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Les Tiques – Chapitre 2

Les Tiques - Chapitre 2



La jeune fille se réveille seule dans son lit. Quelle nuit ! Son oncle sest révélé un excellent amant, meilleur que ses copains . Il la quitté après minuit en promettant de revenir Aussi souvent lui a-t-il dit, que sa femme prendra un somnifère !

Son regard accroche le réveil sur la table de nuit.

— Mon dieu ! Neuf heures, je nai jamais été aussi tard !

Elle se lève en vitesse et descend à la cuisine. Son frère a terminé son petit déjeuner et sapprête à sortir.

— He ben quest-ce qui tarrive, toi qui dhabitude est la première ? Tu as mal dormi ?

— Pas du tout. Cest sûrement lair de la campagne. Tu mattends ?

— Je ne peux pas. Je suis déjà en retard. Tonton memmène chercher du foin.

Il nest pas mécontent de quitter Françoise. Il ne sait pas comment se comporter avec elle depuis la séance dans la salle de bain. Sa sur la masturbé ! Bien quelle ne fût pas complète la caresse était délicieuse.

Tellement meilleure que lorsquil la pratique le soir dans son lit ! Il suggèrerait bien de recommencer sil navait peur que Françoise se moque de lui.

— Alors ? interroge Joseph quand Fabien monte sur le tracteur à ses cotés. Ça ta plu la séance dhier ?

Le garçon rougit sans répondre. Non il ne peut pas dire le plaisir éprouvé quand la sur tenait sa queue et que son oncle chatouillait autour de lanus

Françoise aide sa tante. Elle la regarde. Cest encore une belle femme mais qui se néglige. Pas étonnant que son époux cherche ailleurs ! Elle néprouve aucun remords pour la nuit passée dans les bras de Joseph. Si Muriel ne sait pas garder son mari tant pis pour elle ! Ce soir si celui-ci se représente à sa porte elle ne le renverra pas

Il ne sest pas présenté mais lavait averti. Dans laprès-midi il avait réussi à isoler la jeune fille.

— Ce soir ce nest pas possible. Muriel na pas prévu de prendre un somnifère. Tu ne men veux pas ?

— Tu restes mon Tonton préféré.

Elle sest laissé entraîner dans une remise où il la culbuté vite fait sur la paille

Fabien narrive pas à occulter la salle de bain. Trois jours après son souvenir emplit toujours son esprit. Il ne pense plus quà ça ! A force de chercher il croit avoir la solution : Se faire de nouveau examiner !

— Tu veux pas retourner au bois des Tachères ? Les champignons ont du pousser puisque le temps doux et humide sest maintenu, suggère-t-il à sa sur. On pourrait demander à Tata de nous faire une omelette.

Elle doute que la gastronomie soit la seule motivation.

— Tu nas pas peur des tiques ?

— On sen est bien débarrassé non ?

Il ne pourrait être plus clair, cest bien une séance dépouillage quil espère, juge-t-elle. La perspective dun autre passage dans la salle de bain allèche la jeune fille. Puisque son frère le propose

— On dit où on va ?

— Non, ils nous feraient mettre des pantalons et des gros souliers, déclare le garçon.

Il veut être sûr dattraper des tiques ! samuse-t-elle. En cachette ils prennent chacun un panier et sortent en short de la maison sans se faire remarquer.

Deux heures après ils reviennent. Leur récolte a été fructueuse, les paniers sont remplis de petits cèpes en forme de bouchon de champagne.

— Oh quils sont jolis ! sextasie leur tante. Où les avez-vous trouvés ?

— Au bois des Tachères, tu nous avais dit que cétait un bon coin. Tu avais raison, tu vois.

— Mon dieu ! Vous y êtes allés habillés comme ça ?

— Euh Oui.

— La mésaventure de la dernière fois ne vous a donc pas servi de leçon ? Vous devez être de nouveau pleins de tiques. Allez-vous changer et vous éplucher !

— Euh On sait pas si on saura faire.

— Votre oncle ne vous a pas montré comment procéder ?

— Euh On na pas bien regardé. Tonton ne pourrait pas venir avec nous pour quon comprenne bien ?

