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Les tourments érotiques du jeune Markus Milka – Chapitre 2

Les tourments érotiques du jeune Markus Milka - Chapitre 2



En ce début daprès-midi ensoleillé, il se trouvait que les hommes étaient partis ensemble pour une promenade en forêt, de sorte qu’il ne restait que les épouses pour finir tranquillement entre cafés, infusions et digestifs, tout en discutant, sur la terrasse à lombre dun grand parasol, des mérites et des défauts de leurs conjoints respectifs en toute liberté. La conversation tourna naturellement vers la comparaison de la capacité ou non – des conjoints à satisfaire les besoins charnels de leur chère et tendre.

Markus arriva à ce moment-là, complètement nu, tenu autour du cou par une ficelle en guise de laisse et de surcroit prisonnier dun carcan de fortune aussi inconfortable quhumiliant, obligé de marcher à demi courbé, tout cela, naturellement, dans le but affiché de bien marquer linfériorité du soumis sur ses maîtresses qui avaient tout pouvoir sur lui.

La mère du garçon, indéfectible partisane de l’ordre moral, fut horrifiée de voir son rejeton ainsi impudiquement dénudé en compagnie de filles de son âge. Mais les trois autres dames étaient plutôt satisfaites, et excitées, en voyant un jeune homme dépourvu de tout vêtement et manifestement disposé à se livrer, devant elles, et pour elles, à différents jeux méchamment affriolants. Ce fut Zaza qui annonça la couleur :

Y en a-t-elles parmi vous qui ont envie d’une petit cuni ? Adrienne et moi l’avons dressé et il est prêt à vous faire tout ce que vous voulez. Pas vrai, Markus, dit-elle en tirant sur la ficelle, ce qui étranglait le garçon ?

Ou… oui, absolument tout.

Et même… avec ça, demanda Françoise en montrant un gode-ceinture qui était l’objet de sa discussion avec ses voisines ?

Françoise était la maman d’Adrienne, et, contrairement à belle-sur Mauricette qui était celle de Markus, elle était une femme libérée qui ne craignait pas les pratiques sexuelles les plus débridées : fervente adepte avec son mari de léchangisme et des parties fines, elle était connue pour son humeur délurée, voire absolument nymphomane, et nallait nulle part sans quelques précieux jouets coquins dont elle vantait avec éloquence les mérites à qui voulait lentendre, passant à loccasion à dintéressantes parties de travaux pratiques au cours desquelles elle ne craignait pas de se dénuder en public, avant de se masturber sous les yeux étonnés de tous, et le fait même de se savoir observée dans la transgression de ce tabou lui procurait toujours de fabuleux orgasmes. Plus dune fois, elle a connu la geôle pour exhibitionnisme mais les juges sont toujours cléments envers celles qui nhésitent pas à écarter les cuisses, pour eux, au bon moment.

Tout ce que tu veux, Maman, dit Adrienne en ôtant les entraves à son prisonnier. Sauf sil prononce le mot de sécurité : « stop ». Jespère bien quil ne le dira pas. Et aussi, il vient déjaculer, sur nos pieds, parce quil est un sacré fétichiste de ce côté-là. Son organe de gars risque de ne plus être trop vaillant.

Crois-tu, répondit la maman malicieuse ? Viens, Markus, couche-toi sur la table, sur le dos, les jambes relevées. Comme chez le docteur, parce que, tu sais, je suis une doctoresse. Petit cours danatomie : je vais vous montrer, à vous toutes, comme on réveille les garçons qui ont plus de réserve que lon croit : même une pine qui a déjà bien juté peut toujours fournir encore. Un jeune comme toi doit avoir de solides ressources en bas du ventre. Voyons, je suppose que tu te masturbes souvent ?

Oui, au moins deux ou trois fois par jour.

Ce petit chenapan a même raté son bac à cause de cette manie obscène à laquelle il sadonne à tout moment, précisa sa mère en soupirant. Cest devenu addictif. Quel dévergondé ! Nous aurions dû mieux le surveiller, son père et moi. Maintenant, quallons-nous faire de lui ?

Voyons, Mauricette, pourquoi sen offusquer ? Il ny a rien de plus naturel, pour un bel éphèbe, que de se toucher afin dexpérimenter des sensations que les femmes viendront lui offrir ! Car tu es puceau, nest-ce-pas ?

