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l'esthéticienne – Chapitre 1

l'esthéticienne - Chapitre 1



Je déteste les poils et depuis quarante ans je me rase le pubis. J’ai essayé l’épilation définitive mais, à part l’esthéticien qui était homo et avec qui je me suis bien amusé, (voit "dans le salon de beauté"), ça a été un fiasco. Je vais donc me faire épiler les couilles et le cul dans un salon spécialisé tous les mois. Les salons acceptant de faire ça sont rares. Ayant quitté la grande ville ou j’habitais, j’en trouve donc un qui accepte dans ma nouvelle ville. Je tombe sur un petit salon avec une seule personne qui officie. Elle a dans les quarante ans. Elle est un peu enveloppée sans plus, avec une poitrine assez importante et des fesses rondes. Elle reste très jeune d’aspect mais est un petit peu trop maquillée. Elle est habillée d’une blouse, très peu boutonnée, ouverte sur sa poitrine qui laisse voir son soutient gorge et sous la taille dissimule tout juste l’entre cuisse. A priori elle ne porte pas de culotte.

— Je viens pour les testicules et l’anus, est ce que vous faites ça.

— Oui bien sûre. Vous voulez venir quand, j’ai une défection pour des jambes et le maillot, c’est à peu près le même temps, si vous voulez je peux vous prendre tout de suite.

— Ok, mais je n’ai pas pris de douche.

— Ne vous en faites pas, j’ai l’habitude.

— Combien vous me prenez car dans vos tarifs il y a aussi le pubis que je rase moi même.

— Trente euros, ça vous va?

— Parfait.

— Passez à côté et déshabillez vous.

Je passe derrière le rideau, je me mets à poil et je me couche sur la table sur le dos. Elle arrive et commence à m’examiner autour de mon sexe. Elle passe la main sur mon pubis, que j’ai rasé le jour même, m’écarte les cuisses pour voit sous les couilles et évaluer le travail. Elle me passe un linge humide sur toute la surface à épiler.

— Bon, c’est parfait, quel est votre prénom?

— Jean.

— Moi c’est Julie.

Elle met un peu de cire sur mes testicules, appuie avec ses doigts, attend un peu et tire d’un coup sec en tendant la peau de mes couilles avec l’autre main. La douleur est supportable. Elle pose ses doigts sur mes couilles, jamais on ne me l’avait fait avant.

— Ca va, pas trop mal?

— Ca va, c’est très supportable.

— Jatténue la douleur en posant ma main sur la zone épilé, ça fait du bien en général.

— Oui, je vous le confirme.

Ok, mais le fait d’avoir sa main sur les couilles à chaque fois qu’elle enlève une pellicule de cire fait que mon sexe gonfle petit à petit. Je me concentre sur mon sexe pour accélérer l’arriver de sang dans ma queue et bander plus vite.

— Vous allez bientôt être prêt pour l’épilation de votre verge. C’est plus pratique quand elle est bien tendue, les poils se voient mieux.

Ma queue est maintenant à son maximum de tension, et se décalotte laissant apparaître le gland. Julie pose de la cire chaude sur ma verge. Je sent comme une décharge dans tout le corps. Elle aussi le sent et en me regardant me dit.

— Je vous que vous êtes sensible du vit, ne vous en faites pas je protège le gland.

Ce disant, elle pose son pouce sur mon gland, et imprime un léger mouvement du pouce, ce qui a pour effet d’augmenter la tension. Ma queue commence à me faire mal tellement elle est raide. Julie continue d’épiler ma verge, elle se rend compte que la tension devient insupportable.

— Je sent que vous êtes très tendu, prévenez moi si vous ne pouvez plus vous retenir.

— Je ne sais pas comment vous faites, mais je suis au bord de la jouissance rien qu’en me faisant épiler, ce n’est pas courant. Je crois que je vais inonder mon ventre.

— Ca je ne pense pas.

Je suis étonné de la réponse mais je n’ai pas le temps d’approfondir, je part dans un super pied.

— Je joui.

Julie se baisse d’un seul coup et me gobe la queue. Je me vide dans sa bouche. Ma main droite s’égare sous sa blouse, remonte un peu et tombe sur ses fesses dénudées, que je caresse lentement en jouissant. Elle se laisse faire et me malaxe les couilles pour que je me vide bien. Une fois bien vidé, elle me libère la bite.

— Vous voyez, vous ne vous êtes pas taché le ventre.

— Je n’ai pas eu le temps de comprendre votre réponse avant votre démonstration. C’est génial.

— Vous savez, peu d’homme viennent me voir pour se faire épiler le sexe, je n’ai pratiquement que des femmes. Le fait de vous voir intégralement bronzé, et de voir que vous réagissez au quart de tour quand on vous touche m’a donné envie d’aller jusqu’au bout.

— Croyez bien que je ne le regrette pas.

— En tout cas, vous savez profiter des situations car je n’ai pas vu venir votre main sur mes fesses. D’habitude je n’aime pas trop ça, mais là, j’ai d’autant plus apprécié que vous n’avez pas exagéré en ne me caressant que les fesses. Dorénavant, Elles vous sont acquises.

