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L'Histoire mène à tout… – Chapitre 2

L'Histoire mène à tout... - Chapitre 2



Je descends les escaliers et entre dans la cuisine en mode automatique, tant ma tête cogite.

Je dois admettre également que mon sexe me fait un peu mal.

Ce n’est pas tous les jours que l’on peut regarder, à l’improviste, une femme se donner du plaisir. Cette femme étant sa propre génitrice.

C’est ma sur, qui en m’interpellant, me tire de mes songes incestueux.

Tu n’as pas honte d’espionner ta propre mère ? À ton âge, en plus ?

Son air courroucé est cependant trahi par son sourire qui dément totalement ses paroles.

Néanmoins, je me sens obligé de me dédouaner.

Si tu insinues que c’était prémédité, tu te goures complètement. Pour info, je te rappelle qu’elle vient de m’engueuler parce que je te passe de la crème sur le dos. Je suis juste allé prendre une douche apaisante et en sortant, je suis tombé sur… ce spectacle.

Ne te fâche pas, grand frère, je te taquine. Je m’en fous. Tu fais ce que tu veux.

Je n’aime pas du tout tes insinuations, Caroline.

Allez, ça va, arrête ! J’ai bien vu que ton short était un peu trop étroit lorsque tu es entré dans la cuisine.

Parce qu’en plus, tu me mates aussi ?

Pourquoi pas ? Tu es un bel homme, tu viens de bander en me passant les mains sur le dos et tu viens encore de me prouver que tout fonctionne parfaitement en regardant maman.

Non, mais, tu as terminé ! hurlé-je. C’est un accident fortuit. Tu es une perverse ma parole !

Tournant les talons, je quitte cette pièce sous le sourire grognard de ma petite sur. En remontant dans ma chambre, je croise ma mère qui descend à son tour. Elle est de nouveau magnifique. Sa petite robe d’été bleue ne cachant presque rien de ses lourds attributs emprisonnés dans une fine lingerie blanche dentelée que l’on aperçoit par le décolleté plongeant.

Tout va bien, mon chéri ? Je t’ai entendu crier ?

Ca va maman. Caroline m’énerve pour jouer. Rien de grave, tenté-je de justifier.

Dans ce cas ! continue-t-elle en descendant, juchée sur ses escarpins ?

Je la regarde entrer à son tour dans la cuisine et entamer la conversation avec ma petite sur.

Intrigué, je reviens sur ma sortie tumultueuse et retourne rapidement derrière la porte pour écouter leur conversation, mû par une intuition.

Tu devrais arrêter de taquiner ton frère, ma chérie. Il ne vit pas une période facile.

Je sais maman, je ne voulais pas le vexer. Mais si tu avais vu sa tête en entrant dans la cuisine.

Que s’est-il passé ?

Il t’a vu !

Ces quelques mots le tétanisèrent. Elle venait vraiment de lui avouer simplement que je venais de la regarder se donner du plaisir, comme si elle parlait de la pluie et du beau temps.

Je me sentis rougir comme un collégien pris en flagrant délit, la main dans le pot de confiture.

Plus jamais je n’oserai regarder ma mère. Ma vie familiale est terminée. Elle va me jeter dehors en me vouant aux gémonies.

C’est alors que ma mère eut cette réaction pour le moins inattendue en déclarant tout simplement

Bah ! Il fallait bien que cela arrive un jour.

Ai-je bien entendu ?

Il a eu au moins la galanterie de ne pas me déranger. Je l’ai bien éduqué alors.

Et elle partit dans un petit rire sonore, imitée en cela par ma sur.

Mais bon sang, que se passe-t-il dans cette famille ?

C’est là que ma sur m’acheva en demandant ingénument

C’était bon, maman ?

Oui, ma chérie. J’en avais besoin.

Alors tout est pour le mieux. Tu es magnifique dans cette robe maman, tu la portes super bien et ces talons te donnent un air royal.

Je n’en reviens pas. Ma mère et ma sur parlent de masturbation et de voyeurisme comme si de rien n’était. Elles ont une discussion sur des sujets qui se situent à la frontière de l’inceste et elles trouvent cela visiblement parfaitement normal.

En remontant dans ma chambre, mon cerveau tourne à plein régime.

Tout en m’asseyant sur mon lit, je me remémore les paroles de ma sur.

Pourquoi me dit-elle qu’il s’agit d’actes normaux ? La situation de ma famille semble avoir légèrement et c’est un euphémisme évolué depuis mon départ du carcan parental.

Ma mère se masturbe, ma sur trouve cela évident, ma mère se réjouit de me savoir au courant et trouve évident que je la laisse faire sans la déranger.

Tout va bien donc.

J’ai un peu la tête qui tourne suite à ces événements et le nombre d’informations que je viens de prendre dans la figure. Mais après tout, rien d’étrange ne s’est passé, si on l’analyse avec logique et objectivité.

Que ma sur me fasse réagir au niveau de l’entrejambe est somme toute normal. Elle est magnifique, et je ne suis pas en bois. Il s’agit d’une réaction physiologique. Que ma mère touche son corps est aussi évident. C’est une femme comme toutes les autres, avec des besoins de femme. La sexualité et le plaisir doivent faire partie de son quotidien. Et vu l’absence de mon père, comment peut-elle se satisfaire autrement qu’en le trompant ? Si elle se masturbe, c’est probablement pour éviter d’avoir à le faire. Cela devrait donc être aussi un soulagement pour moi de me rendre compte de cet état de fait.

