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Les Zaventuriers – Chapitre 14

Les Zaventuriers - Chapitre 14



Une fois qu’ils sont seuls les Zaventuriers se regardent, et Mella demande à Gardain :

— Mais comment fais-tu pour ne plus sursauter, lorsque les présents offerts par les Dieux apparaissent ?

Il lui répond après avoir souri :

— J’ai tout simplement remarqué que Colissimo est pas capable de les faire venir sans forcer un peu. Il est obligé de plisser légèrement les yeux, probablement parce qu’il doit se concentrer, et alors je sais que les paquets vont arriver.

Les compagnons éclatent tous de rire, surtout à cause du fait qu’ils ont remarqué que leur ami le nain réussit en restant immobile, à agacer le divin messager. Lorsqu’ils ont repris un peu de leur sérieux, Hermine leur dit :

— Vu ce qui nous est arrivé hier, il serait préférable que j’apprenne mes nouveaux sorts et que je charge mon troisième bâton avant de repartir.

Níniel abonde dans son sens :

— Je vous ferai dire que pour moi c’est pareil. Même si j’aimerais à présent disposer de plus de flacons vides, et que je regrette de ne pas en avoir apporté de ceux qui étaient dans ma chaumine.

Leurs amis sont tout à fait en accord avec le fait qu’il vaut mieux qu’ils fassent preuve de prudence, par conséquent l’humaine et la demi-elfe se mettent toutes les deux assises en tailleur sur la mousse, tandis que leurs trois compagnons en profitent pour accomplir une quête secondaire. Alors que la mage charge son nouveau bâton d’apprentie, mais aussi change certains des sorts dans ceux de novices qu’elle avait déjà, l’ensorceleuse vide quelques-unes de ses fioles afin de les remplir à nouveau. Elle doit pour faire cela récupérer toutes celles qu’elle avait données à ses amis, et ensuite elle devra recommencer la distribution. Lorsqu’elles ont toutes les deux terminé, vu que puiser dans l’énergie des quatre éléments les a fatiguées, Níniel donne à sa compagne une potion de faible regain de vigueur, et elle en boit une seconde. Bien entendu, du fait de les remplir ensuite à nouveau cela nécessite qu’elle utilise sa propre énergie tout autant que celle qui l’entoure, mais dans une bien moins grande mesure que précédemment, étant donné que cette fois il n’y a plus que deux flacons.

— x-X-x-

Pendant ce temps Krill Mella et Gardain ont entrepris de faire une Broche de Galipett, le premier s’est allongé le dos sur la mousse de la clairière, tandis que la seconde s’est empalée sur son os de 6 pouces, et que le troisième a entrepris d’enfoncer sa saucisse de la même taille dans l’antre de Cemenss de leur amie. Cette dernière s’est dans ce but penchée en avant, toujours perchée sur ses cuissardes à talons-stylets de 4 pouces de haut, en se servant de cette position d’équilibre pour donner à tout son corps un léger mouvement de balancier. Elle a posé ses mains à plat sur le torse musclé du barbare afin de ne pas basculer en avant, et ses bras et ses cuisses lui servent à donner un rythme mesuré à leur accouplement, ce qui fait ballotter légèrement ses gros tétins. Ses deux partenaires se laissent faire passivement, et ils ne semblent pas avoir à se plaindre de la lenteur, à laquelle leurs membres virils entrent et ressortent des orifices de la jeune elfe de 100 récoltes. Ils arrivent donc au bout d’un long moment tous les trois à la jouissance en même temps, et les deux mâles se vident en grognant dans la femelle, l’un dans ses entrailles et l’autre dans sa matrice, tandis qu’elle pousse un gémissement mélodieux mais étouffé qui n’a rien à voir avec la douleur.

Ensuite ils se désaccouplent, ils vont faire un brin de toilette au ruisseau tout proche, et comme Hermine et Níniel n’en ont pas terminé avec leurs préparatifs, Mella en profite pour leur lancer à toutes trois un charme de beauté instantanée accrue, en jouant un air déjà connu avec sa nouvelle flûte en ivoire. Gardain et Krill pour leur part lèvent le camp, en repliant la tente et en regroupant leurs affaires. Lorsqu’ils remettent armures et vêtements, Hermine enfile sans hésiter sa nouvelle robe de mage transparente à capuche, et tous peuvent parfaitement voir à travers son superbe corps. Níniel la regarde alors avec un mélange d’envie et de honte, puisqu’elle se demande si lorsqu’elle recevra sa propre tunique tissée avec soie des vers iffiables, elle osera elle aussi la revêtir. Mais elle finit par se dire qu’elle verra bien le moment venu, et une fois qu’ils sont tous parés ils quittent la clairière dans laquelle ils ont passé la nuit.