Joseph est ravi que ses neveux réclament une nouvelle séance. Cela signifie que la première ne leurs a pas déplu. Il est partant pour remettre ça, peloter Françoise nest pas une corvée et soccuper du cul de son frère non plus !

— Je veux bien vous aider Euh Une dernière fois, ajoute-t-il devant le regard soupçonneux de Muriel, dit-il. Les prochains jours, vous vous débrouillerez seuls. Allez chercher des affaires propres, je vous rejoins dans la salle de bain avec le tire-tiques.

Il entre dans les toilettes en même temps que le frère et la sur. Sans quon ait besoin de lui demander Fabien se déshabille immédiatement. Une fois nu il annonce les yeux brillants.

— Je suis prêt !

Joseph et Françoise sourient devant sa hâte. La jeune fille se dévêt à son tour.

— On fait comme la dernière fois, Tonton ? demande-t-elle.

— Si tu veux, approche Françoise.

Le garçon est un peu vexé que sa sur passe avant lui : il devra attendre pour se faire caresser ! La jeune fille savance sourire aux lèvres. Joseph lattire entre ses cuisses écartées et embrasse les bouts des seins.

— Oh ! sécrit-elle surprise.

— Excuse-moi, cétait trop mignon, je nai pas pu résister.

— Hi ! Hi ! Hi !

— Restons sérieux.

Elle frémit quand une main englobe un sein. Tout en patouillant la poitrine, Joseph fait tourner sa nièce dun coté et de lautre.

— Je nen vois pas Ah ! En voilà une. Passe-moi le tire-tiques Fabien Merci. Approche Regarde bien ce quil faut faire.

Le garçon observe comment son oncle glisse lustensile sous la tique et arrache linsecte dun mouvement tournant.

— Sil y en a une autre cest toi qui lenlèveras Ah ! il y en a une sous un mamelon, tient le tire-tiques.

Fabien nose pas toucher le globe et ne parvient pas à atteindre la tique.

— Naies pas peur, soulève le sein pour bien dégager la petite bête. Ta sur ne te mangera pas, nest-ce pas Françoise ?

— Il peut toucher ce quil veut pourvu quil enlève cette satanée bestiole !

Fabien approche timidement sa main de la poitrine et voyant quil ny a pas de réaction négative, la pose carrément dessus. Il est tout ému de sentir sous ses doigts la peau satinée et le tétin fripé. Il touche le sein de sa sur, merci les tiques ! Joseph le ramène sur terre.

— Quest-ce que tu attends ?

En tremblant un peu Fabien arrive à se servir correctement du tire-tiques. Il se redresse triomphant :

— Jai réussi !

— Cest très bien mon petit mais ce nest pas fini. Regardons bien partout.

Ils auscultent les jambes, les cuisses, entre les fesses. Françoise se laisse manipuler. Ils découvrent une tique derrière le genou. Fabien lôte plus aisément que la première.

— Il ny a plus quà voir au sommet des cuisses. Écarte les jambes sil te plait.

La jeune fille attendait ce moment avec impatience. Elle soupire de satisfaction quand les doigts de son oncle sinsinuent dans sa fente. Après avoir rapidement vérifié labsence de parasite, Joseph se consacre à la caresse. Tout y passe, le pubis, la vulve, le clitoris et même lentré du vagin. La présence de Fabien le retient denfoncer le doigt. Françoise les mains sur les épaules de son oncle nessaie pas détouffer ses gémissements. Que sont frère soit présent limporte peu. Elle retrouve avec délice le savoir faire dont Joseph a fait étalage au lit. Elle sent quelle parvient à la jouissance.

— Mmmh ! Mmmh ! Mmmh !

Fabien est jaloux du plaisir affiché par sa sur.

— Vous navez pas terminé ?

Sa remarque jette un froid. Adieu la jouissance entrevue ! Avec un soupir

Joseph se redresse. Une idée lui vient : faire participer le garçon pour le rendre plus malléable !

— Fabien. Regarde à ton tour, une ou plusieurs tiques ont peut-être échappé à mon contrôle.

Fabien nose croire en sa chance.

— Tu es daccord Françoise ?

— Ça va pas non ! sindigne-t-elle (« Pas question que ce morveux me touche ! »).

