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Lettre à Boucle D'or – Chapitre 1

Lettre à Boucle D'or - Chapitre 1



Chère Boucle d’or

Des choses comme ça, des rencontres de ce genre, des aventures qui te tombent dessus normalement n’existent pas.

Et pourtant si, ton jardinier était là. En chair et en os. Totalement réelle.

Debout face à moi, de dos, en train de préparer un café. Et il s’offrait ! Et je le draguais. C’était génial ! Tout simplement génial ! Ce joli conte de fées avait commencé trente minutes plus tôt. Le jardinier était devant sa grille en train de la peindre. Il ne m’avait pas entendu arriver, il s’était aperçu de ma présence que par mes modulations rauques, chaudes, ensorcelantes.

— Il me semble qu’on s’est déjà rencontrés, non ? Murmurais-je

Il m’avait considérée, ahurie.

— Si, si, on se connaît. Vous êtes bien le jardinier ? Je ne me trompe pas ?

Qu’est-ce qu’il pouvait répondre d’autre que « oui ».

Je lui parlais, il me répondait, mais tout cela se passait dans un autre monde, dans un état second. Sans qu’il ait à me le demander, je me présentais. Et le dialogue se poursuivait. Questions. Réponses. Phrases anodines.

Puis je fis glisser le sujet sur toi « Boucle d’or », te présentant comme une bonne copine. Il avait que des éloges dans sa bouche pour toi. Il me confessa que ta maturité t’épanouissait superbement, faisant ressortir chez toi un charme discret mais très « présent ». Pour ne rien gâter, tu étais élégante. Que tu possèdes une taille fine et un fessier, dont tes caleçons la moulent d’une manière évocatrice et chargée de promesses. Il avait à chacune de vos rencontres, le plus grand mal à ce retenir.

Qu’une boule de chaleur se formait au bas de son ventre et qu’il sentait son sexe s’ériger à toute vitesse dans son pantalon, qu’il avait un grand mal à retenir sa main de toucher ton fessier.

Mais avant tout ça, que de cogitation !

Un résultat de pas mal de soirées. La nuit du lundi au mardi, je me suis couché avec certaines idées perverses J’aurais peut-être dû me toucher un peu. J’étais pourtant en manque, mais il nétait pas question. Je gardais mon excitation pour le lendemain.

J’ai fini le boulot assez tôt, parfait pour en profiter pour me préparer tranquillement. Je me posais deux questions Comment je m’habillais, plutôt décontractée ou sexy ? Et surtout Comment allait se finir ce petit jeu ? J’ai trouvé.

Un peu décontractée, un peu sexy. Une petite robe noire moulante, arrivant à mi-cuisse, avec des collants noirs, sans culotte, et petites chaussures à talon.

Alors, que le jardinier était toujours en train de s’affairer avec la cafetière. Je sortis la fameuse culotte blanche, de mon sac à main, lequel était posé juste à côté de moi, sur le plateau de la table. Je la mis bien en évidence, sans pour ça l’exposer, je voulais que cela fasse naturel, comme si elle avait glissé toute seule de la pochette. Le jardinier ne pouvait que la voir. Je me suis alors levé de ma place, et j’ai joué la femme intéressait par le décor de la pièce.

J’étais impatiente de savoir comment il allait prendre la chose. Et je ne fus pas déçu. Après avoir posé les ramequins sur la table, sa main, sans aucune hésitation, s’était saisie de la culotte.

— Tiens, je pense que vous avez perdu quelque chose, s’exclama-t-il, un sourire aux lèvres, me tendant le trophée.

— Heu fis-je, hypocritement, jouant le rôle de la pauvre sainte ni touche.

— Non non, ce n’est pas à ceux que vous pensez.

— Comment ça tu sais ce que je pense ? Passant au tutoiement.

— Oui tu penses sans doute qu’elle m’appartient ! Le tutoyant à mon tour.

— Si elle n’est pas à toi, à qui elle est ?