Elle me sourit et me demande de me retourner, de me mettre à quatre pattes pour faire l’anus. Elle me passe un chiffon humide entre les fesses en insistant bien sur le fion. J’ai une réaction violente, mon ventre se noue, ma rondelle palpite.

— Je vois qu’il n’y a pas que la verge pour vous faire réagir.

— En effet, je suis bi-sexuel, j’ai beaucoup me faire sodomiser.

— Je vous termine et je vois ce que je peux faire. Je vois que les fesses sont aussi un peu poilues, je m’en occupe aussi, ainsi que cette petite touffe au bas du dos. Cinq minutes plus tard, elle a fini de m’épiler le cul, les fesses et le bas du dos.

— Ne bougez pas, je reviens.

Elle va dans un petit cagibi et revient avec un sac qu’elle pose derrière moi. Je ne vois pas ce qu’il y a dedans. D’un seul coup, je sens un doigt qui me passe une crème sur le fion. Immédiatement après, je sens un objet pointu contre ma rondelle qui pousse et pénètre doucement.

— Je ne connais pas ta capacité dabsorption, j’ai pris un gode de quatre centimètres de diamètre, je pense que ça va aller.

— Pas de problème jusqu’à huit centimètres.

— Huit centimètres!!! Ok, je vois que tu pratiques souvent.

— Quand ce n’est pas une bite, c’est un de mes godes, car j’adore avoir quelque chose dans le cul.

Elle me pistonne de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Je sent le plaisir monter, ma plante ds pieds s’électrise, mes jambes tremblent, mon ventre se noue, mon coeur s’accélère. Je me tend de plus en plus, Julie comprend que je vais jouir de nouveau et se penche sous mon ventre pour prendre ma bite en bouche. Quelques secondes plus tard, je me vide une nouvelle fois dans sa bouche. Ma main a réinvesti ses fesses et je les malaxent doucement pour lui faire comprendre que j’aime ce qu’elle me fait.

Je met un peu plus de temps que tout à l’heure pour me remettre de ces émotions. Julie est allé dans la pièce devant pour me laisser récupérer.

— Tout va bien, je suis de nouveau sur pied.

Elle entre, sa blouse est ouverte, elle a enlevé son soutient gorge, je suis toujours à quatre pattes et je la regarde. Sa poitrine est lourde, son sexe épilé, elle est moins enveloppée que je ne le pensais, en fait elle est de corpulence normale pour une femme de quarante ans bien conservée. Elle s’approche de moi, me fait mette sur le ventre et me caresse les dos et les fesses avec les mains enduite d’huile de monoï.

— Je me suis préparée pour la prochaine cliente, c’est un massage californien, tu sais ce que c’est?

— Oui, j’en ai fait plusieurs.

— Si tu veux un massage californien, appelles moi au moins cinq jours avant pour que je puisse m’organiser. Pour le même prix, je pourrais t’en faire un à quatre mains.

— Ok, j’y réfléchirais.

Je reste sur le dos en appréciant ses caresses. Elle va des cuisses au haut du dos en me massant. A chaque passage sur mes fesses, un doigt s’égare sur mon fion en appuyant un peu. C’est très agréable.

— La cliente ne va pas tarder, tu devrais te rhabiller.

Elle m’essuie le dos et les fesses, en insistant entre elles. Je me lève, me rhabille et je la rejoins devant. Je m’assoie pour payer quand la cliente suivante entre. C’est une femme de trente ans maximum, superbement foutue.

— Entres Aline, mets toi en place, j’arrive.

La cliente tire sur le rideau mais pas complètement. Julie s’en rend compte, me regarde en souriant et m’indique la direction du rideau. La cliente se déshabille jusque en face de l’espace laissé par le rideau. Une fois nue, elle passe sa main sur son sexe épilé, entre un doigt et se masturbe quelques seconde. Elle retire son doigt, le suce et se caresse les seins pour les faire pointer. Je vois que son sexe brille un peu. Elle s’est préparée pour l’arrivée de Julie. Elle lève la tête, me voit, me sourit et disparaît derrière le rideau. Jentraperçois à peine ses sublimes fesses.

— Regarde, les deux autres mains appartiennent à cette femme.

Elle me montre une photo d’une black superbe entièrement nue vue de trois quart. Elle est grande, belle poitrine, belles fesses, belles jambe et jolie visage régulier et fin. Pas du tout négroïde.

— Elle est très belle.

— Et très efficace, tu pourra t’en rendre compte si te veux.

Julie se lève pour m’accompagner à la porte.

— Tu viens de me faire gagner un peu de temps. Cette cliente adore se déshabiller devant des inconnus, c’est pour ça qu’elle n’a pas complètement fermé le rideau. Je vais la faire monter au septième ciel en un rien de temps. Elle est capable de jouir plusieurs fois en une heure. J’ai rarement vu ça.

— Tu sais j’ai vécu avec une femme qui pouvait jouir au moins sept à huit fois en un heure. Je l’ai quitté parce que je ne voulais pas en crever.

— J’aurais bien aimé la connaître. A bientôt Jean.

Elle m’embrasse et je quitte le salon.

Je suis revenu dans ce salon plusieurs fois, j’ai toujours vécu quelque chose de très agréable avec Julie. Je le fréquente toujours.

Mais ceci est une autre histoire.

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