— x-X-x-

Bien entendu la venue de Colissimo ainsi que les préparatifs de la mage et de l’ensorceleuse leur ont fait perdre du temps, cependant dans un cas comme dans l’autre aucun de leurs trois compagnons pas même Gardain, ne songe à s’en plaindre. Ils ont tous compris que les progressions, mais aussi les présents qui les accompagnent sont très importants pour renforcer la puissance de leur groupe, et cela pourrait fort bien faire la différence dans le cas d’un nouvel affrontement. Néanmoins, ils ne peuvent parcourir que 2 lieues avant de s’arrêter pour se restaurer à la mi-journée, et sans se consulter ils décident d’écourter leur pause dans le but de rattraper un peu du retard qu’ils ont pris. C’est alors qu’ils ont avancé encore de 2 lieues, que Níniel dit à ses compagnons de sa voix douce :

— Il y a des créatures qui se déplacent à environ 1 000 pas en direction des montagnes, et vu leur taille je pense que cette fois ce sont des orcs.

Gardain demande aussitôt en parlant à voix basse :

— Y sont combien ?

— Au moins dix.

Les Zaventuriers s’arrêtent tous aussitôt d’avancer, puisque même Krill est à présent capable de comprendre qu’affronter ces êtres malfaisants lorsqu’ils sont aussi nombreux est dangereux, étant donné que s’ils font la même taille que les barbares, ils sont beaucoup plus massifs. Les cinq compagnons se mettent par conséquent lentement accroupis dans le but de passer le plus possible inaperçus, et c’est cette fois l’humaine qui interroge la demi-elfe en chuchotant :

— Ils nous ont vus ? Ils viennent par ici ?

— Non et non. Pour l’instant leur cheminement est parallèle au nôtre, mais ils vont vers l’ouest. Si nous ne nous faisons pas remarquer, ils ne tarderont pas à s’éloigner.

Mella qui a regardé elle aussi dans cette direction, confirme :

— Ils sont sous le vent par rapport à nous, ce qui est fort heureux vu que s’ils ont une moins bonne vision que nous les elfes, et que si leur écoute est semblable, leur sentir lui est bien meilleur.

Par précaution ils décident de ne plus bouger temps que le danger ne se sera pas éloigné, mais aussi de boire une potion de faible invisibilité que l’ensorceleuse leur a donnée à chacun avant de partir. Une fois que c’est fait cela va leur permettre d’être indécelables aux yeux pendant la moitié d’une heure, mais cela ne les empêche pas de tous sursauter lorsque retentit le bruit sourd du Gong-bong.

— x-X-x-

Gardain jure entre ses dents :

— Nom d’un dragon en rut, c’était bien le moment…

Mais Níniel qu’il ne peut plus voir et qui se sent fautive, parce qu’elle a compris que c’est elle qui vient d’augmenter de niveau, s’empresse de rassurer ses compagnons :

— Tout va bien. Ils n’ont rien entendu et ils commencent à s’éloigner.

C’est effectivement le cas et les peaux-vertes continuent leur cheminement, sans se douter que pas très loin d’eux se trouvent ceux qui auraient pu devenir leurs proies. Cependant, par excès de prudence les Zaventuriers décident de ne pas bouger jusqu’à ce qu’ils soient à nouveau devenus apparents. Lorsque c’est arrivé ils recommencent à avancer, et ce jusqu’à ce que la chaude se mette à pointer en direction de l’ouest, mais surtout que les deux elfes qui sont à nouveau en tête, trouvent une clairière dans laquelle ils pourront tous passer la nuit. Ils ont alors parcouru environ 6 lieues dans la journée, ce qui est une distance tout à fait acceptable étant donné qu’ils sont partis plus tard, et qu’ils ont en plus perdu du temps à cause d’un incident. Comme tous les soirs Mella monte la tente, puis elle lance un charme de moyenne répulsion grâce à sa nouvelle flûte en ivoire. Cela a le mérite d’élargir son rayon d’action jusqu’à une distance de 25 pas de diamètre, mais aussi la taille des intrus refoulés étant donné que pas même un orc, ne pourrait franchir la barrière invisible qu’elle vient d’invoquer.