Aussi confuse qu’une gamine prise en faute, je lui lançais.

— Elle appartient à ta voisine j’ai marqué là un temps d’arrêt, pour faire plus vrai, puis j’ai complété.

— Je n’ai pas pu résister à lui soutirer une culotte. C’est plus fort que moi, je te l’avoue qu’à toi, je suis une renifleuse de culotte souillée, voilà tout. M’a-t-il cru ou pas, mais il s’est installé sur sa chaise. J’ai pris place en face de lui, et jouant parfaitement la comédie, je me suis lancé sur une explication en règle de ma fausse perversité. M’écoutait-il ou pas, mais le jardinier tournait la culotte dans ses doigts, comme s’il était en train de la jaugeait. Et là, à ma grande stupéfaction, il a levé les yeux, m’a regardé et a porté la dentelle à ses narines.

Malgré le bruit que faisait le café qui passait dans la cafetière, je l’ai entendu renifler le sous-vêtement. J’étais aux anges, mon plan avait marché. Quand il la écarté, c’était pour me lancer.

— Putain, la cochonne elle sent bon puis il replongea son tarin de nouveau dans l’entrejambe de la culotte. Quelques inspirations et de nouveau, le jardinier me précisa.

— Mais, elle est bonne Putain ! La voisine je ne sais pas ce qui me retient d’aller te bouffer le cul

Oh, je sentais que la suite allait se finir dans la chaleur de l’érotisme. J’en avais envie, j’étais en manque, comme je te le rappelle. Il était temps pour moi de passer à l’acte suivant.

Pendant qu’il se focalisait sur ta soi-disant dentelle, je retirai une chaussure, et commençais à lui faire du pied. Il continua à renifler les relents du slip. Peu à peu, doucement, je lui faisais du pied, en montant plus haut.

— Je vois que toi aussi, tu fais partie de la famille des renifleurs de culottes lui soufflant cela avec une voix sensuelle.

J’arrivai à son genou, puis je passais à la cuisse, me rapprochant un peu plus vite. Le café avait fini de passer, mais cela lui était bien égal. Mon pied atteignait son sexe. Le jardinier avait compris tout de suite, j’avais juste une chose à faire, descendre sa braguette.

Mon pied massa la longueur de son sexe bandé, qui se trouvait sous son la toile du pantalon. Je tirai sur sa braguette pour laisser se dresser son membre. Une grosse bite. De légères caresses de haut en bas, juste pour la taquiner. Mon deuxième pied se joignait à la partie. Je bloquais son sexe avec l’un, le caressais avec l’autre.

En entendait dans la pièce, que ses narines du jardiner qui travaillaient. Son sexe était déjà humide, c’était parfait. Je caressais le bout du gland, redescendais doucement le long, remontais, m’occupais du gland Des mouvements plus rapides pour passer aux choses sérieuses. Je calais sa queue bien droite avec un pied, et avec deux doigts du deuxième, je serrais comme je pouvais, et le branlais doucement. Oh, je crois que je m’y prenais bien, il prit mon pied dans sa main et me le caressa.

— Avec tes pieds gainés de nylon, et la culotte de la cochonne C’est excellent ! Ne t’arrête surtout pas.

— Oh, mais je ne comptais pas m’arrêter en si bon chemin.

De haut en bas, j’accélérais mes mouvements. Il ne devrait plus tarder, à lâcher sa purée. Sa bite au meilleur de sa forme, bien en l’air, allait bientôt exploser, je le savais, je le sentais. Je ne pouvais pas aller plus vite, mais je serrais plus. Un léger gémissement de sa part m’avait fait comprendre que c’était bon. Sa bite se durcissait encore plus, et je sentais une première éjaculation. Son premier jet s’étala sur tout le long de mon pied jusqu’à ma cheville. Les suivants coulaient le long de sa bite et sur le bout de mon pied. Les jets n’étaient pas puissants, mais il y avait une grande quantité de sperme. Le jardinier était en extase, je le sentais car il serra bien mon pied dans sa main ma main libre. Il lâcha enfin la culotte, qu’il posa sur la table. On resta un petit moment comme ça, sans bouger, avant qu’il me dise.

