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Les parents d'Audrey nous invitent chez eux. – Chapitre 3

Les parents d'Audrey nous invitent chez eux. - Chapitre 3



On met fin à notre petit jeu, et on sort comme chaque soir. A 22 heures on est de retour pour une nouvelle nuit de débauche. Il reste deux possibilités de couples ou trios parmi les cinq initiales, mais au vu des derniers événement on en rajoute une troisième: les deux hommes ensemble et les trois femmes ensembles. On pense ajouter un papier pour le tirage au sort, mais les filles s’accordent pour nous laisser notre nuit entre mâles qui aiment la queue. C’est flagrant que l’on en a autant envie l’un que l’autre, et que si on ne le fait pas ce soir, on aura la tête ailleurs pour s’occuper de partenaires féminines.

Les filles s’enferment toutes les trois dans la chambre, et on se retrouve au salon pour coucher sur le canapé lit. Il fait chaud, et on a ouvert la fenêtre pour rafraîchir. Il y a un beau clair de lune, et on va pouvoir s’aimer comme en plein jour, à l’abri des regards indiscrets puisque l’on est au dernier étage.

On déplie le lit et on s’y allonge entièrement nus. Michel n’a pas connu d’homme, à part moi ces deux derniers jours, et je le sens un peu mal à l’aise. Il est sur le dos, et je me colle à lui pour le caresser, lui murmurer à l’oreille tout en lui donnant de tendres bisous:

— Détends toi mon chéri, tout va bien se passer. Je te laisse faire le programme si tu veux, tu décides de ce que tu veux et je te suis.

— Tu es gentil, mais je n’ai pas ton expérience des mecs. Alors il vaut mieux que tu conduises.

Je ne veux pas de dominant et dominé, j’aime la parfaite réciprocité des rôles, que l’on puisse tout faire, tous les deux. Je lui annonce quelques séances possibles, tout en lui précisant que rien n’est figé, et que l’on peut improviser à tout moment. On discute, je continue à le caresser: les seins, les hanches, le sexe, et il se décide à me caresser lui aussi. Je lui donne toujours des bisous, et ma bouche se rapproche de la sienne:

— Tu embrasses?

— Oui, je fais tout ce que tu veux.

Je soude mes lèvres aux siennes, nos bouches s’entrouvrent, nos langues s’enroulent dans un premier baiser, tandis que nos mains s’activent sur nos manches. Je me détache pour lui dire comme c’est bon, mais il ne me laisse pas finir ma phrase; ses bras s’enroulent autour de mon cou, et il reprend ma bouche. Je suis sur lui, on bande tous les deux, et je frotte ma queue contre la sienne. On se roule une pelle vorace, saliveuse, à perdre le souffle. On se dessoude pour respirer:

— Humm, tu es chaud mon salaud. On va s’offrir une superbe nuit tous les deux C’est bon se rouler des pelles, mais le meilleur c’est les pelles au foutre. Ah, mais j’oubliais, tu ne dois pas connaitre.

— Non, mais je ne demande qu’à apprendre.

Du coup on fait une première entorse au programme prévu, et je lui explique la suite. On s’embrasse à nouveau goulument, puis mes lèvres descendent sur son corps, son cou, sa poitrine, son ventre, son bas ventre. J’ai sa bite dans la bouche, et je le suce avec l’intention de le faire jouir. Il ne fait rien pour se retenir, et je reçois assez rapidement de délicieuses giclées que je garde. Il a terminé de se vider et je rampe sur son corps.

Je suis au dessus de lui, il a la bouche grande ouverte, et j’y déverse ma récolte de sperme mélangée à ma salive. Je colle alors mes lèvres aux siennes et on se roule des pelles obscènes avec des mini pauses qui me permettent de boire tout ce bon jus par petite dose. J’ai tout avalé et on s’embrasse encore. Il ose enfin m’insulter:

— Quel salaud tu es! Tu es un gros pervers dégueulasse, mais ça me plait.

— Je pense que ça te plait, tu es un chien toi aussi, un vicieux. A ton tour salaud, pompes moi.

On refait la même séance, sauf que c’est lui qui suce, récupère mon sperme, puis le bouffe dans ma bouche.

On se caresse, on se branle, et il rebande. Il n’a pas encore 40 ans, et semble très vigoureux:

— Tu m’as l’air d’un bon queutard mon chéri, encule moi, casse moi le cul et insulte moi.

On est allongé, je lui tourne le dos, et je lève une jambe et tire sur ma fesse pour mieux m’offrir. Je le sens en moi, et il me tringle sans répit. Difficile de me donner de grands coup de reins étant ainsi couchés, et on change de position.