Lorsqu’ils sont en sécurité ils se détendent, et ils quittent armures et vêtement pour se retrouver comme à leur habitude nus, même si les femelles du groupe gardent aux pieds leurs souliers à talons de 4 pouces de haut. Ensuite ils prennent dans une ambiance détendue leur repas du soir, et tandis qu’ils se restaurent Gardain demande à ses amis :

— À votre avis, ça vaut combien de points un orc ?

C’est Hermine qui lui répond :

— Si nous partons du principe qu’ils sont pratiquement deux fois plus hauts qu’un gobelin de base, et deux fois plus larges, en toute logique ils doivent valoir quatre fois plus. C’est-à-dire entre 1 500 et 2 000 points. Mais comment feras-tu si tu te retrouves face à l’un d’entre eux ? Car nous ne pouvons pas dire nez à nez, vu que ta tête se situera au niveau de son nombril…

Elle n’a pas dit ça dans l’idée de se moquer, et son ami le nain l’a parfaitement compris puisqu’il lui répond calmement :

— Le nombril c’est le centre du bide, alors ça fera une jolie cible pour planter ma hache en son centre.

L’elfe intervient :

— Je ne doute pas un seul instant que tu aies envie de le faire, même sans parler de progression, mais je te ferai dire que moins je verrai de ces affreux et mieux je me porterai. En plus, notre quête consiste à trouver le Sceptre du Tocard, pas à zigouiller tous les êtres malfaisants de la Terre De Mille Lieues.

Ses compagnes l’approuvent, mais Krill même s’il ne dit rien a un regard farouche qui exprime très bien ce qu’il en pense. Cependant pour l’instant ils ont fini de manger, et à défaut de poursuivre leur quête principale, ils vont pouvoir en accomplir une qui est secondaire. C’est en tout cas l’avis des deux mâles de la Compagnie, puisque leurs membres virils commencent à prendre du volume et à se redresser, ce qui ne déplaît pas aux femelles bien au contraire.

— x-X-x-

Cette fois ils décident de changer un peu la manière de s’emboîter. Mella Hermine et Níniel vont se coucher sur la mousse mais sur le côté, et elles se positionnent de façon à ce que la tête de chacune d’entre elles se retrouve entre les cuisses d’une des deux autres. De la sorte l’elfe peut lécher le connin de celle qui ne l’est qu’à demi, cette dernière fait pareil avec la mage, qui rend indirectement la politesse à la barde. Elles forment par conséquent un triangle amoureux, au sens propre du terme tout comme au sens figuré. Ensuite, Gardain après un court moment d’indécision au sujet du choix de sa partenaire, vient s’installer derrière Hermine dans le but de lui faire un Fourrage De Galipett. Krill pour sa part va sans hésiter se coller contre le dos de celle dont il s’est épris, afin de lui administrer le même doux traitement. Mella se retrouve par conséquent sans partenaire masculin, cependant elle n’en éprouve pas le moindre dépit étant donné qu’elle a parfaitement conscience du fait que temps qu’ils seront en nombre impair, ce sera forcément le cas de l’un d’entre eux.

Les deux mâles font entrer et sortir leurs gourdins sans se presser, non seulement pour ne pas déranger celles qui les accueillent si chaleureusement, mais aussi parce qu’ils ont appris à leurs contacts qu’un bon ramonage peut être tout autant alangui que fougueux. C’est par conséquent sans hâte qu’ils atteignent les premiers la jouissance, et qu’ils se vident en grognant dans les entrailles de leurs compagnes qui partagent leur bien-être. Puis une fois qu’ils se sont retirés les femelles continuent leurs Broutages de Préry jusqu’à ce qu’elles atteignent le plaisir ultime, une seconde fois pour deux d’entre elles. Lorsqu’ils ont terminé de rendre le Culte À Galipett, ils vont tous se coucher dans la tente sans pouvoir se laver, étant donné qu’il n’y a pas de ruisseau à proximité.