— Tu las bien caressé lautre jour, pourquoi ton frère naurait-il pas le droit de timiter ? lui rétorque Joseph. Et puis il faut bien quil apprenne à rechercher les tiques, je ne serai plus là pour ça !

— Ce Ce serait un inceste !

— Jusquici cela navait pas lair de te perturber !

— Euh

Elle est à court darguments Et son corps réclame les caresses, elle en a besoin !

— Si tu veux.

Le garçon tout heureux de la permission, enfonce lindex dans le sexe.

— Aïe !

— Excuse-moi, je fais plus attention.

— Passe le doigt partout, tu devrais sentir sil y a encore un insecte, conseille son oncle.

Fabien est loin de penser aux tiques. Il découvre avec ravissement les replis et lhumidité dun sexe de fille. Françoise le laisse fourrager. Son frère est malhabile en comparaison de la science de Joseph mais ses caresses lémeuvent. Leur oncle les contemple avec indulgence. Nétant pas égoïste, puisquil ne peut plus participer aux séances dépouillage autant que le garçon en profite. Au bout dune minute il les interrompt.

— Fabien, je crois que tu as compris ce quil fallait faire. Au tour de Françoise de maider à téplucher.

Ils découvrent dans le cou et derrière les genoux deux tiques que la jeune fille enlève sous les conseils de son oncle.

— Cest bien ; je vois que tu as compris toi aussi. Vous saurez vous débrouiller à lavenir.

Le garçon est déçu. Na-t-il pas droit lui aussi aux caresses ?

— Euh Cest tout ?

La jeune fille sourit. Ce nest pas la peur des tiques qui motive son frère. Cest aussi lavis de Joseph.

— Françoise, examine bien le sexe de ton frère. Regarde sur tous les cotés sil ny a pas de tiques. Moi je contrôle entre jambes.

Au grand plaisir de Fabien sa sur empoigne la verge, la tourne et la retourne. La queue grossit entre ses doigts. Quand elle est devenue bien raide la jeune fille ladmire un instant puis la masturbe. Le garçon qui attendait ce moment approuve en soupirant :

— Oui Mmmh !

Tout à coup il pousse une exclamation.

— Oh !

— Quest-ce que tu as ? Je te fais mal ? sétonne Françoise.

— Non, non ! Mmmh !

Joseph a enfoncé lindex dans lanus et pistonne pour le faire entrer plus profondément. Il croise le regard de Françoise. Dun sourire, il lui fait signe de continuer. La double sollicitation sur le sexe et dans le cul conduit rapidement Fabien à la jouissance. Il serre les lèvres sur un gémissement qui sourd de sa gorge.

— Plus Plus vite, murmure-t-il.

Ni Joseph ni Françoise ne lui obéissent. Imperturbables ils poursuivent un rythme modéré. Il ne peut ralentir léclosion du plaisir.

— Aarrgghh !

Le sperme jaillit en grosses gouttes et sécrase sur la poitrine de la jeune fille.

— Oh, le cochon ! sexclame-t-elle amusée.

Elle essuie ses seins puis la verge ramollie.

— Il est temps de vous habiller, conseille Joseph.

Le frère et la sur mettent en silence leurs vêtements. Lui est tout ému. La caresse anale la surpris, il était loin de penser que cela pouvait procurer tant de plaisir. Ajouté à la masturbation cétait divin ! Pourvu que leur oncle revienne sur sa décision de ne plus les accompagner dans la salle de bain !

Une fois dehors Françoise demande en cachette à Joseph :

— Tu lui mettais le doigt dans le cul nest-ce pas ?

— Cela avait lair de lui plaire tu as vu ? Malheureusement je nirai plus avec vous pour lépluchage au retour de vos promenades, je ne veux pas éveiller les soupçons de Muriel.

— Euh Tu ne viendras plus le soir ?

— Ce nest pas pareil, ma femme a besoin de temps en temps de prendre un somnifère !

Le lendemain il surprend son neveu et sa nièce au moment où ils se préparaient à sortir avec des paniers.

— Vous allez aux champignons ?

— On va au bois des Tâchères.

— Oui Fabien a insisté malgré la présence de tiques.