Je suis à quatre pattes sur le lit, le cul au bord, et il vient derrière moi, debout. Il m’embroche sauvagement, et me délivre les insultes qu’il m’a entendu dire durant nos baises avec les filles. Tout y passe, il a bien retenu, en rajoute même, et je prends un pied autant cérébral qu’anal. Il va jouir et je me tourne pour lui offrir ma bouche.

Il m’a bien fait bander, et c’est à mon tour de le prendre. Je veux lui faire connaître diverses positions, et il s’allonge sur le dos. Je relève ses jambes, et il les passe sous ses bras pour les maintenir bien en l’air. Je bouffe sa raie, sa rondelle, puis je viens sur lui pour le baiser de face, et l’embrasser en même temps. Je le lime longtemps et abandonne de fatigue sans avoir joui. Je me mets sur le dos et le fais me chevaucher pour s’empaler profond sur ma queue, puis faire du yoyo sur mon manche. Il monte et descend sur ma hampe, tandis que je l’encourage et l’insulte, et il finit par me faire éjaculer. Il se soulève, mon sperme s’écoule sur ma bite molle, et on se nettoie l’un l’autre, lui ma queue, moi son cul.

On met fin à la séance pour essayer de dormir un peu. Je sais qu’il est très viril, capable de baiser plusieurs fois par jour, et je lui dit de ne pas hésiter à me réveiller s’il a besoin de moi.

Je me réveille dans la nuit, je bande mou. Je jette un coup d’il sur mon amant qui visiblement ne dort pas; sa main coulisse sur sa trique bien dressée. J’ai envie de sa bite:

— Ouah! cette queue! Tu aurais dû me réveiller.

— Oui, tu me l’as dit, mais je n’ai pas osé.

— Pas grave, puisque je le suis maintenant. Tu m’encules?

— Avec plaisir, mais tu m’encules ensuite.

— Si je peux, mais je ne te garantis rien, je n’ai plus ton âge.

— Dis pas de conneries, et puis je saurais te faire bander.

Il était timide au départ de notre soirée, frileux, puisque non habitué, mais je constate avec plaisir qu’il se dévergonde et veux bien prendre des initiatives. Je l’en félicite et on va passer aux choses sérieuses.

Je veux encore d’autres positions, et lui propose la table à manger, une table en massif, pouvant supporter nos ébats. Je m’y allonge sur le dos, le cul au bord, et il relève mes jambes pour poser mes chevilles sur ses épaules. Je sens alors son gland se frotter dans ma raie, puis insister sur mon illet. Il me pénètre et m’encule comme un dieu:

— Humm, putain que c’est bon. Tu m’encules trop bien salaud, j’en ai pris des bites dans le cul, mais rarement aussi bonnes.

Il veut alors en savoir plus sur ma vie sexuelle, et je lui avoue que j’ai pris des dizaines et des dizaines de bites entre mes fesses, peut-être une centaine, et que j’en ai sucé beaucoup plus, à fonds si possible. Ca l’excite et il me pilonne en me traitant comme la dernière des trainées, m’ordonnant de me branler. Il va jouir, reste en moi, et je sens ses giclées brulantes envahir mes entrailles; que du bonheur.

Il se retire, et je bande. Il prend ma place sur la table, et je l’enfile à mon tour. Je le besogne et je sens son foutre couler entre mes fesses. Tout en l’enculant, je me torche le cul avec mes doigts, et je les suce pour savourer sa semence.

Une fois encore je suis épuisé sans avoir joui. J’abandonne, et il me reprend. Il m’a dit pouvoir baiser plusieurs fois, et m’en donne la preuve. Il me défonce et inonde mon cul une nouvelle fois. Il me lèche la raie, récupère sa sauce, et me roule une pelle. Je me demande si je suis vraiment son premier mec, mais il est très doué.

On s’embrasse, on se branle, et on repart au lit pour terminer en 69. On se suce avec gourmandise, on s’attend pour jouir encore une fois, et on se libère l’un dans l’autre pour le plus grand régal de nos papilles.

On s’endort jusqu’au matin.

Il leur reste huit jours de vacances, et on va profiter au maximum les uns des autres, dans nos cinq à sept à cinq, puis dans nos chaudes nuits. Ils s’en vont, et on se promet de se revoir l’année suivante. Ma nièce doit aussi rentrer chez elle et je la raccompagne dans l’espoir de baiser avec sa mère, ma pute de sur.

Je serais ensuite à nouveau seul, mais avec de nouveaux partenaires de jeu: JC, Francis, et leurs quatre chiens. Que du bonheur en perspective.

FIN

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