William vient de le dépuceler du derrière, précisa Zaza. Il lui a défoncé la rondelle qui, avant, était toute serrée : le tableau était plaisant à regarder, même si, en matière dhommes, nous ne sommes pas pratiquantes.

À part ça, ajouta-t-il, je nai jamais connu de fille. Mais elles mont permis de mouiller leurs jolis orteils, et pour cela, je leur en serait toujours reconnaissant.

Tu as encore le temps de découvrir le plaisir suprême de copuler, dit Françoise. Mais à loccasion, si tu ne trouves personne à ton goût, tu pourras venir me voir, quand mon mari sera absent : je tinitierai.

Cest un peu incestueux, non ?

Nous ne sommes pas du même sang, car je ne suis ta tante que par alliance. Et puis, quel mal y-a-il à se faire du bien ? Regardez, les filles, même si nous naimez pas les garçons, cest une petite leçon de biologie que vous trouverez peut-être intéressante.

Françoise lubrifia abondamment son index et son majeur, quelle enfonça rapidement dans lanus du garçon, toujours couché sur le dos, les jambes relevées et écartées afin que son orifice obscur soit facilement accessible. Il sursauta, surpris de ce geste invasif, se demandant jusquà quel point il serait le jouet des désirs de ces dames. Comme électrisée par ce geste, sa hampe se redressa dès que les doigts sinsinuèrent dans la gaine rectale, effleurèrent sa prostate, puis accentuèrent la pression en un coquin massage. Lattouchement lui causait une sensation indescriptible.

Il faut replier les doigts vers lavant, comme pour dire « viens ici », et on sent la poche souple de la glande à travers la paroi du rectum. Tu as une toute petite prostate, comme tous les jeunes gens : en vieillissant, cet organe prend du volume. Regardez, les filles : la verge est devenue très dure, et il sen écoule, en filet, un peu de liquide clair qui nest pas du sperme.

Elle en préleva un échantillon au creux de sa main gauche et le fit humer par les deux jeunes filles qui firent la moue.

Vous naimez pas cette odeur ? Dommage. Cest un parfum que jadore, et dont je ne me lasserai jamais.

Ses surs Marianne et Josiane, ainsi que sa belle-sur Annie, eurent également le droit de sentir lodorant fluide prostatique fraîchement émis. Puis Françoise utilisa sa main qui nétait pas plongée dans lorifice masculin afin de palper les bourses.

Mon bonhomme, toutes mes félicitations pour tes génitoires : tu as de très jolis testicules, de taille identique, bien fermes et de belle taille. Certes, le phallus nest pas celui dun étalon mais il possède, lui aussi, une forme magnifique lorsquil indique midi. Avec ton physique dApollon, tu pourrais poser pour les plus grands peintres, ou bien te montrer nu sur les plages afin déblouir les filles et les dames, qui voudront toutes te tripoter, comme ça, dit-elle en tapotant le priape sur le dessus afin den tester la fermeté.

Sa sur Josiane mesura la mentule avec son centimètre de couturière, et nota dans son carnet secret : Markus, 18 ans, 16 centimètres. Puis elle lui noua un large ruban rose autour de la base du pénis, en serrant bien le double nud afin de maintenir lérection, et en mettant en évidence deux belles rosettes bien symétriques, avant de prendre son uvre en photo, satisfaite de cette présentation.

Tu es joli comme ça, dit-elle. Jaime bien féminiser les garçons. Comme tu es plutôt fluet et que tu as de longs cheveux, le rose te va merveilleusement. Si tu navais pas ce truc entre les jambes, on aurait dit une fille. Attends : je vais te passer mon colifichet mauve autour du cou. Comme cela, cest parfait. Il est dommage que tout à lheure, nous nayons pas pu assister à ton premier enculage. Vous auriez pu nous appeler pour quon vienne voir et quon en profite aussi.

Maintenant, regardez, dit Françoise : tout en continuant à presser la prostate à travers lanus, je chatouille les bourses, puis je titille le frein du bout des ongles, comme ça. Lexcitation monte, monte On voit maintenant suinter de la rosée du désir : cest magnifique. Surtout, il ne faut pas toucher au gland, sinon le bonhomme risque dexploser immédiatement, et ce nest pas ce que je veux. Regardez comme il grimace. On peut le retarder autant quon veut : cest un supplice indescriptible. Nous allons le pousser à bout. Et hop, au moment critique, on lâche tout : son orgasme est ruiné ! Le sperme coule, mais il na presque pas de sensation de volupté.

