparaitre entre ses lèvres, je regrette de ne pas pouvoir filmer ça. J’aurais eu de quoi me branler pendant des mois. En tout cas, elle a beau jouer les farouches, on dirait pourtant qu’elle aime ce qu’elle fait. Je n’en peux plus. C’est une torture tellement c’est trop bon. Je suis perdu dans un univers de luxure. J’ai toujours rêvé qu’elle me suce et de lui éjaculer dans la gorge afin qu’elle m’avale. Je pourrais le faire, mais je ne veux pas. Il y a tant d’autres choses que j’ai envie de lui faire. 

  Elle s’arrête enfin. Ce n’est pas trop tôt. Haletant, j’essaie de reprendre mes esprits. Elle se relève et me tourne le dos. Elle remonte sa jupe, baisse sa culotte, et se penche contre un mur.

Allez, finissons-en, prends-moi et tire ton coup.

 Quoi ? Sérieusement ? Elle m’offre sa chatte comme ça ? Comme une pute docile qui m’offre un trou à bite où me faire du bien ? Je me sens le plus chanceux des mecs. Toute cette histoire est dingue. Je vais le faire, je fais perdre ma virginité avec Lucy. En tant normal, je n’oserais jamais, mais je ne sais pas ce que j’ai, je suis bien trop excité. Je regretterais toute ma vie si je prenais la fuite maintenant. Toute ma vie, j’ai cherché à être un gentil garçon, un vrai gentleman, et cela ne m’a jamais rien apporté. Aujourd’hui, j’en ai marre d’être sage, alors oui, je vais me laisser aller, et sauter cette fille dans les chiottes de l’école.

  Je m’approche fébrilement, le sexe tendu. Je passe ma main sous ses vêtements et lui caresse une fesse. C’est réel, tout ceci est réel. Lucy est à moi et je peux en faire ce que je veux. C’est incroyable. Elle a une si belle chatte, toute rasée. C’est la première fois que j’ai l’occasion d’en voir une en vrai, il faut que je regarde ça de plus prêt. Je m’agenouille et commence à jouer avec. Je passe mes doigts sur les lèvres puis les lui enfonce. C’est doux et chaud. Je fais du va-et-vient. Wow, je doigte une fille. Du pouce, je vais chercher le clitoris pour le titiller. Il est tout gonflé, ce n’est pas une preuve qu’elle est excitée ça ? Elle est même carrément mouillée. Je ne suis plus tout à fait sûr qu’elle m’offre son corps que par pure charité, je suis certain qu’elle en a envie, cette salope ! J’ai envie de la gouter, je me mets à la lécher. Je récolte sa cyprine avec ma langue. Je trouve ça délicieux. Je sens que je pourrais faire un cunni pendant des heures, cela me donne une trique d’enfer.

Dépêche-toi, me presse-t-elle. On n’a pas toute la journée. N’importe qui pourrait me surprendre.    

  Oui, oui, bon. Merde, c’est ma première fois que je peux découvrir le corps d’une femme, j’ai envie de prendre mon temps.

  Je me relève et agrippe ma verge d’une main. Ça y est, le moment fatidique est arrivé, je vais pénétrer son vagin. Je presse mon gland à son entrée, puis m’y insère lentement jusqu’au fond. Oh putain, ce que c’est bon ! Instinctivement, je l’attrape par les hanches et remue du bassin. Bon sang, je n’en reviens pas, je baise une fille, je ne suis plus vierge ! J’ai mon gros dard au fond d’elle. Toutes les fois où je me suis branlé en espérant vivre ce moment, jamais je n’aurais imaginé que ça pouvait être aussi divin. Le meilleur, c’est que je ne suis pas dans n’importe quelle fille, mais dans Lucy. La fille la plus sexy du bahut, mon fantasme depuis toujours.

  J’en ai finis d’explorer et la lime pour de vrai. Je me sens comme un animal qui a juste besoin de fourrer une femelle et de se faire gicler dans un vagin. Nous n’utilisons même pas de capote, je peux ressentir les véritables sensations de son intérieur et non au travers de caoutchouc. Elle mouille tellement que je glisse tout seul en fond d’elle.

Tu peux éjaculer quand tu veux, ne te retient pas, me dit-elle.