À l’aube ils ressortent les uns après les autres de leur abri de toile elfique, et ils décident de commencer cette nouvelle journée comme s’est terminée la précédente, mais en changeant un peu l’ordre des choses. C’est cette fois Hermine qui broute Níniel, qui lèche quant à elle le connin de Mella, qui administre le même doux traitement à son amie humaine, et c’est cette dernière qui ne reçoit pas sa ration de fourrage. Lorsqu’ils ont tous atteint la jouissance ils se restaurent, puis ils lèvent le camp après que la jeune barde de 100 récoltes ait joué un air connu avec sa nouvelle flûte, dans le but de leur administrer à elle et à ses compagnes un charme de beauté instantanée.

Une fois qu’ils sont dans la lande ils reprennent leur cheminement en direction du levant, mais le temps s’écoule sans qu’ils ne voient la moindre oreille de peau-verte, ni que Mella et Níniel ne sentent leurs odeurs nauséabondes. Dans le but de se restaurer ils font une courte pause lorsque La Chaude est à son zénith, et une fois que cette dernière est descendue comme à son habitude en direction du couchant, les deux elfes se mettent à la recherche d’une clairière pour que la Compagnie puisse y passer la nuit. Lorsquils y sont les Zaventuriers sont satisfait de leur journée étant donné que cette fois rien n’est venu les retarder, et qu’ils estiment avoir avancé d’une dizaine de lieues. Ils pensent donc, à condition que l’estimation de l’ensorceleuse au sujet de la distance entre sa clairière et le bourg de Port-Seulet soit exacte, qu’il ne leur en reste plus qu’une quinzaine à parcourir, et que pas le lendemain mais la journée suivante, ils seront tout proches de leur destination finale.

— x-X-x-

C’est par conséquent dans une ambiance détendue qu’ils installent leur campement dans une trouée, d’autant plus que s’y trouve une source au pied de laquelle s’est formé un petit bassin. Même le fait qu’ils sont depuis leur départ obligés de manger de la nourriture froide et achetée préparée, n’entame pas leur bonne humeur. Néanmoins, avant qu’ils ne prennent leur repas du soir Mella ne manque pas de lancer un charme de moyenne répulsion à l’aide de sa flûte. Une fois qu’ils ont fini de se restaurer les Zaventuriers décident d’accomplir un nouveau Culte À Galipett, mais d’une manière encore différente. Mella va se mettre à quatre pattes sur la mousse, tandis qu’Hermine fait la même chose derrière elle pour lui lécher le connin, et que Níniel dans la même position broute cette dernière. Krill vient alors à genoux derrière sa petite Antilope Des Bois, afin de lui donner une Promesse de Cemenss. Gardain pour sa part va s’installer devant son amie elfe, qui lui fait des baisers profonds en avalant sa saucisse, jusqu’à ce que son petit nez charmant vienne s’enfoncer dans la touffe de poils, qui se situe juste au-dessus de son membre viril.

La jeune femelle de cent récoltes recrache ensuite la carotte, avant de la ravaler jusqu’à ce que son jus gicle directement dans son gosier, et peu de temps après celui du barbare jaillit lui aussi, mais dans la matrice de celle dont il s’est épris. Bien entendu cette dernière atteint en même temps la jouissance, mais elle n’en continue pas moins à faire son broutage de Préry à la jeune humaine, qui pour sa part fait la même chose à l’elfe, jusqu’à ce que ces deux dernières éprouvent à leur tour le plaisir ultime. Ensuite ils se relaient pour s’immerger dans le petit bassin dans le but de se nettoyer un peu de la poussière accumulée pendant leur cheminement, cependant même si la saponine est un produit entièrement naturel, ils n’en utilisent pas parce qu’ils ont peur de souiller ce point d’eau, auquel les animaux de la forêt doivent habituellement venir se désaltérer. Une fois qu’ils sont tous décrassés ils vont dans la tente afin de passer une bonne nuit de sommeil, et ainsi pouvoir se reposer de la fatigue qu’ils ont également accumulée.

— x-X-x-

Le lendemain à l’aube, une fois qu’ils sont sortis de leur abri de toile, les compagnons décident pour bien commencer cette nouvelle journée d’accomplir une autre quête secondaire, en gardant la même nouaison que la veille tout en changeant d’ordre. C’est ainsi que Níniel se retrouve au milieu du groupe, à faire un Broutage de Préry à Hermine tout en en recevant un de la part de Mella, et que cette dernière reçoit un Fourrage de Galipett de celle de Gardain, tandis que l’humaine qui est en tête se sert de la sienne pour faire un baiser profond à Krill. C’est au moment où ils ont tous atteint le plaisir ultime, et que les membres des deux mâles qui ont été retirés de leurs fourreaux sont toujours dressés, que Colissimo apparaît en les faisant sursauter :