Surpris par la méthode autant que frustré, Markus pleura de cet inassouvissement, et devant son air ridicule, les jeunes filles ne manquèrent pas de se moquer de lui et de ses pleurnicheries peu viriles, accompagnées par les rires impitoyables des dames enfiévrées par le stupre. Seule sa maman demeurait de marbre, observant la scène sans intervenir, mais désapprouvant silencieusement ces excès libertin.

Ensuite, les trois dames le sodomisèrent, à chacune leur tour, au moyen du gode ceinture. Tandis que lune lui pilonnait dans le rectum au moyen du phallus de plastique noir, les deux autres lui maintenaient fermement les poignets sur la table, afin dempêcher tout mouvement de fuite. Malgré ses supplications, aucun nouvel orgasme ne lui fut accordé. A la fin de la séance denculage, il se mit à genoux et baisa les pieds de ses bourreaux tout en implorant le droit de se branler au-dessus des orteils qui lattiraient tant. Pour toute réponse, on lui lia les mains derrière le dos afin de lui ôter toute tentation de toucher à son organe viril, et sil mouilla des orteils féminins, ce fut avec des larmes et non du sperme.

Confortablement assises lune contre lautre sur la balancelle, nonchalantes, Adrienne et Zaza, les deux jeunes amantes, se masturbaient mutuellement, avec lenteur, tout en restant vêtues, mains coquinement glissées dans les culottes trempées, tout en observant sans y participer les affres que subissait le garçon, ce qui inspira des orgasmes sadiques à leur esprit pervers. Adrienne jouissait et se réjouissait davoir offert son cousin à ses tantes afin quelles abusent de lui.

Lorsquil se plaignit que sa rosette anale le faisait souffrir pour avoir reçu tant et tant de fouillements luxurieux, William, resté dans les parages, aggrava la situation en lenglandant à fond une nouvelle fois, sur la requête des dames, sans juger utile de lubrifier son massif braquemart, le tout sous les applaudissements des spectatrices ravies dadmirer ce genre de prouesse, sous lexcitante musique des pleurs et gémissements de douleur du giton prisonnier.

Les dames affriolées voulurent quon soccupe delles et surtout de leurs replis intimes. Elles relevèrent leur robe ou ôtèrent leur pantalon, puis leur culotte, pour celles qui en portaient une pas Françoise, qui nen mettait jamais aux beaux jours. Toujours à genoux, Markus fut tenu de lécher les trois sexes féminins qui se présentèrent à lui successivement. Ce fut pour lui une révélation fabuleuse, et à cette occasion il découvrit que donner du plaisir est bien plus intense, plus sensuel et satisfaisant pour la libido que den recevoir, que la volupté dune femme déchargeant dans sa bouche peut être une éruption volcanique au-delà de tout ce quil imaginait ou percevait en regardant de la pornographie. Il reçut, au creux des fleurs alanguies de luxure, un extraordinaire feu dartifice dodeurs femelles dont il sémerveillait à chaque coup de langue, en balayant avec agilité des clitoris érigés de leur fourreau, gorgés de sang et palpitants denvie. A cette occasion, il apprit lart délicat du cunnilinctus ; ses tantes furent ses professeurs et lélève fut passionnément appliqué, tant et si bien quil acquit rapidement une maîtrise consommée de cette pratique, ce dont, par la suite, nombre de belles profitèrent avec délices.

Avant la fin de la journée, le garçon eut à subir encore dautres tourments issus de limagination aussi cruelle que foisonnante des femmes, des brimades sexuelles auxquelles il avait souvent rêvé le soir au fond de son lit, tout en masturbant frénétiquement, et dautres qui le surprirent et quil vécut comme un incroyable cadeau du destin. A aucun moment, même ceux pendant lesquels il eut à souffrir des pires avilissements que puissent subir un mâle captif de personnes de lautre sexe, il ne songea à prononcer le mot de sécurité, souhaitant au contraire que les bourrèlements se prolongent et samplifient jusquà lextase du martyre.

A suivre si lhistoire vous plaît ; nhésitez pas à laisser des commentaires sur le forum.

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