— Euh je vais m’essuyer

Avec un petit sourire gêné. Il me dirigea jusqu’au plan de travail, où il se saisit d’un rouleau d’essuie-tout. Je me suis levée à mon tour et je l’es rejoint. Je me suis lovais contre, frémissante comme une chatte effrontée. Je lui pris le rouleau des mains, que je posais sur le comptoir, et me saisissais de ses mains qui les glissé sous mon haut. Mes seins menus palpitaient dans le creux de ses paumes, tandis que je lui mordillais le cou. Pendant ce temps, je m’activais de nouveau ma main sur sa queue souillée.

Le jardinier descendait ses mains le long de ma chair, palpait mes hanches, puis relevait ma jupe avec fébrilité. Je me cambrais quand il me prit mes fesses à pleines mains, les pétrissait, les frottais l’une contre l’autre, puis les tirais pour les écarter, faisant bâiller la raie.

Nos regards se croisèrent. Lèvres entrouvertes, brillantes, il me défia d’un sourire, tout en passant sa langue sous mes dents. Sans attendre, j’ai voulu me mettre à genoux.

— Attends. Pas tout de suite. Tourne-toi.

Je me relevais, il me retourna face contre le comptoir. Plaqué contre moi, verge calée dans le sillon fessier, il me murmura à l’oreille.

— Ma bouche d’abord. Cambre-toi.

Je ne me fis pas prier. Le jardinier s’abaissa derrière moi. Je réprimais un gémissement d’aise, quand il m’arracha le collant, mais surtout quand sa bouche brûlante goba ma fente ruisselante en une langoureuse caresse d’amour. Lèvres de chatte et lèvres d’amant fusion ardente de baisers avides. Sa langue lissait l’orée de mon vagin dégoulinant, pointait ses papilles fouisseuses dans le tendre fourreau ; lapait le nectar visqueux pour l’étaler sur le papillon de chair des nymphettes. Un clapotis gras, rythmé de claquements et chuintements de succions, résonnait dans l’air surchauffé des lieux. Nez planté dans les bourrelets de mon anus, il se droguait à l’odeur poivrée de mon cul, tout en déglutissant avec ferveur le jus de ma moule.

D’un coup de reins, je me cambrais encore plus, indécente, odieuse, réclamant plus d’ardeur de sa part. Ses lèvres entourèrent mon clitoris. Comme une tétine, il me suçait le bouton. Je devenais un biberon de mouille, dont il tétait le jus, comme un bébé vicieux. J’ondulais du derrière, tout en me laissant aspirer, et de ma craquette trempée, je lui barbouillais le visage. Je n’étais plus qu’un gouffre affamé, soudé à sa bouche.

Agrippée au mur, j’emprisonnais sa figure de mes cuisses, avant de lâcher un cri aigu, alors qu’il finissait d’avaler les derniers ressacs de ma marée tiède. Je relâchais mon étreinte et le jardinier put se relever. Encore essoufflé, il me lança.

— Tu tu as aimé ? Jen es plein la bouche

— Embrasse-moi. Lui dis-je.

Le jardinier embrassait bien. Nos langues se joignirent en torsades voluptueuses, pendant que nos salives se mélangeaient aux derniers filaments de sécrétions. Un dernier bisou, presque chaste, petit claquement de lèvres collantes, puis nous remirent un peu d’ordre dans nos tenues. Je jetais un bref coup d’il à sa montre.

— Il faut que je me dépêche. Sinon mes filles vont s’inquiéter.

Nous nous empressâmes de nous redonner une allure présentable, essuyant les traces de mouille et de foutre dont nos visages conservaient les traces. Un menu débarbouillage au lavabo, puis le torchon acheva de parfaite nos allures.

Ta copine Hélène

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