— Salutations les Zaventuriers. Je dois pour commencer vous féliciter, étant donné que vous êtes la Compagnie qui progresse le plus rapidement, non seulement grâce aux combats mais aussi aux quêtes de jouissances. Ce qui est une excellente chose étant donné que tous les Dieux Majeurs n’ont pas tous les mêmes attentes en ce qui vous concerne…

Gardain, qui ne ressent à présent plus aucune gêne d’avoir la saucisse encore tendue en sa présence, lui coupe aussitôt la parole :

— Ben justement. Puisque vous parlez de progression, hier votre Gong-Bong a retenti au risque de nous faire repérer, alors qu’on tentait de se dissimuler grâce à une potion d’invisibilité !

Le messager lui répond sur un ton courtois, bien qu’ils aient tous remarqué qu’il a été irrité par le fait d’avoir été interrompu :

— Vous n’avez pas à vous inquiéter à ce sujet Messire Nain, puisque seuls ceux qui ont été sélectionnés peuvent entendre cet avertissement, qui annonce que l’un d’entre vous mérite mon attention. Par conséquent, si votre présence avait été décelée cela aurait été dû au seul fait de votre négligence. Mais maintenant que vous êtes tous rassurés, nous allons pouvoir procéder aux ascensions en commençant par la Magnifique Níniel des Bois Sombres. Vous avez atteint le dixième puis le onzième niveau.

Apparaissent alors deux paquets qui ne la font pas sursauter même si elle est légèrement rouge, probablement à cause du fait qu’elle se retrouve à nouveau nue en présence de cet être supérieur, qu’elle considère comme étant toujours un étranger bien qu’il leur rende de fréquentes visites. Ce dernier poursuit, visiblement déçu qu’elle n’ait pas eu d’autre réaction :

— Par conséquent, vous recevez en récompense matérielle dans un premier temps une sarbacane d’ivoire, ainsi que 20 dards à pointes de mithril et 20 billes faites du même métal. Mais aussi 10 fioles du même modèle que vous avez déjà, et également 25 fioles supplémentaires plus arrondies, de façon à pouvoir différencier la puissance des potions que vous y mettrez. En plus de cela il y a une recette de potion de soins améliorés, et bien entendu 30 pièces d’or pour vos frais de cheminement. Et dans un second temps il y a une tunique sauge en soie de vers ifiables, une recette de potion de moyenne résistance aux dégâts physiques, 10 dards à pointes de mithril, dix 10 billes faites du même métal, et comme il se doit encore 30 pièces d’or.

Il marque une légère pause, pendant laquelle il en profite pour tendre sa main en dessus de la tête de l’ensorceleuse, avant de continuer :

En ce qui concerne l’ascension proprement dite, votre charisme et votre constitution étant vos caractéristiques principales, elles sont de par la volonté des Dieux augmentées d’un dixième de leurs quantités de départ. De plus, étant donné que vous avez atteint le dixième niveau, toutes vos autres caractéristiques progressent elles aussi d’un dixième de leurs valeurs initiales. Vous devez à présent penser à deux de vos attributs physiques que vous souhaiteriez voir modifiés, et ils le seront.

Mis à part que la beauté de la jeune demi-elfe augmente parce que son charisme s’est accru, rien ne se passe et Colissimo conclue :

— Vous avez décidé d’augmenter à nouveau votre sagesse, mais aussi votre force qui était de ce fait devenue votre caractéristique la plus faible. Ce qui prouve que votre bon sens s’est lui aussi renforcé.

— x-X-x-

Il se tourne ensuite vers Gardain, avant de poursuivre :

— Messire Nain, vous avez pour votre part atteint le neuvième puis le dixième niveau (apparaissent à ses pieds deux paquets mais bien évidemment il reste impassible). Vous recevez par conséquent en récompense matérielle, pour commencer des bottes en cuir de dragon nouveau-né, et ensuite une hache munie d’une double lame en mithril, accompagnée d’une rondache en bois fossilisé cerclé de mithril. Et bien entendu il y a pour vos frais de cheminement 50 pièces d’or. En ce qui concerne l’ascension proprement dite (s’ensuit le rituel habituel), votre constitution et votre dextérité étant vos caractéristiques principales, elles sont de par la volonté de Dieux augmentées d’un dixième de leurs quantités de départ, et vu que vous avez vous aussi atteint le dixième niveau, vos autres caractéristiques progressent également d’un dixième de leurs valeurs initiales. Vous devez maintenant songer à deux de vos attributs physiques que vous souhaiteriez voir améliorés, et ils le seront.

