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L'histoire de Manon. – Chapitre 2

L'histoire de Manon. - Chapitre 2



J’habitais avec Maria depuis deux mois, nous avions enfin mis au clair notre libertinage et elle m’a demandé à organiser notre première soirée coquine. Je devais me laisser faire et me montrer téméraire. Je devais passer le week-end chez ma sur et elle organisait tout ça pour ma soirée de retour. Elles m’avaient confié un paquet que je devais ouvrir seulement pendant le trajet de retour, c’était ma tenue. Je suis partie de chez mes parents avec ma voiture, à la première aire d’autoroute, j’ai ouvert l’emballage, c’était une combinaison de cuir très moulante avec une fermeture sur ma poitrine et deux entre mes jambes pour pouvoir libérer l’accès et une paire de plateformes. Je devais ne porter aucun sous-vêtement.

Je suis allé me changer dans les toilettes désertes et je suis ressortie simplement cachée par mon long manteau. Deux routiers ont quand même remarqué que je sortais sur mes échasses. Une fois de retour dans la voiture, je lui ai envoyé un SMS pour le lui annoncer et elle m’a demandé d’ouvrir entre mes jambes pour que mon abricot lisse râpe sur le siège. Je lui ai demandé à quoi sert le sex-toy que j’ai trouvé dans la boîte à gant, elle m’a répondu que je le saurais au moment venu. J’ai repris ma route, au bout de deux heures, j’ai reçu un message me disant de m’arrêter à la prochaine aire. Je me suis exécuté, elle m’a appelé et m’a demandé de me caresser avec le vibro. Je me suis garée à l’écart et je me suis exécutée, elle m’a sommé de m’arrêter quand elle a entendu à mes gémissements que j’atteignais mon point de non-retour avant l’explosion. Elle m’a privé d’orgasme.

Je suis arrivé chez nous après 5 h de route, c’était le début de soirée. Quand je suis arrivée dans notre maison, une table était dressée, avec des chandelles, des verres à pied et de délicieuses odeurs sortaient de la cuisine. Elle sortit des fourneaux et apparut devant moi plus belle, plus bonne que jamais. Mes tétons et ma chatte se sont crispés instantanément. C’était, de base, une femme magnifique, la peau hâlée, de très longs cheveux noirs, bien épais, qui tombaient sur sa croupe. Elle avait des yeux vert émeraude et un sourire magnifique et si franc. Elle était plus grande que moi et élancée avec un petit cul bien bombé et sportif et de tout petits seins en museau de souris. Le comble du sexy, son accent espagnol et son léger poil sur la langue. Elle avait lâché sa crinière et peint ses lèvres d’un rouge vif, elle portait un body en dentelle où je pouvais apercevoir ses aréoles brunâtres et sa touffe (j’aime que son entrejambe soit bien poilu et elle me préfère lisse) sortir d’entre les mailles, l’arrière du body entrait dans son cul et laissait son cul bien rond découvert. Une paire de bas résille noirs était accrochée aux jarretières du body.

Elle était putain de trop bonne. Elle sest avancée vers moi pour m’embrasser, j’ai plaqué ma paume sur ses reins pour la coller à ma poitrine en érection, et j’ai enfourné ma langue au fond de son gosier. On s’est roulé une énorme galoche, puis elle m’a repoussé en me demandant de m’asseoir pour dîner, elle devait me parler de quelque chose.

Elle m’a servi un gin-tonic en apéritif sur le canapé, accompagné d’amuse-bouche. Elle a commencé par me rassurer, elle m’aimait malgré tout ce qui allait se passer ce week-end. Puis elle a enchaîné en m’annonçant qu’elle souhaitait m’initier à la soumission, j’ai rougi, cet été, j’avais découvert ça en me masturbant devant du porno, mais je n’osais pas en parler. J’ai tout de suite accepté et nous avons commencé une longue discussion, pour une première fois, je serais à elle pendant 48 h, je devais la nommer Madame Maria et je serais jolie truie, je devais la vouvoyer évidemment. Je lui fis part de mes attirances visuelles en toute franchise, je me pensais maso, je fantasmais sur le doggy play, l’uro, le bondage, les insultes et la dilatation. Je lui ai confié trouver ça excitant sans savoir si j’en étais capable.

Pour le dessert, nous avons continué à papoter, mais j’exécutais son premier ordre, assise sur la table, les jambes ouvertes, elle trempait des fraises dans ma minette avant de les manger ou de me les faire manger. Je mouillais tellement qu’elle en sortait gluante. Elle m’a ensuite annoncé que Ninon, ma meilleure amie, allait arriver, je me suis redressée, perplexe. Je me souviens lui avoir demandé ; "Madame Maria, que vient faire ma meilleure amie dans ce moment pervers ?". Elle m’a expliqué qu’elle lui plaisait depuis un moment et que deux jours avant, elles avaient fait une soirée, qu’elles s’étaient galochées et tripotées au travers des vêtements. Comme Ninon lui plaisait beaucoup, elle avait préféré reporter son dépucelage lesbien à mon retour. J’ai ressenti un pique de jalousie, mais elle m’a expliqué que mon rôle de chienne me donnait comme devoir d’accepter et D’exécuter.