  Bordel, ce que j’aurais bien envie de la remplir de foutre là, mais non, ce serait trop tôt. J’ai un canon entre les mains, ce serait une insulte de s’en servir comme un simple vide-couille. Je veux la faire jouir. Qu’elle garde comme souvenir de moi un mec avec qui elle a pris son pied et non un mec qui s’est juste vider vite fait en elle. Je me pince les lèvres et la saute plus fort. Mes couilles claquent contre son pubis. Je me courbe sur elle pour lui empoigner les seins. Ils sont si volumineux, c’est tellement agréable de les masser. C’est frustrant de faire ça à travers des vêtements, je veux les toucher pour de vrai.

Qu’est ce que tu fais ? me demande-t-elle quand je commence à essayer de lui enlever son haut.

Je veux jouer avec tes nichons.

Tu es un bien mec, toi. Tu ne peux pas te contenter de jouir vite ?

Non !

Bon, d’accord.

   Elle m’aide à la déshabiller et à retirer son soutien-gorge. Je peux enfin presser ses nibards dénudés. Je lui titille les tétons avec mes doigts. Je jurerais qu’elle s’est retenue de gémir. Il m’en faut plus, je veux les voir, les lécher. Je me débarrasse de sa culotte qui traine toujours entre ses jambes, et la retourne face à moi. Elle est surprise par la violence de mon geste. Je ne lui laisse pas le temps de s’en remettre pour la porter et la plaquer contre le mur.

  Je la repénètre et la baise à fond. Elle me tient par le cou pour m’aider à la supporter. Je n’ai pas beaucoup de force, je ne sais pas combien je tiendrais dans cette position, mais je m’en fou. Je peux enfin voir sa poitrine gigoter dans tous les sens sous mes coups. Je plonge dedans et lui attrape les tétons avec la bouche. Je les mordille et tire délicatement. Cette fois, c’est officiel, elle a gémi. Elle ne peut plus cacher qu’elle aime ça, je continue alors de les téter comme un bébé, je regrette presque qu’il n’y ait pas de lait tant je suis affamé d’elle. Je m’écarte pour l’admirer. Cette position est tout aussi frustrante que la précédente. Je peux voir ses nichons, mais mes mains sont trop occupées à la soutenir pour pouvoir jouer avec. Je regarde son visage crispé. On dirait qu’elle lutte. Contre quoi ? Elle cherche à éviter de pousser d’autres gémissements ? Elle est trop belle, je suis amoureux, je ne peux pas m’empêcher de l’embrasser. J’essaie de lui fourrer ma langue, mais elle me repousse :

Non ! fait-elle. Ça, tu n’as pas le droit.

Quoi ? Tu n’aimes pas ? Ça te plait pas ce que je te fais ?

Non. Tu crois quoi ? Qu’un puceau comme toi peut me donner du plaisir ? Je t’offre à toi uniquement pour mon challenge.

  Quelle salope. Je sais que ça lui plait, elle refuse juste de l’admettre. Je me sens de nouveau en colère. Je perds mes moyens.

Alors quoi ?! Elle ne te plait pas ma bite ?! fais-je. Tu disais pourtant qu’elle était grosse.

La taille ne suffit pas, rétorque-t-elle.

Ah ouais ? Pourquoi tu mouilles alors ?

C’est un réflexe.

 Elle m’énerve, je la prends plus fort un léchant à nouveau un de ses nichons.

Aaah ! crie-t-elle.

Tu vois que tu aimes ça !

Non. Tu m’as fais mal.

Menteuse !

  Elle m’énerve, elle m’énerve. Que ce que ça lui coute d’assumer ses sentiments ?! Pourquoi tient-elle à me blesser comme ça te à me traiter comme un débile ?! Je la lime avec rage, je veux qu’elle me sente bien. C’est si dur de ne pas jouir, c’est si bon d’être en elle. C’est vrai que je dois avoir l’air d’un idiot. Moi qui suis toujours si raisonnable, à penser avant tout avec ma tête, je me sens un peu ridicule de me laisser à cet instinct animal de lui foutre ma queue au fond de la chatte et de me frotter à l’intérieur jusqu’à ce qu’éjaculation s’en suive. J’ai désespérément besoin de m’enfoncer en elle. Je la pilonne comme pour chercher à aller toujours plus loin.

  Je l’entends soupirer, ça dû lui échapper. J’en profite pour renchérir :

Tu vois que tu aimes ça.

Non ! Non !

  Elle a de plus en plus de mal à se contenir, je le sens. Elle va finir par craquer, j’en suis sûr. Suffit de la pousser un peu :

Tu n’es qu’une putain de menteuse. Avoue que tu aimes ma bite !