Par un clin dil la jeune fille fait comprendre que la recherche des champignons nest pas la motivation principale de son frère.

— Vous pouvez aller ailleurs les enfants. Il y a dautres bons coins. Dans le bois derrière léglise par exemple mais mettez un pantalon, il ne faut pas tenter le diable. De toute façon, à votre retour, je vous lai dit, ne comptez plus sur moi. Il faudra que vous vous inspectiez car on nest jamais à labri des tiques mais vous le ferez tous seuls.

Fabien est déçu : son oncle ne participera pas à la séance dépouillage, adieu la caresse entre ses fesses ! Il se console en se disant que sa sur le masturbera. La défection de Joseph ne perturbe pas Françoise, elle sait quelle retrouvera son oncle soit dans la grange ou soit le soir dans son lit et il lui fait plus que de simples caresses !

— Tu ne viens pas dans la salle de bain ? interroge Fabien quand ils reviennent de la cueillette des champignons

— Tu crois quon en a besoin ? On nest pas allé au bois des Tachères.

— Tonton nous la bien dit, il faut sinspecter de toute façon.

Françoise le suit de mauvaise grâce. Cela ne lui dit rien de se faire peloter par ce morveux ! Dès la porte refermée, Fabien quitte tous ses vêtements.

— Tu ne te déshabilles pas ? sétonne-t-il.

— Euh Tout à lheure. Viens que je texamine.

Elle le fait tourner devant elle, regarde sous les bras, dans le cou, derrière les genoux.

— Tu es clair, dit-elle, il ny a pas de tiques.

Le garçon est déçu.

— Tu ne regardes pas entre jambes ? Sil te plait !

Sans conviction elle soulève le sexe mou. Dès quelle la touche la verge se dilate, raidit et pointe devant le ventre de Fabien. Le miracle opère : Françoise a de nouveau envie de cette belle queue, den extraire le suc. Elle entame une lente masturbation. Le garçon ferme les yeux sur son plaisir. Cela amuse sa sur dobserver sur son visage la montée de la jouissance

— Tu as obtenu ce que tu voulais nest-ce pas ? dit-elle quand il a récupéré.

— A mon tour de contrôler que tu nas pas de tiques. Déshabille-toi !

Elle quitte t-shirt et pantalon.

— Tout ! rouspète-t-il. Les petites bêtes

— Se cachent dans les endroits discrets, je sais !

Elle consent à enlever slip et soutien gorge. Par chance Fabien débusque un insecte sur le sein droit.

— Tu vois que javais raison ! triomphe-t-il tout en pelotant la poitrine.

Françoise ne peut lui donner tord. Et puis les caresses de son frère sont loin dêtre désagréables. Elle adore que lon tripote ses seins. Les tétins qui dardent devant les mamelons sont les témoins muets de son plaisir. Elle en oublie dinterdire à son frère, comme elle en avait lintention, dexaminer lentre jambe

Lorsquils sortent un bon moment plus tard Fabien est fier comme un paon : il a réussi à faire jouir sa sur !

— Tu es un démon ! lui reproche-t-elle en riant. Dieu sait que je ne voulais pas !

— Tu regrettes ?

— Non, tu as été très habile.

— On le refera ?

— Oh toi, tu as de la suite dans les idées !

Fabien est satisfait. Malgré labsence de Joseph la séance dans la salle de bain sest bien déroulée. Néanmoins il déplore que son oncle ne veuille plus participer à la recherche des tiques. Il essaye de le faire fléchir pendant quils rentrent les foins dans la grange.

— Tu ne veux vraiment pas revenir avec nous dans la salle de bain ?

— Non, ta tante aurait des soupçons. Pourquoi me demandes-tu ça, vous ny êtes pas arrivé ?

— Si mais Euh

— Tu as aimé ma manière dopérer, nest-ce pas ?

— Ou-oui.

— Tu sais, il ny a pas que dans les bois quon attrape des tiques et on na pas besoin de senfermer dans une salle de bain pour les rechercher. Je peux le faire ici.

— Tu veux que je me déshabille là, sur le foin ?

— Non, cest inutile.

Il glisse la main sous le short.

