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lettre de ma cochonne de maman – Chapitre 1

lettre de ma cochonne de maman - Chapitre 1



Bonjour.

Je m’appelle Léo. Cet été, pour payer mes études, je suis parti travailler deux mois en Angleterre. C’est ma première longue séparation avec mes parents, notamment avec ma mère. Cette séparation est un peu dure pour elle. Voici la lettre que j’ai reçu de sa part la semaine dernière. Vous allez comprendre quelle grosse cochonne elle est.. Mais je l’adore !

Mon fils chéri,

Je dois te le dire même si je te l’ai déjà dit cent fois: je t’aime et tu me manques. J’ai hâte que tu reviennes à la maison. Tu es le fils dont rêveraient toutes les mères: gentil, intelligent et très beau. Mais ce qui me manque le plus aujourd’hui, alors que tu es loin, c’est quelque chose que ma pudeur naturelle de maman ne m’empêchera pas de nommer :  ton beau membre viril.

Il n’ y a en effet pas beaucoup de mères qui oseront l’avouer, mais moi j’en suis fière : ta queue est splendide et elle me manque. Une belle queue de mec, de belle taille, épaisse, admirablement proportionnée. Superbe.

Il y a quelques années de ça, lorsque je t’ai vu devenir un beau jeune homme et que j’ai vu cette si belle queue grandir, je ne me lassais pas de l’admirer à la moindre occasion.

Je n’arrêtais pas de me dire avec fierté : "c’est moi qui ai fait ça !".

C’est pour ça qu’à cette époque j’ai voulu continuer à prendre mes douches avec toi.

Je prenais un grand plaisir à savonner longuement ton beau corps de jeune homme musclé, ta peau si douce, mais aussi et surtout ton bel engin, admirable, qui grossissait si bien entre mes doigts. Et même si tu étais un peu surpris de cette maman trop tactile, tu adorais ça toi aussi…La taille de tes érections en témoignait. Tu me laissais d’ailleurs volontiers jouer avec ton sexe, le manipuler autant que je voulais.

Souvent, trop excité, tu me lâchais " ha maman, c’est trop bon ! Arrête ou tu vas me faire…" Tu n’avais même pas fini ta phrase que déjà tu te laissais aller dans mes mains.

Tu avais un peu honte mais je ne t’en voulais pas. Au contraire : tes belles éjaculations n’étaient que source de fierté pour moi. Plus ton sperme était abondant, plus j’etais ravie.

Ceci dit, je ne me suis pas arrêtée là, car de mon coté, si je profitais de ta virilité, je voulais aussi te laisser découvrir ma féminité, sans rien te cacher.

Alors, discrètement je t’ai laissé explorer mon corps de femme, toucher mes seins, mon sexe, examiner ma vulve, jouer avec mon clitoris, explorer mon vagin avec tes doigts.

Souvent aussi lorsque tu rentrais de l’école, l’après midi, tu étais impatient de me retrouver à la maison. Ton père était au boulot, il ne risquait pas de nous surprendre. Alors je t’attendais toute nue. Mes fesses étaient à toi et tu ne te privais pas de les caresser, fasciné. Tu passais aussi la main entre mes cuisses. Je voulais que tu aies à tout moment libre accès à mon intimité, pour que tu connaisses tout ça par coeur. Je me retrouvais alors livrée à toutes tes caresses.

Tu étais curieux, habile de tes mains et tu as su rapidement trouver les gestes qui me donnaient du plaisir.

Les mères devraient toutes apprendre à leurs fils ce genre de chose. Car si ça t’a été utile, je dois dire qu’en plus c’était très agréable pour moi…

Et puis un jour enfin j’ai décidé que tu étais prêt.

Pour ton plaisir, et le mien, bien sûr, mais aussi pour te préparer au mieux pour ta vie future. Ca me plaisait d’ailleurs assez d’être celle qui allait t’initier aux choses de l’amour, avec le challenge de faire de toi un bon amant.