Jamais !

Ok, alors j’arrête de te baiser.

Non !

Non quoi ?

Continue !

Que je continue quoi ?

Continue de me baiser !

Pourquoi ?

Pour mon challenge.

Sois honnête, ou j’arrête !

Parce que j’aime ça ! crie-t-elle cette fois.

Tu aimes quoi ?

Ta queue.

Elle te fait du bien ? Tu la veux ?

Oui !

Alors dit-le moi !

J’aime ta queue ! Je veux que tu me baises !

  Putain, je n’en reviens pas, j’ai réussi. Je ne me reconnais pas moi-même. Cette fille me rend tellement fou que toutes mes inhibitions sont tombées. Je baise Lucy et elle aime ça, c’est le plus beau jour de ma vie.

  Je la dépose par terre, je n’ai plus de force. Ce n’est pas plus mal, ma bite aussi a bien besoin d’une pause si je veux pouvoir continuer.

Pourquoi tu t’arrêtes ?! Tu n’as pas eu ce que tu voulais ?!

Si, mais j’en veux plus. Allez, à quatre pattes, salope !

Non mais ça ne va pas ?! Je ne vais pas me laisser parler comme ça par un puceau !

Moi, c’est comme tu veux. Ou on finit tout de suite pour ton stupide challenge, et je me soulage en me faisant gicler vite fait dans ta chatte, ou tu m’obéis et je te saute jusqu’à t’en faire jouir.

 Ce n’est pas un gros coup de poker, de toute façon, je suis gagnant. J’aurais perdu ma virginité, baiser la fille la plus bonne de l’école, et éjaculer sans capote au fond d’elle ; le tout en lui faisant avouer qu’elle aime ça.

  Il se passe alors une chose incroyable : elle m’obéit ! Lucy, la belle farouche m’obéit se mettant à quatre pattes comme une chienne devant moi. Je l’ai domptée avec ma bite. Je me place derrière elle et replonge dans son vagin. Putain, ce que c’est bon de baiser. Maintenant que j’y ai gouté, je vais avoir du mal à m’en passer.

Je te jure que si tu jouis avant moi, je te tue ! me menace Lucy.

  Je lui donne une fessée, elle frémit. Elle a un si beau cul. Je m’inquiète :comment fait-on jouir une fille ? Je n’en sais rien moi. Qu’est ce qu’il faut pour la finir ? J’ai remarqué qu’elle était sensible des seins tous à l’heure, je devrais recommencer à jouer avec. Je me penche sur elle et lui attrape les nibards. J’ai l’air d’un animal qui monte une femelle. Je lui pince les tétons en lui embrassant le cou. J’avais vu juste, elle se remet à gémir.

Salaud ! Salaud ! m’insulte-t-elle.

Tu aimes ça ?!

J’adore, c’est trop bon.

  Je n’ai aucune douceur. Je la pilonne violemment comme pour me venger de toutes les moqueries qu’elle m’a faites. "Le puceau-ci" "Le puceau-ça". Je vais lui montrer moi ! Je l’agrippe par les bras et les tire vers moi ; j’ai vu ça dans un film. Je l’embroche avec ma bite. Son torse est en suspension, seule ma poigne l’empêche de retomber à terre.

Oh ! Putain ! s’exclame-t-elle.

Ça te plait, ça aussi, salope ?!

Ouiiiii !

  Nom de Dieu, à moi aussi. Je ne pensais pas que je serais capable de faire ce genre de choses à une fille, encore moins à Lucy ; mais s’il faut être un salaud pour lui plaire…

  Elle se disait pressée tout à l’heure, elle a l’air tout de suite de moins se soucier des risques qu’on se fasse surprendre. À vrai dire, moi, je ne demanderais limite que ça, qu’une fille entre et découvre Lucy se faire sauter comme une pute par le petit coincé de l’école ; je ne m’arrêterais même pas. Elle n’aura qu’à rapporter à tout le monde comment je l’ai prise et combien elle a aimé ça. Ce ne sera pas pour moi que ce serai la honte, au contraire. Si je racontais moi-même que j’ai baisé Lucy dans les chiottes de l’école personne ne me croirait.