— Euh Tu ne verras pas sil y a des tiques, objecte le garçon.

Joseph ne pensait plus aux bestioles.

— Euh Je sentirai sil y en a sous les doigts.

Il enfonce lindex dans lanus.

— Aah !

Fabien retrouve la douceur de la caresse anale. Joseph commence à pistonner mais le tissu le gêne.

— Tu permets ?

Il enlève son doigt et baisse short et slip. Fabien le laisse faire sans oser laider. Il attend avec impatience que lindex retrouve sa place dans son cul et gémit de satisfaction quand au bout dune minute le majeur le rejoint.

— Mmmh ! Aaah ! Mmmh !

De caresser ainsi son neveu excite Joseph. Cest la première fois quun homme le fait bander. Il ressent lenvie irrésistible de lenculer. Jusquici il na honoré que des culs féminins mais un cul est un cul, décide-t-il ! Il ajoute lannulaire aux deux doigts pour élargir le sphincter. Fabien soupire de plus belle.

— Aaah ! Mmmh ! Aaah !

— Mets-toi à quatre pattes, ordonne son oncle.

Dune main il baisse son pantalon et sort son sexe quil lubrifie avec de la salive. Avant de sortir ses doigts toujours dans le cul de Fabien il empoigne la queue du garçon.

— Oui ! Aaah !

Joseph remplace ses doigts par son dard et donne un coup de rein.

— Ouch ! Que fais-tu ?

Loncle masturbe son neveu.

— Tu naimes pas ?

— Euh Mmmh !

Quand il juge Fabien suffisamment acclimaté à la grosseur de la verge, il commence daller et venir dans le cul sans cesser la masturbation.

— Aaaah !

— Nest-ce pas que cest bon ?

— Aaah ! Oui ! Mmmh ! Aaah ! Aaaaaaaaah !

Fabien succombe et saplatit sur le foin. Joseph extrait son sexe et se termine à la main.

— Aarrgghh !

Après sêtre réajusté loncle redresse le neveu. Il ôte les brins de foins collés au sexe et remonte slip et short.

— Tu vois que lon na pas besoin daller dans la salle de bain.

Fabien ne répond pas. Toute laprès-midi le souvenir de ce qui cest passé dans la grange le turlupine. Il sest fait enculer et il a aimé ça ! La surprise de lintroduction passée il a apprécié le va et viens de la queue dans son postérieur. Serait-il une tantouse ?

— Quest-ce qui tarrive ? demande sa sur le voyant soucieux.

Elle insiste jusquà ce qui lui confie ses craintes.

— Tonton ta enculé et tu as joui ? La belle affaire ! Cela ne fait pas de toi un homo, tente-t-elle de le rassurer.

Il nest pas convaincu. Il faut lui sortir cette idée de la tête pense Françoise. Cette nuit justement Joseph ne peut venir, sa femme le réclame lui a-t-il dit. Quoi de mieux que de déniaiser ce puceau pour lui prouver quil nest pas gay ! Cest un inceste quelle envisage ? Et alors ? Cest vital pour léquilibre de son frère, se justifie-t-elle. Avec son oncle aussi cest un inceste, cela ne la traumatise pas et elle nenvisage pas de cesser. Le soir elle entre nue dans la chambre de Fabien.

— Oh ! Que fais-tu ?

— Je vais te prouver que tu nes pas homosexuel, dit-elle en se glissant sous les draps

Le remède est efficace, le lendemain Fabien a oublié ses idées sombres

La vie à la ferme sorganise. Quand le frère et la sur rentrent de la cueillette des champignons ils senferment dans la salle de bain soi-disant pour chercher des tiques. « Lépluchage » se déroule toujours de la même manière. Après une inspection rapide (on sait jamais il peut y avoir des bestioles), Françoise masturbe Fabien puis celui-ci caresse sa sur jusquà la jouissance. Françoise enseigne à son frère comment utiliser sa bouche. Souvent ils terminent par un 69. Quand ils aident Joseph aux travaux des champs celui-ci lorsquils rentrent, isole lun ou lautre dans un coin de grange quil a aménagé. Le soir si Muriel a pris son somnifère il rejoint Françoise dans sa chambre. La jeune fille rend aussi visite à son frère de temps en temps.