Rien de visible ne survient, si ce n’est que Gardain semble un peu plus séduisant, et le messager lui dit :

— Vous avez décidé d’accroître à nouveau votre charisme, mais également votre sagesse. Étant donné que cette dernière vous faisait jusqu’à présent défaut, j’estime que c’est un bon début. Même s’il vous reste du chemin à parcourir pour devenir une personne acceptable.

Cette petite pique loin de vexer notre ami de petite taille le fait sourire, ce qui a le don d’agacer encore plus Colissimo.

Cependant il se reprend, et il fait face à Mella avant de continuer :

— Sublime Tintallë Mai Núra…

Apparaît alors aux pieds de Mella un paquet qui ne la fait pas sursauter, mais amène un sourire espiègle sur ses lèvres. Cependant le messager ne moufte pas puisque cette fois il s’y attendait, et il poursuit comme si de rien n’était :

— Vous avez atteint le onzième niveau. Vous recevez donc comme récompense matérielle une tunique turquoise en soie de vers ifiables, 10 flèches à pointes de mithril, et 30 pièces d’or pour vos frais de cheminement. En ce qui concerne l’ascension proprement dite (Il tend le bras…), votre charisme et votre dextérité étant vos caractéristiques principales, ils sont de par la volonté des Dieux augmentés d’un vingtième de leurs quantités de départ. Vous devez à présent songer à l’un de vos attributs physiques que vous souhaiteriez voir modifié, et il le sera.

Passe un ange, et il termine après une courte pause :

— Vous avez cette fois encore décidé d’augmenter votre sagesse, et souhaitons que cela vous soit profitable.

— x-X-x-

Il se tourne ensuite vers Krill, avant de dire :

— Saigneur Barbare, vous avez quant à vous atteint le neuvième puis le dixième niveau, et vous sont offerts (apparaissent deux paquets qui comme ses compagnons avant lui ne le font pas réagir) pour commencer des bottes en cuir de dragon nouveau-né, et ensuite une épée à deux mains avec une lame en mithril. Bien entendu, ces présents sont accompagnés de 50 pièces d’or pour vos frais de cheminement. (Il grandit alors avant de tendre le bras…) Votre force et votre constitution étant vos caractéristiques principales, elles sont de par la volonté des Dieux augmentées d’un dixième de leurs quantités de départ, et étant donné que vous avez vous aussi atteint le dixième niveau, toutes vos autres caractéristiques le sont également. Vous devez à présent penser à deux de vos attributs physiques que vous souhaiteriez voir améliorés, et ils le seront.

À ce moment-là, les poils qui se trouvent sur la bourse qui protège les testicules du jeune mâle disparaissent, et il ne lui reste plus qu’une touffe au niveau du pubis, comme en ont les femelles de leur compagnie. Certains des membres de cette dernière ne sont pas surpris, mais Gardain s’exclame en voyant l’écrin à bijoux de son ami devenu chauve et fripé, comme au jour de sa naissance :

— Non d’un dragon un rut !!!

Krill lui explique :

— C’est Mella qui l’a dit à Níniel, comme ça elle pourra me gober le sac à olives quand elle me fera le baiser de Galipett.

La jeune elfe applaudit des deux mains, bien que cette coutume soit typiquement humaine, et son amie de sang-mêlé rougit, sans que personne ne sache si c’est dû à un fond de timidité, à la fierté ou tout simplement à l’habitude. Hermine quant à elle se contente de sourire, tout comme Colissimo qui en termine avec Krill :

— C’est une idée qui en vaut une autre, et je me dois de préciser deux choses. La première étant que cette suppression de pilosité est définitive, à moins que le Saigneur Barbare ne décide qu’il en sera autrement lors d’une prochaine ascension. Et la seconde est qu’il n’a pas pour autant oublié d’accroître encore une fois son intelligence, ce que je pense vous avez dû remarquer par rapport à son vocabulaire qui s’est encore enrichi.