Mais que ma sur trouve normal que je regarde ma mère, qu’elle en joue et qu’elle m’en fasse ouvertement la remarque, il y a une évolution majeure par rapport à notre enfance et l’éducation que nous avons reçue, elle et moi.

Sans être pudiques, mes parents ne se montrent pas nus en notre présence, sauf coïncidence fortuite. Ma sur encore moins. Depuis qu’elle est entrée dans la puberté et que son corps a subi les changements de la féminité, je ne l’ai jamais vue nue. Les portes étant toujours closes, par souci de pudeur et de discrétion.

Que s’est-il donc passé pour que cela change à ce point ?

C’est ce qu’il va me falloir affronter en redescendant.

Si la complicité qui semble unir mes deux femmes préférées est nouvelle pour moi, elle semble si évidente pour elles. Ma sur et ma mère n’ont plus aucun secret l’une pour l’autre. Leur entente semble également parfaite.

C’est cette constatation qui me va le plus loin. Je suis un peu jaloux visiblement. Pourtant, je n’ai plus l’âge de la phase dipienne. Alors pourquoi ce sentiment ? Je vais également devoir me pencher sur ce sujet.

La voix de ma mère résonne dans le couloir.

Alexis ? Tu viens manger ?

Je constate avec effarement que mes introspections personnelles et familiales m’ont tenu écarté durant une heure.

En entrant à nouveau dans la cuisine, je constate par la baie vitrée que la table est déjà mise sur la terrasse. Les verres de vin sont remplis et les serviettes reposent sur les assiettes.

Tout en m’installant sur mon siège, je prends mon verre en main et le portant à ma bouche, mon geste s’arrête net.

Ma sur et ma mère viennent à leur tour de sortir de la maison et s’avancent vers moi d’un pas félin.

Leurs yeux sont braqués sur moi et leurs hanches se balancent au rythme de leur marche, pieds nus.

La seule réflexion que je me fais, c’est qu’elles ont la même taille et qu’elles ne peuvent nier leur lien de parenté.

Mais ce que j’occulte, c’est qu’elles sont entièrement nues.

Tout en déposant le plat de salade sur la table, ma sur me fait un petit clin d’il de connivence. Sauf qu’il n’y a jamais eu ce type de relations et de secrets entre nous.

Mon cur a toutefois un raté lorsqu’elle se penche sur la table.

Ses seins sont parfaits. Hauts placés et d’une rondeur qui appelle à la luxure, ses tétons sont légèrement dardés par le petit vent rafraîchissant la terrasse, chauffée tout au long de la journée par le soleil d’été. Sa chatte est très bien dessinée, couronnée par un petit triangle tout mignon. Il me semble même apercevoir son clitoris, dont la tête semble vouloir prendre l’air entre ses lèvres. Ses hanches sont harmonieuses et son ventre plat est entretenu par des exercices physiques, ce que j’ignorais venant d’elle.

Ma tête hébétée se tourne alors vers ma mère, mon verre de vin toujours à portée de ma bouche. Je n’ai toujours pas bougé, tétanisé par cette double apparition.

Je la détaille à son tour. Sa poitrine, plus légère que celle de ma sur, est parfaite également. Ses aréoles sont superbement dessinées, encadrant deux tétons plus proéminents que ceux de Caroline, mais en parfaite harmonie avec sa poitrine. Ses hanches sont un peu plus larges, mais elle a enfanté deux fois. En se tournant pour déposer le pain sur la table à côté de moi, je remarque que ses fesses ne portent aucune trace de cellulite et qu’elles sont superbement rondes. Un appel à la caresse ou à la fessée, c’est selon. Son ventre est également tout plat. Feraient-elles du sport ensemble ? Sa chatte est également entretenue avec soin. Mais elle est entièrement épilée. Elle a succombé visiblement à cette mode que je trouve parfois ridicule, mais je dois constater qu’elle le porte parfaitement. Ses lèvres sont, par contre, un peu luisantes d’un plaisir et d’une excitation dus à la situation.

Je respire vite et un son grave s’échappe de ma gorge à cette vision enchanteresse, mais, ô combien, psychologiquement délicate à apprivoiser.

Et bien Alexis ? Que se passe-t-il ? Tu as vu un fantôme ? me demande ma mère en souriant.

Je constate que je n’ai plus fait un geste depuis leur entrée théâtrale sur notre terrasse de vacances.

J’ai l’impression que le monde vient de s’arrêter de tourner, que les oiseaux ont cessé leur chant en hommage à leur beauté, que le vent s’est levé pour permettre à leur chevelure de voltiger autour d’elles et que le soleil, lui-même, a calmé ses ardeurs lumineuses et chaleureuses pour leur laisser le devant de la scène durant ce moment de grâce.

Reprenant contenance, j’exécute alors un geste que je n’aurais jamais cru possible dans une situation pareille.

Je les toise de haut en bas, termine le geste que j’avais entamé et porte mon verre à mes lèvres en les fixant tout à tour dans le blanc des yeux. Je repose celui-ci sur la table puis déclare :

Pas un fantôme maman ! Deux sirènes sorties des eaux.

Visiblement, ma mère et ma sur ne s’y attendaient pas. Elles se regardent l’une et l’autre puis se sourient en s’asseyant de chaque côté de la table.

Peut-on savoir à quoi vous jouer toutes les deux ? demandé-je sérieusement, cette fois. Je n’ai pas l’impression de me souvenir de ce genre de … démonstration. Alors vous allez toutes les deux jouer cartes sur table et m’expliquer ce qu’il se passe dans cette famille depuis cet après-midi.

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