Un jour au moment où la jeune fille se penchait sur la verge de Fabien pour la sucer la poignée de la porte tourne frénétiquement et des coups sourds retentissent.

— Pourquoi vous enfermez-vous ? crie leur tante. Veuillez ouvrir sil vous plait !

En vitesse ils passent des sous-vêtements avant de tourner la clé.

— Je vous interdis de bloquer la serrure à lavenir, je peux avoir besoin de rentrer dans la salle de bain.

— Oui Tata.

Muriel prend sur une étagère un flacon de liquide vaisselle. Françoise et Fabien terminent de shabiller et sortent sous le regard ironique de leur oncle présent dans le salon.

Les séances après la recherche des champignons perdent un peu de saveur car le frère et la sur nosent plus se déshabiller complètement. Les caresses ne sont plus aussi agréables. Un matin Françoise demande à Fabien dexaminer le bouton qui la gêne depuis quelques jours.

— Mais ce nest pas un bouton cest une tique, une grosse tique ! Attend, je lenlève.

Il sarme du tire-tiques et ôte la bestiole.

— Regarde comme elle est énorme !

Françoise est horrifiée.

— Javais ça dans le dos ? Comment as-tu fait pour ne pas la voir !

— Euh

Il doit avouer que la recherche des tiques nétait plus sa préoccupation.

— Je vais attraper la maladie de Lyme tu te rends compte !

Le soir son oncle la rassure.

— Ce nest que si autour de la piqure apparait une auréole qui grandit quil faut sinquiéter. Pris au début avec un traitement aux antibiotiques, il ny a pas de séquelles.

Échaudée elle ne veut plus se promener dans les bois. Fabien a beau la supplier elle reste intraitable.

— Jai trop peur dattraper à nouveau des tiques.

Pour le consoler elle promet de le rejoindre plus souvent le soir

Les vacances se terminent, leurs parents sont venus les chercher. Françoise ne regrettera pas ces congés ! Elle qui redoutait ces vacances loin de ses flirts, a trouvé en son oncle le partenaire idéal, attentionné, à lécoute de ses besoins et habile de ses mains. Elle a aimé aussi son rôle dinitiatrice auprès de son frère. Son inexpérience au lit la touchée. Elle ne pensait pas prendre autant de plaisir à linstruire des choses de lamour. Elle est fière den avoir fait un amant acceptable Et puis il a une si jolie queue Fabien, non plus ne regrette rien. En arrivant chez sa tante il nimaginait pas quil allait, grâce à sa sur, perdre son pucelage et surmonter sa timidité maladive en face des filles Et découvrir avec son oncle que les hommes peuvent aussi donner du plaisir

Joseph regarde partir lauto qui emporte ses neveux. Ils vont lui manquer. Ils avaient réussi à lui faire oublier son enfant. Cela va être dur de se restreindre à sa femme !

Le frère et la sur sont séparés à la rentrée. Fabien retourne au lycée où il acquiert une réputation de tombeur et Françoise intègre une université dans une ville éloignée

Plusieurs années après, à loccasion dune fête de famille, ils rentrent dune promenade en forêt. Fabien sapproche de Françoise lil fixé sur son cou.

— Je ne me trompe pas, cest une tique que tu as attrapée !

Il enlève linsecte qui ne sétait pas encore fixé.

— Merci, dit-elle.

Il regarde autour de lui. Ils sont seuls, le reste de la famille est déjà au salon.

— Si tu veux je peux voir sil ny a pas dautre, ajoute-t-il à mi-voix.

— Pas la peine, je le Oh !

— Tu vois tu te souviens ! Tu ne voudrais pas faire un tour dans la salle de bain ?

— Tu nas pas honte de me proposer ça ?

— Pas du tout ! Viens, tu en as autant envie que moi !

— Euh Allons dans ma chambre nous y serons plus tranquilles

Un bon moment après ils rejoignent la famille.

— Où étiez-vous ? On vous cherche partout !

— Euh On voulait savoir si on se rappelait ce que nous faisions quand nous étions jeunes, dit Françoise.

— Cest comme la bicyclette cela ne soublie pas, complète Fabien

Fin.

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