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Les trois femmes de mon adolescence – Chapitre 6

Les trois femmes de mon adolescence - Chapitre 6



Voilà déjà 24hrs que Colette est parmi nous que des tensions surviennent entre les membres féminin de la maisonnée tout le monde se surveille et me marque à la culotte, je ne peux faire un pas sans avoir une chatte près de moi, cela commence à peser, je ne sais quelle solution adopter pour leur échapper. Assise à mes côtés Colette est silencieuse et le silence aidant je perçois comme un murmure à mes oreilles, c’est tout simplement le bruit de l’eau remplissant la piscine que nous remplissons après le nettoyage de ce matin. Ce bruit déclencha en moi une idée qui allait me permettre de m’éloigner de la maison, Je me lever et regagner ma chambre pour me mettre en tenue cycliste et in former maman de mon intention de faire du vélo.

— ’Maman, je vais faire un tour’.

— ’Comment avec cette chaleur tu vas souffrir mon petit prends de quoi boire’.’Et où vas tu ?’.

—Je ne sais pas vers la corniche peut être où vers la campagne je verrai ’Mais je me gardais bien de lui dire que j’allais au bord du ruisseau à la sortie di village, car bien sûr je n’avais pas envie de pédaler vu la température qui avoisine les 40?. Sous les arbres au bord de l’eau je serai tranquille. Et me voilà parti en direction de la corniche pour donner le change et je rejoins le cours d’eau par les jardins du presbytère saluant Mr le curé en passant la cloture.

— ’Que fais-tu là mon garçon ?’ me dit-il

— ’Je passe par votre potager pour rejoindre le ruisseau cela m’évite défaire un détour par cette chaleur’.

— ’Bien tache de ne pas abîmer de fleurs avec ton vélo’.et il reprit sa lecture. Arrivé au cours d’eau je couchai le vélo dans l’herbe et entrepris d’oter mes vêtements car dessous j’étais en maillot de bain et avais l’intention de me mettre à l’eau. Le ruisseau n’excédait pas 80cms de profondeur à l’endroit où je me trouvais immergé que c’était bon d’être au frais. Voilà une heure que je barbotais lorsque je me sentis épié sortant de l’eau je fis comme si de rien n’était et je m’assis dans l’herbe. Un bruit de branche brisée attira mon attention vers la droite et je vis Virginie apparaître

— ’Que fais-tu là ? comment m’as-tu trouvé ?’.

— ’Mr le curé m’a dit que tu étais passé par chez lui pour venir ici,et donc me voilà’.

— ’Qu’as-tu fait de Colette ?’

— ’Elle est resté avec maman pour trier des photos de famille et moi j’en ai profité pour aller faire une balade pendant que grand-mère préparer sa valise car vous partez demain soir tous les deux’.’Elle est bonne l’eau du ruisseau ?’

—’Oui fraiche et pure’.Elle ôta son tee shirt et baissa son short et je constatais qu’elle ne portait pas de culotte,elle a un corps magnifique des seins bien ronds et pleins à souhaits et des fesses biens galbées. Devant ce spectacle l’appel de la chair se fit sentir et ma bitte commença à se manifester dans mon caleçon de bain.

— ’Je vois que tu es en forme à nouveau et j’espère en profiter avant que tu ne partes, au fait Colette comment baise-t-elle ?’.

— ’Il n’y a rien eu entre elle et moi nous n’avons fait que parler’.

— ’Ce n’est pas ce qu’elle m’a laisser entendre ’me dit-elle en se saisissant de ma queue

— ’Il parait que tu en as une bien grosse m’a t-elle dit et cela est vrai ’.

—Bon c’est vrai elle m’a un peu branler et j’étais sur le point de la pénétrer lorsque vous ètes arrivées au Belvédère,nous avons juste eu le temps de nous rajuster’.Et se faisant Virginie avait réussi à baisser mon caleçon et se mit en devoir de sucer tout en carressant son minou.Puis allongés dans l’herbe nous étions tète bèche elle était tellement excitée que je buvais sa mouille elle fondait dans ma bouche et elle de son côté en avait plein la bouche ,elle suçait,aspirait,et parfois mordillait le gland et elle me massait gentiment la colonne.Sentant la tension qui montait de plus en plus je quittais ma besogne pour me retourner et me placer entre ses cuisses grandes ouvertes laissant voir sa fente qui baillait,je dus prendre mon sexe en main pour le loger dans sa chatte ruisselante,car il était pratiquement collé à mon ventre.Malgré qu’elle fut bien lubrifié j’eu un peu de difficultés à prendre possession de son bijou,elle poussa un petit cri à l’intromission du gland qui était aussi gros qu’un brugnon.une fois en place je me lis à limer lentement puis de plus en plus vite elle aussi venait à la rencontre de mes coups de boutoirs je me mis à lui sucer les seins qui étaient gonflés et terriblement durs.Notre cavalcade dura environ une quinzaine de minutes et sentant venir l’éruption elle voulut que je me retire de son vagin mais trop tard les vannes étaient ouvertes et le contenu de mes bourses partait en puissante saccades frappait le fond et remplir son puits d’amour.Nus l’un à côté de l’autre nous étions vannés,au bout de cinq minutes nous nous rhabillames et priment le chemin de la maison.Chemin faisant Virginie demanda.

—’Jérôme,si Colette te demande de lui faire l’amour tu le ferais ?’

—’Non j’ai promis à maman que je ne la toucherais pas’

—’Oui mais ce matin tu l’aurais bien fait ’.A notre arrivée nous trouvames maman et colette en grande conversation allongées sur des transats,Virginie alla prendre une douche et moi je restai avec elles.Colette était en jupe mini et débardeur moulant qui mettait sa poitrine en valeur tandis que maman se trouvait en maillot deux pièces ,de ma place je pouvais les comtempler à loisirs. Colette se rendit compte que je l’ai matais toutes les deux et lentement commença à m’aguicher ses genoux s’écartèrent doucement et dévoilèrent une toison dépourvue de tout voile.Je me mis sur le ventre pour cacher mon trouble,et quelques instant plus tard je me levais et filais en direction de ma chambre ou je m’enfermais pour ètre tranquille.Cinq minutes plustard quelqu’un frappa à ma porte j’allais ouvrir et c’était grand-mère qui venait me rendre visite pour m’informer que nous partions demain en soirée

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