Elle finissait de manger une fraise qu’elle avait mise dès le début au fond de mon sexe quand on a sonné à la porte, c’était Ninon. Elle était habillée en bombe. C’est une grande Alsacienne bien blonde et plutôt carrée, elle portait une petite robe moulante qui laissait ses tétons libres pointer au travers du tissu, elle sétait fait deux tresses, et portait de longues chaussettes. Elle ressemblait à une petite jeunette du porno américain. Au début, elle n’osait pas trop croiser mon regard, gênée de me piquer ma gonzesse. Elle aussi était méga bonne, ça foutait encore plus les boules, mais au lieu de me mettre en colère, ça faisait vibrer mes entrailles.

Elle m’a ligotée à un des poteaux au milieu du salon, a ouvert la fermeture avant pour laisser mes mamelles sortir. Elle a ramené une malle de la chambre remplie de jouets achetés pendant mon absence, et fait glisser une balançoire en cuir de la charpente en bois. Ninon s’est installée dans le siège, ma femme a sorti ses seins de sa petite robe moulante pour bien lui malaxer et sucer. Je me tortillais d’excitation et de jalousie. Elle se retire quelques secondes d’elle, afin d’accrocher à mes mamelles des pinces à téton lestées de poids. C’était douloureux, mes tétons étaient étirés vers le bas, les poids se balançaient et les crans sur les pinces bougeaient et me mordaient plus fort encore à chaque mouvement de rotation. Elle m’a regardée un petit moment puis elle est repartie vers mon amie, en lui disant qu’elle allait recevoir son premier cunnilingus lesbien. Elle a écarté ses cuisses, blotti sa tête entre ses chairs.

Je voyais son crâne s’affoler, et j’entendais des bruits de succion quand elle aspirait sa cerise ou sa cyprine, des gémissements quand elle léchait avec frénésie sa fente. Ninon se révélait être une amante hyper-réceptive qui couinait comme un goret dès la première minute, en moins d’une demi-heure, elle avait joui trois fois. Maria avait eu pas mal de nanas avant moi et savait reconnaître une femme fontaine pour en avoir déjà croisé une, elle sut tout de suite que Ninon en était une à sa réactivité et aux orgasmes continus. Elle enfourna ses doigts pour gratter le renflement sur ses parois, et c’est sans suspense qu’au bout de quelques minutes, elle lui aspergea le visage de petit jet.

Ninon, KO se remettait doucement de ses émotions, ma femme en a profité pour m’expliquer un jeu qu’elle avait mis en place. La grille des limites qu’elle m’avait montrées pendant le repas et dont nous avions parlé, elle l’avait copiée sur des bouts de papier. Ce soir, elle tirerait 3 avant que j’aille me coucher dans la chambre d’ami pendant qu’elle finissait sa nuit avec Ninon. D’ailleurs, c’est à ce moment que ma copine a eu un sursaut de vie pour dire qu’elle souhaitait tester un des papiers sur moi.

Elle a apporté un petit pochon et a tiré un défi. Je devais sortir dans l’impasse déserte, me pencher sur le capot d’une voiture pendant que Ninon me donnait 15 coups de ceinture. Mes fentes exposaient à la vue et au courant d’air, tendu vers le haut. Heureusement que nous habitions une maison dans une impasse d’un quartier résidentiel où la majeure partie de nos voisins ronflent, épuisés par leurs marmots à cette heure-là. J’ai pris les 15 coups mordant, donné en prenant le temps, la mâchoire serrée, concentrée pour encaisser sans broncher. J’ai découvert que cette douleur vive et intense était aussi courte et laissait très vite place à un engourdissement chaleureux. Je poussais de légers couinements. Du coin de l’il, je voyais ma femme filmer le regard plein de vices et de sadisme. Nous sommes rentrées la chair de la bande dénudée de mon entrejambe rouge vif, avec quelques lacérations.

Deuxième tirage, je devais demander l’autorisation et que cela me soit accordé pour aller aux toilettes jusqu’à dimanche soir, et nettoyé les sexes des personnes présentes dans le jeu à chaque pipi, de jour comme de nuit.

Le dernier tirage, une pénétration de chacun de mes trous simultanément et Madame Maria a ajouté que je devais lécher la rondelle de Ninon. Elle me bourra les trous au triple galop et la douleur électrisante me fit jouir en quelques minutes comme si mon corps enclenchait son instinct de survie.

Maria m’a accompagné à la chambre d’amis et m’a ligoté les 4 membres aux coins du lit. Nue, sans défense. Elle m’a embrassée, m’a susurré de me rappeler ses paroles, elle m’aimait. Elle a éteint, mais laissé la porte ouverte pour que j’entende leurs batifolages. Je me suis endormie au son de leurs jappements.

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