— x-X-x-

Ensuite il fait face à la mage tandis qu’il retrouve sa taille habituelle, avant de poursuivre :

— Nous allons terminer par vous, Superbe Hermine Grange, puisque vous avez atteint la première le douzième niveau. Comme récompense matérielle (apparaît un paquet qui la laisse impassible) vous recevez un anneau de moyenne téléportation, qui pourra contrairement au premier que vous avez reçu être utilisé deux fois par décade. Il y a ensuite un parchemin de boule de givre moyenne, et bien entendu 30 pièces d’or pour vos frais de cheminement. Pour ce qui de l’ascension proprement dite (il tend le bras…), votre dextérité et votre intelligence étant vos caractéristiques principales, elles sont de par la volonté des Dieux augmentées d’un vingtième de leurs quantités de départ. Vous devez à présent penser à l’un de vos attributs physiques que vous souhaiteriez voir modifié, et il le sera.

L’humaine semble alors se redresser légèrement, et c’est elle qui explique à ses compagnons :

— Une femelle avec de très gros tétins doit certes être fort plaisante à regarder, mais à la fin de la journée c’est parfois fatigant…

Le messager termine à sa place :

— Et plutôt que de réduire la taille de vos appâts très féminins vous avez préféré augmenter votre constitution, ce qui est très habile de votre part étant donné que les conséquences seront multiples. Cette faculté de discernement est sans nul doute, une des conséquences du fait que votre sagesse et votre intelligence ont été accrues grâce aux pouvoirs des Dieux.

Après cette conclusion il disparaît en faisant sursauter les Zaventuriers, mais malheureusement pour lui il n’est plus là pour le constater.

— x-X-x-

Lorsqu’ils se retrouvent seuls, Mella demande aux deux autres femelles :

— Je suppose que vous voulez préparer vos bâtons et remplir vos fioles, avant que nous ne poursuivions notre cheminement ?

C’est Níniel qui lui répond :

— C’est en effet préférable, car je te ferai dire que si nous rencontrons à nouveau des affreux, cela pourrait nous être fort utile.

La mage et l’ensorceleuse s’installent donc dans le but d’apprendre leurs nouveaux parchemins, et cette dernière dit à la barde :

— Puisque c’était ton idée, tu devrais en profiter pour gober le sac à olives de mon Amoureux, mais fais bien attention de ne pas les croquer par gourmandise, car si tu les lui abîmais je ne te le pardonnerais pas.

Mella éclate alors de son rire charmant, avant de répliquer :

— N’aie pas d’inquiétudes à ce sujet ma Petite Renarde. Étant donné que les mâles de notre peuple sont eux aussi dépourvus de poils à cet endroit, je gobe les olives depuis des décennies et je n’en ai à ce jour encore dénoyauté aucune.

Elle va ensuite se mettre à quatre pattes sur la mousse, tandis que les deux guerriers dont les membres virils se sont redressés, vont se mettre à genoux le premier devant elle et le second derrière. Et tandis que les deux autres femelles de leur groupe s’activent à renforcer leur magie, le nain fait un Fourrage de Galipett à l’elfe, et le barbare se laisse cajoler par sa bouche gourmande. Gardain fait coulisser en douceur sa saucisse dans le plus petit des trous de Mella, non seulement dans le but de ne pas la déranger, mais aussi pour pouvoir observer ce qu’elle est en train de faire à Krill. La barde est en effet en train de s’occuper de l’os du jeune barbare, en l’engloutissant jusqu’à ce que son petit nez charmant vienne s’enfoncer dans les poils qu’il lui reste, puis en le recrachant pour aller sucer ses testicules. Ce doux traitement a l’air de beaucoup plaire au jeune barbare, vu qu’il affiche un sourire béat et semble pour un temps avoir oublié celle dont il s’est épris. C’est donc en toute logique lui qui arrive le premier à la jouissance, et il se vide en grognant dans le gosier de la femelle, tandis que son ami se permet à présent, de faire aller et venir son membre viril de manière plus fringante.

Mella peut pour sa part à présent l’accompagner dans ses mouvements, et ils copulent de façon soutenue jusqu’à ce que Gardain décharge lui aussi sa semence, mais dans les entrailles son amie. Lorsqu’ils ont terminé ils vont faire un brin de toilette dans le bassin, et étant donné qu’Hermine et Níniel n’en ont pas encore tout à fait terminé avec leurs préparatifs, les deux guerriers plient la tente et regroupent leurs affaires, tandis que la barde lance à elle et ses compagnes un charme de beauté instantanée.

À suivre…

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