   Je l’attire vers moi pour coller son dos contre mon torse. Je me repais de sa chaleur, celle de ma Lucy. Bordel, j’en ai maté des films pornos, mais aucune des actrices ne m’a jamais autant qu’excité qu’elle. Je masse un de ses seins d’une main, et utilise l’autre pour tourner son visage vers moi. Je l’embrasse, elle se laisse faire cette fois. C’est mon premier vrai baiser. Je lui mets la langue, elle réagit en me donnant la sienne. Putain, en cet instant, elle est à moi, rien qu’à moi, c’est fantastique. Malgré la brutalité de mes coups de reins, je l’aime, j’ai besoin de l’exprimer :

Lucy, oh Lucy. J’ai toujours été amoureux de toi, je te jure.

Idiot.

Je fantasme sur toi depuis toujours. Je me branle tout le temps en pensant à toi. Tu es la plus belle femme que j’ai jamais vue. C’est si bon de te faire l’amour ! Je t’aime ! S’il te plait, soit ma copine ! Pitié ! Je te ferais jouir tous les jours !

Petit con ! Des amants, j’en ai dix comme toi ! Et eux, ce sont des beaux mecs !

Non, s’il te plait, Lucy, ne me dit pas ça.

  Je ne sais pas ce qu’il m’a prit de tout lui avouer comme ça. Sa réponse me déchire.

Tu crois quoi ?! poursuit-elle. Que parce que ta bite me fait du bien que je vais tomber amoureuse de toi ? Pauvre idiot, on tire juste un coup. Dans une heure, je t’aurais oublié. Alors profites-en, parce que tu n’auras plus jamais d’autre occasion comme celle-là.

Salope !

  Elle a vraiment le don de me foutre en rogne, ce n’est pas possible ! Elle n’était pas obligée de me parler en des mots si cruels ! Elle va payer ! Tant pis pour son plaisir, je vais prendre le mien. Si c’est vraiment la seule fois où je peux la baiser, autant assouvir tous mes fantasmes.

  Je la repousse sur le sol, elle se retient de s’écraser les bras en avant. De nouveau à quatre pattes, je sors de son vagin pour me diriger vers sa porte de derrière. Sans même lui demander son avis ou qu’elle n’ait le temps de protester, je m’enfonce dans son cul jusqu’à la garde.

Aaaah ! crie-t-elle.

  Je n’y fais pas attention et lui bourre le fion comme un malade. Enculer Lucy, mon ultime fantasme. Je suis amoureux, et j’ai toujours rêvé d’être un amant aimant pour elle, mais plus au profond de moi, il y a toujours eu ce pervers caché qui rêve de lui faire des choses obscènes. Maintenant que je l’ai libéré, je ne réponds plus de rien. Je ne pense plus qu’à l’user et la souiller. Putain, ce que c’est bon, c’est incroyablement serré, c’est difficile de se retenir d’éjaculer.

  J’ai un éclair de lucidité qui me fait réaliser ce que je viens de faire. Étrangement, elle ne me dit pas "non", elle ne se débat pas, rien. Serait-ce possible que ce ne soit pas sa première fois ?

Tu aimes ça, salope ?

Oui !

Avoir une grosse bite dans le cul ?

Oui !

Tu veux que je m’arrête ?

Non ! Allez ! Prends-moi plus fort, salaud ! Défonce-moi le cul !

  Mais cette fille va me rendre dingue ! Je joue les derniers des salauds, et elle ose me dire qu’elle aime ça ! Chercher à la faire jouir n’était plus à l’ordre du jour, mais il le redevient.

  Je la tire par les cheveux et lui ramone l’anus à cette pute. Je veux qu’elle rentre en cour en boitant, que tout le monde sache qu’elle a séché pour se faire enculer, et que les gens fassent le rapprochement avec ma propre absence. Elle ne cesse de crier, si fort que quelqu’un qui passerait non loin pourrait se demander d’où viennent ces cris de chienne. 

Aaah ! Continue. Allez, allez, soit pas timide ! fait-elle.

   Oh, ça, je ne le suis pas, ou du moins, je ne le suis plus. Je lui grimpe dessus et la monte pour pouvoir la prendre encore plus fort. Je lui perfore le trou de balle comme pour lui creuser un nouveau tunnel. Je suis une bête sauvage, et elle une femelle en manque de bites qui se laisserait sauter par toute une meute. Bon sang, je n’aurais jamais pu deviner que le sexe était aussi bon, je deviens accro.

Putain, je ne vais pas tarder à jouir, me confie-t-elle.

  Tant mieux, parce que moi, à ce train-là, je vais finir par craquer aussi. Je me suis jamais aussi retenu aussi fort, j’ai mal à la queue, mon jus supplie de sortir, je n’en peux plus.