Alors même si avoir une relation sexuelle avec son fils n’est pas une décision facile à prendre pour une maman, je dois avouer que ça m’excitait beaucoup. 

Cet après midi là, nous étions seuls à la maison. Il faisait beau. Nous sommes allés dans ma chambre. Je me suis déshabillée, puis à ton tour je t’ai demandé de te déshabiller aussi.

Je voulais te voir nu devant moi, voir ton sexe dressé, ce beau sexe d’homme qui faisait ma fierté. Il était plus dur et gros que jamais.

Dire que tu étais content est un euphémisme. Tu étais excité comme une puce. Tu étais tellement impatient ! 

Je me suis allongée sur le lit, puis tu es venu sur moi. J’ai attrapé ta queue et je l’ai dirigée vers l’entrée de ma vulve.

— Merci maman, merci maman ! répétais tu…

— Allez mon chéri. Arrête les remerciements, mets la moi, ta queue !

  

Alors j’ai senti ton sexe doucement s’immiscer à l’entrée de mon vagin, et lentement glisser à l’intérieur, puis plus profond encore, tout au fond…C’était une sensation d’une incroyable douceur. Tu t’es mis à bouger lentement en moi, et tout de suite j’ai compris que j’avais eu raison de te faire confiance. C’était délicieux.

Tu m’as fait l’amour pendant un long moment, te maîtrisant à merveille. Là encore j’étais très fière de toi. Fière et comblée. Car pour une première fois, tu t’es débrouillé comme un chef.

Tu allais et venais comme un jeune cheval à l’intérieur de moi, de plus en plus rapidement, avec ta grosse queue. En même temps, instinctivement, tu imprimais à ton bassin des mouvements concentriques, en te cambrant bien. Le plaisir était incroyable. Parfois je devais te calmer un peu. Mais après quelques secondes tu recommençais de plus belle. C’était délicieux. Tu as même réussi à me faire jouir plusieurs fois ce jour là. Il faut dire que j’avais tellement envie de toi !

A partir de ce jour là, on a recommencé tous les jours. Parfois plusieurs fois par jour.

Tu m’as prise dans toutes dans toutes les pièces de la maison, dans toutes les positions, par devant, en levrette, moi au dessus de toi… J’ai même été tentée que tu me prennes par le cul. C’était mon péché mignon…

Ton père ne voyait rien. Il fallait faire attention qu’il ne nous surprenne pas mais il faut dire que ça ne risquait pas grand chose. Il n’a jamais été très malin…Ni très bon amant, d’ailleurs…

Tu es d’ailleurs devenu rapidement meilleur que lui. Ta queue était plus grosse et tu étais largement plus habile que lui pour t’en servir.

Alors tant pis pour lui : J’ai fini par préférer faire l’amour avec toi plutôt qu’avec lui. Mais ton père s’en foutait un peu je crois. Du moment que je continuais à lui cuisiner de bons petits plats et m’occuper de la maison pendant que lui regardait ses match de foot à la télé, c’était sa priorité. Et peu lui importait, au final, si j’allais me faire baiser ailleurs.

C’est sûr que s’il avait su que c’est toi mon amant, il ne l’aurait pas pris aussi bien. Mais j’ai accepté ce risque : grâce à toi, aujourd’hui j’ai retrouvé la libido de mes 20 ans. C’est génial. 

Alors si nous restons discrets, je te promets encore plein de petites gâteries délicieuses ! J’ai besoin de toi, de ton sexe, de ta douceur.

Voilà. Tout ça pour te dire que je t’attends avec impatience pour les vacances, avec l’envie folle de retrouver ta grosse queue, la sucer comme une folle. Puis je me retournerai sur la table de la cuisine. Tu viendras alors derrière moi pour me la mettre bien au fond. Tu me défonceras comme j’aime, avec ta fougue habituelle. Alors tu jouiras en moi et je dégoulinerai de ton délicieux sperme chaud. Ca sera le paradis !

Je t’embrasse fort.

 

Ta mère qui t’aime.

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