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Les étangs – Chapitre 1

Les étangs - Chapitre 1



Il faisait trop chaud pour rester enfermer, nous avons donc décidé d’aller nous promener du coté de Saint Germain, une promenade dans la fraîcheur des sous bois entourant les Etangs de cette foret ne pourrait nous faire que du bien.

Nous avons préparé une glacière avec quelques boissons, et de quoi nous restaurer.

Vêtue d’une robe de plage boutonnée sur le devant, et comme seul dessous un mini slip, Martine m’attendait dans la voiture.

Après un quart d’heure de route, nous sommes arrivés au bord des étangs. Ce que j’avais oublié de dire à Martine, c’est que l’on ne pouvait pas se baigner, mais ce qui m’a fait choisir cet endroit, c’est qu’il faisait partie des lieux désignés comme coquins sur certains sites.

Nous avons donc commencé par une petite promenade dans les sous bois, la fraîcheur des lieux, et le petit vent qui soufflait rendait ce petit tour bien agréable.

Au bout d’un moment, je pris Martine dans mes bras, et commence à l’embrasser, je passe la main sous sa robe, et écarte le petit slip, sentant à quel point elle mouillait, je lui suggérait pour son bien être de la retirer. Ce qu’elle fit, et me donna le petit morceau d’étoffe que je mis dans ma poche.

Nous retournons à la voiture, Je sors la glacière, et allons nous asseoir à une table de pic-nic à l’écart.

Nous buvons un petit whisky coca, et cassons une petite croûte, le tout arrosé d’un petit rosé de Provence.

Martine, me fait remarquer qu’il se fait tard, la nuit commence à tomber.

Je range, remet tout dans le coffre, et prétextant admirer la beauté des lieux le soir, la prend par la main, et l’emmène sur le petit chemin qui borde l’étang.

Arrivé à la table de pic-nic, je la fait asseoir non pas sur le banc mais sur mes genoux. Je commence à l’embrasser, et à caresser ses jambes jusqu’à rencontrer sa petite fente humide. J’introduit un doigt, elle se laisse aller.

Elle n’a pas encore vu le manège des deux hommes d’un certain age, qui font des aller et venu , jetant un coup d’oeil à chaque passage.

La nuit est maintenant tombée, seule la lune se reflète dans les étangs.

Je relève largement la robe de Martine, et la caresse franchement, J’aperçois un homme d’une cinquantaine d’année caché dans la pénombre, il ne doit pas rater grand chose du spectacle que je lui offre.

Je relève Martine et l’assoit au bord de la table. Un à un ouvre les boutons de la robe, et arrivé au dernier la fait glisser le long de ses bras jusque sur la table.

Elle est maintenant assise nue sur la table à Pic-nic, je l’embrasse, l’allonge, descends vers son sexe, je commence un doux jeu de langue et de doigts, cherchant du regard, le ou les éventuels voyeurs.

Il sont deux, le premier, doit avoir la cinquantaine, quand au second, doit avoir notre âge, le plus mur, se rapproche doucement tout en se masturbant, voyant que je le regarde, et ne dit rien, en quelques secondes, il se retrouve à mes coté, je m’écarte un peu, et lui fait signe qu’il peut prendre ma place, il ne se fit pas prier.

C’est à ce moment là que Martine se rendit compte de sa présence, je l’a maintient, afin qu’elle ne gâche pas ma surprise, et tout en l’embrassant, je lui dit de laissé faire, mais déjà, elle avait fermé les yeux, elle gémissait sous les coup de langue de son lécheur, je sors mon sexe, et, lui présente , elle le caresse et prend dans la bouche.

Le deuxième était maintenant près de la table faisant aller et venir sa main le long de son sexe, et tendait timidement la main vers les seins qui s’offrait à lui. Au contact de la main, Martine ouvre un oeil, et laisse faire, elle tendit le bras pour attraper la queue de cet inconnu qui lui massait délicatement les seins. Elle abandonna mon sexe pour sucer le nouvel arrivant. Le lécheur se relève, et me demande si il peut la pénétrer, je lui fait signe que oui, mais seulement si il enfile un préservatif, il me fait voir qu’il l’avait déjà en main. Il a un sexe très long, il doit faire au moins 21 cm, un diamètre plus que satisfaisant. Je le vois frotter son sexe à l’entrée de la chatte de ma femme, et commence un va et viens qui l’a fait gémir aussitôt. Son bassin va à la rencontre des couilles, ses petits cris rythment les entrées et sorties de la bite.

L’autre est maintenant à genou sur la table, et lui lime la bouche. Ma chérie baisée par les deux bout par deux inconnus.

Après quelques minutes de ce traitement, changement de position, celui qu’elle suçait, s’allonge sur la table, Martine vient s’empaler sur sa bite, plus courte que la première, l’autre se place face à elle, et lui enfonce sa queue dans la bouche, pour ma part, j’ai décidé de m’occuper de son petit cul. Je le lèche, y introduit un doigt, elle ne dit rien, je remouille le doigt, et recommence je sens la queue qui bouge a travers la parois anale, je tente un deuxième doigt, elle recule, et viens à la rencontre de mes doigts, je les fais aller et venir franchement maintenant, je présente ma queue à l’entrée de son petit trou, et je rentre doucement, une fois arrivé au bout, je commence un doux va et viens.

A ce moment la, elle se déchaîne, commence à crier sa jouissance. Je sens la queue voisine se raidir plusieurs fois, puis ramollir jusqu’à se trouver éjecter par mes va et viens. Je me relève, laisse mon voisin de dessous se dégager . J’attrape Martine, et je l’assied sur ma queue, dans le cul bien à fond, je lui relève les jambe, le plus agé n’ayant pas fini, viens investir la chatte offerte .Il la lime bien à fond, je n’ai rien a faire, les contractions de son anus à chaque pénétration font que je ne vais plus tenir longtemps. Je sens les secousses de l’autre sexe, Martine se contracte au maximum ,ce qui a comme effet de me faire jouir aussi , tout trois nous râlons au même moment. Nous ne bougeons pas pendant quelques secondes, remis de nos émotions, nous nous sommes rhabillés, et après un petit baiser à mon épouse, avons chacun repris notre chemin.

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