  Je la lime de toutes mes forces. Mes couilles pleines claquent contre sa chatte. Je n’ai jamais été aussi dominant de toute ma vie. Son torse s’écroule sur le carrelage, ses yeux sont trempés de larmes de bonheur. Elle attend que je la finisse, puis soudain, elle hurle :

Aaaaaaaaaaaah ! Je vieeeeeeeeeeens ! Ouiiiiiiiii !

 Son corps tremble, les muscles de son anus se contractent et enserrent ma bite. Je suis prisonnier, comme si elle m’invitait à me vider dans ses intestins. C’est diablement tentant, mais le pervers qui est en moi à d’autres intentions. Je n’avais jamais vu une fille avoir un orgasme avant, un vrai orgasme ; c’est magnifique. Je sors de son cul à la première occasion et profite le spectacle. Même lorsque ses soubresauts sont terminés, elle a l’air de ne plus savoir où elle est. Je n’ai pas dû lui donner qu’une petite jouissance.

  C’est à mon tour maintenant. J’ai dit que je voulais la souiller, et je vais la souiller de sperme. Je veux lui pisser du foutre à la gueule ; j’ai toujours rêvé de la voir recouverte de ma semence. Je la force à se remettre à genoux et me branle devant son visage en la maintenant par les cheveux.

Tu vas prendre, salope ! fais-je.

 Elle est toujours un peu dans les vapes. Il lui faut du temps pour comprendre ce qu’il se passe, mais lorsque c’est fait, elle ferme les yeux et ouvre la bouche. Putain de merde, on dirait qu’elle a l’habitude. C’est le coup de grâce ! Mes bourses explosent comme jamais au cours de mes branlettes. Je me perds dans l’extase durant la seconde où mon jus grimpe le long ma tige, puis je beugle en crachant une première giclée qui atterrit sur son nez. Une seconde arrive tout aussi copieuse, puis une troisième et une quatrième. Je n’ai jamais éjaculé une telle quantité ni aussi fort. Je n’avais jamais ressenti un tel besoin de me vider. De jouir, de me faire du bien oui, mais pas de devoir expulser désespérément du sperme. Je suis au paradis, je lui donne tout ce que j’ai. Elle avale même les jets que je lui envoie directement dans la bouche. Elle dégouline de partout, des trainées glissent sur ses délicieux gros seins. Je suis presque déçu quand plus rien ne sort de mon méat alors que je suis toujours en plein orgasme. Il me faut un bout de temps pour redescendre sur terre. Wow, je n’en reviens pas. Quel pied ! Quelle baise ! Et surtout, quelle fille ! Quand je reprends un semblant de conscience de moi-même, je regarde l’étendue des dégâts. Je ne l’ai jamais trouvée aussi belle qu’avec mon sperme coulant sur son visage.

Tu n’es qu’un gros dégueulasse ! m’insulte-t-elle. Tu as vu ce que tu as fais ?!

  Oh, oui, et j’en suis fier ! Elle dit ça maintenant, mais vu sa manière de se comporter au moment où elle m’a vu m’astiquer pour me finir, elle le voulait autant que moi.

  Comme le dernier des salauds, je me rhabille, et je m’en vais sans un mot. Je la laisse là, à poil, couverte de foutre, complètement usée, non sans avoir voler son soutif et sa culotte en souvenir. Elle se démerdera pour faire sa toilette.

***

   Nom de dieu ! Le petit salaud ! Il faut méfier de l’eau qui dort comme on dit. Je m’attendais à un petit coup rapide, à un puceau qui gicle en moi après à peine quelques coups de reins, et voilà qu’il est transformé en véritable baiseur. J’adore. Il fait son gentil garçon tous les jours à l’école, mais au fond, c’est un pervers qui ne faisait que penser à me baiser comme un animal. Je ne l’imaginais pas capable de laisser libre cours à ses pulsions d’hommes ainsi. Il n’a eu pas peur de me traiter comme sa chienne et de me limer comme un vrai male. Il doit en avoir accumulé de lq frustration pour en arriver, le pauvre. Je ne m’en plains pas, j’ai pris un pied monstrueux. Il a réussi à me soumettre avec sa queue. Clairement, il fait partie de mon top trois, et avec lui, j’ai enfin terminé mon défi : j’ai réussi à coucher avec tous les garçons de ma classe.

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